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Resident Evil 5
Année : 2009
Système : Android, Windows, Playstation 3, Xbox 360
Développeur : Capcom
Éditeur : Capcom
Genre : Survival Horror

For a future without fear...

Le succès n'est pas une fin en soi.

Comme je vous l'ai indiqué, Resident Evil 5 ne se boucle pas en un loop. En fait, l'ensemble de ses contenus est pensé et réfléchi de sorte que le joueur termine le jeu dans tous les modes de difficulté (facile, normal, vétéran et professionnel). Bizarrement, la difficulté dans Resident Evil 5 est un concept assez flou, puisqu'elle dépend de plusieurs critères : de votre équipement, du niveau de difficulté choisi et du rank. Oui, comme dans RE4(ou Battle Garegga !), le jeu devient plus difficile si vous êtes "trop bon." Si vous êtes un virtuose du pad, la difficulté semblera plus grande en normal que si vous "quichez" en vétéran. Ce verbe n'existe pas mais faisons comme si. De plus, certains passages peuvent sembler plus difficiles en "facile" quand on n'a pas beaucoup de munitions et très peu d'armes améliorées, alors qu'un lance-roquettes illimité balaye à peu près n'importe quel boss en deux ou trois fusées. Mais la difficulté est progressive et il est très sage de franchir les paliers les uns après les autres. Ce qui change, dans chacun d'entre eux, c'est : la résistance des ennemis, votre propre résistance (un coup égale un statut mourant en professionnel), la bougeotte des Majinis (ils sont plus durs à viser à partir du mode vétéran, car ils se déplacent beaucoup plus), la vitesse à laquelle se vide votre barre de vie en étant mourant (dix secondes en facile, deux secondes en professionnel) et... l'IA de Sheva.

En professionnel, il est presque impossible de finir le jeu sans les munitions illimitées puisqu'on peut se retrouver sans munition et être bloqué (dans le chapitre 5-3 par exemple). C'est faisable mais éprouvant. Mais il est également très, très, très [...], très frustrant de jouer avec l'IA. En effet, votre partenaire devient absolument débile en mode professionnel. Merci les développeurs. Du coup, quand vous êtes mourant, ce qui arrive relativement souvent croyez-moi, miss Africa préfère continuer à dégommer des Majinis que de vous aider. Bonjour l'entraide. Cela donne lieu à des crises de nerf. Pour l'anecdote, j'ai commencé à m'impatienter (doux euphémisme) lors du premier combat contre Wesker (le boss du chapitre 5-3). Le moindre coup contre ce boss vous tue et Sheva n'est jamais là pour vous soigner car l'arène est vaste. Mas ce n'est pas ça, le pire. Car encore, en état de grâce, le bon joueur finit par esquiver toutes les attaques. Mais Sheva, bien évidemment, n'y arrive pas. Elle s'éloigne de son allié pour aller se faire trucider dans un coin du labyrinthe. Au final, j'y suis arrivé après soixante-quinze tentatives (véridique). Il y a des morts contre lesquelles on ne peut strictement rien faire si Sheva n'en fait qu'à sa tête. Tout ça pour dire que le mode professionnel en solo vous demandera énormément de ténacité.

Au-delà des différents modes de difficulté, il existe encore un tas de choses à faire dans Resident Evil 5: rassembler l'ensemble des armes, les améliorer toutes au maximum, dénicher tous les trésors du jeu, trouver les trente emblèmes du BSAA parsemés dans les niveaux, acheter toutes les figurines, des costumes pour Sheva, des filtres, et cætera, dans le but d'atteindre les 1000G et de briller avec la totalité des succès déverrouillés. Sans compter les DLC ou le mode Mercenaires, il faut une cinquantaine d'heures pour récolter l'ensemble des succès ou trophées contre une douzaine d'heures pour finir le titre la première fois. Le titre est vraiment riche en contenu, ce qui explique aussi le temps de développement qu'il a nécessité à Capcom.

Les costumes additionnels sont parfois... Comment dirais-je... Excentriques. Cette tenue de Chris est à débloquer dans les bonus du jeu. Et je suis certain qu'elle aurait plu à Wesker.
Il est possible (et indispensable pour déverrouiller tous les succès) de collectionner des figurines. Ça ne sert strictement à rien, mais c'est joli. Et ça permet d'admirer les jolies formes de Sh... Ça permet d'admirer les modélisations très réussies de Sheva (pardon).

Ce n'est pas tout. Comme dans RE4, vous aurez accès au mode "Les Mercenaires." Oui, ce mini-jeu que l'on retrouve sous forme de titre complet à 49€ sur 3DS. Ce mode bonus permet d'affronter des Majinis dans des arènes (des environnements de l'aventure solo) en un temps limité. L'idée est d'en occire le plus grand nombre dans la limite de temps disponible, soit deux minutes que l'on peut allonger (à vos risques et périls...) avec des bonus de temps sous forme d'autels à ramasser. Après avoir sélectionné un personnage (ils ont chacun leurs combinaisons d'armes différentes) et l'arène (l'assemblée du premier chapitre, les mines du second...), il n'y a plus qu'à faire exploser le high score... et d'obtenir des rangs A dans chaque niveau pour débloquer des personnages supplémentaires. Bonne chance. Un véritable jeu dans le jeu.

Si vous annihilez cent-cinquante malandrins, le mode s'arrête et vous obtenez des points bonus pour le temps restant. Mais les choses ne sont pas si simples, puisque plus le temps s'écoule, plus les ennemis deviennent coriaces. Le rank de difficulté augmente et des mini-boss que l'on espérait ne pas croiser entrent dans l'arène (ce Majini dégoûtant à la hache ou ces bestioles qui vous envoient des gaz aveuglants, pour votre plus grand malheur). Pour faire péter le compteur de points, il existe un système de combos tout ce qu'il y a de plus classique. Il suffit d'abattre le maximum de Majinis sans que la jauge imaginaire de combos ne retombe à zéro. Il est également possible de ramasser un bonus qui permet, trente secondes durant, de récolter mille points par ennemi refroidi (jusqu'à cinquante ennemis). Évidemment, pour tuer un maximum d'antipathiques zombies en un minimum de coups, rien de tel qu'une bonne grenade, le souffle de l'explosion d'un baril d'essence ou une bonne électrocution collective.

L'avantage, dans cette version des "Mercenaires, » est bien entendu la possibilité de jouer à deux joueurs, en écran splitté ou en ligne. Il est ainsi possible de soigner son partenaire et il devient plus facile de débouter les cent-cinquante monstruosités. Il est à noter que dans ce mode, en "un joueur," il est possible de s'auto-réanimer en tapotant frénétiquement le bouton B lorsque le statut mourant apparaît.

Jill is still alive.

Quand il n'y en a plus...

Presqu'un an après la sortie de Resident Evil 5, Capcom s'est permis de resservir le couvert avec la Gold Edition. Il s'agit tout simplement de Resident Evil 5 accompagné de tous ses contenus additionnels. Dans le cas de la PlayStation 3, les contenus additionnels sont intégrés sur le Blu-Ray, directement. Pour la version Xbox 360, en revanche, il s'agit du même disque que l'édition originale avec un bout de papier contenant la formule magique autorisant le téléchargement "gratuit" des contenus additionnels. L'ensemble des données ne tenant pas sur un DVD, c'est cette solution qui a été retenue. Cheap. Toujours est-il que les contenus additionnels sont assez bien fournis et valent très largement la peine d'être achetés. De toute façon, si vous souhaitez faire le jeu sur PS3 avec le PS Move, c'est bel et bien la version Gold que vous devrez acquérir, le patch ne s'appliquant pas à la version standard... Je vous propose un récapitulatif de ces contenus additionnels.

- Le mode "Affrontement" : comme son nom l'indique, ce mode de jeu permet aux joueurs de s'affronter, en versus, en ligne. Il est apparu sur les marchés du XLA et du PSN très peu de temps après la sortie du jeu (le 09 avril 2009). D'ailleurs, il a souvent été reproché à Capcom d'avoir inclus ce contenu additionnel sur le DVD de RE5 et de devoir payer en supplément la "clé d'activation" de celui-ci (en effet, le téléchargement ne pesant que 300ko sur PS3 et 2 Mo sur Xbox 360, il y a de quoi se poser la question). Toujours est-il qu'il est inclus d'office dans l'édition Gold. Il en existe quatre règles, qui sont les suivantes :

- Tueurs
- Tueurs en équipe
- Survivants
- Survivants en équipe

Tous ces modes sont jouables jusqu'à quatre joueurs.

Jill Valentine contre Albert Wesker... L'heure de la vengeance a sonné !
Hum... Ça sent le roussi !

Dans les modes tueurs, il s'agit de tuer un maximum de zombies ainsi que d'autres joueurs pour engranger un maximum de point. Grosso modo, on pourrait comparer ce mode à un "Mercenaires" où il est possible de tuer les autres joueurs. En équipe, c'est la même chose mais... en équipe, évidemment. Les arènes sont au pixel près les mêmes que dans le mode "Mercenaires" (emplacement des ennemis, des objets...) à la différence près que les Majinis infligent moins de dégâts que d'habitude. Tuer un ennemi rapporte autant de points qu'un mini-boss. Contrairement au mode "Mercenaires," on peut mourir autant de fois que l'on veut, sauf que votre mort fera perdre des points... à vous ou à votre équipe ! Le joueur qui est en tête du classement est au rank de difficulté maximal, les autres sont à un rank moins élevé... En revanche, le dernier du classement bénéficie d'un bonus puisque toutes ses actions rapportent le double de points !

Quant aux modes survivants, ils sont un peu différents. Dans ces modes, seule la mort d'un adversaire humain rapporte des points. D'ailleurs, la puissance des joueurs est doublée et celle des Majinis est divisée par deux. En clair, les zombies ne sont là que pour faire de la figuration... Ou presque ! Bien que les Majinis n'apportent plus rien d'un point de vue comptable, ils permettent de récupérer des objets de soin ou des munitions. Les mini-boss, eux, lâchent de nouvelles armes. En effet, l'idée est de trouver le plus rapidement possible de nouveaux joujous pour faire la fête à vos adversaires. Et contrairement aux modes "Mercernaires" et tueurs, l'emplacement des items changent à chaque mission.

- "La Réunion des Mercenaires" : avant toute chose, je tiens à vous faire part d'un bug stupide de la version Xbox 360. Pour pouvoir jouer à la "Réunion des Mercenaires," vous devez au préalable supprimer le DLC "Figurines exclusives" qui ne sert, soyons francs, à rien et qui fait planter votre jeu. En effet, le bougre fait apparaître un message d'erreur selon lequel votre disque serait illisible. "Objection !" Le DLC n'étant pas contenu sur le DVD mais sur votre disque dur, quel est le rapport avec la choucroute ? Bref, si cela vous arrive, vous connaissez maintenant la solution. Et remercions comme il se doit Capcom de ne pas avoir publié de patch pour corriger le désagrément...

Bref. La "Réunion des Mercenaires" est une mise à jour du mode "Mercenaires" de base incluse avec le DLC "Perdu dans les cauchemars." Cette version permet de jouer avec de nouvelles armes, de nouveaux costumes (notamment la tenue SM de Chris et le cosplay du petit chaperon rouge) et d'incarner de nouveaux personnages. Enfin, quand je dis nouveaux, ça inclut également les vieilles branches que sont Barry Burton et Rebecca Chambers ! Mais c'est à peu près tout ce que propose cette très légère mise à jour des "Mercenaires." Et dire que je me suis bien pris la tête pour le faire fonctionner...

- "Perdu dans les cauchemars" : le vrai plat de résistance de Resident Evil 5 Gold se situe dans les niveaux additionnels. Le premier d'entre eux est apparu sous forme de DLC le 18 février 2010. Il s'agit de "Perdu dans les cauchemars. » Ce niveau permet de jouer la séquence au cours de laquelle Jill Valentine et Albert Wesker disparaissent dans un précipice. Oui, vous avez bien compris : le duo fait son grand retour dans le manoir Spencer pour le plus grand plaisir des fans. D'ailleurs, l'enrobage de la chose a tout du fan service, avec des portes qui s'ouvrent doucement, une ambiance gothique à souhait et des énigmes dignes des premiers pas dans la série.

Le décor est planté.
Sonate au Claire de Lune... Fan service, disions-nous.

Malgré de vrais efforts de réalisation, ce niveau n'est pourtant pas si intéressant que ça. Pour résumer grossièrement cet épisode, disons qu'il se décompose en quatre phases. La première est une séquence d'énigmes dans le manoir, avec beaucoup de références à Resident Evil : scène du piano, plafond à pics qui piège le joueur, etc. Cette phase n'est cependant pas très passionnante puisqu'on n'y rencontre pas un seul ennemi. On multiplie les allers retours dans un manoir vide sans grande passion. En revanche, il faut saluer la modélisation des décors... Jamais (depuis le Rebirth) on n'avait traversé des environnements aussi impressionnants. Puis on traverse la seconde phase, dans les sous-sols du manoir. On y découvre un nouvel ennemi, bien costaud, et on retrouve un level design plus proche de Resident Evil 5. Pour quelques minutes seulement, puisqu'au cours de la troisième phase, nos deux héros tombent dans une crevasse et se retrouvent dans les égouts, sans arme et sans objet. Il faut alors piéger les ennemis avec des plafonds à pointes pour progresser. On arrive enfin à la dernière séquence, l'affrontement contre Albert Wesker en personne. Mais n'imaginez pas une lutte épique ou un combat envolé, on est en fait obligé de perdre. C'est bien dommage.

Le niveau est court, il n'y a que peu de combats et le rythme est relativement mou. L'intérêt réside finalement dans la redécouverte du manoir ou dans la chasse aux emblèmes cachés dans le niveau. Ceux qui s'attendaient à quelque chose du goût de Resident Evil 5 pourraient rester sur leur faim... Jusqu'à tâter du deuxième DLC, "Une fuite désespérée. »

- "Une fuite désespérée" : quelques jours plus tard, le 3 mars 2010, Capcom publie sur le PSN et le Xbox Live Arcade "Une fuite désespérée." Ce contenu additionnel se déroule peu après que Chris et Sheva ont sauvé Jill Valentine. Celle-ci tente de fuir avec Josh, d'où le titre du niveau. Ce DLC est "un tantinet" plus rythmé que "Perdu dans les cauchemars." Il est même son exact opposé puisqu'il est le summum de l'action non-stop et il est sans doute l'une des séquences les plus difficiles de Resident Evil 5. Mais également l'une des plus intéressantes à jouer... En tout cas, si vous aimez Resident Evil 5, c'est le DLC qu'il vous faut.

Josh et Jill, le duo le plus improbable de la saga.
Il y a du beau monde dans ce DLC. La scène dont est tiré le screenshot est sans conteste l'une des plus stressantes de toute la série !

Votre sens tactique sera mis à rude épreuve puisque vous aurez à traverser plusieurs environnements où les Majinis réapparaissent à l'infini. Il s'agit de progresser pas à pas dans des niveaux au level design très vicieux, où il n'est pas rare que les partenaires doivent se séparer. Difficile, ce niveau l'est encore plus en vétéran où les munitions et les objets de soin se comptent sur une main de manchot ! Mais le tout est plus difficile, surtout en ce qui concerne l'affrontement des mini-boss. Oui, car il y a des tas de mini-boss à se farcir. En effet, la plupart d'entre eux explosent quand ils sont vaincus. Et même si le Majini à la tronçonneuse qui porte un pantalon rouge explose, celui dont le pantalon est bleu se relève, une fois vaincu, et se met à vous pourchasser en mode "Berserk." De quoi mettre vos nerfs à rude épreuve... Pour ramasser quelques objets, il est possible de prendre possession de tourelles et de détruire des rochers derrière lesquels se cachent des munitions et des soins.

Mais alors que le niveau touche à sa fin, les développeurs n'ont rien trouvé de plus machiavélique que de vous envoyer au casse-pipe dans un ultime environnement, petit et oppressant, bourré de Majinis qui réapparaissent sans cesse et de vagues successives de mini-boss. Et cela, pendant cinq minutes. Je vous l'accorde, cinq minutes, ce n'est rien. Mais dans ces conditions, ça paraît une éternité. La meilleure tactique est toujours de rester côte à côte, mais que les secondes semblent longues dans ce niveau étriqué ! Après quoi, Jill et Josh finissent par s'enfuir une bonne fois pour toute de l'enfer de Kijuju...

Yes it's worth it.

Resident Evil 5... Et après ?

Vous l'aurez compris à la lecture de ce dossier, je suis un grand amoureux de ce Resident Evil numéro cinq. J'ai voulu écrire cet article (et j'y ai pris un grand plaisir), en partie, pour réparer une injustice. En effet, ce cinquième épisode est trop souvent et maladroitement "fauché" par la critique en dépit de ses grandes qualités. Il faut dire que la mode est à descendre en flèche les blockbusters nippons en argumentant que les Japonais ne savent plus faire de "bons" jeux... Mon point de vue n'est certainement pas non plus le plus objectif, j'en ai conscience. Pourtant je suis persuadé que tous les ajustements qui ont été faits au passage du quatrième au cinquième Resident Evil ne sont pas des signes de régression, loin de là. Ceux-ci servent en tout point le gameplay de cet opus et sont justifiés par la présence-même de la coopération. Et c'est bien là que réside tout le sel de Resident Evil 5: dans le jeu à deux joueurs. Dans cet exercice, Capcom s'est montré irréprochable puisque l'ensemble du titre est conçu pour le multijoueur.

Néanmoins, il est aussi vrai que la série a beaucoup évolué et, de Resident Evil, il ne reste que le titre et quelques broutilles scénaristiques. La série d'horreur d'antan est devenue un concentré d'action spectaculaire qui ne peut pas plaire à tous les fans de la première heure. Même si Resident Evil 4 avait tenté (en vain, soyons francs) de donner une ultime fois la chair de poule aux joueurs, ce number five s'affranchit une bonne fois pour toutes de ces codes qui le handicapent plus qu'ils ne soutiennent son action. Finalement, la série qui représentait à elle toute seule un genre, à savoir le survival horror, s'est fondue dans grande famille des jeux d'action.

Quant à savoir ce que sera Resident Evil 6, il est encore trop tôt, à l'heure où ces lignes sont écrites (octobre 2011), pour le savoir. Jun Takeuchi a cependant annoncé une (nouvelle) rupture avec la série. Faut-il s'attendre à un nouveau reset ? Peut-être. En revanche, il semble probable que l'orientation de la série soit toujours portée vers l'action, comme en attestent les récentes sorties de Resident Evil: The Darkside Chronicles sur Wii ou des épisodes 3DS de la saga dont le gameplay est fondé sur RE4et RE5. Mais comme la boule de cristal de madame Irma ne fonctionne que très rarement, il est difficile de deviner de quoi sera fait l'avenir de la saga. Mon seul regret, au final, est que Resident Evil 5, avec son nombre de copies distribuées pharaonique, n'ait connu que deux petits DLC. Quelques niveaux supplémentaires n'auraient pas été de trop pour patienter jusqu'à l'annonce d'un nouvel opus...

"Thanks, partner!
Julenstein
(06 février 2012)
Sources, remerciements, liens supplémentaires :
- Jeuxvideo.com : dont les forums sont une mine inépuisable d'informations... (Ainsi que pour la grande majorité des screenshots de cet article)
- Gamekult.com : pour quelques illustrations.
- Wikipédia : qui, s'ils sont toujours aussi mal vus dans vos recherches universitaires, sont toujours aussi intéressants pour construire vos dossiers JV !
- The Resident Evil Wiki : des tas d'articles sur la série.
- Et, bien entendu, les archives du jeu !
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