Donc pour le moment tes schéma me donnent raison, sega c'est du caca ^^
_________________

Le schéma indique simplement que Shenron ne fait pas preuve de fanboyisme immature, contrairement à tant de nintendistes primaires !

Tous les jeux sorti sur MD sont des jeux SEGA? O_o (comme sur WiiU? Ok, je sort...)

Pour en revenir à Jurassic Park, c'est en effet amusant de voir que l'épisode le plus connu est le jeu de plateforme/action sorti en même temps que le premier film, alors qu'il n'est effectivement pas fantastique (je trouve que le contrôle très lourd du perso gâche un peu tout).

Si on aime les dinos et la MD, il vaut en effet mieux se tourner vers ce Jurassic Park 2, un des derniers jeux de la machine (1997 !) et qui est un joli jeu d'aventure un peu plus dans l'esprit de l'opus SNES sorti par Ocean, comme le souligne très justement Shenron).

Ceci dit, Jurassic Park sur Mega CD est également un jeu intéressant, puisqu'il est à mi-chemin entre le point and click traditionnel et le jeu éducatif (le titre comporte une grosse base de données sur les animaux rencontrés dans le jeu). Je n'ai pas eu l'occasion de le pousser très loin, mais il m'intrigue beaucoup.

En tout cas, si on en croit Wikipedia, ce jeu Mega CD est visiblement beaucoup plus proche du livre de Michael Crichton.

EDIT : petit détail rigolo à propos de Justice League Task Force : il a été co-développé par Blizzard.

Blizzard n'avait pas développé un autre jeu DC ?

On commence les K !!!!

Ka-Ge-Ki: Fists of Steel
Kaneko/Sage’s Creation - 1991



Sorti d’abord en arcade, Kageki est à mi-chemin entre le beat’em up et le jeu de combat : on affronte une série de loubards, en alternant les simples sbires, et leur minuscule barre de vie, et les caïds, bien plus imposants. Si je dis qu’on est à mi-chemin, c’est à la fois parce qu’on n’affronte qu’un ou deux sbires avant les boss (en arcade, il n’y en avait même pas), et parce que la palette de coups se limite aux jabs et au direct.

Le jeu est représenté à la façon de Pit-Fighter, et on cogne aussi bien sur les côtés qu’en haut et en bas, selon la position de l’adversaire. Les combats n’ont absolument aucun intérêt, et le jeu est vilain comme tout : il ne tire son épingle que grâce à son style SD sympa et aux trognes rigolotes des ennemis.

NUL

Kawasaki Superbike Challenge
Time Warner Interactive/Domark-1995



Difficile de comprendre le positionnement de ce jeu de course de moto à la première personne : la première accélération, avec la moto qui se dresse sur sa roue arrière, laisse penser qu’on aura affaire à une simulation, mais en fait, c’est juste pour la frime car on se rend vite compte qu’il est impossible de chuter, même en prenant les virages super sérrés dans l’herbe.

J’ai l’impression que l’équipe a tout misé sur la 3D polygonale des décors : les paysages sont ternes, la conduite pas du tout subtile, et puis quel intérêt de nous faire faire 4 tours de qualification avant la vraie course, alors qu’un seul suffirait largement ? Seul la partie sonore tire un poil son épingle du jeu, en reproduisant à peu près l’effet larsen lorsqu’on passe à proximité d’obstacles.

MEDIOCRE

Kick Off 3: European Challenge
Anco/Vic Tokai - 1994



Si Kick Off 2 était dans la continuité de son glorieux prédécesseur, ce troisième épisode change de cap en optant pour une vue de côté “télévisuelle”. Il permet de choisir des équipes du championnat français, anglais, espagnol, allemand ou italien, ou des équipes nationales, mais sans les licences des noms des joueurs, qui sont à peine retouchés (comme Seeman à la place de Seaman, par exemple).

A pour les passes courtes, B pour les tirs et les tacles, et C pour les passes en hauteur, les commandes sont simples, ce qui n’est bizarrement pas toujours le cas. Que ce soit en match amical, coupe ou ligue, le jeu propose pas mal d’options : activation ou pas du hors jeu et des fautes, vitesse du jeu, et difficulté du contrôle de balle, au choix “Facile”, “Moyen” ou “Dur”. En facile, la balle colle aux pieds, en moyen, je n’ai pas réussi à faire plus de trois pas avec, même en faisant attention, je n’ai pas osé mettre en “dur”. Idem pour la vitesse du jeu : en Rapide, c’est trop rapide, et en “Moyen”, c’est à se flinguer tellement c’est lent.

Pas facile de jouer correctement : si les passes s’enchainent bien en théorie, en pratique c’est autre chose : une certaine latence dans les contrôles, et l’absence incompréhensible d’un radar pour un jeu de 1994, et la difficulté de contrôler le joueur de son choix rendent le jeu assez pénible. Ça, et les chants de supporters qui impressionnent en rentrant sur le terrain, jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’ils sont les seuls bruitages en cours de match, ou quasiment,. Et un jeu de foot sans le “poc” de la balle, c’est bien triste. Vu qu’en plus le jeu accuse 3 ou 4 ans de retard graphiquement, vous pouvez tout à fait passer votre chemin.

MAUVAIS

Togi O : King Colossus
Makoto Ogino/Sega - 1992



(Je le fais avec les K parce que la rom s’appelle King Colossus, et que du coup je l’ai lancée sans réfléchir)

Ce RPG sorti uniquement au Japon et parfaitement inconnu est un Zelda-Like : on incarne un guerrier amnésique qui doit garder une épée, qui sera volée par un méchant patati patata. Non, je ne parle pas japonais, je l’ai lu sur Sega Retro.

Le jeu n’est pas linéaire puisque, dès le début, on peut essayer de traverser 3 donjons au choix (et trois châteaux, mais on est refoulé à l’entrée), qui plus est en utilisant du fast travel (ce que je trouve génial). Apparemment, on doit tout de même les faire dans un certain ordre pour 1) avoir une clé ou quelque chose dans le genre pour ouvrir des grilles 2) ne pas se faire défoncer par les monstres. Ceci dit, il est assez facile de faire son choix : les slimes sont, comme souvent, les ennemis les plus faibles du jeu. Au fil des combats on gagne en niveau, ce qui permet d’avoir plus de vie, et plus de points de magie.

J’ai joué une petite demi heure avant de me retrouver coincée, après avoir ouvert des coffres sans avoir aucune idée de leur contenu. Potable techniquement, King Colossus ne semble pas avoir inventé l’eau tiède, et ses combats un peu relous (le masque de collision semble un peu aléatoire) le rendent un peu agaçants, mais si vous avez fait vraiment tous les RPG de la MD et que vous parlez japonais...
_________________

Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Oh, oh, un de mes titres préférés va être testé sous peu. Attention Shenron, j'ai l'oeil .

Si : Death and Return of Superman (lien vers le groblog Snes). Il n'existe pas sur MD ?


C'est parce qu'il s'agit d'un jeu fait à l'arrache à partir du moteur de Vroom. En fait, c'est quasiment le même jeu mais avec des motos à la place des voitures ... des motos qui se comportent comme des voitures donc. Sur Snes (hop, re-pub pour mon groblog), le jeu est pas trop mal et comprend un mode en écran splitté.

Un zelda like que j'aurais louper sur Megadrive? Intéressant...même si en japonais du coup. Il n'existerait pas une traduction pour s'y plonger?

@Shenron :
En zyeutant les screens de Togi O : King Colossus, j'ai pensé à Ys mais de mémoire il n'y a qu'Ys III: Wanderers From Ys qui soit sorti sur MegaDrive, qui change complètement de formule pour le coup.

Bon tu as le temps d'en parler, vu qu'il arrive à la lettre Y ^^". Sinon, un bon site pour vérifier la présence de patchs de traduction de rom : http://www.romhacking.net/

Voici la page des traductions anglaises pour la Megadrive.

7th Dragon sur DS vient d'être traduit en anglais. Et... y'a une traduction anglaise pour King Colossus !

http://www.romhacking.net/translations/914/
_________________

Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Si, mais je n'ai pas la mémoire des éditeurs


Ah ben merci pour l'info. Après le jeu n'avait pas l'air terrible non plus, mais pour les curieux c'est une bonne chose !
_________________

Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Merci pour les liens!

Il va falloir attendre (et en plus je risque de recevoir des jets de pierre) !

Kido- Keisatsu Patlabor: 98-Shiki Kido- Seyo! - J
Ma-Ba - 1992



Ce jeu tiré de la célèbre série animée (qui est bien plus connue que le manga, au moins chez nous) est un RPG, tout comme la version SNES, bien qu’il semble différent. Je pense qu’on incarne un bleu qui doit faire...des trucs… dans la base… sûrement en parlant à ses collègues… Bon OK, j’ai rien compris, mais je peux quand même vous décrire ce que j’ai vu.
On parcourt la base en vue de ¾ haut : on ne voit pas le contenu des pièces dans cette vue, il faut y rentrer pour basculer en vue à la première personne (un écran fixe, en fait), et on a alors le choix entre (je suppose) “Regarder”, “Parler” et “Sortir”. Je me suis donc promenée, ai parlé à tout le monde, et puis rien, je me suis retrouvée bloquée.

La phase vue de dessus est, techniquement, une abomination, celles à la première personne sont mieux mais les illustrations sont assez grossières. Voila voila...

King of the Monsters
SNK/Takara - 1993



Sorti d’abord sur MVS et Neo Geo, King of the Monsters, comme son nom l’indique, est un jeu de combat entre monstres tout droit tirés de films de la Toho. Si la version originale proposait 6 monstres, sur MD il n’en reste plus que 3 : Geon, un clone de Godzilla, Rocky, une espèce de Golem, Beetle Mania, un coléoptère géant et Astro Guy, mélange d’Ultraman et de Captain America. Ces monstres se mettent gentiment sur la tronche au milieu des villes, qu’ils peuvent intégralement détruire.

Sous ses aspects de jeu de combat, KotM est en fait un jeu de catch : en effet, on dispose d’un coup de poing, de pied (ou de queue) et d’une course, qu’on peut enchaîner avec un coup de la corde à linge, et surtout des prises, dont la réussite dépend soit du matraquage de boutons, soit du timing, je n’ai pas réussi à saisir le truc. Une fois la barre de vie d’un des monstres vidée, l’autre doit le maintenir au sol 3 secondes. Il est également possible de ramasser des bateaux et des avions pour cogner l’adversaire, tout en faisant attention aux engins de l’armée qui tentent de nous neutraliser.

Sur le principe, KotM est un jeu plutôt cool, mais son gameplay est trop limité pour qu’il soit amusant plus de 5 minutes, le faible nombre de persos n’arrangeant pas les choses. Ni les graphismes, ni l’animation ne cassent des briques, surtout pour un jeu de 1993, tout en restant potables. Bref, passez votre chemin.

MEDIOCRE

King of the Monsters 2
Takara - 1994



Sur Neogeo, King of the Monsters 2 est un très mauvais beat’em up, dont les très courts niveaux se terminent par un affrontement contre un boss complètement craqué. Dans cette version MD, Takara a décidé de laisser tomber le côté beat’emup pour se concentrer sur le versus, et on se retrouve donc avec un jeu de baston avec 9 persos jouables, qui sont les héros et les boss du jeu original.

On garde par contre la palette de coups du beat, hein, avec quelques coups spéciaux qui sortent une fois sur 3 pour faire bonne mesure. Et puis on va aussi garder le fait que l’IA soit complètement craquée et nous désosses en 2 secondes, faudrait pas se claquer un neurone en essayant d’adapter la difficulté. Alors les graphismes sont plus fins, mieux colorés, on peut ramasser des bonus en tout genre, mais à quoi bon ? On a à peine le temps d’en profiter qu’on est Game Over.

NUL

_________________

Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Tiens, pour KotM 2 aussi, SNK a "fait sa sauce" pour l'adaptation? D’où ça vient, cette idée? Y'a un jeu qui a tenté de suivre la version Neo?

King Salmon
Sage’s Creation/Vic Tokai - 1993



J’aime bien la pêche. Je vous l’ai peut-être déjà dit, parce que ce n’est pas le premier jeu de pêche que je teste, mais tant pis : j’aime bien. Mes parents ont un bassin, alimenté par la nappe et relié à un canal, et il y a des poissons : des gardons, des tanches, des perches, on a même eu un brochet. On y a mis des carpes, aussi, pour nettoyer les lentilles d’eau, mais elles se sont reproduites et n’ont eu plus assez de place, elles sont mortes. En même temps, je ne les regrette pas, elles nous ont cassé assez de lignes comme ça : on pêche à la mie de pain, et lorsque la météo est bonne, on fait un festival de fritures. C’est cool la pêche, quand ça mort, une succession de petits défis, d’échecs et de victoires sur ces imbéciles de poiscailles.

Dans King Salmon, on pêche le saumon. On choisit le bon spot (on bouge le bateau en tapotant A jusqu’à ce qu’on nous dise que c’est bon), le bon appât, le longueur et la profondeur de la ligne, et on attend. Super important la profondeur, trouver le bon fond, c’est 90% de la réussite de la pêche. Sauf pour les perches, elles on peut les pêcher à vue, mais attention, pas à la mie de pain, hein, à l’asticot. C’est ludique.

King Salmon aussi, c’est un peu ludique. On poste son bateau, on voit notre bonhomme avec sa canne, il faut ferrer en appuyant vers le haut, et le combat s’engage : on mouline avec C, pas trop, sinon on risque de décrocher ou de casser, mais suffisamment pour ne pas arriver à cours de fil. Parfois, un event arrive : le poisson zigzague, qu’est-ce que je fais ? Et il faut choisir entre trois possibilités, mais il y a un piège, car le même évènement n’entraîne pas toujours la même attitude, il faut sentir le poisson, réussir à le comprendre, à le piéger (ou utiliser les save states, parce que tout ça n’est quand même pas très subtil, on n’a même pas à manoeuvrer la ligne). A force, on le fatigue, on le ramène, et c’est la gloire et la fortune qui nous attendent sur le quai, en plus d’une progression de nos stats (force, etc). Jusqu’au prochain, jusqu’à ce qu’on attrape… le Roi des Saumons. Même si le jeu est super moche, c’est pas grave.

Ouais, j’aime bien la pêche.

PAS MAL

Klax
Tengen - 1990



Classique des consoles et micros, Klax est un puzzle game doté d’un principe tout bête : il faut aligner trois blocs de la même couleur horizontalement, verticalement ou en diagonale, blocs qui sont livrés par un tapis roulant et qu’on récolte et dépose avec un petit dispositif à bascule. Le jeu se compose d’une série de défis (nombre de Klaxs à réaliser, de points, etc), et on perd si se retrouve dans l’impossibilité de décharger un bloc (si on remplit la zone de déchargement) ou si on laisse choir trois blocs. Classique, mais très efficace, surtout grâce à une particularité du jeu : le tapis roulant.

Dans la plupart des puzzle games, accélérer la chute d’une pièce n’a pas d’incidence sur la vitesse des suivantes. Dans Klax, si on accélère le tapis roulant, cela affecte toutes les pièces, et n’a donc pas de répit entre deux blocs. Sachant que de toutes façons le rythme s’accélère de lui-même, on n’a de toutes façons pas le temps de chômer. De plus, le nombre de couleurs différentes à gérer augmente par paliers.

Klax est vraiment un excellent puzzle game, auquel je reprocherais juste, pour être pointilleuse, un léger (mais léger) manque de visibilté, car il faut parfois prendre un peu le temps de compter les blocs empilés pour faire ses diagonales, et c’est pas facile. Mais je sors d’une grippe, donc ceci explique peut-être cela. Donc Klax, c’est simple, mais ingénieux, et assez addictif, je valide.

TRES BIEN (mais la jaquette US est ho-rrible)

Kid Chameleon
Sega - 1992



Kid Chameleon. Si Sonic était censé rendre Mario obsolète, on imagine que le but de Kid Chameleon était de le battre sur son propre terrain avec ses 90 niveaux et sa longue durée de vie.

L’histoire : une nouvelle borde d’arcade arrive en ville, et tous les enfants du coin l’essaient, mais se retrouvent absorbés dans la borne. Le héros, Casey, entre alors volontairement afin de vaincre le méchant Heady Metal et libérer tout le monde.

L’élément central du gameplay est la possibilité pour Casey de se transformer en ramassant des casques : il y a au total 9 transformations, allant du samourai ou tank en passant par Jason de Vendredi XIII, chacun possèdent une capacité spéciale + un coup spécial qui utilise les joyaux rapportés pendant le jeu, en brisant des blocs avec le crâne (tiens donc). Le chevalier peut grimper aux murs, Jason balance des machettes, etc. Les stages sont courts, et leur sortie est marquée par un drapeau, mais des sorties alternatives via des téléporteurs existent. Le jeu ne comporte ni mots de passe, ni sauvegardes, ni cartes, ce qui le rend particulièrement difficile.

Ça, et le fait que le jeu est un festival de pics acérés, de puits de laves et de chutes dont les destination est inconnue. De plateformes qui disparaissent, puis réapparaissent, puis re-disparaissent, dans une espèce de cirque sadique.

Bon, je n’aime pas Kid Chameleon.

Je lui reconnais des qualités bien sûr : le coup des casques, par exemple, très bonne idée. Ils permettent d’aborder les niveaux de plusieurs façons différentes, surtout qu’on trouve parfois trois casques différents dans trois blocs contigus. Ah mais oui, c’est vrai, mais de carte, pas de sauvegarde, on ne peut pas recommencer un stage après l’avoir terminé, il faut le relancer pour ça. Dommage. Je trouve le jeu techniquement quelconque, mais il a quand même un peu de gueule, le style est minimaliste mais atypique, je ne déteste pas.Et puis tellement de niveaux, courts pour la plupart, mais assez intenses, variés dans leur level design, comme ceux au scrolling forcé…. avec des $ù^^$= de culs-de-sac impossibles à voir venir. Ou les niveaux au dessus de la lave, et leurs blocs qui apparaissent au dessus de votre tête quand vous sautez, vous plongeant dans le magma, et vous tuant sur le coup. Ou ceux avec des petites flèches qui détruisent la plateforme sur laquelle vous vous trouvez. Ou ces ennemis qui laissent des flammes derrières eux, que vous ne pouvez pas tuer en sautant sur eux, et donc qui vous condamnent, si vous n’êtes pas transformé, à vous blesser au moins une fois.

Evidemment, Kid Chameleon est tout à fait finissable. J’avais presque réussi, à une époque, avant de me retrouver coincée dans un trou. Parce que oui, il y a aussi des deadlocks, dans Kid Chameleon. Il est finissable, donc, mais en y jouant j’ai toujours été partagée entre ennui (sans fil conducteur ni boss, difficile de sentir qu’on progresse dans le jeu) et frustration (voir plus haut). Il me donne l’impression d’être un jeu de petit malin, conçu autant pour épater la galerie que pour enfoncer la tête du joueur dans le sable, et je n’aime pas ça. Il n’est pas mauvais, oh que non, comme je le dis, il a vraiment des qualités. Mais que voulez-vous : je le déteste.

Faites-en ce que vous voulez.
_________________

Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

C'est sorti en Occident ce truc ? Il faut en avoir pour oser sortir de par chez nous un titre pareil à l'époque !



C'est ton blog entier qu'il faudrait inscrire au write jam subjectif
_________________

Dans la vie, il y a 3 catégorie des personnes : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas compter. (Anonyme)

Aaahhh Kid Chameleon...ses multiples passages secrets, ses téléporteurs qui vous font autant avancer que revenir en arrière, voir sauter un stage particulièrement ardu (du genre poursuivi par un mur de pics^^), les transformations, l'ambiance underground qui s'en dégage, du pur Sega! C'est vrai qu'il ne plaira pas a tout le monde ne serait ce que pour son manque de password (mais pourquoi diantre un mode deux joueurs en alternance?), mais en connaissant bien le jeu, les vies et les continues s'amoncellent vite. Je le considère comme un classique de la Mega Drive!

Il est sorti au Japon et aux USA, mais pas en Europe.


J'ai plus de coups de gueule que de coups de cœur, c'est pas trop le genre de la maison
Et pourtant j'ai essayé, hein, de bonne foi. Mais je n'y peux rien, il me crispe ce jeu, je ne peux pas m'empêcher de voir la tronche sadique de Marc Cerny, avec ses cheveux-là, en train de rire sadiquement à chaque coup de pute que le jeu prodigue
_________________

Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Idem pour Kid Chameleon, le jeu me paraissait infinissable à l'époque: 3 heures pour arriver au premier boss (si, si il y en a. ), et au bout de 4 heures, bin... les parents reprenaient la télé, alors voilà

Plus tard, je me suis dit: mais pourquoi n'ont-ils pas intégrés une carte du monde à la Super Mario 3 ??!
... Je la voyais bien façon circuits-imprimés en plus !

J'aime beaucoup Kid Chameleon. Je comprends parfaitement les reproches sur le gameplay mais je trouve qu'il compense bien avec une belle ambiance.
J'adore les bestioles improbables qu'on peut y rencontrer, les noms des niveaux, les musiques et les effets sonores. Je sais pas pourquoi mais je trouve à ce jeu un charme tout particulier.

Bon ben je vais effacer ton grosblog de mes favoris ^^


Nan bon, je comprends aussi que l'on puisse ne pas aimer Kid Chameleon. Comme tu l'as dit dans ta description, le jeu fait criser à cause de ses pièges sadiques (je me souviens avoir bien insulté la maman de la Megadrive à cause des téléporteurs qui nous remettent quelques niveaux en arrière). Mais je trouve que c'est aussi ça qui fait son charme (non je suis pas maso pourtant ^^).
Puis comme l'a dit Bonaf, y'a quand même une ambiance qui marque.
Possesseur de Super Nes à l'époque, Kid Chameleon était l'un des jeux qui me faisait grave baver, avec les Streets Of Rage et les Ecco.

Il est vrai aussi que le jeu aurait pu proposer au moins ne serait-ce que des mots de passe. Tout faire d'une traite, c'est complètement impossible vu l'énorme durée de vie du jeu.


Sinon, comme l'a écrit Kollembole, si si y'a des boss. Peut-être que tu les as manqué en passant par des warp-zones.