Je viens de lire l'article, et effectivement, je suis content d'y avoir lu quelque chose de différent qu'une attaque ou qu'un "oui, mais" en gras, italique renforcé et souligné comme j'ai pu beaucoup le lire dans la presse spécialisée de l'époque. Il y a beaucoup de recul, ça fait du bien. Et ça m'a permis de me rappeler de pas mal de trucs au fur et à mesure (je l'ai acheté la semaine de la sortie et terminée dans le mois qui suit, quelque chose comme ça), et surtout de l'aspect "cool".

Y'a un aspect "cool" dans SMS (ouah, l'abréviation, hé ! je m'en étais jamais aperçu ) qui m'a beaucoup fait penser à SMW. Je sais pas si je suis le seul à m'en rappeler en passant, mais l'équipe d'Ultra Player avait fait un top 10 des jeux les plus zens de la Super Nes, et Super Mario World arrivait en huitième, quelque chose comme ça. Y'a cet aspect "j'ai la plume, je vole où je veux, je fais ce que je veux"/"j'ai la plume mais je me débrouille sans"... je me souviens, les niveaux de Forest of Illusion, je les faisais une première fois en volant, pour les finir, et j'y revenais sans la plume, pour me prouver quelque chose. Dans SMS, c'est la buse-turbo... j'ai dû passer une éternité à faire le tour de l'île et du village, des niveaux où la buse était accessible pour me prendre pour Sonic et foncer à toute allure, m'improviser des objectifs (atteindre tel point à toute allure etc.); et même, m'amuser à escalader sans l'aide de la buse catapulte, avec des rebonds, des triple sauts etc. SM64 était, mis à part dans les niveaux de Bowser bien trop horizontal pour se permettre ça, à part dans quelques zones étudiées (la grotte des 8 pièces rouges de l'île grand-petit, sous l'antre de Wiggler par exemple). Rien que cet aspect cool occupe. Et même une fois la quête des 120 shines achevés, on y revient je pense. Y'a un côté vacances, je trouve. On s'aère le cerveau, sans se prendre la tête. C'est ça que j'aime.

Je me souviens que le dernier shine récupéré, ça n'a jamais été que l'épreuve de la pastèque de la plage Gelato, et je suis content, Laurent, que tu y aies consacré une image... j'ai dû y passer des nuits entières. Impossible d'y arriver. Et puis un jour, faux mouvement, la pastèque roule du promontoire et s'arrête pile-poil devant le pont de bois menant à la cabane. La traversée du "petit pont de bois" a été la partie la plus longue de ma vie

En passant, je ne sais pas si ça a déjà été dit - je suis désolé, mais je ne me suis senti le courage ce soir que de lire la dernière page du sujet sur SMS indiqué en lien en fin d'article - mais je viens de m'apercevoir, peut-être que ce qui a pu décevoir, c'est l'idée qu'un Mario plate-forme sorte du principe "Mario seul au monde"... de mémoire, c'est le premier à avoir autant de PNJ. Il y a un aspect aventure, où on ne parle pas qu'aux papillons ou à deux Toads égarés dans des couloirs qui rend le jeu hybride... à vrai dire, un rien comme Metroid Prime 2: Echoes (et c'est un des reproches que j'avais fait au jeu, l'idée qu'en jouant on ne soit plus "seul au monde"). C'est peut-être cette idée de rapprochement, de rattachement avec un univers tangible qui aura surpris. Comme dit dans l'article, c'est plus ou moins le même environnement dans Mario. Même dans SMW, pour y revenir, ou Yoshi's Island qui sont censés se dérouler dans des domaines géographiquement proches ont des niveaux très éloignés graphiquement.

Comme quoi... peut-être un besoin de la part de Nintendo de rattacher Mario à un "univers" avec la popularité des Marios RPG etc., un monde où les lieux visités ne sont plus des abstractions tournant autour de thèmes précis, mais des parts reconnaissables d'un univers plus vaste, et donc plus nuancé dans ses constructions.

sans soluce c'est quand meme ardu d'avoir tous les shrines. Par contre je sais pas si c'est ma memoire qui me joue des tour ou quoi mais je me rapellai pas qu'on pouvait marcher sur l'eau avec la 3e buse... je pense que je l'ai jamais utilise. Pour le Yoshi et la mission avec les cordes je crois me rapeller avoir reussi. Faudrait que je le relance pour verifier.

SInon lolo puisqu'on est dans les challenge, je serai curieux de connaitre ton avis sur Mario64. Tu avais un oeil neuf sur sunshine et c'est pourquoi tu as reussi a ecrire un bon article sans parti pris.
La le but de ma demarche est pas d'ecrire un article sur m64, encore que, mais voir si comme je le soutiens sunshine est bien different de 64 tout en ameliorant les quelques aspect commun.
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Juste un mot pour féliciter Laurent et tous ses acolytes qui lui ont prêté main forte pour concocter (encore une fois) une critique très intéressante et détaillée de ce très controversé Mario Sunshine (pour ma part, malgré ses défauts, j'ai passé un agréable moment dans cet univers paradisiaque)

Koop, un membre qui poste rarement mais qui lit assidument grospix' depuis qques années appréciant la qualité de ses rédacteurs au dessus de la moyenne

Tu devrais lire ce topic :

http://www.grospixels.com/phpBB/viewtopic.php?topic=11288&forum=1&13

Du grand Lolo!!!
J'ai vraiment eu du plaisir à lire ton article Laurent. En plus, je me suis longtemps demandé si Sunshine valait le coup... Et je dois dire que ton article m'a filé envie d'y jouer.
Comme d'habitude, ta prose est efficace, et l'analyse est longue, mais se laisse lire sans soucis!
bravo!
(et vite, j'ai 30€ environ sur mon compte 2xmoinscher, je vais me dégoter sunshine et beach spikers)

Effectivement, un super article.
Pour tout dire, j'étais déjà tombé par hasard sur cet article en farfouillant avec le moteur de recherche, et je l'avais lu voila un moment : dans la foulée, j'ai même acheté Super Mario Sunshine à un copain qui n'y jouait plus.

Bref, de l'article efficace, documenté, réfléchi (comme toujours avec Laurent, ai-je envie de dire...) et surtout une super envie de trouver du temps pour m'y mettre. De grands espoirs dans ce jeu, étant donné que Mario 64 m'avait quelque peu décu.

Merci Laurent.

Pas mal du tout comme article, mais je trouve qu'il est trop détaillé et qu'il y bien souvent des détails inutiles qui le rend lourd à lire, pourquoi détaillé le nombre d'étoiles, de pièces bleues ,etc?

Il y a aussi pas mal de petits détails inutiles sur la jouabilité comme quand l'auteur explique qu'il faut sauter d'abord pour utiliser la buse qui propulse, c'est le genre de détails qu'on ressents en jouant et qu'il est plutôt lourd d'écrire et à lire ^^

Je trouve aussi très sévère la critique de Yoshi, j'ai adoré son petit côté hardcore, comme il meurt dés qu'il touche l'eau on a des passages bien hard et donc très satisfaisant quand on les réussis (je me rapelle d'un papillon bleue planqué dans l'île desert tout en bas de la place Delphino, ou l'étoile 8 du Port Ricco (enfin le niveau avec les grillage partout et les courses de poulpes, je me souvient plus du nom et j'ai la flemme de vérifier).

Enfin c'est vrai que tout le monde critique Yoshi, mais je trouve ca très bien de l'avoir rendu aussi fragile parcequ'il est bien plus puissant que Mario en fait, son jet d'acide est plus puissant et va plus loin que le jet d'eau classique, il saute plus haut, sa langue rend les combats plus facile aussi, sans compter qu'il est indispensable pour la quête des 100 pièces dnas la plupart des niveau (entre les papillons à gober, les ruches d'abeilles, et d'autres petites astuces pour avoir des pièces), il rend d'ailleurs ces quetes des 100 pièces bien plus interessantes et moins frustrantes que sans lui.

Voilà c'était mon petit avis sur Yoshi et sur l'article, je ne comprend pas non plus les critiques sur les camera, mais ca n'est pas vraiment dû à l'article, à partir du moment ou on a des zones ouvertes il faut des camera libre, et comme c'est un jeu de plateforme il faut des camera rigide par exemple pour placer sa camera sur le côté et avoir une bonne perspective de saut, si la camera bouge toute seule en plein saut : le saut est niqué. Il y a bien une solution, mettre la camera sur des rails dans les endroit tordu (par exemple dans l'espece de cascade pour grimper dans le fond du parc pinna, avec les grille et tout ou une camera qui suivrait bien le phare en tournant autour), enfin bref je la trouve pas moins bien que celle de Mario 64 ou d'aucun autre jeu de plateforme 3D. A partir du moment ou on a des niveaux ouverts, on peut pas faire mieux, une camera qui colle au cul c'est très bien dans Zelda, mais pour sauter dans tout les sens c'est pas le top.

J'ai bien aimé moi, ça va avec la côté "back to basics"/remontons les pendules à l'heure de l'article. Et puis contrairement à la plupart des critiques que j'ai lues de Shunshine, ça confirme bien qu'on a joué au même jeu.


Je suis assez d'accord, les missions hyper dures avec Yoshi arrivent à la fin, ce sont des missions faites pour les fous qui aiment les chutes mortelles, donc si ça crispe, on n'y joue pas. Moi je les ai trouvé intéressantes.

Je ne comprendrai jamais pourquoi autant de gens ne saisissent pas le concept de mission facultative. C'est comme la fameuse critique des pièces bleues.

Une autre chose aussi est que pour Nintendo, Yoshi est juste un outils de gameplay, pas une valeur sentimentale. Comme il n'était pas logique de l'utiliser avec une buse et comme on le voit mal nager, leurs choix sont devenus logiques : il allait servir aux mission hardcore.

Suis-je le seul à avoir trouvé la mission 8 du port Ricco relativement simple?

Sinon je suis plutôt d'accord avec Simbabbad et Agent069 au sujet de Yoshi. Les missions avec Yoshi m'ont plutôt amusé en fin de compte. Comme l'a souligné Laurent, le diriger est un véritable plaisir. J'ai bien aimé la mission 8 du port où il fallait transformer des ennemis en plates-formes: c'était plutôt original. Certaines missions avec Yoshi sont plutôt simples (Parc Pinna, village et Hôtel Delphino), mais comme par hasard elles sont obligatoires. En revanches, les autres missions sont plus dures, mais heureusement elles sont facultatives: c'est un peu comme le passage avec les scies sauteuses dans Super Mario World . Le terme "facultatif", comme chacun sait, sous-entend le fait que nous ne sommes pas obligés de les faire. Yoshi est donc destiné à ceux qui aiment le défi. Encore une fois, obtenir cent-vingt soleils n'est pas censé être facile: il faut se donner de la peine pour les avoir (Laurent l'a plus ou moins dit).

Il y a juste une chose que je reproche au sujet de Yoshi. Je ne sais pas si vous l'avez remarqué, mais ils lui ont changé son cri. Le "wipon" s'est transformé en "yahou" qui me fait penser à un gargouillis de bébé. Beurk! Enfin, c'est juste un détail sentimental!

Un très bon travail: J'aime quand on décortique autant un jeu qui de prime abord peut être resumé en quelques lignes, c'était très intéressant (notamment les anecdotes sur Miyamoto, le projet initial...)

Il y a certainement beaucoup plus à dire sur l'évolution du projet, mais je n'ai pas trouvé de documentation fiable.

Concernant Yoshi, j'insiste bien (au cas où çe ne serait pas clair dans l'article) sur le fait que seule ses morts à répétition le rendent gonflant. Sans ça, il ajouterait à mes yeux de nombreuses heures excellentes à l'expérience que représente le jeu.

Et pour la longueur de l'article : je suis conscient que c'est long, mais je ne sais pas travailler autrement. Et puis même si on connaît déjà tous ces détails, il est toujours bon de les mettre à plat pour constater que le jeu est très riche malgré le faible nombre de niveaux et leur petite taille (défauts souvent soulignés par ses détracteurs). Et encore, on peut voir dans ce topic que je suis loin d'avoir tout dit.

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(Mauvaise manip, j'ai posté sans le vouloir....)

(Trouve quelque chose à dire Jika, vite !)

Euh... J'aime beaucoup ce que tu fais Laurent...

[part en courant]

C'est fou ce que les Grospixelliens courent pour le moment...
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Dans la vie, il y a 3 catégorie des personnes : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas compter. (Anonyme)

J'ai repris ma partie et décidément j'adore ce jeu. La cohérence (et pourtant le jeu est varié !) et le charme de l'univers, le dépaysement, les action stages, le dosage du challenge qui permet quasiment tout le temps de choisir si l'on a envie de se coltiner un niveau difficile ou de progresser tranquillement...

Je ne dis pas que je me ferai les 120 soleils (j'ai déjà repéré certaines missions qui me gonflent un peu) mais c'est vraiment le genre de jeu que j'aime aborder avec un esprit d'investissement total - bien calé dans son canapé avec un sourire aux lèvres et l'idée qu'on va se faire une bonne session bien remplie. D'ailleurs, j'en suis à 65 soleils et pourtant je suis encore un peu loin de pouvoir simplement finir le jeu car j'ai fait pas mal de missions facultatives et je ne fais que débuter sur la plage Sirena et le village Pianta.

Bon bien sûr il y a quelques passages crispants, et à la limite je pourrais comprendre certains reproches qu'on fait à Super Mario Sunshine en stricts termes de gameplay (j'évacue d'entrée les aspects relatifs à l'univers et au design du jeu, je n'ai pas envie d'entendre des trucs du genre "un Mario digne de ce nom ne doit pas avoir de jet pack dans le dos", "il doit y avoir plein de goombas et de koopas sinon ce n'est pas un Mario", "il est obligatoire que ce soit géométrique avec des cubes partout, mon dieu virez-moi ces PNJ", etc...).
Il y a en effet une accumulation d'exigeances sur certaines missions, un problème de dosage qui sent le truc pas assez réfléchi (pourquoi perdre une vie, ressortir du niveau, se retaper le trajet avant de pouvoir enfin retenter sa chance si on échoue à exploser les 20 ballons sur les montagnes russes, où à battre il Piantissimo sur une course de vitesse ? Pourquoi devoir se retaper un truc aussi fastidieux sur la mission 8 de Porto Ricco à chaque saut manqué - je reviens à la nage, je dois récupérer le bon fruit après parfois de nombreux essais...). Mais franchement n'a-t-on pas connu ça avec SM64 ou SMW ? Que peut-on reprocher à Sunshine qu'on ne reprocherait pas à ses prédécesseurs ?

Sous réserve de finir le jeu (le chiffre avancé dans l'article me semble correct : je vais commencer par me fixer un objectif d'une centaine de soleils), je continue à penser que le principal "tort" de ce jeu est d'être un Mario, et donc de permettre à certains fans de crier au scandale. Sinon la controverse dont il a fait l'objet, et en conséquence le fait que Miyamoto l'a plus ou moins renié (car je pense que c'en est une conséquence) seraient limite incompréhensibles. On en ferait plus volontiers un jeu culte s'il ne s'appelait pas Mario : aucun risque de froisser certains fans et possibilité plus grande d'attirer les autres (l'article de Laurent en témoigne).

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Plus prosaïquement, je galère avec la mission 8 du Parc Pinna ^^ les ballons roses à exploser, donc. Est-ce que ça a été le cas pour vous et quelqu'un a-t-il une bonne technique ?

edit : gniii, fautes de frappe

La première fois j'ai réussi avec un ami lorsqu'on s'est acharné sur ce niveau assez longtemps. Mais ensuite j'ai recommencé le jeu depuis le début (je préfère recommencer le jeu après l'avoir fini plustôt que de m'emmerder à chercher les derniers soleils qu'il me manque) et, alors que tout le reste du jeu avait été une promenade de santé, je suis resté coincé là. Et j'ai la flemme de m'acharner dessus pour le réussir.

Sinon, non il n'y a pas de tehnique particulière je crois, il faut le refaire plein de fois jusqu'à le conaitre presque par coeur, c'est assez chiant.
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je me rapelle pas m'etre fait vraiment chier. J'ai du le refaire 1 a 2 fois ce passage mais je me rapele pas avoir perdu de vie oO

Enfin c'est loin tout ca. C'est largement faisaible d'eclater les ballons faut tirer dessus de tres loin et pas que quand t'es en fasse
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Lorsque tu échoues, tu perds une vie. Reste la possibilité de ressortir du niveau via le menu pause quand tu vois que tu n'y arrives pas, mais dans tous les cas je ne comprends pas ils n'ont pas laissé au joueur la possibilité de recommencer à volonté en cas d'échec.

Bon, j'ai fini le jeu, et j'ai récupéré quelques soleils encore après, j'en suis à 95. Je me suis rendu compte très tardivement que tous les action stages avaient un soleil supplémentaire, lorsqu'on y retourne, à base de pièces rouges à récupérer en temps limité. Si j'avais su, j'en aurais essayé un de temps en temps pour varier un peu.Là, je n'en ai fait que deux et ceux que j'ai essayés sont super durs.

En tous cas un grand jeu, c'est clair.
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"Et quand ils devenaient mécontents […] cela ne menait à rien, car sans idées générales, ils ne se focalisaient que sur des contrariétés insignifiantes. Les plus grands maux échappaient invariablement à leur attention." G. Orwell

J'ai continué un peu, j'en suis à 103 soleils, dont certains trouvés après avoir consulté GameFAQs, et je ne vois vraiment pas comment j'aurais pu les trouver autrement pour certains (comme celui qui est caché sous le sable de la plage de la place Delphino... aucun indice ne permet de deviner qu'il y a quelque chose ici).

J'ai fait un peu le point et en principe je sais où sont les différents soleils qui me manquent, donc je me demandais à quoi tu faisais référence, Laurent, avec soleil "astucieusement caché quelque part" ?
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"Et quand ils devenaient mécontents […] cela ne menait à rien, car sans idées générales, ils ne se focalisaient que sur des contrariétés insignifiantes. Les plus grands maux échappaient invariablement à leur attention." G. Orwell

Tu as fini le jeu? Alors as-tu parlé à un certain pianta qui se trouve près d'un bateau en ville?
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"Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt." Proverbe chinois

Oui, on revient à l'aéroport et là on peut récupérer un soleil à pièces rouges. C'est de ça que tu voulais parler Laurent ?

On peut aussi y récupérer plus de 100 pièces jaunes, mais à ma grande surprise je n'ai eu qu'un soleil "transparent", comme si je l'avais déjà eu. J'ai lu ensuite dans une FAQ que ce soleil était le même que celui qu'on obtient en récupérant 100 pièces sur la place Delphino, chose que j'avais faite très tôt dans ma partie. C'est un peu dommage.
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