Le Souhait d'Ishar à changé de nom pour devenir Les Enfants de l'Empreinte... ce qui m'a fait modifier l'avant propos.

En revanche, le premier tome, Le Chemin des Eldaras, devait être terminé le mois prochain. Hélas, la nature humaine à fait en sorte que mon couple prenne fin. Raison de plus pour parler de l'homophobie dans Denaris II.

Le facteur moral ayant effectué une chute libre, il y aura un vilain délai pour Denaris I.

Ce qui m'a toutefois remonté le moral : en vue d'un petit exposé personnel à faire en Anglais pour la formation, j'ai parlé de Denaris I. Toute la section m'a fortement applaudit... ca fait strange. Un peu comme vos encouragements, mais cette fois ci en "réel".

Ce n'est pas que je veux me répêter, mais merci pour votre soutient.

Voilà, c'était le résumé des news de Juin.
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Update !

Denaris I : Le Chemin des Eldaras est théoriquement terminé. Je viens à peine d'avoir un sursaut qui va améliorer la relation entre Luther et Inada (rajoutant deux phrases tout au plus, améliorant sacrément la crédibilité d'Inada vis à vis de ce qu'il a subit dans son passé) et d'une autre qui va supprimer un morceau de nanardise lors d'un combat (d'ailleurs, ces derniers ont été drastriquement supprimés, il n'en reste que... euh quatre ou cinq sur neuf). Je me suis rendu à l'évidence que bien qu'Héroic Fantasy, les combats peuvent parfois ringardiser tout un bouquin.

Je m'en suis rendu compte en lisant Le Chevalier Dragon (dont j'ai perdu le nom), où les combats sont très courts et très bien rendus, où les dialogues priment, où les sentiments et les révélations fusent. Dans Le Crépuscule des Elfes également. Et enfin, dans Métamorphoses, une excellente histoire écrite par un pote... qui ne veut pas la publier hélas. Selon son avis, je publierais le lien vers le site où il l'écrit.

Denaris I n'a pas été raccourci pour autant, bien au contraire, il à pris du volume. C'est un chapitre qui s'est rajouté.

Alors que j'ai repris le travail sur le second tome intitulé : Les Enfants de l'Empreinte, j'ai réalisé le fossé qu'il y avait sur mon talent en écriture entre le premier et le second tome. Si je m'en sentais capable, je recommencerais le premier tome à 100% pour l'enrichir en vocabulaire, améliorer la description, bref que ca ait plus de geule. Puis finalement je me suis dit que je risquais surtout de tout flinguer.

Alors Denaris sortira tel qu'il est : ma vraie seule fierté, qu'il se ramasse ou qu'il se vende, parvenir à l'écrire jusqu'au bout sera ma fierté.
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Pour ma part je trouve cette entrée en matière alléchante et il me tarde de voir la suite.
Cela dit j'ai juste une petite question:
Puisque tu as crée tout un univers, pourquoi avoir emprunté des races du "folklore classique "? Quitte a créer un monde autant créer des êtres sécifiques a ton univers, tu ne crois pas?


A part ça, je te souhaite bonne chance pour écrire la suite de ton roman, et n'hésite pas a nous en faire profiter!!

@Eowyn :
J'en suis bien conscient, néanmoins, à la façon de Harry Potter, il existe aussi des races déjà utilisées... qui sont sous un aspect qui n'a rien à voir avec le reste ! Les Elfes pour ne citer qu'eux. Même si dans Denaris, un Nain est un Nain, tant qu'on sort du carcan "Elfe Vs Nain = Guerre, Orcs = Moches = Méchants, Dragons = Peur = Méchant..." bien entendu ca ne s'applique carrément pas à tout les livres d'Héroic Fantasy, preuve en est justement de Le Chevalier Dragon, mais aussi de bien des livres Les Royaumes Oubliés, probablement la plus grosse saga que j'ai jamais vu -à ma connaissance-.

@Markadet :
Sauf tout le respect que je te dois, ton smiley ne m'inspire que l'indifférence. Ne m'en veux pas et je suis sur que ce n'est pas une habitude chez toi, mais je l'ai en horreur ce smiley, utilisé à outrance sur GameFan par des personnes d'aussi mauvaise foi que moi il y a deux ans, voir pire, par des trolls...

Néanmoins je vais quand même interpreter ton smiley vis à vis de ce que tu as quoté.

Pourquoi ne pas avoir suivit ton conseil ma foi fort sympathique ? Parce que l'histoire de Denaris est bien trop grande, pour ne pas dire immense pour que je la laisse de côté. D'autant plus qu'elle s'étends sur une autre histoire que je n'avais pas commencé (Grantz & Megid (c)). Quand au fait que j'ai amélioré mon écriture, le saut entre les deux tomes est déjà bien moins flagrant depuis que j'ai terminé pour de bon le premier tome.

EDIT :
Le fait est que je ne peux pas imaginer une dizaine/vingtaine de nouvelles comme ça, et en faire des histoire qui tiennent trente pages maximum, sans que l'on ait le temps de s'attacher aux personnages, sans qu'on ait eu le temps de raconter beaucoup de chose... le vite fait bien fait forcé, j'ai ça en horreur... et pourtant j'aime bien les recueils de nouvelles.

J'avais prévu de faire Denaris en trois parties, mais finalement ce sera deux. Le nombre de tomes serait entre 7 et 10. Je ne peux pas abandonner Denaris, cela fait déjà trois ans que l'aventure a débutée... que je cogite la nuit pour tenter de résoudre un passage qui me déplait... et lorsque j'y parviens, j'arrive à faire des bonds de géant (et une nuit blanche par la même occasion). Je suis peut être maso mais j'adore cette sensation.

Quoiqu'il en soit, merci pour tes messages Markadet , ça me montre que tu y portes un interet.

De rien. C'est juste que ça me fait un peu mal de te voir te démener autant alors que - chez les amateurs et semi-pros qui font de la BD - l'idée de "la saga prévue pour durer 12 tomes" est bien connue comme le principal écueil des débutants qui sont encore un peu naïfs et qui ont les yeux qui brillent. C'est même un truc qui fait ricaner (ou qui atterre, c'est selon) les pros ou ceux qui ont au moins réussi à publier quelque chose...

Franchement, je ne vois que des avantages à commencer par une ou plusieurs nouvelles : tu peux te roder, découvrir ce qui te pose difficulté dans la construction d'un récit, ne pas te faire chier avec tes avertissements au copyright et autre paranoïa et essayer de diffuser au maximum cette nouvelle pour vraiment te rendre compte de ce qui plait et déplait hez le plus de personne possible (et pas seulement aux personnes que tu connais et à qui tu as fait lire ton texte).

D'ailleur diffuser une nouvelle à un public le plus large posible te permettrait d'éviter un autre écueil du débutant : le syndrome "ma mère adore ce que je fais" (tout le monde, en montrant ses travaux à ses parents et ses amis, aura toujours des avis positifs et flatteurs, quelle que soit la qualité, ou l'absence de qualité, du travail en question. C'est logique considérant que tes parents et amis n'y connaissent rien, et t'aiment - ce qui fausse leur jugement).

Voila pourquoi je t'encourage fortement à commencer par une histoire courte, qui si elle te plait te servira de "carte de visite" et aura un impact bien supérieur aux extraits que tu as passé. Accessoirement ça te permettrait de développer un détail de ton uniers si vraiment tu n'envisage pas d'écrire sur autre chose. Je me suis permis de m'auto-quoter car ce que je t'avais dit à l'époque me paraissait de la plus haute évidence et de la plus haute urgence, et tu l'as superbement ignoré.

Je suis entièrement d'accord avec toi à 700%. Le fait est que je suis déjà passé par toutes les cases, autant celle du "Ma mère adore ce que j'écris" que par "l'imprimeur m'a dit que JK Rowling n'avait qu'a bien se tenir" -véridique, c'était en début Aout 2005 vis à vis du premier tome, c'est là que j'ai réalisé que j'allais faire une MEGA connerie si je laissais mes parents se laisser manipuler par l'imprimeur...-, je suis également passé par la case désillusion et chute depuis une tour nommée "Folie de mes grandeurs", Grantz & Megid en fut le pire exemple, mais également The Quark ou encore TLS -tout premier essai, mort né-.

Malgré tout je suis assez rodé. Ca fera autant crédible que possible, mais je n'ai pas la prétention de vouloir renverser tout le monde. Mon but premier, c'est de raconter l'histoire de Luther et Inada, à la recherche du passé et de la signification de Denaris.

J'ai déjà tenté de laisser une histoire de coté pour écrire une nouvelle... et cette nouvelle est devenue énorme, jusqu'a s'apeller Denaris... je suis incapable de faire de petites histoires, et pourtant, je suis entièrement d'accord avec tout ce que tu as décrit.

Toutefois je suis prudent, la folie des grandeurs, non seulement j'ai déjà gouté, mais un de mes meilleurs potes aussi qui voulait ouvrir un magasin de JV. Pour tout te dire, le jour où je lui ait fait comprendre que sans argent ni tête sur les épaules on y arriverai jamais, Envoyé Spécial passait le reportage d'un type qui voulait réaliser un film à mi chemin entre Gladiator et Gangs of New York... je nous ait vu, mon pote et moi, en ce type... surtout lorsque tout s'est écroulé.

Ca fait mal, très mal.
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News de Denaris :

Incroyable mais VRAI, le premier tome est définitivement bouclé. Le second tome à enfin réussi à sortir de l'impasse dans laquelle il se trouvait (impossible de trouver le fil conducteur entre le début et la fin du tome... l'inspiration était aux abonnés absents).

J'écris en parallèle une encyclopédie qui regroupe tout ce que j'ai imaginé pour Denaris et Grantz & Megid, l'histoire qui précède Denaris et que je n'ai jamais terminé. Non seulement ça me sert de rappel, mais aussi d'écrire des détails sans spoilers, que je pourrais certainement divulguer ça et là (je ne suis pas très doué pour faire un résumé, mais avec mon "Le petit Denaris non-illustré", je m'améliore).

Bien sur, il n'y aura absolument pas besoin de l'encyclopédie pour comprendre les liens entre mes deux histoires, puisque je me charge de le faire dans Denaris même.

"Denaris I : Le Chemin des Eldaras" est terminé, j'appréhende beaucoup les futurs avis que l'on pourra me faire. Surtout si on me dit qu'il aurait pu être plus long. Quand on va voir la taille du deuxième tome, qui risque de faire plus du double...

"Denaris II : Les Enfants de l'Empreinte", est déjà mon tome favori, l'histoire me prend un temps dingue, je l'ai déjà recommencé sept fois, mais là ça y est, j'ai enfin tout ce qu'il me faut pour avancer en mode croisière. L'inconvénient, comme cité plus haut, c'est que coté contenu, ca risque d'être largement plus long, à un point qui m'inquiète par rapport à ce que j'ai fourni pour le premier tome.

"Denaris III : La Rédemption du Père", va me demander beaucoup de temps également. Tout comme le second tome, je ne commencerais à travailler dessus que lorsque j'aurais écrit "Fin du Second Tome", sinon je risque de tout foutre en l'air (c'est un peu ce qui est arrivé à Grantz & Megid). Le titre du Tome pourrait changer, car on risque de me dire "ben "Le Père", c'est évident comme truc. Seulement... non, c'est loin de l'être ! Evidemment, rien n'est encore joué pour ce tome là.

Ensuite, et bien je n'arrive pas à imaginer l'histoire plus courte que je l'ai pensé. Denaris fera bel et bien plus de quatre tomes, et si je m'en sors bien, ce ne sera qu'une première partie. La seconde contera l'histoire de deux autres personnages qui sont très liés à Luther et Inada. Tellement que je suis presque obligé de centrer la seconde partie sur ces personnages.

J'espère arriver déjà jusqu'au quatrième tome, je ne sais pourquoi, mais j'ai réellement envie d'avancer. Plus dure sera la chute ? Pas si sur, si on reste par terre.
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News de Denaris :
Bon, un site web sur Denaris va probablement ouvrir ses portes, je suis en train de voir ce que je pourrais dire dessus, mes inspirations, ma motivation. Ce qui me bloque le plus, c'est le manque d'illustrations... je ne suis pas un dessinateur, et je n'ai pas l'intention d'aller sur deviantArt pour faire la manche... -d'autant plus que pour trouver une pic qui illustrerait Inada, l'un des personnages Black, c'est pas gagné : l'Héroic Fantasy ne connait pas les Africains, ou alors sous la forme d'un peuple oppressé incapable de se défendre jusqu'a la venue du Héros blanc- --j'exagère presque--.

Enfin voilà, quoiqu'il arrive, le site est en lancement. Je me concentre largement plus sur Les Enfants de l'Empreinte quoiqu'il arrive, car j'ai encore une tonne de boulot en ce qui le concerne.
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En héros noir tu peux peut etre chercher du coté de Pagan un héros du "Roi sur le seuil" du regrétté David Gemmel (en recherchant le nom de ce personnage je viens d'apprendre qu'il est mort ).

Par contre je ne sait pas si il corresponds, étant donné que dans le livre c'est plutôt quand meme un grand bourrin.

@hardballer :
Merci bien ! Je m'y penche dès que possible. La Compagnie des Glaces aussi pourrait m'aider tiens.
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J'espère que les Modéros, et je pense surtout au Grand Soviet, m'excuserons d'avoir limite floodé ce topic en ajoutant des posts plutôt qu'en les éditant, mais c'était le seul moyen pour moi ce soir, de vous faire parvenir deux courts extraits du premier tome, que j'ai choisi alors que passais "[Pan's Labyrinth #20] A Princess" dans ma playlist.

EDIT :
C'est dingue, je trouve encore des erreurs ! J'enlève donc ce morceau ma foi pas assez travaillé.

Extrait du Chapitre 4 : Sombres souvenirs

- Que voulez vous dire ? demanda Luther qui commençait à en avoir plus qu’assez d’entendre tout le monde s’exprimer par énigme.
- Nous voudrions que tu ne retournes plus jamais dans cette église, avec ou sans Lucia. Autre chose, poursuivit Monsieur Daloan sur un ton beaucoup plus grave, peux tu oublier Denaris ?
Luther observa le front de Monsieur Daloan : il transpirait abondamment. Pire encore, il semblait apeuré.
- Cela nous rapp… énerve énormément. Oui, cela nous rappelle quand le village a été attaqué, à la fin de la guerre. Oui… oui, ça… ça vaudra mieux pour toi… enfin…
- Nous voudrions que tu cesses de vivre dans le passé Luther, termina Mme Daloan d’une voix douce et bien plus assurée. Cela nous fait souffrir et ton grand-père aussi le supporte mal. L’épreuve que vous venez de subir, toi et Lucia va te changer quelque peu : oublie ces horreurs, et tu verras que tu te sentiras mieux.
Luther était abasourdi : on lui rabâchait encore d’oublier le mot Denaris. C’était comme lui demander d’oublier sa mère, car il s’agissait de la seule image qu’il gardait d’elle dans ses souvenirs. Maaline Grogden était morte après avoir prononcée ce mot, traumatisant Luther au point qu’il ne garde d’elle qu’un visage magnifique, noyé par le sang. Il ne pouvait nier qu’il souffrait lui-même du mystère, qui entourait le massacre d'une centaine d'adultes dont ses parents. Mais l’attitude étrange des époux Daloan, ne pouvait l’inciter à s’arrêter si brutalement dans ses recherches.
- C’est d’accord, mentit Luther. Euh, excusez moi, mais pourrais-je voir Lucia ?
- Elle a besoin de repos Luther, dit Mme Daloan, excuses nous, mais il vaudrait mieux que tu rentres chez toi, ton grand-père t’attend.
Luther sentit sa gorge se serrer : la correction promettait d’être lourde.
- Nous préviendrons Lucia que tu es passé chez nous pour prendre de ses nouvelles, et que tu t’es excusé, dit Monsieur Daloan.
Finalement, Luther acquiesça, et se leva. Il salua les Daloan, et prit la direction de sa maison, tout en repensant à leur réaction au sujet de Denaris. Il préférait penser à cela plutôt qu’à son grand-père… mais il ne pouvait éviter de rentrer cher lui. Lorsqu’il ouvrit la porte, Dilané était juste derrière.
- Tu es en retard mon garçon, grogna t’il.
Il avait retiré son armure mais tenait toujours son énorme hache dans sa main gauche.
« Qu'est ce qu'il fait avec son arme à la main, dans la maison ? Il à peur qu'on l'agresse ? Dire qu’il aurait pu me blesser gravement hier soir... »
- Grand-père, je…
- Je suis désolé Luther, trancha Dilané. Rentre, j’ai préparé une soupe, et c’est meilleur chaud, ajouta t-il avec un sourire aimable.
« Mais qu’est ce qu’ils ont tous aujourd’hui ? »


Voilà, il n'y a pas vraiment de spoilers dans cet extrait, plutôt une courte présentation de Luther, et surtout de sa quête vis à vis de "Denaris". Le grand père de Luther est un personnage que j'aime beaucoup, étant donné que je n'ai jamais connu mon grand père -paternel comme maternel-, j'ai pris soin de travailler Dilané, qui verra son rôle monter en importance au fil des tomes. Très lunatique, tout comme son petit fils, Dilané cache une longue vie parsemée de conflits, de combats incessants, et de sacrifices aussi. C'est le premier personnage qui m'a fait venir les larmes, étant donné ce que je lui réserve, et aussi son comportement vis à vis de Luther. Dilané est devenu sans que je le réalise tout de suite, l'un des personnages principaux de Denaris, aux cotés de Luther, Inada, Lucia et Miraok, que je vous ferais probablement bientôt découvrir.

Le problème est que lire un bout de dialogue comme ça n'évoque rien du tout.

Tu dis qu'il n'y a pas de spoilers... Il aurait peut être été mieux d'en mettre, car là je peux t'assurer que tu n'éveilleras jamais une once d'intérêt pour qui que ce soit avec un truc aussi neutre. Tout juste sait-on que tu écris correctement (syntaxe et style), mais c'est loin d'être suffisant pour être intéressant.

Mon avis : puisque tu ne veux pas faire de nouvelle qui te permettrait de présenter ton univers sans "lâcher le morceau" (c-à-d donner à lire tout le bouquin), je crois que tu devrais déposer ton texte (je l'ai fait pour un projet de BD, ça coute quelque chose comme 8 euros) et balancer les 3 ou 4 premiers chapitres sur ce topic. En attendant je doute que tu puisses avoir des avis constructifs, tant que ceux à qui tu présentes à distance ton travail n'ont strictement rien à se mettre sous la dent.

Bon courage pour la suite.

PS : attention à l'ortho, y'a des ptites fautes par ci, par là.

Merci pour tes réponses très constructives Markadet, ca m'aide bien. Vis à vis des fautes, je m'en suis aperçu lorsque j'ai relu le post que j'ai déjà édité plusieurs fois. La chasse aux fautes est un travail titanesque... surtout quand tu retapes tout un passage et que tu crées encore plus de fautes.

En effet, à bien y réfléchir, ce morceau ne raconte pas grand chose. J'hésite simplement à mettre un passage long, peut être que j'appréhende vraiment le résultat... pourtant c'est que je recherche ! Acerbe, acides, constructives, positives, cool, j'attends tout et je redoute tout !

Enfin voilà, je me renseigne actuellement pour imprimer au moins quelques exemplaires du premier tome, je n'ai quasiement plus rien à revoir, si ce n'est les fautes. J'aurais au moins des manuscrits. Coté droits d'auteurs, tout baigne pour l'instant.

Coté faire une nouvelle, je suis définitivement bloqué : tout ce que j'imagine rejoins d'une manière où d'une autre Denaris, je reviens toujours au même point, que ce soit dans les tomes actuels ou dans la future -ou plutôt éventuelle- seconde partie... c'est presque une obsession... à croire que le mot Denaris m'obsède autant que mon personnage...

Quoiqu'il en soit, j'y pense. Merci encore pour ta réponse Markadet ! Des news bientôt !
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Ce que tu peux tenter avant le grand roman, c'est de travailler des parties conçues comme des nouvelles. Des petites histoires qui se ferment sur elles-mêmes mais prennent tout leur sens dans le cadre de la grande histoire. Comme le parcours de personnages très secondaires ou des situations quotidiennes de personnes qui ne font que subir les événements qui les dépassent. Ca permet d'écrire pour se former la main tout en travaillant son univers.
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Dans la vie, il y a 3 catégorie des personnes : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas compter. (Anonyme)

Bien d'accord avec Thezis, c'est un peu ce que je disais plus haut :



A vrai dire en écrivant ça je pensais à certains chapitres spéciaux du Monde du Fleuve qui sont indépendants du reste, et qui racontent l'histoire d'un ou plusieurs persos qui ne sont pas tellement mis en avant dans la trame principale.

@Markadet :
Ca me fait penser à certains passages de "Le Fléau" de Stephen King, qui montre la déchéance de citoyens lambda, qui survivent au massacre, mais qui finissent d'une manière où d'une autre par mourir, tués par la connerie humaine.
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Sans m'en rendre compte, j'ai fait d'un des personnages principaux de Denaris, la copie quasi conforme d'une personne de mon entourage. Je m'en suis rendu compte ce matin : c'est comme si, inconsciemment, j'avais décidé de raconter la vie de cette personne, via un avatar dans Denaris.

Je voulais créer un background assez sombre pour ce personnage, et en me relisant, j'ai réalisé que ce n'était pas seulement un des héros de Denaris. C'est aussi cette personne.

Ca fait un choc.
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En tout cas, je trouve ça admirable que tu ne te décourages pas. J'imagine que plein de gens t'ont déjà conseillé (comme plusieurs l'ont fait sur GP, et j'aurais très bien pu le faire aussi) de commencer par un projet plus "modeste" ou accessible... Et bien tu écris depuis Août 2003 et tu nous fais part régulièrement de tes avancées sur le projet. Moi je dis : bravo, et continue !

EDIT : J'ai oublié de finir ma phrase
Merci beaucoup à vous !