Depuis que j'ai tapé mon post sur Chuck Rock il y a une semaine je n'ai pu y rejouer que deux fois, dont une que je viens d'arrêter à l'instant.
Je suis moi aussi arrivé dans les cavernes.

Le jeu me plaît vraiment beaucoup. L'univers est très agréable et le level design semble évoluer au fil des mondes. Le niveau des cavernes est par exemple bien plus vertical que le premier monde.
Mais le jeu souffre tout de même de défauts gênants.
J'allais faire la même remarque que toi concernant le boss tricératops, pas vraiment passionnant.
Mais il y a surtout, et c'est plus énervant, que la jouabilité manque un peu trop de précision. Rien de rhédibitoire, mais suffisemment pour l'on perde régulièrement une vie à coause d'une collision approximative ou que l'on se fasse toucher par un rocher ou un ennemi que l'on ne peut en aucun cas éviter.
Du coup j'ai trouvé le jeu TRES sévère. Tu as peut-être un tutau, mais moi je pars avec trois vies, et pas moyen d'en gagner une supplémentaire. J'ai scoré pour passer les 100000 points, rien. Je ne peux pas m'imaginer que le jeu demande à être terminé avec le crédit alloué au départ!
J'ai cherché des tips sur le net, il y en a pour la version Amiga, mais comme ils demandent d'être entrés au clavier, c'est mort pour la version CD32. Pourtant je suis sûr que ça marcherait.

Ceci dit ça expliquerait la petite phrase au game over, indiquant "your highest score today is..."

Chuck Rock, un pur défi arcade?

Semaine 10

ToeJam & Earl, paru en 1991 sur Megadrive, développé et édité par Sega





ToeJam et Earl voyageaient dans l'espace dans leur vaisseau super funky, quand Earl a décidé de faire le con au milieu d'un champ d'astéroïdes. Bien sûr, accident, et ils se retrouvent sur une planète complètement cinglée, la Terre, à devoir récupérer les neuf parties de leut astronef.

Bon je viens juste de commencer ma partie, mais je crois que je vais écrire au fur et à mesure ce que je vois dans ce jeu, auquel je ne comprends, mais alors, rien. C'est ça les joies de l'émulation sans aucun manuel.
J'incarne ToeJam, on débute sur une île, vue de 3/4, A sert d'action contestuelle, B à appeler le menu et C à afficher la carte qui se dévoile au fur et à mesure de notre progression.


Il était environ 15h30 quand j'ai commencé à jouer, après avoir regardé l'intro super sympa. On dirait le générique de Sauvés par le gong!
Une île perdue au milieu de l'océan, avec une cabine d'ascenseur au milieu. Soit, j'incarne bien un extra-terrestre tripode avec une chaîne en or et une casquette à l'envers.
J'y monte, la cabine décolle dans une animation toute droit tirée de la série citée plus haut, pleine de couleurs changeantes et pétantes, avec des petits carrés, des petits triangles et des petites spirales.

J'arrive sur une "île" verdoyante flottant dans l'espace. L'état de ToeJam est indiqué par une phrase en argot US que je ne comprends pas. Avant j'éais un "wiener", maintenant il est écrit "ToeJam is a dufus". Certes.

15h40
Lîle est peuplée de diablotins ventripotants qui me poursuivent avec leurs fourches, quand ils toucchent TJ il crie ouch! En passant j'ai trouvé la première pièce du vaisseau.
Dans mon inventaire j'ai des paquets cadeaux, je peux soit les jeter, soit les utiliser sans connaître à l'avance leur effet. Là TJ s'est agenouillé, a ouvert un bouquin et s'est endormi dessus.

15h45
J'ai trouvé un paquet sous un arbre, c'était une bière, TJ n'arrête pas de roter depuis, en mettant lamentablement ses mains devant sa bouche.
Il s'avère que la boîte aux lettre fait office de boutiques, on peut y trouver différents types de paquets cadeaux en échange de quelques dollars récoltés en fouillant bien le niveau. leur aspect différent témoignerait-il d'un système à la A Boy and his blob?
Je n'ai pas assez de $ en poche pour répondre à ma propre question.

15h50
Un nouvel ascenseur, je me retrouve sur une nouvelle île, qui semble plus grande que la précédente.

15h52
Euh... Une vahiné se ballade en faisant la danse hawaïenne. TJ est sous le charme et l'imite.

15h53
Un vieux téléphone noir sonne. Je réponds, la carte s'affiche et se dévoile provisoirement.

15h55
Je perds une vie (enfin je crois), écrasé par un hamster géant dans une grosse balle transparente. MAIS C'EST QOUI CE JEU!!!???



A suivre au prochain édit.

16h23:
OK j'ai compris, un type de paquet ouvert n'est plus suivi de points d'interrogation mais par la description de son contenu dans l'inventaire. Reste que son effet n'est pas indiqué, apparemmùent c'est à moi de m'en souvenir. Food fait remonter la barre de vie, et j'ai l'impression qu'après avoir bu une bière des morceaux de terre apparaissent en direct pour atteindre des îlots jusquelà inaccessible.
Oui mais alors, à quoi sert la vahiné?

16h28:
J'ai ramassé un vieux chou et j'ai perdu la moitié de ma barre de vie.
J'ai trouvé un paquet cadeau tout plat. Je l'ouvre, et depuis une énorme Valkyrie me suit avec sa poitrine démesurée. Dès que je me tourne vers elle elle me demande si j'ai "three bucks". nan ma grosse, pas même la queue d'un, c'est la crise.

Tenez, une photo en direct de mon téléphone:


16h37
Le temps de prendre la photo et de la télécharger TJ s'est endormi et ronfle comme un sonneur. J'appuie sur une touche, rien. J'appuie deux-trois fois une voix dit doucement "wake up". Je recommence, il dort toujours. J'ose? Je martèle les touches façon jeu d'athlétisme, la console gueleu "WAKE UP!!!" à fond, avec onomatopées, TJ se lève en panique.

16h43
On peut se débarasser des diablotins, vahinés et autres hamsters géants à coup de tomates (à condition d'avoir le bon paquet cadeau en stock). La dose requise n'est cependant pas la même selon les individualités que l'on a en face.

16h46
J'ai enfin capté ce que signifie le gros chiffre coloré au milieu du hud en bas de l'écran, en faît c'est en quelquesorte l'"étage" auquel on se trouve. A savoir que je n'ai pas trouve de pièce de vaisseau au troisième et suis alors monté d'un cran. Mais je n'ai pas pu tout visiter n'ayant pas les capacités nécessaires, ou plutôt les ayant gaspillées.
A noter que l'animation de l'ascenseur n'est pas toujours la même. Sympa.

16h50
Je viens de me faire bouffer par une boîte aux lettres hantée, game over ça recommence à l'écran Sega. Chouette.

16h54
Je recommence une partie avec le gros Earl. Je retourne dans les options et je comprends enfin ce qu'elles proposent: soit de rejouer avec la même carte, ou en réer une nouvelle aléatoirement.
Dans l'inventaire, comme tout à l'heur, quatre paquets nommés "super hitops". j'ai enfin compris, ce sont les baskets qui permettent de sauter en longueur et donc d'atteindre d'autres îles! Je les avais bêtement gaspillés tout à l'heure. ça commence à me plaire ce jeu!

17h00
Quand on sprinte sans s'arrêter avec les baskets, Earl fait exactement le même "bip bip" que Roadrunner!

17h10:



C'est sur cette image en forme dapothéose que se conclut ma session.
J'y rettournerai c'est sûr!

Pour Chuck et les détections de collision : oui, il y a un sérieux problème avec les coups de bide je trouve. Par contre le coup de pied sauté semble avoir une "hitbox" plus grande et est bien plus sur à utiliser, donc je le balance même contre les adversaires au sol. Sinon, en portant un rocher au dessus de sois, il y a moyen de se protéger de beaucoup de dangers. Je viens d'y rejouer et de faire ma save-state juste après le second boss (tigre à dents de sabre), et je n'ai éprouvé aucune difficulté particulière.

Je n'ai jamais joué de ma vie à ToeJam & Earl. C'est donc l'occasion ... Mes impressions dès que j'ai le temps de m'y mettre ...

J'ai joué à Toe Jam et Earl pendant ma pause midi et ... houlà, le délire !
Franchement, avec le recul, ce style psychédélique ringardos qui se voulait "hip" à l'époque, eh bin je le trouve complètement charmeur. Pourtant je suis sur que j'aurais détesté si j'y avais joué en en 91 (le rap = beurk, moi je suis un hardos ). Mais là j'accroche à mort.
Le jeu est blindé d'animations et de situations complètement absurdes, j'adore.
Au départ, je trouvais le coup des cadeaux dont on ne connait le contenu qu'après les avoir ouvert un peu stupide (et pas moyen de se fier à l'apparence des cadeaux d'une partie à l'autre : c'est aléatoire). Mais finalement, ça fait partie du fun du jeu, un jeu auquel on joue autant pour se marrer que pour vraiment essayer de le finir. Enfin, je pense que c'est l'esprit voulu par ses créateurs. Car en fait, si on essaie à tout prix de gagner, en avançant très prudemment et en n'utilisant quasiment jamais les cadeaux, bin on ne s'amuse pas vraiment.
A noter que certains persos identifient les cadeaux (mais il faut les payer).
C'est juste un peu dommage que le déplacement du héros soit si lent.

Il y a un très bon article sur GP à propos du jeu :
http://www.grospixels.com/site/tje.php

Allez zou c'est reparti!



Willy Wombat, paru en juillet 1997 sur Saturn, développé par Hudson



Voici un jeu dont je me souviens avoir vu des captures d'écran dans Consoles + en 96 ou 97 dans les pages previews, le présentant comme in jeu de plateformes en 3D, genre très rare sur Saturn, et donc digne d'intérêt, d'autant que c'est une création Hudson.
Quatorze années plus tard je tombe sur le jeu en vente sur un forum concurrent, je me le procure au milieu d'une pelletée de jeux Coleco et de manettes.

Willy Womwbat se présente comme un jeu de plateformes en 3D isométrique. Une 3D isométrique en vraie 3D, permettant de faire pivoter la caméra à 360° grâce aux touches L et R. Les sprites sont en 2D tout ce qu'il y a de plus classique. Le but du jeu est de rallier la fin des niveaux, la principale difficulté -du coup artificielle- est causée par l'angle de vue lui-même puisque les éléments du décor vont forcément masquer l'action, forçant à jouer avec l'angle de la caméra. En plus de cela les niveaux sont vite surchargés d'ennemis donnant au soft un petit air de hack'n slash, Willy se défendant au corps à corps avec une sorte de bâton, et à distance avec un boomerang.


(désolé pour ces pauvres vignettes, mais pas moyen d'avoir une image du jeu sur le net, j'ai dû me risquer sur yahoo.co.jp qui m'a orienté sur le site jap d'Hudson pour y arriver)

Assez rapidement les niveaux se complexifient avec des murs à contourner ou à débloquer grâce à des clés souvent disposés à l'autre extrémité du niveau, de statues à démolir... Ainsi sans vraiment parler d'un grosse dose de puzzle le jeu propose un petit côté exploration et réflexion assez sympa. Sachant que la quantité d'ennemis (qui se comptent souvent par dizaines) demande une bonne dose d'endurance au joueur. Ils ne sont pas spécialement dangereux, mais le moindre cafouillage peut être fatal tant le risque d'être submergé est grand.

Bien sûr le jeu propose quelques trucs en plus à ceux qui vont s'évertuer à jouer les Mozart de la caméra pour vérifier chaque angle mort. Des dizaines de cristaux sont disposés dans les niveaux, en pause le jeu indique leur nombre exact. Une médaille est attribué au joueur une fois le niveau terminé en fonction du nombre de cristaux ramassés, que l'on pourra échanger contre... une sauvegarde! Ce n'est donc clairement pas un facteur à négliger. Une exploration sérieuse permettra aussi de trouver plus classiquement des power ups ou des orbes qui, une fois collectées, s'additionnent pour donner un point de vie supplémentaire. Leur nombre varie selon les niveaux.

C'est un jeu plein de qualités, non seulement techniquement, très fluide et plutôt joli, avec un design franchement réussi pour les personnages, et un souci manifeste d'offrir un jeu de haute volée. Les musiques sont très soignées, les cut scenes sont entièrement doublées en anglais (ce qui permet de comprendre sur quoi cliquer lors de notre première sauvegarde), la notice est belle comme tout... Mais surtout l'ambiance qu'il dégage est à mon sens propre à la production Saturn de la période. Je ne saurais pas vous le prouver, peut-être que Shenron ou Petitvieille me confirmeront, mais ces sonorités, ces couleurs, ces menus, tout.... Ca respire la prod Sat, un peu surannée mais tellement bonne.
Peut-être cette vidéo vous mettra-t-elle sur la voie?




Bon j'ai l'air enthousiaste comme ça, mais malgré une envie manifeste de bien faire je crains malheureusement que le jeu ne soit hyper répétitif, en plus d'une certaine froideur (liée entre autres à ce que je viens d'écrire juste au dessus - oui je sais c'est contradictoire). Mais surtout sa maniabilité pose un sérieux souci. En soi il n'y a pas de problème particulier, tout répond correctement. Mais le défaut majeur de ce jeu vient du héros qui ne se déplace que dans huit directions, alors que les ennemis, liés au mouvement de la caméra, peuvent tourner à 360° autour du héros. Ce qui peut causer une certaine injustice dans les mêlées. Injustice qui peut vite devenir décourageante au vu de la longueur des niveaux. J'ai essayé dans le doute avec le pad analogique, il n'est malheureusement pas reconnu.

Je ne sais pas si vous êtes nombreux à pouvoir essayer ce jeu, une Saturn avec une cartouche de dézonnage et un iso gravé suffisent (suivant la technique du swap), sinon je serai vos yeux et vos oreilles.

Ouah, inconnu au bataillon en ce qui me concerne ce jeu. Il a l'air interessant mais je ne suis pas trop chaud pour y jouer à partir d'un ISO sur ma console sachant que la méthode du "swap" est quand même galère et je suis pas certain que ça fasse du bien au matos.
C'est marrant mais j'avais lu récemment que Crash Bandicoot devait initialement s'appeler Willy the Wombat. Le nom a été changé car il avait déjà été déposé pour ce jeu peut-être ?

Je connais le jeu de nom et de jaquette, mais je n'avais jamais vu de vidéo de gameplay. C'est vrai qu'il a un petit quelque chose de désuet qui ne fait pas tout à fait Playstation, mais je ne dirais pas pour autant qu'il fait typiquement Saturn. Je récupèrerai l'ISO à l'occasion.

@Seb : utilisé de façon exceptionnelle le swapping n'est pas bien dangereux pour la console. C'est en cas d'usage fréquent de jeux gravés qu'il faudra plutôt penser à te procurer une console pucée.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ca a un petit charme désuet qui ne me déplait pas.

Sinon, je pense pouvoir affirmer sans me tromper que le cover-artist du jeu est le célèbre (enfin, au Japon) Susumu Matsushita, le designer de la mascotte de Famitsu et qui a notamment travaillé sur les Motor Toon ou les excellents Maximo.
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Bon ben Willy Wmbat a eu raison de ma patience.
Pourtant je me suis appliqué, presque tous les jours j'ai allumé ma Saturn, mais rien à faire je n'ai pas été fichu de passer le premier monde.
Les niveaux sont plutôt longs et tortueux, qui plus est truffés d'ennemis et de mécanismes, autant de choses qui auraient mérité une jouabilité bien réactive comme il faut.

Mais face à un challenge stimulant et à un level design franchement sympa (murs mobiles, quête de joyaux...) le jeu ne propose pas mieux qu'une jouabilité pachydermique avec ses huit directions strictes dans un monde à 360° et sa rotation de caméra manuelle qui se traiiiiiiiiiiine alors que ça demande de la réactivité.
Un beau gâchis en somme, qui ne me permettra pas deprofiter de la direction artistique réussie du soft.

Voila.

J'hésite pour la suite, j'aurais bienfait Alex Kidd mais les roms semblent daubées sur Wii (essayé plusieurs), ou alors le Roi Lion sur MD. Ou sinon un peu de Coleco ça vous dit?

Moi je vote Coleco !

Ah oui! La coleco est belle et contient des jeux qui m'ont fait fantasmé durant mon enfance!

Cette semaine je joues a Super Castlevania 4.

Je l'avais acheté au moment de sa sortie, puis l'avais revendu plus tard pour pouvoir acheter un autre jeu snes...

Et j'ai remis la main sur une cartouche en loose cette semaine !!


Et c'est reparti pour quelques heures de jeux, à m'arrêter comme un gosse au milieu des niveaux à écouter les musiques.

Et comme à l'époque, le jeu ne me paraît pas trop compliqué, malgré les 20 ans que j'ai pris depuis (par rapport a d'autres jeux où, là, le "poids des années " commence à se faire sentir ).

Moi je voulais juste remercier GrosPixels pour m'avoir fait découvrir Power Blade !

J'étais passé plus d'une fois à coté de ce jeu en broc sans l'acheter à cause d'une étiquette de cartouche plutôt minable à mon goût ... Grand mal m'en à pris.

J'ai donc commencé le jeu sur PSP cette semaine et par magie trouvé la cartouche en loose dans un cach converter prêt de chez moi, et depuis je ne le lache plus.

Bon, je pense qu'il me faudra quand mème plus de 2H00 pour terminé le jeu comme dit dans le test quand mème !

Donc MERCI GROSPIXELS !!
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Mon blog : http://gamepassion.over-blog.com

C'est le genre de commentaire qui fait plaisir (même s'il n'est pas dans le bon sujet : un topic dédié à Power Blade se trouve un peu plus bas).
Bienvenue sur GP, bfg

Bon n'allez pas croire que j'ai encore laissé tomber ce fil mais il m'arrive une tuile.
Je voulais faire des posts sur les divers jeux Coleco en ma possession, mais voila que ma télé dédiée au rétro a rendu l'âme.
J'ai eu peur, je croyais que c'était ma console qui était HS, mais pris d'un doute j'ai essayé avec une MD et une Saturn, même constat: la télé ne commute pas. Bon ce sera l'occasion de choper une cm un peu plus confortable que ma petite .

Je ne vous mens pas hein, j'avais même pris des photos pour faire enrager Chatpopeye!







J'ai fini par me résoudre à utiliser un émulateur, mais franchement c'est une plaie à émuler à cause de ce satané pavé numérique.
Mais essayez quand même Motocross Racers et Alcazar, c'est étonnant!

Non mais, quelle classe

Par contre les jaquettes MD bleues au fond. C' est une faute de gout indiscutable ;p .



Hop, voilà ca c est fait, le débat est lancé !
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C'que c'est beau! Et ces manettes...Et ce dépliant...

Tu as déjà essayé de jouer avec?

Mes condoléances pour ta télé.

Justement je me sépare de la mienne, une Grundig 55cm, si tu es intéressé...
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

J'ai dû l'essayer vers 1982, au magasin Rally de Poitiers...Autant dire que je ne me souviens de rien.