C'est complétement ça... je n'ai pas fait le jeu. Donc je parle un peu de quelques choses que je ne maitrise pas. Si formellement et techniquement je trouve le jeu vraiment sublime, réaliste et bluffant... j'ai par contre beaucoup beaucoup beaucoup de mal avec son idéologie mega puante.
Je crois avoir lu qu'il y a même une phase de bombardement style attaque chirurgicale Irakienne où on peut faire du frag tranquille sur des objectifs soit disant militaire....
Mais bon, COD4 n'est pas le seul hein...

Shadow of the Colossus faisait ça de manière magistrale.

Carrément, Il y aussi une grosse dose d'Hitman (une cible pour mille possibilités), de Breakdown (tout ce qui se déroule "en parallèle") et de Shadow of the Colossus (tout ce qui touche au cheval, escalade).

En gros, Assassin's Creed reprend le meilleur de pas mal de jeux et en fait un bon gros mélange dans un univers absolument splendide.

Techniquement (j'y joue sur 360), Assassin's Creed est en béton armé.
Ca a déjà été dit ici et ailleurs mais c'est une grosse claque qui frise le zéro défaut.
La ligne d'horizon est effectivement monstrueuse, détaillée et garantie sans aucun chargement. Je dis bien aucun chargement. On peut aller de Damas à Jérusalem, à pied ou à cheval, sans qu'à aucun moment la galette ne charge ou le jeu ralentisse. Et quand on sait qu'il peut y avoir une méga tonne de PNJ, de décors et de structures tous interactifs, ouille.

L'animation est du même niveau, jusque dans les X manières de mourir des vilains méchants abattus lâchement.

Graphiquement, ça tue sa maman.
Textures à fond, lumières sublimes et "intelligentes" (selon l'heure de la journée, les ombres bougent, ceci étant intégré dans le gameplay), modélisation monstrueuse. Et des décors... Mon Dieu les décors... C'est pas possible que ça soit vrai tellement c'est beau.

Niveau son, je suis nettement plus mitigé, à cause du manque de musiques (elles se déclenchent de manière évènementielle) et de certains doublages des PNJ de base, directement tirés de Splinter Cell, comme les voix et textes des gardes quand ils découvrent un corps.

Sur le plan du gameplay, il faut compter trois-quatre heures pour amadouer le système de jeu, simple mais complexe, plus encore au fil des nouvelles armes et techniques acquises.
Le tuto est d'ailleurs d'à peu près trois heures, pour vous donner une idée.
Le tout est évidemment hyper jouable et répond au quart de seconde.

Les missions principales sont toutes identiques dans leurs objectifs (abattre une ou plusieurs cibles) mais la manière de les réaliser est 200% ouvert à la manière d'un Hitman.
Mieux, on peut préalablement enquêter sur sa prochaine victime pour mieux l'abattre par la suite.
Ce système d'enquête permet également de reconstituer le scénario principal et donc de mieux comprendre toutes les ficelles de l'intrigue.

Pour ce qui est des quêtes annexes, si elles sont répétitives et non-obligatoires, elles sont cependant importantes puisque presque toutes conditionnement directement ou indirectement la réussite ou l'échec d'une mission.
Par exemple, si l'on vient en aide à un citoyen agressé par des militaires, une fois sauvé celui-ci peut faire appel à des compagnons qui deviendront vos complices dans le quartier désigné.
Et si par mégarde vous êtes poursuivis par les troupes locales, en passant par ce quartier, vos complices vous prêterons main forte en ralentissant vos assaillants.

Le système de combat de front est aussi particulièrement dynamique et bien foutu, le seul regret étant de voir que les ennemis attaquent généralement un par un et non pas tous ensemble.
Egalement, l'IA des ennemis est perfectible mais ça reste correcte.

Difficile de parler du scénario sans révéler quoi que ce soit, mais je note une idée toute simple et géniale qui permet de changer de point de vue en fonction de l'interlocuteur faisant que, par exemple, un esclavagiste devient un sauveur.

Enfin, l'ambiance est juste terrible.
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"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

Je pense pas que c'est un probleme d'optimisation. Deja a mon avis, ils ont du voir que ca ramait en test. Apres c'est possible que corriger tout ca, ca leur aurait coute trop cher, et que de toute facon le gens se vendra quand meme ... Je pense que c'est peut etre plutot comme ca qu'il faut le voir.

Bon par contre j'ai pas encore craque pour le jeu, vu que c'est pas trop mon style. Mais c'est dommage que y'ait meme pas une petite demo sur le live (idem pour halo3)
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C'était pour rire mais effectivement trollesque. Je le ferai plus

Sinon, je réserve mon jugement sur Assassin's Creed. J'aimerais essayer le jeu (une démo serait bienvenue), pour voir si l'ambiance saura me happer. Pour l'instant je vois surtout dans ce jeu une formule, les éléments les plus payants du catalogue Ubi passés au shaker. Et ce que dit le test de Gamekult sur l'absence de quêtes secondaires intéressantes dans la campagne entre les villes me refroidit un peu. J'aurais bien aimé un peu d'Oblivion orienté action. Par contre l'idée de se balader sur les toits me fait penser à Crackdown, autre jeu qui ne me disait rien et dont j'ai fini fan.

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A chaque fois que le mot démo est prononcé pour ce titre, la réponse d'Ubisoft est : non, ce n'est pas possible de faire une démo de ce titre.

Salut à tous,

Comment vous je me régale avec AC. Toutefois, dans le premier assasinat à Damas, j'ai pour objectifs de dérober 2 éléments. Et là catastrophe, plus moyen d'approcher le fourbe pour lui subtiliser la lettre ... Pourtant, la manipulation m'avait semblée tout à fait limpide dans le tuto ... (qui dure une plombe faut le reconnaitre ...).

J'ai tenté de l'approcher par derrière , sur les côtés et rien n'y fait. Dans la doc du jeu ils parlent de lui dérober qqchose tout en marchant alors que l'aide dans le jeu parle d'attendre que le personnage soit à l'arrêt ... Arghhh.

Merci pour votre aide !

A part ce problème, le jeu est véritablement splendide et les anims à tuer !

Je m'y replonge ... hop saut de la foi inside (excellente idée dommage qu'il soit à ce point répétitf ...)

Sunseeker: pour voler un passant, tu dois d'abord le locker depuis une certaine distance (suffisamment près pour ne pas le perdre de vue et suffisamment loin pour qu'il ne te grille pas).
Ensuite, tu t'approches de lui en faisant attention à tes déplacements dans la foule, donc sans bousculer personne, sans ça, tu te feras remarquer.
Arrivé à disons 4-5 mètres dans son dos, tu laisse le bouton B appuyé et tu t'approches de plus en plus vite de sa sacoche.
Le mouvement du vol doit être le plus fluide possible, parce-qu'il sentira peu après qu'on lui a volé quelque-chose.
A force de larcins, tu amélioreras ta technique, ça viendra tout seul. Elle te sauveras d'ailleurs la mise plus d'une fois au fil du jeu.

Panda & Laurent: c'est clairement impossible de faire une démo de ce jeu, ou alors on fait un truc pas du tout représentatif, ultra limité et sans le moindre intérêt scénaristique.
Aussi, faire une démo coûte du pognon, et là, je crois qu'ils ont explosé le budget.

Laurent: nein, le gameplay, la construction générale du jeu, le scénario n'est pas un simple mélange des grosses licenses Ubisoft, CF les jeux évoqués par tous ici.
Gamekult, c'est de la merde en branche, depuis le temps, je pensais qu'on était d'accord là-dessus.
Les quêtes secondaires sont répétitives mais absolument non-obligatoires. On peut très bien se contenter du scénario principal qui lui dure une trentaine d'heures (j'ai fini la quête principale en environ 35 heures, en traçant).
Seulement, au fil du jeu on acquiert de nouvelles armes, de nouvelles compétences et réaliser la plupart de ces quêtes permet de les maîtriser mais aussi d'apprendre le level design.
En sus, les réaliser permet d'en apprendre plus sur le pourquoi du comment mais aussi de préparer au mieux ses missions (CF mon post précédent).
Enfin, Assassin's Creed c'est autre-chose que simplement se balader de toit en toit.
Ce serait très dommage que tu te prive d'un jeu aussi passionnant et monstrueux juste pour des "on dit". Un peu comme si tu t'étais abstenu de ne pas jouer à Splinter Cell pour les mêmes raisons.

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Voilà, j'ai terminé Assassin's Creed vers 2h00 du matin après environ 35h00 de jeu essentiellement concentrées sur le scénario principal et quelques quêtes annexes.
Enfin, "terminé" est un bien grand mot puisque j'ai au moins autant d'heures de jeu en perspectives vu que j'ai zappé pas mal de choses en parallèles.

Très difficile de parler de ce jeu sans spoiler mais je suis complètement conquis.
Si, comme dit précédemment, le tuto est un peu long et la courbe d'apprentissage très large, une fois bien maîtrisé, ça devient totalement jouissif, ou plutôt encore plus jouissif que ça ne l'est déjà.
Par exemple, les combats qui sont déjà très dynamiques deviennent délirants avec les contres, les contres-attaques, les esquives, les bottes et l'usage des nouvelles et différentes armes.
Si au début on se fait parfois latter par seulement trois gars, arrivé à un certain niveau, on peut combattre les doigts presque dans le nez des dizaines de gardes simultanément.
Et une fois là, les gardes attaquent à plusieurs et non plus un par un.
Les gardes deviennent plus féroces et n'hésitent pas à vous courser non-stop quitte à risquer leur vie pour enchaîner sur des courses-poursuites tripantes comme pas possible, à tel point que l'on peut activer une caméra spéciale qui permet de suivre l'action depuis le point de vue des vilains.
Le truc devient encore plus délirant quand on peut accéder à tous les quartiers d'une cité ainsi qu'à la carte du royaume au complet.
Notez que la carte est encore plus grande que l'aperçu que vous en avez en début de jeu. Vi vi vi, c'est possible.

Pour les missions, plus on progresse, plus elles deviennent coton et délirantes. Toujours sans spoiler, attendez vous à de très grosses surprises.
Le scénario "parallèle" est lui aussi bien béton et m'a fait tomber sur le cul plus d'une fois.
Pour ça, pensez bien à tout explorer, tout tenter même l'improbable et persister au-delà du possible, c'est très très payant.
Vu le scénario, une suite est au programme, je n'en dis pas plus.

Vraiment un purée de bon jeu, indispensable si on a une machine qui le fait tourner.
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Nordine : Merci pour ton aide, je vais tenter cette technique ! Je suis pressé d'arriver à ma première execution !

Lu sur un blog : http://quebec.blogs.courrierinternational.com/archive/2007/11/15/montreal-hollywood-en-moins-vulgaire.html

Montréal, Hollywood en moins vulgaire

Lorsque Next, le magazine du quotidien Libération, se penche sur "ceux qui aujourd'hui dessinent notre futur", il s'arrête à Montréal, où fleurit l'industrie du jeu vidéo, nourrie aux programmes d'aide gouvernementale et aux bonnes tables de la ville.

"Depuis une dizaine d'années, Montréal est devenue l'une des places fortes du multimédia et notamment du jeu vidéo. Les plus grands éditeurs y possèdent leurs studios, des cursus universitaires forment les professionnels de demain et il ne se passe pas une semaine sans qu'un Français, un Anglais ou un Américain ne pose ses valises à Montréal pour y travailler. Montréal, c'est la nouvelle Hollywood avec quelques dizaines de degrés de moins en hiver et sans les limousines vulgaires de la côte ouest. Et, le soir, tout ce bon monde se croise dans les bars à néons de la rue Sainte-Catherine, dans les concerts d'Arcad Fire et de Malajube ou dans les lounges hypes du boulevard Saint-Laurent. Sans oublier le Pied de cochon [rue Duluth], mais pas tous les soirs", s’extasie Next dans un reportage dans cet Éden ludique, de la bringue et des univers virtuels.

"Et pourtant, ce n'était pas gagné d'avance", poursuit Next. "En 1998, le premier ministre du Québec, Lucien Bouchard, lance la Cité du multimédia, un programme visant avant tout à redynamiser le Faubourg des Récollets, quartier d'usines et d'entrepôts tout près du centre-ville qui, depuis les années 1960, avait salement souffert des délocalisations et de l'extinction de certaines branches industrielles. Les immeubles sont réhabilités, rendus aptes à l'activité tertiaire et, surtout, le gouvernement offre un joli cadeau aux investisseurs étrangers sous forme d'un crédit d'impôts. Concrètement, il s'engage à rembourser à hauteur de 40 % des salaires à concurrence de 15 000 dollars canadiens par salarié. Cela prend la forme d'un crédit d'impôts remboursable égal à 40 % de chaque personne travaillant dans le secteur du multimédia. Et pour faire bonne mesure, le gouvernement s'engage à ce que cette incitation soit renouvelée jusqu'en décembre 2010. Pas besoin d'en rajouter, toute l'industrie a pigé l'aubaine. D'autant que c'est exactement le moment où le jeu vidéo cesse d'être une affaire de bricoleurs dans des garages et commence à se structurer en grands éditeurs capables de mettre plusieurs centaines de milliers de dollars sur la table pour créer un jeu. En quelques mois, les demandes affluent et les structures gouvernementales de Montréal n'hésitent pas à lancer des invitations aux studios américains, français ou anglais. Les fonderies du début du XXe siècle au nom pittoresque, Darling Brothers ou Ives & Allen, sont désormais les locaux des Microïd, TeamSoft, DotCom ou Cryo."

Pour Next, c'est comme si le clinquant du jeu vidéo avait dépoussiéré la ville. "Du coup, en l'espace de dix ans, Montréal a changé de visage. Ville jeune, moderne et plutôt branchée. Sans toutefois effacer totalement les réminiscences un peu provinciales de certains quartiers. Le long du boulevard Saint-Laurent, à deux pas des studios Ubisoft, les grandes bâtisses de brique, vestiges de l'industrie textile démantelée dans les années 1970, les boutiques qui n'ont pas bougé d'un pouce depuis les années 1950, ont encore un charme vieillot qui s'acclimate bien de la floraison des bars à DJ où de jolies filles servent des cocktails cubains ou brésiliens."

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Dans la vie, il y a 3 catégorie des personnes : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas compter. (Anonyme)

Vivi, je précise qu'Assassin's Creed n'a pas l'exclu sur ce rapport joueur/conscience

J'ai continué un peu et c'est franchement magistrale. J'ai un peu plus approfondi la partie combat avec la gestion des contres et la mise en scène des combats. On peut faire quelques joutes absolument magistrale et digne des meilleurs blockbusters hollywoodiens. Sur une tour de guet, contre 9 gardes, j'ai réussi à en faire tomber 8 avec une chorégraphie mémorable et à finir le dernier apres maints acrobaties de toits en toits.... c'était un de ces moments uniques où l'immersion est complète et absolue....

Les combats, quand on possède toutes les armes et compétences, sont effectivement énormes, à la fois hollywoodiens et réalistes.

Un truc que j'adore consiste à rameuter un maximum de soldats sur une place puis de les combattre en jonglant entre l'épée "ultime" et la dague/couteaux de lancé.
Quand on se débrouille bien, on peut même faire en sorte que des ennemis frappent voire tuent certains de leurs collègues. Par exemple, s'il y a des archers, on peut choper un garde puis s'en servir de bouclier pour qu'il prenne les flêches.

Une astuce rigolote est que, si vous combattez à pied près de votre cheval, celui-ci donnera des coups de sabots aux gardes qui s'approchent de trop près. ^^

Ha, très important, quand vous aurez les crédits de "fin" qui se déroulent, attendez qu'ils passent, il y a encore des choses à faire et à découvrir...
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"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

Je test "le coup du cheval" ce soir
J'adore le fait qu'on découvre plein de choses assez folles qu'on peine à imaginer...
J'avais oublié de préciser qu'un autre moment fort fut l'ascension de l'église d'Acre, le point culminant du jeu. La vue y est absolument superbe... sur un videoprojecteur, ça doit etre démentiel !

Il y a encore plus haut que la cathédrale de Saint-Jean d'Acre.

Une chose dont on ne parle pas dans les tests et sur les fora, sans doute par peur de heurter les sensibilités, c'est la religion, omniprésente dans Assassin's Creed.

Un truc qui m'a beaucoup marqué c'est qu'au-delà des guerres de religions et surtout d'intérêts, tous les croyants appartenant au peuple vivent en harmonie. Certes, les différences sociales sont très marquées mais malgré tout, ces problèmes ne se posent pas.
Au contraire, au fil du jeu, on constate que tout cela est avant tout orchestré par une micro poignée d'individus qui créent et jouent sur ces différences, distillant l'ignorance et la haine.

Dans une même rue, on peut passer près d'une synagogue, d'une église et d'une mosquée, de croyants de toutes confessions qui discutent ensemble, font leur marché sur les mêmes étales, boivent un coup à la même table, etc. Et que, quand la violence se manifeste, c'est toujours du fait des forces armées rattachées aux quelques individus cités plus haut.

Le rôle des assassins est d'ailleurs celui d'arbitres impartiaux et laïques, c'est plutôt bien vu. On notera qu'il n'existe aucun bâtiment religieux dans leur ville. Et pour cause vu que (censure).
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"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

Vous me donnez vraiment de plus en plus envie de m'y mettre.

Avoir une 360 ou une PS3 et ne pas foncer sur ce jeu si les finances le permettent, c'est pure folie....

Je me rapelle m'être dit au moment de l'escalade "Ils sont payé combien pour ce boulot, déjà ?"

tu pourrais me dire ce qu'il y a faire justement, Parce que je viens de le terminer justement.

D'ailleurs il n'y a rien a dire, la durée de vie est bonne, le scénario est trés inteligent et loin d'être manichéen. Y a juste la toute fin qui m'agace, mais pas au niveau scénaristique (je ne peu en dire plus).

ATTENTION SPOIL



Je suppose que tu as vu le générique de fin, donc regardé le mur de la chambre avec l'œil de l'aigle.

Une fois le générique passé, tu peux continuer ton enquête en utilisant à nouveau l'œil de l'aigle dans la pièce principale. Lis attentivement tous les mails (reçus, envoyés et supprimés) de ta collègue puis de son chef. A partir de là, tu obtiendra le mot de passe de la salle de réunion. Je te laisse découvrir le reste.

Note que je ne sais pas si tu as volé le fameux "stylo" au chef deux-trois jours auparavant, donc peut-être que ça influencera la chose.
Aussi, il est très important de d'avoir discuté dès que possible, et un maximum, avec la jolie blondinette.
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j'ai fait tout ça, ça éclairci un peu certain point mais au final, ça n'aporte pas une "fin alernative" apperement