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Index du Forum » » Discussions & Débats » » Les crises du jeu vidéo 1984-1993-2005
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Auteur Les crises du jeu vidéo 1984-1993-2005
IsKor
Camarade grospixelien


Joue à Diablo 3

Inscrit : Mar 28, 2002
Messages : 13493
De : Alpes Maritimes

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Posté le: 2006-12-05 22:33
Assimiler 2005 à un crash vidéoludique, c'est peut être un peu fort. Je dirais que l'industrie est un peu bancale depuis un certain temps, mais on est pas en crise.. En tous cas, rien de comparable à 1983.
Ce que j'esspère, c'est qu'on aura le droit à une mutation dans la manière de jouer (notamment grâce à la Wii et la DS), ça sera déjà pas mal. Ca forcera les studios habitués à user un concept qui marche jusqu'à la corde à un peu de créativité

Atari Frog
Atariste convaincu



Inscrit : May 03, 2002
Messages : 1910

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Posté le: 2006-12-05 23:48
Citation :
Il faut savoir que le "grand crash des jeux vidéo de 1983" est un phénomène surestimé pour une raison simple : en fait c'est surtout aux Etats-Unis que le marché à connu une crise qu'on peut qualifier de crash, et comme jusqu'à il y a peu les seules sources d'info sur les jeux vidéo de cette époque étaient des sites américains, donc très américano-centrés dans leur point de vue, l'idée est devenue universelle. Mais à cette époque là en Europe les jeux vidéo continuaient de bien marcher et attirer un gros public, d'une autre façon, et il n'y avait pas spécialement un boulevard pour la NES.

Le "great videogame crash", dans les faits, c'est la conjonction de trois évènements :
- Les consoles Atari qui passent de mode.
- Mattel qui abandonne les jeux vidéo.
- Coleco qui fait faillite.

C'est plus compliqué que ça.

La première chose à noter, c'est que le marché européen des jeux vidéo n'a rien à voir avec ce qui se passe aux Etats-Unis à l'époque : un parc de machines moins important, une distribution beaucoup moins anarchique et, surtout, aucune production de jeux digne de ce nom. Non seulement les compagnies anglaises n'en sont qu'à leurs balbutiements mais, de plus, les investissements sont bien moindres puisqu'on utilise à 95% des cassettes !

Aux Etats-Unis, l'Atari 2600 draine une très grosse partie de la production de jeux et le marché est gigantesque (à propos, la terminologie "VCS2600" n'existe pas). Contrairement à Nintendo qui, plus tard, régulera le marché en choisissant qui est digne de "faire de la Famicom", Atari ne contrôle rien. Tout le monde veut sortir quelque chose sur la 2600, tout le monde et n'importe qui d'ailleurs... Résultat : les compagnies noient le marché, surproduisent, s'endettent pour financer la fabrication de cartouches (qui sont BEAUCOUP plus chères bien sûr) et tout se casse la gueule. Mattel préfère se désengager et Coleco, complètement englué dans ses problèmes avec l'ordinateur Adam, jette aussi l'éponge. On commence aussi à se rendre compte que les micro-ordinateurs (VIC-20, C64, Atari...) peuvent devenir des alternatives plus que valables... jusqu'à l'arrivée de la NES !

Citation :
Dans mes souvenirs le jeu vidéo n'a jamais cessé d'intéresser les mioches franchouillards élevés à l'amiante et au poulet aux hormones que nous étions.

Au final, les Européens n'ont pas vu grand-chose du crash américain car les jeux vidéo n'ont jamais été l'apanage des consoles OU des micro-ordinateurs mais des deux ! En fait, le marché en Europe a toujours connu une progression régulière au gré de plusieurs modes mais il n'y a jamais rien eu de chaotique ou brutal. C'est la grande différence avec les Etats-Unis, qui ont connu le crash mais également une féroce bataille de prix cassés au niveau des micro-ordinateurs (laissant au passage Coleco et Texas Instruments sur le carreau).

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Sodom
Gros pixel



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Messages : 1895

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Posté le: 2006-12-05 23:53
Pour en revenir au premier crash des jeux vidéos, je ne suis pas sûr qu'il se soit agit d'un phénomène purement centré sur les Etats-Unies. A la lecture des anciens Tilts, on sent par moments qu'un malaise s'est installé autour des jeux consoles et cela même en Europe.

Si les causes de ce malaise restent un peu flou à décrypter, l'une de ses conséquences directes est le succès de la micro, peut-être pour la simple et bonne raison que ce support permettait de faire autre chose que simplement du jeu...

dante2002
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Joue à Le GamePass sur la Serie X

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Posté le: 2006-12-05 23:59
Citation :

Le 2006-12-05 23:53, Sodom a écrit:
Pour en revenir au premier crash des jeux vidéos, je ne suis pas sûr qu'il se soit agit d'un phénomène purement centré sur les Etats-Unies. A la lecture des anciens Tilts, on sent par moments qu'un malaise s'est installé autour des jeux consoles et cela même en Europe.

Si les causes de ce malaise restent un peu flou à décrypter, l'une de ses conséquences directes est le succès de la micro, peut-être pour la simple et bonne raison que ce support permettait de faire autre chose que simplement du jeu...



Oui enfin beaucoup plus que du jeu dans les années 80 c'était très relatif.

Naturellement il est sorti à l'époque beaucoup de livre sur "les possibilités de l'informatique" et "la domotique", livres en général illustrés par une photo d'un ordi domestique de l'époque.

Mais tout comme le plan "informatique pour tous", ceci tenait plus de la communication que de la réalité.

Je pose la question à tous les anciens amigaistes et ataristes du forum, avez vous une seule fois ouvert un traitement de texte avec votre atari ou amiga? Les deux machines en étaient pourtant capable.

La raison à mon gout qui a fait que les micros on un peu supplanté les consoles au début des années 80, en plus de la qualité des jeux, tient également à mon sens de leur plus grande facilité de piratage...
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Atari Frog
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Inscrit : May 03, 2002
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Posté le: 2006-12-06 00:14
Citation :
Pour en revenir au premier crash des jeux vidéos, je ne suis pas sûr qu'il se soit agit d'un phénomène purement centré sur les Etats-Unies. A la lecture des anciens Tilts, on sent par moments qu'un malaise s'est installé autour des jeux consoles et cela même en Europe.

On peut penser que l'Europe a ressenti quelque chose mais c'était à une échelle bien plus réduite et surtout au niveau des importateurs : frénésie du jeu vidéo moindre par rapport aux Etats-Unis, moins de machines, moins de programmes importés, jeux sortant en général six mois après, marché régulé, aucune production de cartouches...

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Jika
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Posté le: 2006-12-06 00:36
Attendez les enfants là... Parler de crise du jeu vidéo en 1993, déjà je trouve ca costaud, mais pour 2005, je ne comprends plus : le marché est monstrueux, l'argent engendré est énorme.

Et la créativité des jeux et des supports n'est pas à prouver. Au niveau hardware, la DS et son écran tactile, la Wii et sa wiimote, la 360 et le marketplace et la HD.... Au niveau software, Katamari Damacy, Fahrenheit, Okami, Killer 7, Dead Rising....
Vous appelez ca un jeu vidéo en crise ? En crise de quoi ?? Mon interrogation est simple : de quelle crise parle-t-on ? Un média qui génère toujours plus de thunes et qui sort des jeux de très bonne qualité plus fréquemment que par le passé (jeter un oeil au niveau global et la quantité de jeux excellents de cette année 2005...), j'appelle pas ca un média en crise ?

Suis je le seul à trouver ce constat alarmiste et déplacé ? Il ne faut pas confondre ses gouts personnels (c'est à dire penser "j'aime pas les jeux de 2005 et je préférais ceux d'avant") et la réalité du média jeu vidéo (c'est à dire penser "tous les jeux vidéo de 2005 sont nuls/peu créatifs, à quelques exceptions près").

Atari Frog
Atariste convaincu



Inscrit : May 03, 2002
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Posté le: 2006-12-06 00:40
Citation :
Mais tout comme le plan "informatique pour tous", ceci tenait plus de la communication que de la réalité.

Je pose la question à tous les anciens amigaistes et ataristes du forum, avez vous une seule fois ouvert un traitement de texte avec votre atari ou amiga? Les deux machines en étaient pourtant capable.

Bien faire la distinction entre ce qui s'est passé en Europe et aux Etats-Unis. Les Européens ont très nettement plébiscité les Spectrum, C64... comme de vraies consoles de jeu alors qu'aux USA, les micro-ordinateurs ont toujours eu une image plus sérieuse, du moins en apparence. Il n'y a qu'à voir à quel point les Apple étaient présents dans les écoles là-bas à l'époque (rien à voir avec les machines et productions merdiques du plan IPT). De même, il faut se rendre compte de tous les autres petits marchés parallèles qui existaient pour ces machines 8-bits devenues abordables.

Citation :
La raison à mon gout qui a fait que les micros on un peu supplanté les consoles au début des années 80, en plus de la qualité des jeux, tient également à mon sens de leur plus grande facilité de piratage...

Allant sans doute de pair avec la nouvelle maturité des consommateurs, oserais-je ajouter.

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Atari Frog
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Messages : 1910

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Posté le: 2006-12-06 00:56
Citation :
Suis je le seul à trouver ce constat alarmiste et déplacé ? Il ne faut pas confondre ses gouts personnels (c'est à dire penser "j'aime pas les jeux de 2005 et je préférais ceux d'avant") et la réalité du média jeu vidéo (c'est à dire penser "tous les jeux vidéo de 2005 sont nuls/peu créatifs, à quelques exceptions près").

D'autant que les différents marchés sont quand même bien mieux délimités maintenant (pour tout un tas de raisons évidentes). A mon avis, les produits nuls ont aussi tendance à dégager assez rapidement en mettant plus en danger les éditeurs qu'à l'époque.

Dire que c'était mieux avant, franchement, ça me laisse perplexe... C'était une époque fabuleuse mais ça n'avait strictement rien à voir avec la qualité générale des jeux, qui était assez médiocre. Pour quelques titres phares mis en avant, combien de bouses intergalactiques...

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FF_Clad
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Posté le: 2006-12-06 08:25
Citation :

Le 2006-12-05 17:46, mickmils a écrit:

Qu'on ne m'accuse pas de faire de l'anti Nintendo primaire hein C'est juste que le succès de ce genre de titres m'inquiete un peu pour celui des autres...


Perplexe devant Nintendogs et son succés, je me suis moi aussi fait ce genre de reflexion. Mais ces inquietudes au final me semblent nous fondées :

Les jeux de type Touch! visent un public plus large que celui des joueurs "classiques", et donc des joueurs qui de toute façon ne s'interessent actuellement pas aux jeux classiques. Dans le même temps, les joueurs classiques ne disparaissent pas pour autant, ils restent tout aussi nombreux, et si dans le passé ils ont été suffisament rentable pour créer des Mario, des Zelda et des Donkey Kong, il n'y a pas de raison qu'ils ne le deviennent plus.

Au contraire, cette évolution est même interessante, puisqu'une fois les non joueurs d'hier habitués à des Sims, des Nintendogs et des Brain Training, pourront facilement faire le pas et essayer un Zelda ou un Shadow of the Colossus. Et qui sait, peut être que celà leur plaira ? Ainsi, le mouvement pourrait bien, au lieu de diminuer le nombre de joueurs classiques, le faire progresser.

Prenons l'exemple de la Wii au japon (qui, je le rappelle, est vendu sans Wii sport là bas).

Il s'est vendu en deux heures deux fois plus de Wii que de gamecube en deux jours, et au niveau software il me semble (le site où j'ai lu ça - canardplus - est down) que ça donne 1) Wii sport, 2) Wii play et 3) Zelda, avec Zelda vendu avec une console sur deux, et d'avantage encore pour les deux premiers.

Mon analyse, c'est que si Zelda n'est pas premier, il n'en reste pas moins qu'il est un énorme carton et que si il était sorti en même temps que la gamecube, il aurait été premier de loin : il se vend donc moins, proportionellement, de ce jeu classique, mais plus, en valeur absolue, que par le passé.

Le fait que Wii Play/Sport soient devant montre bien que Nintendo attire beaucoup de joueurs très occasionels pourtant.

Il n'y a donc pas incompatibilité. CQFD.

Accessoirement, nous autres, hardcore gamers purs et durs, nolife asociaux et monomaniaques, avons également le droit de prendre du plaisir de jeux moins conventionels comme Animal Crossing, Harvest Moon ("A wonderful new life for girls" nous dit le titre, mais moi j'adore, même pas honte), Wario Ware, et Wii Sport qui s'annonce quand même bien fendart.

Au final, je n'ai donc pas peur de l'invasion du méchant vilain grand public mangeur d'enfants. J'ai bien d'avantage peur de tous ces jeux réalistiques/militaires/gansta, et je suis desespéré de voir le jeu vidéo tel que je le connais (Outrun, Sonic et Megaman... blue sky in games !) se faire progressivement bouffé par des Call of duty et des GTA. Mais bon, l'époque veut ça je crois, après tout il y avait bien du punk avec street of rage il y a 15 ans, qui devait être perçu de la même manière par ceux qui considerent l'âge d'or du jeu vidéo comme étant l'époque VCS... Et puis ces dernières années ont vu l'arrivé de nouveaux genre de jeux, plus contemplatif, à objectifs moins immediats, comme Animal Crossing ou Shenmue... L'un dans l'autre, le futur du jeu vidéo ne m'inquiete pas plus que ça au final, la parenthèse médiocre de la playstation semble en passe de se refermer.

grouik
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Inscrit : Oct 27, 2004
Messages : 182

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Posté le: 2006-12-06 09:33
pour recentrer le topic, on parle bien de crise et non de krach. Un krach c'est violent et brusque tandis qu'une crise ça peut durer longtemps et provoquer une évolution progressive.

Pour répondre à Petite Vieille, ce n'est pas tant le support cd-rom qui me paraît avoir été objet d'une crise mais plutôt son usage. Nec avait très bien négocier le passage de la carte au cd-rom en utilisant l'espace de stockage pour amplifier l'expérience du joueur avec des séquences d'intro, des voix, des musiques préenregistrées. Mais étrangement, Sega n'en a pas tiré la même gloire alors que sa Megadrive marchait bien. Je prends la date de 1993 parce qu'à cette époque, l'orientation du jeu vidéo piétine. On a attendu des années le réalisme vidéo et quand arrive les jeux en FMV, les clips musicaux eh bien c'est merdique et seule la 3D en temps réel permet de retrouver des éléments de gameplay intéressants.

Alors c'est juste, en Europe, aux US et au Japon tout le monde n'a pas connu les mêmes crises, mais certains éléments objectifs permettent de mesure qu'il y a bien eu des crises. Ces dernières années, les studios indépendants ferment les uns après les autres, ou sont au mieux rachetés. Au milieu des années 90, Sony a bien négocié le virage mais pas les autres (Nintendo prend un retard dingue et se plante avec sa Virtual Boy, Sega misait sur la 2D superpuissante de sa Saturn et précipite son architecture 3D issue de ses machines d'arcade, Atari s'effondre avec sa Lynx et sa Jaguar, 3DO loupe le coche, Nec ne transforme pas l'essai avec la PCFX). Franchement, combien sur ce forum qui jouaient depuis les années 70-80 en arcade, sur console ou sur ordi ont bien vécu ce passage. Certains ont suivi avec ébahissement, d'autres sont restés sur leur Super NES a ruminer une 2D glorieuse qui n'est plus de mise sur N64 et qui ne fait plus recette sur Saturn.

Il me semble qu'aujourd'hui, nous sommes pris entre la concentration des éditeurs de jeux vidéo d'une part, soumis à des coûts de développements astronomique et d'une autre à des studios indépendants capable de prendre des risques sur des petits jeux distribués à peu cher sur téléphones portables ou progressivement sur les réseaux de MS, Sony et Tendo.

Milcham
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Posté le: 2006-12-06 21:13
Citation :
Je prends la date de 1993 parce qu'à cette époque, l'orientation du jeu vidéo piétine


1993 : Doom.

C'est quand même une époque expérimentale, et on peut pas dire que ça n'ait pas donné de bon. Tu veux savoir pourquoi on n'a pas mal vécu cette époque ? Bah, Doom ? Dune ? The 7th Guest ? Au contraire moi je vois mal comment on aurait pu faire plus dynamique. Des jeux d'aventure sublims, des Doom-likes, des jeux de stratégie, et -encore- énormément de jeux de plates-formes/bar/shoot via les sharewares d'Epic, d'Apogee, etc.
Sur console aussi, les promesses des 32-bits étaient en toile de fond mais on peut pas dire qu'un possesseur de SNES ait pu être malheureux, jusqu'en 95 compris.

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Mash_de_Figaro
Gros pixel


Inscrit : May 06, 2003
Messages : 1082

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Posté le: 2006-12-06 22:48
Citation :

Le 2006-12-05 18:17, deltree a écrit:
malgré quelques ovnis comme la DS, je trouve que l'année 2005 fut d'une pauvreté alucinante.
des remakes, aucun nouveau genre, des éditeurs frileux, des jeux orginaux qui sont repoussé, et qui sortent parfois completement aseptisés et sans saveur, comme si les éditeurs avaient retiré toute originalité au dernier moment pour pas faire peur au grand public.




L'année 2005 à surtout été une année de transition!
Les grands développeurs ont mis leurs meilleurs équipes sur des productions next-gen!

Thezis
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Joue à Far Cry 3

Inscrit : Jul 19, 2002
Messages : 8910
De : Bruxelles

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Posté le: 2010-09-28 08:50
Ce topic est très intéressant, cela vaudrait la peine de la résumer en un article pour le site. Si l'un des intervenants, Atari Frog au hasard, se sent l'envie d'une petite synthèse...

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