Strider (Capcom, 1989)







Bien sûr, je n'abandonne Hydorah, ma surprise du moment, auquel je continuerai à jouer et que j'espère terminer (j'en suis pas loin). J'aimerais me pencher sur Strider avant tout parce que ce classique de Capcom est plus ou moins à la base d'un projet dans lequel je suis impliqué, mais aussi parce que j'ai toujours eu un rapport assez étrange vis-à-vis de ce titre. Le fait qu'il soit de Capcom et qu'il tourne sur CPS devrait me le faire instantanément adorer. Et pourtant, les screens ou les conversions que j'ai vu à l'époque ne m'ont pas plus attiré que ça. Faut dire qu'en guise de conversion, j'avais alors surtout droit à celle d'US Gold sur CPC. Un tout petit peu plus tard, celle sur MD m'a évidemment beaucoup plus impressionné. Pourtant étrangement, alors que j'ai souvenir de fortes sensations en voyant dans une vitrine Hiryu dans une de ces mémorables séquences, celle au cours de laquelle il dévale une montagne sibérienne, et qu'en plus j'avais à ce moment-là une MD jap, je n'ai jamais ne serait-ce qu'envisagé d'acquérir le jeu. Je dois noter aussi que je n'ai jamais vu une seule fois le jeu tourner en arcade.

Puis MAME est arrivé. Evidemment, le jeu est graphiquement attirant, ce qui m'a fait le lancer de temps à autre, un peu au hasard, en faisant du zapping de roms. Mais aucune partie sérieuse. Je n'ai commencé à y jouer vraiment que récemment, il y a 2-3 semaines, en essayant de persévérer et de comprendre ses mécaniques, et dans le cadre de mon projet. J'ai alors découvert un jeu complètement fascinant qui, du haut de ses 21 ans, communiquent directement avec le jeu d'action moderne, et presque complètement déconnecté de ses contemporains. Mais cette fascination reste très ambigüe, instable. C'est un jeu que je trouve absolument extraordinaire et en même temps, il y a des moments où je suis pas loin de le trouver injouable. En tout cas, c'est un jeu que je commence seulement à connaître, et que j'ai besoin de très bien connaître. Mais pour le regarder comme il faut, j'aimerais avoir le point de vue d'autres joueurs. J'espère donc que Seb et J au moins se joindront à moi.

Un score après bien 20-30 parties : 32,900 - Niveau 3

[edit] ah oui, et la rom est la parent (USA, B-Board 89624B-2), et tous les réglages sont ceux par défaut.

[edit 2] 35,500 - Niveau 3

J'ai toujours adoré Strider. La première fois que je l'ai vu, c'était en Arcade. J'ai pris une claque ce jour là. Ce qui m'a fait acheter la version CPC... une claque là aussi, mais pas pour la même raison. Ceci dit, la version CPC, malgré quelle soit loin de la version Arcade, avec ses qualités (il me semble même que je l'ai fini.). Et plus tard, on me l'avait prêté sur MD. Par contre, j'ai été moins convaincu par ses suites (aussi bien la version de US Gold que celle de Capcom lui-même.)

En tout cas, juste à la vue du nom et de ces quelques captures d'écran ma donné l'envie d'y rejouer... faut juste que je récupère la ROM.

Sinon, par simple curiosité, quel est ton projet ?

Strider, il m'avait super impressioné par ses photos dans la rubrique arcade d'un mag que je lisais à l'époque (Micronews je crois). Il y avait un screen du 2ème niveau avec Hiryu qui affronte le gorille mécanique. Je voulais absolument jouer à ce jeu mais je n'ai jamais croisé la borne.
Finalement, j'y ai joué pour la 1ère fois en ému sous Callus. Et je dois avouer que j'ai été un peu déçu par rapport à l'image mentale que je m'étais faite du jeu. Il faut dire aussi, que la version Amiga, qui m'étais passée entre les pattes entre temps, avait un peu calmé ma "faim" envers ce titre (dans mes souvenirs, cette version est juste moyenne, pas mauvaise, j'en retiens étrangement surtout la voix digit en début de partie : "You defy me ?" ou quelque chose comme ça). Je me souviens surtout reprocher au jeu une sorte de laxisme au niveau des collisions et une représentation de l'action pas très claire. Du coup moi non plus je ne m'y suis jamais investi sérieusement (j'ai failli le faire en achetant la compile Strider 1+2 sur PS mais finalement je suis passé à autre chose). C'est un titre que j'aime bien presque inconsciemment, en pensant plus à son design et à son ambiance et moins aux parties que j'en ai faites.
Bref, c'est l'occasion ou jamais de redonner une chance à ce jeu et de découvrir ses vraies qualités. Je m'y mets ce WE.

Les rares parties que je réussis à m'offrir ces temps-ci sont consacrées à Hydorah, mais je garde ce topic dans un coin de ma tête, Lyle.
D'autant que Strider est effectivement un mythe que je connais à peine, et que ce HIGH SCORE serait une bonne occasion d'y remédier.

Exactement pareil, sauf que je n'avais pas de Megadrive Jap. Je le voyais tourner dans mon centre commercial, devant une ribambelle de bornes NES et, en tête de gondole, la borne Megadrive avec Strider. Avant, j'y avais joué vaguement sur la version CPC, dans un compil où on retrouvait aussi Black Tiger.

Bon je m'y suis mis en vitesse ce matin pendant le biberon du bébé. Après quelques minutes on se fait aux controlles assez raides (sauts dont on ne peut pas modifier l'amplitude) et au coté un peu bordélique de l'action. Il y a quand même des trucs vraiment étranges au niveau des collisions, comme avec les grands lasers des robots araignées du 1er niveau ...
Ce premier niveau, on le dompte finalement en prenant son temps. J'ai même réussi à obtenir le loup robot pendant ma dernière partie (mais je sais pas trop comment en fait). Par contre, quelle est la bonne stratégie contre le boss ? J'y perds quasi systématiquement toutes mes vies. Il faut s'accrocher à un des panneaux latéraux et attendre que la tête du boss passe à portée ?
Bref, là j'en suis à un tout petit 18500 points, au 2ème niveau.

EDIT : 27950 points, toujours au niveau 2. Je suis mort bêtement juste après les robots araignées, et en les re-tuant, je me suis aperçu qu'ils rapportaient un max de points ...

RE-EDIT : bon, en fait, pas besoin de stratégie face au 1er boss, si on y arrive avec 2 modules, ça va très vite ... Par contre, j'ai pas très bien compris comment aborder la descente de la montagne enneigée avec les mines à la fin du 2ème niveau.

Un projet de jeu indie, justement inspiré de Strider. Mais inspiré surtout par le gameplay, parce que pour ce qui est de la mise en scène, on est pas près d'égaler Capcom.

39,350 - Niveau 3



Le boss du premier niveau est clairement très simple. A moins de ne plus avoir qu'une unité d'énergie, autant lui rentrer dedans en mashant, surtout qu'il est pas très résistant.

Pour la descente de la montagne, rien de plus simple. Il suffit de garder le stick à droite jusqu'au saut final. J'adore la "gratuité" de cette scène. C'est vraiment du eye candy pur et ça résume assez bien l'esprit de ce jeu : tout dans la frime, dans l'esbroufe. Vraiment, en 89, avant, et même plusieurs années après (jusqu'à l'arrivée de la 3D ?) je vois pas d'équivalent à Strider. Le côté poseur, c'est devenu très banal aujourd'hui, mais en 2D je vois pas d'autre jeu qui a autant envie de ça. C'est peut-être pour ça que le jeu peut décevoir aujourd'hui, il ne peut par définition plus autant impressionner aujourd'hui. On se focalise alors sur le gameplay et on voit d'abord les problèmes.

C'est un jeu qui veut tout faire à la fois. Il y a pas 2 situations, 2 écrans identiques. La variété au sein d'un même niveau est, là encore, sans équivalent à l'époque. La façon dont les thèmes musicaux donnent l'impression de changer tout le temps, sans transitions, illustre assez bien ce côté "foutoir". Les auteurs ne voulaient rien développer, juste balancer une idée (souvent brillante) ou un court épisode de bravoure puis passer tout de suite à autre chose. Il y a toutefois un très bon travail de transition d'un point de vue visuel, au niveau des enchaînements de séquences, notamment dans le 2ème niveau que j'aime beaucoup.

Pour apprécier Strider, il faut passer outre certaines choses. Il y a un certain nombre de séquences que l'on ne maîtrise que parce qu'on a trouvé comment composer avec les collisions obscures et le système d'accrochage qui, à mon avis, peut poser problème. Une chose que je trouve étrange, pourquoi est-ce qu'on s'accroche automatiquement à une plate-forme ? J'aurais préféré devoir appuyer sur haut pour cela, car il y a des moments où je m'accroche sans le vouloir, et ça me coûte de l'énergie voire des vies.

Et puis comme Seb le dit, il y a des raideurs. Pourquoi avoir diminué la cadence de slash lorsqu'on est accroché ? C'est juste handicapant et ça n'est pas vraiment logique. Il peut sauter soit sur place, soit selon un arc de saut fixe. Aujourd'hui, avec perso aussi athlétique, on s'attend à pouvoir diriger au moins partiellement son saut. C'est assez perturbant ce désir de proposer une maniabilité nouvelle alors que l'on est encore engoncé dans des codes relativement contraignants, même chez les Japonais. Vu sous cet angle, Strider voulait peut-être être trop moderne.

Mais moi, ce qui m'énerve le plus et qui est pourtant tellement typique du Capcom de cette époque, c'est le rank. Lorsque l'on commence à prendre ses marques, on économise des vies. Mais vous pouvez compter sur le jeu pour aller vous les reprendre d'une manière ou d'une autre. Je n'ai pas encore réussi à passer le niveau 2 sans perdre au moins une vie, parce que lorsqu'on y arrive avec son stock au max, le perso en jetpack arrive prématurément et se met à vous canarder lorsque vous êtes dans le passage avec les arcs électriques. Bref, ce jeu est pour moi très semblable à un Ghosts'n Goblins ou un Commando (dans une moindre mesure quand même) : il y est difficile de se fier à quoi que ce soit, l'expérience acquise par la pratique ne garantit pas que l'on va réussir à passer un niveau sans casse. Il est vrai que le type de familiers qui épaule le joueur y est aussi pour beaucoup.

2 questions :

- Avez-vous compris quelque chose au système d'énergie. Il y a des moments où les unités changent de couleurs (lorsque l'on trouve un familier ?), mais je vois pas ce que ça implique.

- Pour l'instant, je suis bloqué à ce qui semble être le boss du 3ème niveau, que l'on affronte en tournant par gravité autour de lui. Je n'ai pas compris comment esquiver ses attaques. Je ne comprends même pas pourquoi je perds de l'énergie. Si quelqu'un sait...

50,450 - Niveau 4

Ah ok, merci. Bon courage alors. ^^

Je n'ai pas encore relancé le jeu, je peux légèrement me planter, mais pour le boss du 3eme niveau, quand tu tournes autour de lui, suffit de viser le centre. Je me rappelle juste de bourriner dans cette séquence. ^^

Pour le boss du premier niveau, comme dit Lyle, c'est de bourriner, le mieux, étant de grimper sur son dos quand il se "transforme" et de viser la tête. Le mieux étant d'avoir l'épée large.

D'ailleurs, me souvient pas boss ou il est question d'autre chose que de bourriner. Peut-être légèrement le big boss. où il faut être un peu plus subtil.

52,300 - Niveau 4



Autant prendre un peu d'avance avant de se faire laminer par J

53,300 - Niveau 4



Je suis mort une séquence où l'on se bat sur le dos d'un dinosaure en mouvement. A partir du 4ème niveau, je me demande comment on peut survivre sans savoir exactement quoi faire à chaque seconde de jeu. Ca sent vraiment le par coeur impératif (et encore, ça suffit pas).

Ca doit bien être la 1ère fois que ça arrive ... je prends la tête du classement !
60850 - niveau 4



Et me demandez surtout pas comment j'ai fait, j'en sais rien du tout
Enfin si, j'ai un peu engrangé les points lors de séquences pas trop pénibles ou les ennemis arrivent en masse, c'est à dire le tout début, les loups au début du niveau 2, ces mêmes loups un peu plus loin, et les gardes armés de lance-roquettes dans un coin calme au milieu du niveau 3 (avant la grosse boule).

Par contre, je sais pas du tout comment j'ai finalement réussi à passer certains passages, comme la boule justement. Après avoir fait 2 ou 3 tours, on se fait systématiquement éjecter (et on perd une unité d'énergie) sans comprendre pourquoi.

Comme dit Lyle, le fait de s'accrocher sans le vouloir est très pénalisant, surtout dans le niveau 3 avec les plate-formes mouvantes ultra rapides et nombreuses qui viennent apporter encore plus de confusion à un jeu qui n'avait pas besoin de ça !

Bref, je pense m'arrêter là pour le défi (je bloque souvent au niveau 3 dans le couloir super étroit ou des boule surmontées de canon et longues à détruire se pointent en nombre alors qu'on affronte en plus des soldats, des lasers et qu'il faut éviter des sortes de pics qui sortent du sol).
Malgré mes critiques, je trouve le jeu sympa, vraiment spectaculaire et j'ai envie de voir ce que les niveaux suivants réservent comme architecture barrée et pièges vicieux.

Descriptions très intéressantes d'un titre tout à fait particulier. Il y aurait plusieurs à ajouter à l'article du site d'ailleurs. Strider est effectivement un jeu qui se détache complètement de son époque, qui marque la grande rupture 84-87 des jeux, un basculement d'époque et de standards graphiques (ainsi que de gameplay avec une plus grande souplesse générale).

Pour moi, Strider est un jeu très cinématographique qui vise une narration visuelle inspirée des films et surtout des dessins animés d'action. Le jeu respire peu, fonce, en met plein la vue mais propose tout de même un gameplay en accord avec ce rythme et cette frénésie visuelle. Maintenant, il demeure effectivement trop imprécis pour autant de choses à faire et autant d'action, ce qui lui donne une difficulté rébarbative (je vous trouve bien courageux de vous lancer dans un défi pareil). Son héritier Cannon Dancer est lui bien plus net et précis dans son gameplay même s'il est sans doute moins charismatique.

Simple up pour mise à jour de classement, sur un HIGH SCORE qui n'avait pas trop marché, étrangement (c'est plutôt un classique). Plus étonnant encore, J n'y est pas premier. Conclusion, une seule solution pour être devant lui : qu'il ne prenne pas part au défi

1 - 60 850 - Sebinjapan
2 - 23 300 - Lyle

Une nouvelle fois, bonne initiative que de remonter ces topics et d'en établir le classement. Je me permets juste de corriger la coquille que tu as faite sur ton score (tu l'as amputé de 30 000 points).

Classement
1 - 60 850 - Sebinjapan
2 - 53 300 - Lyle

Dites donc, ça papote, ça papote autour du jeu, mais pour ce qui y est de se coller au défi highscore, y a pas grand monde : allez hop, dans mon cabas avec AVSP !

Dingue qu'il ait fait un tel flop ce HS. C'est quand même un jeu important dans l'histoire de l'arcade. Je vais m'y remettre.

J’aurais mis le temps avant de poster un score. C’est qu’il n’est pas facile à prendre en main, ce Strider. Pas facile du tout.



51 750 pts – Stage 4 (tout début)

Pas faute d’avoir essayé de battre le score de Lyle, mais j’en ai drôlement bavé pour terminer le stage 3, moins à cause du combat contre la sphère que la séquence d’évasion qui suit et sur laquelle j’ai perdu un nombre de vies proprement hallucinant. Soit ma dernière manette Thrustmaster est moins précise que les précédentes, soit c’est moi qui me suis encroûté au point de perdre les réflexes indispensables pour aborder ce type de jeu… ouais, ça doit être ça ^^

Strider est un jeu étrange, le genre de titres qui défie tous les préjugés que j’ai pu avoir jusqu’ici sur la ligne de séparation entre arcade occidentale et nippone. Une vraie fête foraine pour les yeux… et un sacré bordel niveau gameplay.



Moi non plus, je n’ai jamais vu Strider en arcade. Le jeu est surtout connu par sa conversion Megadrive – on peut d’ailleurs se souvenir des spots TV qui accompagnaient la sortie de la console en France, Strider y figurait en bonne place.

Etant donnée la bonne distribution dont bénéficiaient les jeux Capcom, c’est assez curieux que cette absence des salles d’arcade. J’ai pondu ma petite théorie là-dessus, notamment après ce post de Lyle :



Le héros poseur, qui voltige dans tous les sens, c’est effectivement devenu commun de nos jours. Mais en 1989, la référence occidentale en matière de héros, bah, c’est à peu près l’inverse : Stallone, Schwarzy, Willis… C’est la sainte trinité du biceps saillant et du bourrinage, l’ère du « j’te rentre dedans et j’te pète les dents ».

Dans cette perspective, un type fringué en lycra violet, qui fait des bonds de danseuses pour un oui comme pour un non, c’est sûr, niveau virilité et stéroïdes, ça ne le fait pas. Il risque même de s'attirer des petits qualificatifs pas très sympas, comme celui de « chochotte ».

Et c'est peut-être là que réside le problème : autant jouer chez soi à des jeux de "chochotte" ne pose pas de problème, autant dans les salles d’arcade… aïe, c’est une autre histoire. Ceux qui ont fréquenté ce genre d’endroits – je parle des salles permanentes, comme celles du Boulevard Rochechouart à Paris, pas des salles estivales, où l’ambiance était nettement plus décontractée – le savent : on est jugé par rapport au titre sur lequel on passe le plus de temps. Et vu la faune habituelle rodant dans ces lieux, être pris en défaut sur un jeu de "chochotte" revenait à s’attirer de sérieux ennuis, là, tout au fond de la salle, à côté de la rangée de flippers à l’abandon – tandis que le gérant prend bien soin de regarder ailleurs.

Voilà, c’était mon analyse pseudo sociologique à deux balles pour expliquer la difficulté de trouver Strider en arcade. Si ça se trouve, la borne n’était tout simplement pas produite en quantité suffisante, d’où son absence dans les arcades françaises ^^

Même si en l'occurrence, je n'ai pas participé à celui-ci, ça fait toujours plaisir de voir un topic HIGH SCORE relancé !
Accessoirement, c'est par l'un de nos plus illustres participants, ce qui ne gâche rien.
Si j'ai bien compris tes projets, François, il faut également s'attendre à voir ressurgir le topic Alien versus Predator prochainement ?
D'ailleurs, je pars un peu en HS mais je suis repassé récemment sur le HIGH SCORE de Wonder Boy in Monster Land et je me faisais la réflexion que c'était étrange qu'un connaisseur de Westone comme toi n'ait pas plus creusé ce sublime volet (il me semble que tu t'étais arrêté au niveau 8 ). Ne ressens-tu donc pas au fond de ton p'tit coeur de joueur l'envie impérieuse de mettre un terme au règne du terrible MEKA Dragon ?

Salut.

Pour ton analyse, j'ai pas mal dosé dans la salle d'arcade de St Raphael (le JR's) où Strider était disponible, mais je n'ai jamais ressenti le "jeu pour chochotte", au contraire, le jeu passait super bien je trouve, sans doute du fait de ces codes "cinématiques"... aucune idée...
Bon, après, Paris...

Bref, on eut au moins une PCB de Strider en France! :D
Peut-être que les gérants pensaient que le jeu ne serait sans doute pas assez rentable... (pour un BTA, il n'y a pas de mode 2 joueurs en plus.)

EDIT: Il me semble, mais possible que mes souvenirs me jouent des tours..., que la version que l'on avait au JR's était une version Jap