Merci pour la mise à jour, ce jeu me faisait de l'oeil je vais enfin pouvoir l'essayer.

C'est pas grave Rugal, hésite pas à parler d'un jeu présenté il y a longtemps si tu as des choses à ajouter (bon pour Valken, tout a été dit je crois )

Et comme l'année 2012 s'est Terminée ...


The Terminator
(Mindscape - 1993)



Ce jeu reprend l'intrigue du film du même nom et nous met dans la peau du résistant Kyle Reese qui combat des robots dans un futur ou l'humanité est la proie des machines. On se déplace donc en vue de coté dans des décors représentant un champ de bataille. Notre héros peut s'abaisser, sauter et tirer dans toutes les directions avec un fusil mitrailleur. Les ennemis sont divers types de robots et des machines volantes. Des boss sont également présents bien entendu. Le level design est ultra minimaliste : on avance et on tire, tout en grimpant parfois sur des plate-formes grâce à des échelles. Le jeu est assez dur car les ennemis tirent dès qu'ils apparaissent à l'écran : il est quasi impossible d'éviter leurs tirs si on ne sait pas précisément ou ils vont apparaitre. L'action est très répétitive bien que certains niveaux nous placent parfois dans un véhicule pendant de courtes séquences.
The Terminator est donc un side-scroller réduit à sa plus simple expression : dépouillé et franchement peu passionnant. Certains titres s'en sortent avec cette recette minimaliste en compensant avec une réalisation exceptionnelle, comme Rendering Ranger. Mais ici, et malgré un scrolling très fluide, on est loin des exploits du titre de Manfred Trenz. Le sprite du héros est hideux, son animation ratée, les ennemis ne ressemblent souvent à rien, les décors sont tristes, sombres et répétitifs et surtout, SURTOUT, des bruitages atroces comme le "boing" entendu lorsqu'on saute ou le bruit de l'arme du héros qui est in-su-por-ta-ble (problème d'émulation ?).
Les choses s'améliorent un peu dans le second niveau qui voit Kyle Reese revenir dans le passé et se battre contre des loubards dans les rues de Los Angeles, tandis que les phases de plate-forme se font un peu plus présentes et qu'on trouve même un peu d'exploration. Le jeu est toujours aussi laid et mal animé et sa jouabilité toujours aussi approximative mais on prend un peu plus de plaisir ... un peu seulement.
Mediocre


T2 : The Arcade Game
(Probe / Acclaim - 1993)



Tiré du célèbre film Terminator 2, "T2 : The Arcade Game" est comme son nom l'indique une borne d'arcade qui se joue en tirant sur l'écran armé d'un gros flingue équipé d'un lance-roquettes. Cette adaptation Snes gère heureusement le Superscope, et même la souris Snes, contrairement au catastrophique Revolution X du même éditeur. Sans ces accessoires mieux vaut tout de suite passer votre chemin, la jouabilité étant abominable au pad.
On se retrouve donc avec un titre de la trempe de Operation Wolf, mais se déroulant dans un futur apocalyptique ou il faut aider la résistance à lutter contre des robots. Nos compagnons d'arme apparaissent d'ailleurs à l'écran et il faut éviter de leur tirer dessus, ce qui n'est pas toujours évident car il prennent une bonne partie de l'écran. Certains gros ennemis (avions, chars) peuvent être détruits en un coup avec le lance-roquettes (munitions limitées) à condition de bien viser : la roquette allant alors "accrocher" la cible. Plus tard dans le jeu, on voyage dans le temps pour continuer à se battre à notre époque. Des boss sont aussi présents. La particularité du jeu est de diviser implicitement l'écran en 2 (la séparation n'est pas apparente) : chaque joueur ne peux être touché que par les ennemis tirant dans sa partie de l'écran alors qu'il peut quand à lui tirer ou il veut. En solo, on est donc invulnérables aux ennemis se trouvant dans la partie droite de l'écran. C'est assez troublant mais original.
Graphiquement c'est assez convenable mais les animations se font très discrètes. L'ambiance sonore est plutôt morose. Personnellement, j'ai du mal à accrocher à ce jeu assez fouillis dans lequel on ne comprend pas toujours si on touche sa cible ou si on est sois-même victime du feu ennemi, l'histoire de l'écran séparé en 2 n'aide d'ailleurs pas à s'y retrouver. On reprochera aussi une absence totale d'options et de modes de jeu alternatifs.
Moyen


Terminator 2 : Judgement Day
(Bits / LJN - 1993)



Second jeu tiré du film Terminator 2, ce soft propose 2 types d'action en fonction des niveaux traversés. On se retrouvera ainsi à incarner le T800 vu de coté qui doit retrouver des objets au sein de niveaux très courts mais dans lesquels les ennemis pullulent. Pour s'en sortir, on peut sauter, s'abaisser, frapper, puis tirer dans toutes les directions une fois qu'on a acquis une arme. La maniabilité est très raide et le héros a bien du mal à sauter. Pire : il est très lent alors que les ennemis eux gambadent comme des lapins et ré-apparaissent sans relâche. A partir du second niveau en side-scroller, le T1000 apparait régulièrement en "morphant" depuis une flaque de métal en fusion et il vaut mieux le plus souvent fuir.
Dans d'autres niveaux, on conduit un véhicule, d'abord une moto, dans des phases vues en pseudo 3D isométrique, et il faut se rendre à un point précis en suivant les indications peu claires d'un radar. Le véhicule se déplace ridiculement vite mais comme le trafic n'est pas bien soutenu, on n'a pas trop de problème à éviter les différents obstacles. Le plus dur en fait pendant ces phases sera simplement de tourner car, ici aussi, la maniabilité est très pénible.
Techniquement, Terminator 2 est indigne d'une Snes. Les graphismes sont moches et surtout les animations font peine à voir. Le héros se déplace n'importe comment, raide comme un piquet, mais c'est pire encore pendant les phases en véhicules puisque ces derniers, minuscules et affreux, ne bénéficient d'aucune animation. En fait, le jeu fait énormément penser à un titre 8 bits de qualité discutable. Ainsi les phases en véhicule m'ont fait penser à Action Biker que Atari Frog m'avait fait découvrir sur son groblog ... en moins bien ! Idem pour les phases en vue de coté : sorties telles quelles sur un Amstrad CPC, ça aurait pu passer, mais on leur aurait reproché de manquer de punch par rapport à un Trantor ou un Savage !
Reste quelques clins d'oeils sympas pour les fans du film. Ainsi, si on laisse tourner l'intro, on verra le héros apparaitre nu dans le décor du 1er niveau et s'aventurer jusqu'au premier bâtiment alors qu'un élément du décor ou un sprite passant au 1er plan cache toujours ses parties intimes, à la Austin Powers ! Mais bon, ce n'est pas ça qui va me faire vous recommander ce jeu ...
Mediocre


Tant qu'on y est, on continue avec du Schwarzy ...


True Lies
(Beam Software / Acclaim - 1994)



Dans cette adaptation du film de James Cameron, on incarne un agent secret du gouvernement américain, lui-même incarné par Scharzy à l'écran, qui doit mettre fin à une menace terroriste en remplissant diverses missions. Le jeu est un shoot pédestre mâtiné d'un tout petit peu d'exploration, représenté en vue de dessus selon un scrolling multidirectionnel. On doit se frayer un passage l'arme au poing en arrosant de balles les innombrables ennemis, eux aussi lourdement armés, et devant accomplir un objectif comme arriver à un certain endroit ou trouver un objet (rien de bien compliqué de ce coté là). Schwarzy peut tirer dans toutes les directions, "locker" son tir dans une direction particulière en se déplaçant librement, changer d'arme (on trouve des pistolet-mitrailleurs, fusils à pompes ou des grenades, attention les munitions sont limitées) et effectuer une roulade très (trop) pratique pour esquiver les tirs ennemis. Il faut prendre garde à ne pas faire un carton sur les nombreux civils qui arpentent les lieux : 3 d'abattus et on recommence le niveau. Les niveaux sont longs et nombreux et on trouve une séquence spéciale (pas super maniable) dans laquelle on dirige un avion.
A première vue, True Lies semble être un bon jeu dans la veine de Chaos Engine (en solo uniquement cependant ici). Les graphismes sont très réussis avec des sprites rondouillards et détaillés qui s'étalent dans une gerbe de sang, et des décors variés (manoir, grand magasin, paysage enneigé ...). Les animations sont correctes, tout comme la maniabilité. La jouabilité est bonne également, on remarque même que les ennemis se mettent parfois à couvert et les civils, bien gênants, nous obligent parfois à attirer les terroristes quelque part pour les descendre tranquillement. Cerise sur le gâteau : le jeu n'est pas dénué d'humour et quand on abat un civil par mégarde, le chef nous rappelle à l'ordre en nous disant qu'il n'est pas très populaire de tuer des innocents alors qu'il est en campagne électorale !
Malheureusement, le jeu souffre également de quelques défauts qui, au final rendent l'expérience pas franchement passionnante. On a déjà un coté un peu répétitif renforcé par la longueur des niveaux et le fait que les ennemis soient souvent toujours les mêmes. Et surtout, il y a le soucis de la roulade. En fait, on s'aperçoit vite que cette dernière nous rend quasi invincible dans de nombreuses situations et permet de finir les niveaux beaucoup plus rapidement qu'en flinguant les ennemis. Et rien n'est là pour dissuader le joueur d'en abuser : ainsi, pas de score à l'écran qui viendrait récompenser un petit massacre en règle par exemple. On sent bien que les développeurs n'ont pas implémenté la roulade dans le game design pour que le joueur s'en serve à tort à travers. Ainsi par exemple, la séquence de fin du 1er niveau nous propose de nous échapper dans une foret enneigée alors qu'on est coursé par tout un tas d'ennemis. Les munitions et médikits disposés régulièrement prouvent qu'on est censés se battre comme un dingue et arriver au bout de la séquence à bout de souffle. Seulement, appuyer continuellement sur le bouton de la roulade, permet de finir le niveau en un rien de temps et sans une égratignure.
Bref, il ne manquait à True Lies que quelques petits réglages pour être vraiment bon. En l'état il reste un bon petit défouloir mais son gameplay cassé par la roulade et un peu trop répétitif (Chaos Engine propose par exemple un level design plus varié et efficace) déçoit. Moi j'aime bien quand même.
Moyen


Et le bon jeu de la semaine :


Twisted Tales of Spike Mc Fang / Chou Makai Taisen Dorabo Chan
(Red / Naxat / BPS - 1993)



Spike Mc Fang est le nom sous lequel est sorti aux USA le jeu Dorabo Chan, qui est la pseudo-suite de Makai Prince Dorabo Chan, un jeu de plate-forme / action plutôt réussi sur PC Engine.
On dirige Spike, le prince d'un royaume attaqué par un voisin un peu trop ambitieux. Il se prend un peu pour Dracula avec sa cape et ses canines proéminentes, mais rassurez-vous, c'est au jus de tomate qu'il carbure, des tomates en effet lui servent de points de vie. Le jeu est vu de dessus, à la manière d'un action-RPG comme Soulblazer ou Legend of Zelda. Spike peut tournoyer sur lui-même pour frapper tout autour de lui ou lancer son chapeau sur ses ennemis. Il doit débarrasser de très vastes niveaux (on aurait bien aimé une carte) de nombreux ennemis et parvenir au boss. Avant de s'engager dans la bataille, il peut visiter des villages pour recueillir des informations et acheter de l'équipement. On trouve de nouveaux chapeaux, plus puissants, mais aussi des cartes à jouer qui donnent en fait des pouvoirs pendant quelques instants (invisibilité, lancer des boules de feu ...). Attention car ces cartes sont distribuées au hasard. Enfin, chaque ennemi vaincu rapporte de l'argent et des points d'expérience pour devenir plus fort et plus résistant.
Spike Mc Fang fait énormément penser à Alcahest sorti sur la même machine un an plus tôt. Même représentation et même gameplay basé principalement sur l'action mais avec pas mal d'exploration (cléfs à trouver, personnages à rencontrer). On trouve également de nombreux dialogues et cut-scenes afin de motiver la progression et, surtout, le même système de compagnon dirigé par le CPU qui nous suit à la trace et attaque à nos cotés. La différence ? Le design graphique bien sur, beaucoup plus mignon, et surtout l'humour. Spike Mc Fang est rempli de situations absurdes et de dialogues décalés. Ainsi, dans le 1er niveau, Spike se retrouve face à un bonhomme qui l'envoie valser avec un coup de pied aux fesses qui le fait passer à travers un mur et accéder à la suite du niveau. On trouve également un dialogue qui rappelle les échanges entre Han Solo et Chewbacca quand Spike interprète les grognements de son copain le monstre-batracien comme des informations très précises.
Bien réalisé, jouable, pas trop difficile et vraiment attachant, Spike Mc Fang est un très bon jeu, malheureusement peu connu, que je vous recommande chaudement.
David consacre un article à la version japonaise ici : http://grospixels.com/site/dorachan.php
Bien


Et Bonne Année 2013 à tous !

J'avais déjà un peu essayé The Terminator il y a longtemps. C'est vrai qu'il est pas terrible... Et les bruits de l'arme et du saut sont effectivement ratés de chez raté, à se demander si effectivement ce ne serait pas un problème d'émulation... Et les robots poussent des gémissements de zombis... Et puis surtout, il n'y a même pas LA musique de Terminator ! C'te scandale.

Aujourd'hui, une thématique "sports de combat".


TKO Super Championship Boxing
(Sofel - 1992)



Kentou Ou World Champion
(Sofel - 1992)



Ce jeu de boxe vu de coté ne s'embarrasse pas d'un gameplay complexe puisqu'il suffira au joueur de diriger son sportif dans le ring et d'appuyer au bon moment sur l'un des 2 seuls boutons gérés pour balancer un coup de poing au petit bonheur la chance. En fonction de la distance entre les combattants, l'animation du coup porté sera différente tandis que les parades et esquives semblent sortir plus ou moins automatiquement. Et aléatoirement. Il en résulte un gameplay assez brouillon et pas franchement passionnant. Techniquement les graphismes sont corrects mais l'unique musique est très énervante. Entre les combats, on peut augmenter les caractéristiques de son boxeur en choisissant un entrainement (non interactif) adéquat, ce qui sera l'occasion d'admirer quelques écrans intermédiaires.
La version japonaise (Kentou Ou World Champion) est différente sur de nombreux points avec des portraits de personnages différents, tout comme la couleur des sprites, une intro avec quelques illustrations, d'autres écrans intermédiaires et surtout une jouabilité différente puisqu’ici on ne frappe qu'avec un seul bouton, le second servant à s'agripper à son adversaire. Les options permettent également de redéfinir ses touches mais les 3 niveaux de difficulté présents dans la version US ont disparu.
Mais dans un cas comme dans l'autre, ce jeu de boxe reste peu amusant à pratiquer.
Mediocre


Tenryu Genichiro no Pro Wrestling Revolution
(Jaleco - 1994)



On ne va pas s'étendre très longtemps sur ce jeu de catch puisqu'il s'agit en fait de la version originale japonaise de Hammerlock Wrestling (chose que j'ignorais lors de cette présentation). Genichiro Tenryu fait partie des légendes du catch japonais au même titre que Antonio Inoki ou Giant Baba. Il s'est distingué à la All Japan Pro Wrestling dans les années 80 en faisant équipe avec Jumbo Tsuruta puis en affrontant ce dernier lors d'une rivalité qui a donné certains des meilleurs matches de catch de tous les temps. En occident certains fans le connaissent surtout du fait qu'il soit l'un des rares japonais ayant participé à un Wrestlemania (le 7ème). Il a ensuite formé sa propre fédération, la SWS, qui a malheureusement rapidement fait faillite. Tenryu a cependant rebondi et fondé une seconde fédération, la WAR ("Wrestling And Romance", si si !) qui était en activité lors de la sortie de ce jeu. Pourtant ce dernier ne propose aucun autre catcheur issue de ses rangs : le roster est en effet composé de catcheurs fictifs (fortement inspirés de vraies stars de l'époque) et de Tenryu lui même.
En dehors de la page d'intro, le soft est 100% identique à Hammerlock Wrestling, je vous renvoie donc à la critique de ce dernier pour plus d'infos ...
Mediocre

(si une partie du texte ci dessous vous semble familière, c'est que vous êtes un fidèle lecteur de Grospixels, bravo à vous)


Tsuppari Oozumu
(Tecmo - 1993)



Ce jeu de sumo est la suite d'un titre sorti sur NES et ayant eu pas mal de succès (là ou vous savez). Il permet à un ou deux joueurs de combattre en suivant les règles finalement très simples de ce sport : s'empoigner et se pousser pour soit mettre à terre soit faire sortir de l'aire de combat son adversaire. Plusieurs lutteurs aux caractéristiques différentes sont présents pour les parties multijoueur qu'on peut disputer en matches simples ou en "team battle" en choisissant plusieurs combattants qui vont se passer le relai. Le combat se déroule sur un seul plan (pas de déplacement en profondeur) et le joueur peut simplement diriger son perso vers la droite ou la gauche et le faire agir avec 2 boutons. A distance, ces boutons serviront à donner des claques et à faire une charge vers l'adversaire. Au contact, il faudra bourriner l'un des 2 boutons pour soit pousser son adversaire, soit tenter de le soulever pour le projeter. L'autre joueur fait de même en tenant de contrer (on contre une poussée avec une tentative de projection et inversement). Si l'attaque est réussie, on diminue l'énergie de son adversaire qu'on pourra ensuite finalement mettre à terre ou éjecter hors du "ring". Le gameplay est donc très simpliste, un peu à la manière des tout premiers jeux de catch.
Ce qui rend Tsuppari Oozumu sympathique comme tout, c'est sa mise en scène et son humour. Chaque lutteur entre en scène avec une animation différente et les diverses prises, réussies ou non, donnent lieu à des mimiques très amusantes. Il faut voir les énormes sumo tourner sur eux-même comme des ballerines après avoir été poussés violemment, ou fissurer le sol après s'être effondrés lourdement. Ajoutons à cela la présence de 3 décors différents : un "ring" de sumo classique, mais aussi une plage et le sommet de la tête de la statue de la liberté ! Dans ce dernier décor, on peut projeter son adversaire dans le vide, ce qui occasionne encore une petite animation bien marrante. La réalisation est correcte avec des sprites au design enfantin et coloré et des bruitages et musiques parfaitement adaptés. On est bien entendu assez loin de la finesse graphique et du réalisme de Oozumou Tamashii.
Tsuppari Oozumu est donc à essayer le temps d'une franche rigolade, même son gameplay ultra simpliste basé sur le matraquage de boutons en limite fortement l'intérêt.
Moyen


Taekwondo
(Human - 1994)



Cette simulation de Taekwondo, le célèbre art-martial coréen devenu discipline olympique depuis peu, dispose de la même présentation qu'un jeu de baston classique. Mais pas de boules de feu ici, on va s'affronter dans le respect des règles. Il faudra toucher son adversaire un certain nombre de fois, ou le mettre au tapis suite à une contre-attaque furieuse ou encore le faire reculer jusqu'à ce qu'il sorte du ring. Les 4 boutons du pad sont utilisés pour sortir des coups divers qui varient en fonction de sa position et de celle de l'adversaire, on peut également sauter, esquiver, faire des "dash", ou changer de position de combat ("flamingo"). Des techniques avancées existent pour enchainer des coups et nécessitent parfois des combinaisons un peu plus complexes (quart de tour). Les possibilités sont donc nombreuses. Les combattants présents ont chacun leurs forces et faiblesses et un style qui leur est propre, plus porté sur les sauts ou les contre-attaques par exemple.
Les modes de jeu présents permettent d'affronter le CPU ou un joueur humain lors de tournois en solo ou par équipe. Il y a aussi un tutorial et on peut également créer un perso et lui attribuer des points dans divers caractéristiques et également choisir ses coups, mais l'interface n'est pas très claire et la langue pose un peu problème évidemment. A ce propos, notons l'effort de Human qui propose tous les textes à l'écran non seulement en japonais, mais aussi en ... coréen ! Bon, OK, ça ne va pas avancer grand monde ici ! La réalisation est moyenne, manquant un peu de couleurs, sans effets tape-à-l'oeil ni exploits techniques notables, avec des sprites assez grands et des animations lisibles et fidèles à la réalité quoi que manquant un peu d'étapes et de fluidité. En tout cas ça bouge bien et les commandes répondent sans problème.
On peut comparer Taekwondo avec Panza Kick Boxing (c-a-d "Best of the Best"), mais en plus nerveux, plus rapide, avec des commandes qui répondent mieux et une meilleure détection des collisions. Si vous appréciez Panza, vous aimerez surement ce jeu.
Assez Bien

Taekwondo me tente depuis pas mal de temps. Tout ce qui m'a retenu jusqu'à maintenant, c'est que Human tape plutot dans la simu arcade, et que ce jeu ne doit pas échapper à la règle.

Je ne sais pas ce que tu entends par simu "arcade". Tu veux dire trop simpliste ? (ce n'est pas ainsi que je défini le terme, mais je sais que c'est ce qu'entendent certaines personnes). Pourtant, les Human GP et les Fire Pro sont tout sauf simplistes, et certains épisodes pas super abordables (comparés à d'autres titres du genre, forcément pour le Taekwondo, j'ai pas d'autres titres pour comparer, sur la même génération de machines je veux dire, sauf éventuellement Panza donc).

Je ne sais absolument pas pourquoi j'ai écrit "arcade" derrière "simu" . Je voulais dire que Human faisait plutot des simu et qu'un mec pas trop simu comme moi ne trouve pas son compte dans un jeu trop simu.

Ah oui, là c'est plus clair. Dans ce cas, tu ferais bien d'essayer en ému avant de craquer pour la cartouche, car ça ne se joue clairement pas comme un SF2 ...

Tain, dommage qu’il soit médiocre le terminator, je me rappelle avoir bien bavé à l’epoque sur les passages avec la jeep et la mitrailleuse

Terminator 2 : Judgement Day , rhaaa l’image dans le parking avec la caisse, ca fait très rolling thunder. J’ai envie de jouer à ce jeu maintenant

Pour True Lies, t’as essayé de jouer sans la roulade du coup ? il vaut quoi alors ? Parce que bon , c’est pas parce que y’a des gros cheats qu’il faut en abuser mr ^^

Pour le TKD, olympique depuis peu je sais pas. Démo en 88, officiel depuis 2000. 12 déjà quand même
Par contre j’ai jamais compris pourquoi on parle de flamingo pour la position de combat. Quand j’ai pratiqué on a jamais utilisé ce terme oO. La 1ere fois que je l’ai vu c’est dans tekken 3


Si un peu

_________________

Nan, mais laisse tomber, le T2 est affreux sur SNES. Si tu dois absolument prendre un Terminator, prends The Arcade, même si la conversion est moyenne, il n'est pas si mauvais. Et pouvoir y jouer à la souris est un bon point sur nos écrans HD ne supportant pas le Superscope.

Reçu Battle Cross aujourd'hui. Un très bon jeu, vraiment, très amusant, du niveau d'un Bomberman ou d'un Moto Roader je pense. Un petit défaut: une fois rentré dans un mode, on ne peut pas en sortir sans faire reset de la console, je déteste ça. Un plus gros défaut: pas de mode carrière ou arcade, on ne peut que jouer seul au mode multi. Un peut moins grave que dans DBZ 3 par exemple, car on peut quand même enchainer les courses, et les multiples animations inter niveau rendent le tout très sympathique.

Par contre, y'a une espèce de mode paris, genre tiercé, j'ai rien compris...

(à moins que le mode Pac-Man soit le mode solo?)

J'ai t2 sur gb qui me va très bien mr ^^

Il est trop moche sur GB je trouve.

Si, le mode solo est le second menu, en haut à droite (le multi, appelé "Battle" est en haut à gauche). Le jeu te dit alors d'entrer un password, mais tu peux faire START pour commencer au début.

En tout cas, bravo pour ta collection : avec Battle Cross et le puzzle game SD Gundam, ça a de la gueule !

Aujourd'hui : foot et pizza !



Tactical Soccer
(Electronic Arts - 1995)



Étrangement uniquement sorti au Japon bien que mettant en scène des équipes internationales, ce jeu de foot édité par EA (mais développé par une équipe nippone) dispose d'un gameplay qui fait plus penser à celui d'un jeu de stratégie en temps réel comme Dune 2 qu'à une simulation de ballon rond classique. En effet, les matches se déroulent donc sous nos yeux sans qu'on puisse interrompre l'action et sont représentés dans une petite fenêtre en haut de l'écran (avec un moteur de jeu qui fait un peu penser à ISS, en moins joli). Le joueur intervient en donnant des directives par l'intermédiaire des boutons de la manette, comme forcer au centre, jouer sur les ailes, revenir en défense, faire une passe longue ou courte ... En fonction de ce qu'on a choisi, il est possible d'appliquer l'ordre à un joueur particulier (qu'on sélectionne en déplaçant un curseur avec la croix du pad), au joueur en possession de la balle, à une partie de l'équipe (défense, milieu de terrain, attaque) ou à toute l'équipe. Le tout se fait relativement simplement avec des combinaisons de boutons. Lors des arrêts de jeu (fautes, balle en touche ...), on peut revoir sa formation en disposant précisément chaque joueur sur le terrain.
Bien que le jeu soit en japonais, la plupart des menus de l'interface sont en anglais, ce qui permet de s'adonner à Tactical Soccer sans trop de problème. Au final, on a donc entre les mains une sorte de variante des Captain Tsubasa de Tecmo, avec plus d'action, et moins de fantaisie (et de charisme). A essayer éventuellement, mais j'avoue ne pas avoir trop accroché, ayant trouvé le CPU beaucoup trop rapide et agressif pour qu'on puisse réellement établir une stratégie et apprécier les résultats de ses choix pendant les matches.
Moyen


Takeda Nobuhiro no Super League Soccer
(Jaleco - 1994)



Nous avons ici un jeu de football de qualité très discutable qui fait suite au deux "Super Goal" et qui met en scène des équipes du championnat japonais. La représentation aérienne avec terrain vu verticalement rappelle un peu Super Formation Soccer, avec ici des zooms arrière lors des balles aériennes. Ces zooms sont mal implémentés et apportent beaucoup de confusion car il est bien difficile de déterminer la position de son joueur par rapport à la balle. En attaque la jouabilité est assez correcte avec un bouton de tir, un bouton de passe aérienne, un bouton de passe au sol et un bouton de passe assistée (la balle va automatiquement vers le joueur surmonté de l’icône "pass"). En défense, on regrette que la sélection du joueur le plus proche du ballon ne se fasse pas automatiquement, il faut en fait le choisir sois-même avec les touches L et R. L'animation est rapide et il est à peu près possible de construire un jeu mais les possibilités sont ultra limitées.
La réalisation est pauvre si on compare avec des titres comme ISS, avec des sprites sans finesse, des sons peu variés, et des animations des joueurs très limitées. On trouve parmi les modes de jeu un championnat, un mode exhibition, une coupe paramétrable et un éditeur pour renommer les joueurs et même éditer leurs caractéristiques en répartissant des points. Il y a aussi un entrainement à diverses phases de jeu supervisé par Nobuhiro Takeda, le joueur japonais qui prête son nom au jeu.
Les parties peuvent se disputer contre un ou plusieurs adversaires humains puisqu'on peut jouer à 4 simultanément. Et heureusement car l'intelligence artificielle du CPU est assez risible.
Bref, un jeu de foot qui ne se foule pas trop et qu'on oubliera vite, tout comme ses 2 prédécesseurs.
Mediocre


Total Soccer
(Domark / Acclaim - 1995)



Total Soccer est un jeu de football assez correct sorti sur Amiga et Megadrive, et arborant une vue en 3D isométrique à la FIFA Soccer. Il est l'oeuvre d'un certain Richard Walker à propos duquel je n'ai pas trouvé d'information concernant d'éventuelles autres réalisation. La version Snes ici présente est l'oeuvre d'un duo largement plus connu : Jon Ritman et Bernie Drummond. Si on retient surtout de ces deux là leurs jeux d'action/aventure en 3D isométrique comme Batman et Head Over Heels, on oublie parfois qu'ils ont réalisé 2 des tout meilleurs jeux de foot de l'ère 8 bits pré-Kick Off avec Match Day et Match Day 2. Et cette version Snes, très différente des 2 autres versions en dehors des menus et des équipes nationales présentes, a un feeling particulier qui risque de rappeler quelques souvenirs à certains ...
Total Soccer sur Snes donc, permet à jusqu'à 5 joueurs humains de s'affronter en choisissant la représentation du match. En effet, la vue utilisée peut être verticale à la Kick Off, horizontale à la ISS (ou à la Mach Day, donc), ou en 3D isométrique comme sur les autres versions du jeu. Il y a enfin une dernière vue "dynamique" pas très jouable avec la caméra qui tourne autour des joueurs en fonction de l'action. Le toucher de balle est particulier. A première vue, ça ressemble à Sensible Soccer, avec une balle qui ne colle pas vraiment au pied, mais elle est tout de même difficile à prendre à l'adversaire. Il y a en fait un certain flottement de la balle en l'air, ainsi que des rebonds très exagérés qui rendent le jeu assez imprévisible, mais fun, et qui rappellent là encore vraiment les Match Day. Les différents boutons du pad permettent de passer à terre ou en l'air, d'accélérer, de tirer ou de tackler. Têtes plongeantes et retournés acrobatiques sont bien entendu de la partie. La jouabilité est correcte, sans plus : on est loin d'un ISS ou d'un Excite Stage et de plus on est forcé de déplorer quelques défauts ennuyeux comme des gardiens très mauvais (on peut choisir de les contrôler). Autre soucis en jouant contre le CPU : à moins d'affronter des équipes très faibles, le niveau de ce dernier est vraiment élevé. En effet, en plus de courir vite et de tirer juste, ses joueurs réalisent des gestes techniques comme lever le ballon et l'envoyer un petit peu plus loin pour se défaire d'un défenseur puis enchainer avec une passe ultra-précise : des gestes qu'un joueur humain aura bien du mal à réaliser.
Techniquement, c'est laid et tous les joueurs se ressemblent. Mais ils sont aussi bien animés et le scrolling est fluide et rapide. L'action également d'ailleurs, ce qui donne l'impression de joueur sur un petit terrain et rend le feeling du jeu très "arcade" finalement. Au niveau des options, on trouve moulte stratégies éditables et diverses compétitions, mais également la possibilité de ne contrôler que 1 seul joueur dans son équipe.
Bref, ce Total Soccer, loin d'être parfait, se laisse jouer, surtout si on est un peu nostalgique des jeux de foot 8 bits qui sortaient avant que Kick Off, puis FIFA et ISS imposent de nouvelles façon de pratiquer le foot en jeux-video. Malheureusement, cette version Snes de Total Soccer n'est jamais sortie dans le commerce et c'est d'une version BETA qu'il faudra se contenter. Elle semble toutefois finalisée mais ne fonctionne pas sur tous les émulateurs.
Moyen


Teenage Mutant Ninja Turtles 4 : Turtles in Time
(Konami - 1992)



Ce soft est adapté librement du second beat-them-all Konami sorti en arcade dans lequel on incarne les Tortues Ninja. Les différences avec la borne sont toutefois assez nombreuses, avec quelques niveaux différents, des ennemis en plus et un gameplay légèrement modifié, ce qui rend cette version Snes très intéressante bien qu'elle soit techniquement un peu inférieure à l'original et surtout qu'elle ne permette malheureusement pas de jouer à 4 simultanément.
Dans Turtles in Time donc, un ou deux joueurs peuvent se battre contre une multitude d'ennemis dans des niveaux représentant d'abord les rues de New York, puis d'autres lieux situés dans le passé (un bateau pirate, un train au far-west ...). Deux boutons suffisent à réaliser de nombreux coups : Y pour frapper et B pour sauter. Appuyer simultanément sur les 2 boutons déclenchera une attaque spéciale consommant de l'énergie. Il est également possible de courir (et d'enchainer diverses attaques en courant), et de réaliser combos et projections au contact. Projections et coups diffèrent en fonction des directions choisies sur le pad au moment ou on appuie sur Y, et avec un peu d'entrainement on parviendra à réaliser une choppe qui envoie l'ennemi vers l'écran avec un effet de zoom bien sympathique. Le gameplay est rapide et nerveux, les ennemis sont parfois assez nombreux à l'écran, et quelques pièges sont présents dans le décor (tonneaux explosifs, bouches d'égout dans lesquelles on peut tomber ... etc ...). La jouabilité se révèle excellente à tous moments.
La réalisation ne souffre d'aucun défaut : les couleurs sont vives, les décors assez détaillés et les animations des personnages très nombreuses. Et ce dernier point participe énormément au plaisir procuré par ce jeu, avec des animations particulièrement humoristiques comme des étoiles tournant autour d'une tortue sonnée ou bien une tortue qui sautille de douleur en se tenant le pied après avoir marché sur des pics.
Cependant il faut noter que le jeu n'est pas très long et pas difficile du tout, surtout à deux. Les boss ne sont jamais trop dangereux contrairement aux beats Capcom. On fait donc rapidement le tour du jeu. On pourra lui reprocher également des ennemis trop peu variés. Pour compenser un peu, on trouve des séquences en scrolling forcé ou les héros sont sur des planches de surf (rassurez vous, c'est plus facile que dans Battletoads !). Pour prolonger la durée de vie, on trouve aussi un mode "versus" à la Street Fighter 2 mais, comme souvent des ces titres, il est sans intérêt.
Ce Turtles in Time est donc un beat-them-all accessible, pas prise de tête, mais très bien rythmé et extrêmement jouable et amusant. C'est à la fois l'un des meilleurs titres du genre sur 16 bits et certainement le meilleur jeu jamais crée autour des Tortues Ninja. Un indispensable de la Snes.
Deux petits conseils pour ceux qui n'ont jamais joué à ce jeu : dans les options, régler la course (dash) en manuel (appuyer 2 fois de suite dans une même direction pour courir) et mettre le niveau de difficulté sur "hard".
Tres Bien


Teenage Mutant Ninja Turtles : Tournament Fighters
(Konami - 1993)



Appelé "Teenage Mutant Ninja Turtles : Mutant Warriors" au Japon, ce jeu met en scène les célèbres Tortues Ninja dans un beat-them-up calqué sur Street Fighter 2. On se bat avec 2 boutons de poing et 2 boutons de pied, les coups normaux sont nombreux, et les coups spéciaux s'exécutent avec des manœuvres comme le quart de tour au pad suivi d'un bouton. Les personnages disponibles sont les 4 tortues (rassurez vous, elles ont toutes des coups différents), leur infâme ennemi de toujours le ninja griffu Schreder, ainsi que quelques autres énergumènes, des mutants pour la plupart, venus du dessin animé ou du comics sans pour autant en être des figures récurrentes. Une femme ninja totalement inédite est également présente.
Autant dire de suite que ce titre n'apporte rien de plus au genre : pas de système de combat inédit ni de modes de jeu farfelus. Il lui faut donc s'imposer soit par une jouabilité parfaite, soit par une réalisation réussie. Konami nous offre les deux ici. Les graphismes sont réussis, les décors variés et colorés, les sprites parfaitement reconnaissables et les musiques entrainantes. Quand à la jouabilité, elle ne souffre d'aucun défaut : les combos sont là, les coups sortent sans problème, on peut choisir entre 3 vitesses de jeu, la détection des collisions est précise et enfin chaque perso peut sortir une furie dévastatrice en remplissant une barre de super. Une petite remarque à ce propos : ici la furie est réellement redoutable et de plus très facile à réaliser (appuyer sur 2 boutons en même temps, c'est tout) ; la barre de super se remplit donc en contrepartie très lentement, sauf si l'adversaire ne fait que se mettre en garde, auquel cas elle se remplira plus vite. Ce petit détail permet d'assez bien rythmer les joutes je trouve.
Au niveau des modes de jeu, en plus du versus et du mode normal dans lequel on affronte tous les persos dirigés par le CPU, il y a un mode histoire dans lequel on est obligé d'incarner l'une des tortues. Ce mode propose une petite histoire illustrée par des cut-scenes et des dialogues.
Ce soft est donc un bon jeu de combat qui ne laissera indifférent que ceux qui n'ont que faire de ces Tortues Ninja et qui risquent au passage de trouver la moitié des persos présents ici absolument pas charismatiques du tout. Pour les autres, et surtout pour les fans du dessin animé, c'est une valeur sure du genre. Notons au passage que la version Megadrive de ce jeu est différente (autres persos, autre gameplay) et largement moins réussie.
Bien

Merci pour l'info, sans toit je ne serais plus jamais retourné dans ce que je pensais être l'écran de password. La même semaine je revend Moto Roader MC, je reçoit Battle Cross. Comme quoi, quand le destin nous ferme une porte, il nous ouvre une fenêtre...

Astuce de fainéant: les password jap, je les prend en photos. Merci le numérique. Quand je pense qu'à l'époque je notais les passwords du 1° Goemon à la main...

Pour Tournament Fighters, les 3 versions sont complètement différentes. La version MD est très spéciale niveau graphismes, je sais pas trop d'ou leur est venue l'inspiration.

Il existe aussi une version Megadrive, sortie sous le nom de Hyperstone Heist et qui est une adaptation encore plus libre de la version arcade, avec des niveaux totalement remaniés


Comparatif Megadrive-Snes

Turtles in time est un grand jeu, juste un petit peu trop facile.


J'ajouterai que il vaut mieux mettre le mode "comics" dans les paramètres, les tortues sont beaucoup plus classes comme ça.

Turtle in time je me rappelle pas qu'il soit si facile que. Surtout que de mémoire faut le finir dans la difficulté max pour avoir la fin

Par contre je préfère quand même le 1er en arcade


Pour Tournament, la femme ninja c'est pas April ? Il me semble que j'en ai parlé dans mon blog de ce jeu. Moi j'aime bien, un peu chiant à jouer car certains persos sont bien relou: je crois qu'il faut aussi finir en dur pour avoir la fin.
En tout cas j'aime pas

Non, y'a pas April dans le Mutant SNIN.

C'est amusant, je ne peux pas encadrer TMNT sur SNES. J'étais dans une période Tortues Ninja, j'ai fait le premier en arcade, l'épisode MD, j'ai beaucoup aimé les deux, mais les suivants, pas moyens, je les trouve mal foutus, brouillon et moins jouables. Il faudra que je les retente.
_________________

Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).