Elle t'a scié cette bouble vidéo hein ?
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Vovo : Je connaissais déjà l'existence des dérapages turbo tout de même !
Mais la vidéo reste très intéressante rien que pour les anecdote et les petites astuces.

Concernant super mario kart et ses diverses astuces, les dérapages, tout ça (le gameplay de smk est d'une profondeur incroyable et inégalée, une finesse qu'on ne retrouvera plus dans les futurs épisodes).

Un champion de smk explique ça très bien ici seb:


http://www.gameblog.fr/news/18285-nolife-corner-23-superplay-super-mario-kart

C'est de cette vidéo dont on parle, elle a déjà était donné plus haut.

ah ok, j'ai été pris de vitesse, y a pas de mal lol,
à noter qu'il y a également une deuxième partie avec les techniques "encore plus avancées" toujours sur leur site

Super Casino / Super Caesars Palace
(Illusions / Virgin - 1993)



C'est dans l'ambiance feutrée du Caesars Palace qu'on nous propose de nous promener dans ce casino. On se déplace à loisir en vue de dessus pour accéder à de nombreux jeux, tous basés sur le hasard bien sur. Et il y a de quoi faire : bandits manchot, roulette, poker, craps, black jack, paris sur courses de chevaux électroniques, keno, ainsi que des jeux de grattage à retirer dans un distributeur. On peut également dialoguer avec d'autres joueurs au travers de conversations à choix multiples : on y découvre d'horrible photos digitalisées et on y apprend quelques "trucs" pour gagner si on choisit les bonnes répliques.
La réalisation est très moyenne et le jeu plutôt ennuyeux sauf si on aime le genre bien sur.
Mediocre


Super Casino 2
(Coconuts - 1994)



Je ne suis pas certain que Super Casino 2 soit la suite de Super Casino puisqu'il ne s'agit pas du même éditeur, mais en tout cas les deux softs sont très ressemblants ! Nous voici donc de nouveau dans un casino dans lequel on déplace son personnage qui choisit de s'adonner à de nombreux jeux ... enfin largement moins nombreux que dans l'épisode précédent, à moins que certains soient à débloquer. On trouve ici la roulette, les bandit manchots, le black jack, le baccarat, le video-pocker et des paris sur courses de chevaux. Plus de dialogues possibles en dehors de quelques mots à échanger avec la jolie dame de l'accueil. En revanche on trouve la possibilité de jouer à 2, 3 ou 4 à certains jeux.
C'est tout aussi laid que le 1er jeu, peut-être même plus, et sans grand intérêt à mes yeux.
Mediocre

Le bon jeu du week-end !


Sutte Hakkun
(Nintendo - 1997)



Dans Sutte Hakkun, le joueur dirige un petit oiseau translucide vu de profil qui doit ramasser des étoiles multi-colorées pour atteindre le niveau suivant. Cependant, et bien que notre héros puisse sauter, ces dernières sont systématiquement hors de portée. Il faut alors s'aider de différents blocs que l'oiseau peut aspirer avec son bec (il devient alors lui même un bloc) pour ensuite les "recracher" ou il le souhaite. Ensuite, à l'aide de pots de peinture se trouvant dans le niveau, il peut changer la couleur des blocs afin de leur donner vie. En bleu ils se déplaceront latéralement, en rouge verticalement et en jaune ils iront en diagonale. A partir de cette idée simple, Sutte Hakkun construit des puzzles à l'efficacité redoutable. Il faut dire qu'en plus de ces quelques règles, il existe de nombreuses subtilités comme enlever puis remettre la couleur d'un bloc pour changer le timing de son déplacement, ou encore décaler légèrement un bloc en le posant (maintenir le bouton Y et faire haut ou bas), ou coincer un bloc dans un morceau de décor ... etc ... Au fil des niveaux, de nouveaux éléments entrent en jeu et complexifient la donne, mais la difficulté reste très progressive et le joueur saisit doucement mais surement les subtilités du principe afin de ne jamais être frustré trop longtemps face à un problème incompréhensible.
La réalisation est simpliste mais très efficace, garantissant une lisibilité optimale tout en faisant usage d'un design mignon très accrocheur. Plus on réussit à passer les niveaux rapidement, plus on marque de points et il est possible de recommencer le niveau en cours si on se retrouve bloqué.
Sutte Hakkun est tout d'abord sorti sur la plate-forme de téléchargement par satellite "Sattellaview". Le jeu était alors découpé en plusieurs épisodes et il fallait faire chaque niveau dans l'ordre. Les premiers niveaux sont systématiquement des tutos dans lesquels le CPU prend le contrôle du héros pour montrer ce qu'il faut faire avant de donner la main au joueur. 1 an plus tard, le jeu est re-sorti pour le marché du "Nintendo Power", une autre plate-forme de téléchargement mais à partir de bornes se trouvant dans des magasins. Cette version est beaucoup plus intéressante puisqu'elle contient tous les niveaux sortis précédemment sur Sattellaview et que les tutos sont accesibles séparément et ne sont donc pas imposés en début de partie. Cette même version est semble-t-il finalement sortie en cartouche dans le circuit commercial normal mais en nombre très limité, c'est un des jeux Snes les plus difficiles à trouver.
Sutte Hakkun est un excellent puzzle-game et sa distribution l'a malheureusement empêché de toucher de nombreux joueurs, ce qui est un scandale ! Ce titre aurait du être adapté sur GBA !
A noter que, grâce aux tutos animés, les textes en japonais ne sont jamais un problème dans ce jeu.
Tres Bien

Il a comme un petit lien de parenté avec kirby, non ? Graphiquement, il lui ressemble pas mal !

Sinon vous vous êtes synchronisés avec Shenron ? Vous faites vos mises à jour à 12h00 et 12h01 !
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Your face, your ass, what's the difference? - Duke Nukem

J'ai adore Sutte Hakkun... mais abandonne assez vite, trouvant certains niveaux vraiment trop hards.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Au vu des screen j'ai cru que c'était encore un jeu de sensibilisation au diabète avec un gentil globule rouge en guise de héros.

En tout cas, retenez que Sutte Hakkun est un très bon jeu, original et bien réalisé qui plus est.
Cette semaine, j'ai dans ma besace un RPG qui a des liens évidents avec celui présenté dans l'article de la semaine (Tales of Symphonia), mais comme il est très bon je le garde pour Vendredi. On commence donc doucement avec ...


Steel Talons
(Left Field / Tengen - 1993)



Tiré d'une borne d'arcade, ce simulateur de vol orienté action dans lequel on dirige un hélicoptère vu de derrière est entièrement en 3D, à la manière de Starfox. On doit accomplir plusieurs missions consistant la plupart du temps à abatte des cibles au sol telles que des camions de ravitaillement ennemis ou des tanks. La maniabilité est relativement complexe pour un jeu console : haut/bas pour régler la vitesse, X et Y pour régler l'altitude, B pour la mitrailleuse, A pour les missiles, L/R pour incliner l'hélico et gauche/droite pour tourner. On peut même passer à une vue rapprochée de la cible (en vue subjective) en appuyant sur SELECT. L'aire de jeu peut-être parcourue librement mais sa surface est réduite.
On le sait, la Snes n'est pas faite pour afficher de la 3D polygonale. Ce jeu s'en sort malgré tout pas trop mal avec une animation assez correcte qui garantie une jouabilité acceptable. Bon, ce n'est pas toujours fluide et les objets 3D sont vraiment petits. Ceci est compensé par le fait que les cibles sont représentées également par des illustrations qui s'affichent dans une fenêtre en bas de l'écran quand on les approche : une bonne idée.
Au final, ça se laisse jouer 5 minutes mais on trouve tellement mieux dans le genre, non seulement de nos jours bien sur, mais même au moment de la sortie de ce titre. Une adaptation de ce titre existe sur Atari Falcon, c'est assez rare pour être souligné !
A noter que je n'ai pas essayé les autres adaptations du jeu ni la version arcade pour comparer.
Moyen

Shodankurai Nintei : Shodan Pro Mahjong
(Gaps - 1995)



Ce jeu de mahjong très classique dans ses options bénéficie d'une bonne présentation avec des graphismes corrects et des menus clairs. Les parties se disputent à 4 et l'on choisit ses adversaires parmi une brochette de joueurs représentés par des photos digitalisées et pour lesquels le jeu maintient des statistiques de victoires/défaites. Comme c'est souvent le cas dans les softs du genre, un quiz est présent et demande au joueur de choisir les bonnes pièces ou combinaisons de pièces à partir d'une situation donnée.


Super Jangou
(Victor - 1995)



Après avoir créé son personnage en choisissant son apparence, sa date de naissance, son sexe et son groupe sanguin, on accède à ... un jeu de mahjong dans lequel on affronte 3 autres adversaires en mode libre ou en tournoi. Je ne vois pas trop le rapport entre le mahjong et les données à entrer en début de partie, mais bon qu'est-ce que j'y connais moi en mahjong, hein ? Les graphismes sont sans éclat, on a quelques voix digitalisées discrètes pour rompre la monotonie des musiques peu inspirées, et malgré les nombreux menus et ce que laisse supposer la création de son perso, il n'y a pas de mode "story".

le 1er jeu c'est des gens connus ou c'est juste des devs ?

Pour le 2e je pense que les infos ca doit determiner la tronche de ton avatar parmi leur biblio
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Pour le 1er, je ne sais pas, mais ça peut être des vrais joueurs de mahjong qui sont parfois un peu médiatisés au Japon.
Pour le second, tu as peut-être raison, oui. Ce serait un peu le Elder Scrolls du jeu de mahjong ^^


Super Alfred Chicken
(Twilight / Mindscape - 1993)



Alfred Chicken est un jeu de plate-forme nous venant de l'Amiga et mettant en scène un poulet. Cette version "Super" en reprend le gameplay et dispose d'une réalisation équivalente, mais propose des niveaux totalement inédits ainsi que quelques petits changements. Le but est d'atteindre la sortie de chaque niveau tout en faisant décoller des ballons qu'on libère en donnant un petit coup de bec là ou ils sont attachés. Le poulet peut sauter, se laisser planer un petit peu, et fondre sur ses ennemis avec une attaque aérienne (faire "bas" après le saut) pour les détruire. Certaines bonus permettent aussi de lancer des projectiles ou d'obtenir une protection (sinon on meurt au moindre contact avec un ennemi). Le level design est simpliste et peu inspiré mais réussi à caser quelques phases intéressantes à base de ressorts, interrupteurs ou plate-formes mouvantes.
Super Alfred Chicken, tout comme Alfred Chicken "tout court" sur Amiga, est un soft qui laisse sur sa faim. Il est jouable, le design dégage un petit capital sympathie, mais il est plat, répétitif (toujours les mêmes ennemis et décors) et assez ennuyeux. On a l'impression que ses développeurs avaient envie de bousculer un peu le genre, mais se sont ravisés au dernier moment en se disant "nan, ça va pas plaire, ne prenons pas de risque". Les éléments propres au jeu (l'attaque piquée qui permet parfois de rebondir plus haut, les ballons ...) ne sont jamais vraiment exploités. Et puis il y a comme un manque de finition avec l'absence de boss, des bonus qui ne servent à rien, une phase en scrolling forcé un peu buggée ... Ca reste malgré tout correct et plaisant à jouer pour qui aime les jeux de plate-forme à la sauce "micro", mais pas longtemps car on se lasse vite. J'aime quand même assez ce jeu.
Moyen

Quelle indulgence et quelle ouverture de "goût"

J'éprouve une affection sincère envers les jeux moyens

Le bon jeu du WE est le 1er épisode de la série "jumelle" de Tales of ... Enfin, en quelque sorte, pour en savoir plus à ce sujet, je vous conseille la lecture de l'article de la semaine !


Star Ocean
(Tri Ace / Enix - 1996)



Star Ocean est surement l'un des meilleurs RPG de la Snes, et sans aucun doute l'un des mieux réalisés. Sa cartouche (de capacité très élevée) renferme des graphismes qui n'ont rien à envier aux plus beaux titres 2D issus des consoles de la génération suivante avec des décors superbement détaillés et colorés, et remplis d'animations, ainsi que des personnages eux aussi bien dessinés et animés, avec un design qui plus est tout à fait réussi. C'est peut-être moins spectaculaire qu'un Seiken Densetsu 3 mais tout aussi maitrisé. Tout comme la partie sonore qui nous gratifie de très belles mélodies et de bruitages variés incluant même des voix digitalisées (celles de la présentation sont en anglais et d'une qualité vraiment surprenante).
L'histoire raconte les aventures de 3 jeunes gens qui défendent un village dans un monde d'heroic-fantasy assez classique. Classique jusqu'au moment ou, en partant en quête d'une herbe très rare afin de guérir les habitants d'une mystérieuse maladie, ils rencontrent 2 personnes venues d'une autre planète à bord d'un vaisseau spatial témoignant d'une technologie bien plus avancée. Ils révèlent alors que la maladie qui s'abat sur le monde des héros est l’œuvre d'une autre civilisation extra-terrestre mais ignorent leurs motivations. Ils leur proposent de faire équipe et nos héros s'embarquent sur le vaisseau spatial ...
Si l'histoire ne semble pas réserver de grandes surprises, elle met cependant en scène des personnages sympathiques et suffisamment développés pour qu'on s'attache à eux. Il est d'ailleurs possible à certains moments d'explorer un village avec des personnages précis afin de bénéficier de dialogues spécifiques qui en révèlent plus sur eux (et c'est parfois indispensable pour progresser). A noter une tonne de références à la série Star Trek dans l'intro, et certains dialogues.
Le système de jeu est celui d'un RPG japonais classique avec les dialogues dans les villages et les combats aléatoires à l'extérieur et dans les donjons. Mais un accent particulier a été mis sur les attributs et compétences de chaque perso. Il y a tout un tas de caractéristiques spéciales à acquérir qui servent soit en combat soit pour d'autres tâches (préparer des potions, découvrir des trésors ...). Les combats enfin sont en temps réel : on dirige un seul héros et le CPU s'occupe des autres membres de l'équipe (il est possible de définir des tactiques et des attitudes à suivre). On peut alors de déplacer sur toute l'aire de combat et choisir qui attaquer et comment (possibilité d'utiliser des attaques spéciales ou de frapper à distance), directement avec les boutons du pad et sans passer par un menu. Il faut donc agir vite et bien. Le système est dynamique et, la fréquence des combats aléatoire étant relativement peu élevée, ne prend jamais la tête.
En définitive, un jeu à faire si on est fan du genre, ne serait ce que pour admirer l'excellente réalisation technique.
Tres Bien

L'article de Grospixels : http://www.grospixels.com/site/socean.php

Cette semaine, GP propose un loooooong dossier consacré à la série de jeux de catch Fire Pro Wrestling. Si vous voulez la version (un peu plus) courte, on va traiter ici même les épisodes Snes (évidemment, si vous avez lu le dossier, ça fait un peu double-emploi ...) :


Super Fire Pro Wrestling
(Human - 1991)



Voici le 1er épisode Snes de la fameuse série de jeux de catch née sur NEC PC Engine. Clairement dédiés aux fans hardcore de la discipline, et programmés par des passionnés, les "Firepro" ont bâti leur légende sur un gameplay tactique et élaboré et un casting rassemblant les grandes stars actuelles et du passé, reproduites avec une grande fidélité même si elles usent de noms d'emprunt. On retrouve donc ici 21 catcheurs comme Antonio Inoki, Giant Baba, Hulk Hogan, Great Muta, Mitsuharu Misawa ou encore Vader, et chacun dispose d'une panoplie de prises conséquente et très fidèle à la réalité.
La jouabilité est basée sur un système de timing : quand deux catcheurs entrent en contact, ils se saisissent automatiquement et il y alors un moment ou ils changent légèrement de pause et c'est à cet instant précis que les joueurs doivent entrer une commande (direction + bouton) : celui qui a le meilleur timing place alors sa prise ... enfin, peut-être. Car de nombreux paramètres entrent alors en compte pour déterminer si la prise sera contrée : type de prise (plus ou moins puissante), fatigue des combattants, paramètres des catcheurs (plus ou moins performants dans tel ou tel type de prise) ... Les possibilités et situations sont nombreuses : prises au sol, sauts depuis les cordes ou vers l'extérieur du ring ... etc ...
Les différents modes de jeu permettent de jouer en solo ou en équipe (2 contre 2) mais uniquement à deux joueurs humains maximum. Des tournois et matches à élimination sont également possibles, il y a également un mode entrainement pour apprendre à maitriser les timings. Pas très joli mais globalement correct techniquement, ce Super Fire Pro Wrestling pose les bases de la série sur Snes, sans toutefois se démarquer suffisamment de ces prédécesseurs sur NEC PC Engine pour en faire un jeu indispensable. Ses successeurs feront beaucoup mieux ...
Moyen


Super Fire Pro Wrestling 2
(Human - 1992)



Cette suite n'apporte pas grand chose au 1er épisode. La réalisation est quasi-identique, avec des graphismes toujours en demi-teinte et des catcheurs victime d'une raideur assez ridicule bien que les prises elles-mêmes soient assez bien animées. Les modes de jeu et la maniabilité sont identiques également (le mode entrainement a été retiré ceci dit). Certes de nouvelles animations sont présentes et le nombre de catcheurs passe de 21 à 25, mais ça reste très léger pour une suite. La seule vraie bonne nouvelle, c'est l'apparition de la gestion du multitap pour jouer à 4 joueurs humains. Il faudra attendre l'épisode suivant pour bénéficier de vraies nouveautés ...
Moyen


Super Fire Pro Wrestling 3 : Final Bout
(Human - 1993)



Plus beau et mieux animé que ces prédécesseurs, ce 3ème épisode de la célèbre simulation de catch nous sert toujours des combattants adoptant des styles de combat réalistes et usant de prises fidèles à la réalité. Et attention, Human s'est décarcassé en quasiment triplant quasiment le nombre de personnages jouables puisqu'on passe ici à 64 catcheurs ! Du jamais vu dans un jeu 8 ou 16 bits. Kensuke Sasaki, Kenta Kobashi, Ken Shamrock, Sting et bien d'autres viennent ainsi se joindre à la fête.
En plus de ça, le jeu propose de vraies nouveautés. D'abord la présence de plusieurs arbitres aux caractéristiques différentes. Ensuite et surtout, une refonte totale de la maniabilité qui répartie des prises plus ou moins puissantes aux boutons de la manette (ce système sera conservé pour tous les autres titres de la série). Enfin, le jeu propose une option incroyable pour l'époque (introduite dans l'épisode 3 sur PC Engine) : un éditeur de catcheurs. Alors certes, l'éditeur peut sembler limité à première vue car on ne peut pas modifier les sprites déjà présents, mais en fait il dispose d'une profondeur phénoménale puisqu'en plus de permettre d'attribuer un nombre conséquent de prises diverses à son catcheur, il propose également l'édition de nombreux paramètres (force, vitesse, compétence technique dans de nombreuses catégories comme les attaques aériennes, les prises de soumission ... etc ...) et la programmation de son perso quand il est contrôlé par le CPU. On peut ainsi, avec un système de pourcentages, définir ses attitudes dans n'importe quelle situation. De quoi y passer des heures ! Hum ... à condition de lire le japonais pour percer tous les secrets de cette interface quasi-uniquement textuelle, hélas !
Ce titre est donc vraiment réussi mais n'offre que bien peu d'intérêt de nos jours, du fait de ses nombreuses suites qui vont l'améliorer en tous points. A noter qu'une version spéciale, sous titrée "Easy Type" est sortie quelques semaines plus tard, privée du mode EDIT, mais avec un niveau de difficulté rabaissé et les catcheurs cachés (des légendes du ring comme Rikidouzan et Lou Thesz) déjà débloqués.
Assez Bien


La suite de la série dans les prochains posts ...

Star Ocean, je serais curieux de le faire un jour, je suis curieux à force (mais ce n'est pas dans mes priorités pour l'instant, le prochain RPG que j'ai envie de faire sur SNES est plutôt Romancing Saga 3 ou bien le Trésor de Rudra). Mais il paraît que la version PSP est mieux. Apparemment avec la série et les jeux Tri Ace en général, il ne faut pas s'attendre à un scénario profond mais plutôt à un bon système de jeu.

En tout cas, on peut s'attendre à voir de gros RPG traités dans cette lettre S (les Secret of, les Shin Megami Tensei, Soul Blazer et Super Mario RPG, Star Ocean en faisait partie). Mais on a le temps de voir venir, vu le contenu gargantuesque de la lettre S.
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"Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt." Proverbe chinois

Coincidence, Star Ocean est dispo au format cartouche :
http://mag.mo5.com/actu/16662/star-ocean-en-anglais-et-en-cartouche/

Pour 70€... les enfoirés. Pour un jeu qu'ils n'ont même pas développé eux-même c'est limite honteux.