Super Black Bass
(Hot B - 1992)



Super Black Bass 3
(Starfish - 1995)



Cette série de jeux de pêche avait déjà été abordée par l'intermédiaire de son second épisode connu sous le nom de Bassin Black Bass (voir page 8 ). Dans chaque épisode, on doit se livrer à des tournois nous demandant de pêcher un certain poids. Il faudra tout d'abord trouver un bon endroit sur le lac ou se situe le concours en déplaçant son bateau et en surveillant son sonar pour repérer les bons coins. Puis on s'équipe au mieux avec tout le matériel nécessaire, les appats, le fil de pêche qui va bien, et on effectue son lancer avec une jauge de puissance et un viseur à placer là ou on le désire. Il faut ensuite attendre que le poisson morde et espérer le remonter avec doigté.
Cette série a plutot bonne réputation. Il est vrai qu'elle dispose d'une prise en main aisée et que la réalisation est à chaque fois correcte. Le 1er jeu est tout de même victime de couleurs un peu ternes. Quand au 3ème, c'est évidemment le plus beau et également celui disposant du plus d'options avec possibilité de créer son pêcheur (apparence, gaucher ou droitier, homme ou femme ...) et un très grand choix d'équipements tous issus de vraies marques. Malheureusement il n'a pas quitté les frontières du Japon et n'est donc pas traduit. Pour ceux qui souhaiteraient s'essayer à la discipline, je recommande donc plutot le second épisode de cette série.

Ah, faut que je réagisse à l'arrivée de Super Metroid dans cet exceptionnel Groblog !

En ce qui me concerne, c'est un jeu fondamental, une vraie perle qui a su restituer une bonne part de l'ambiance du premier sur NES, tout en le rendant plus abordable et passionnant (grâce à la diversité de l'arsenal qu'on se constitue peu à peu surtout).

Je ne l'ai jamais trouvé vraiment dur, sauf évidemment lors de mon premier run où il a bien fallu découvrir la planète Zebes, mais il faut dire aussi que quand on a passé beaucoup de temps dans le premier opus à survivre tant bien que mal dans les couloirs meurtriers de Brinstar et Norfair, l'épisode SNES paraît bien plus abordable.

Amindada, quels mouvements trouves-tu difficiles ? Si tu parles du saut mural, c'est effectivement très dur au début à prendre en main, mais ce mouvement est inutile pour terminer le jeu. Les autres ne me paraissent pas vraiment compliqués, à part peut-être le coup à prendre pour se servir correctement du saut spatial.

Rain, c'est une question de goût, moi c'est justement cet aspect "démerde-toi" que je trouve génial dans ce jeu. D'autant que, comme le dit très bien Seb, on finit par développer un "instinct Metroid", qui permet de se douter de plus en plus facilement qu'il y a quelque chose à trouver derrière ce mur suspect (alors que graphiquement, rien ne l'indique clairement !). Je fais partie des gens qui aiment bien se paumer dans les jeux de ce genre.

Bref, beau mini-test que tu nous offres une fois de plus, Seb. Je mettrais simplement un léger bémol concernant la présentation du lien de l'article correspondant au jeu sur Grospixels : Laurent n'est pas (ou en tout cas ne semble pas) un fan de Super Metroid, ni de Nintendo en général, et ça se sent bien dans son article qui est bon, mais pas exempt d'approximations, voire d'erreurs.

Merci Vakoran.


Spriggan Powered
(Naxat - 1996)




Cousin lointain des célèbres Spriggan de la PC Engine, ce jeu est un shoot-them-up à scrolling horizontal, jouable uniquement en solo, rapide et bien nerveux comme on les aime ! Le robot volant qu'on dirige peut ramasser des bonus pour acquérir l'un des 4 tirs disponibles, qui deviendront de plus en plus puissants si on cumule les bonus. On peut déclencher une super attaque (différente en fonction du tir utilisé) en maintenant le bouton, et cela consume le tiers d'une jauge située en haut de l'écran. Cette même jauge peut être vidée également en appuyant sur un second bouton qui provoque l'apparition d'un champs de force pendant une fraction de seconde afin de se protéger des tirs ennemis. Le déroulement de Spriggan Powered est classique avec les habituels boss (bien coriaces), ou ennemis venant de derrière. Pas d'obstacles à éviter contrairement à un R-Type ou un Gradius (pas dans les 3 premiers niveaux en tout cas), mais un système de scoring interessant puisque frôler les tirs ennemis (et la mort ...) permet d'obtenir un bonus de points.
Le jeu est parfaitement jouable, ne ralentit pratiquement jamais, et propose un challenge relevé mais pas impossible. Il possède en outre une identité graphique très sympathique. Si le design des sprites (réalisés à partir d'objets 3D digitalisés) est assez quelconque (mais pas moche), les décors changent des habituelles productions du genre alternant entre l'espace et les univers métalliques. On a ici des couleurs chaudes utilisées pour restituer un coucher de soleil ou bien des effets de mise en scène simples mais efficaces comme ce second niveau ou on vole au milieu des nuages, mais qui révèle un court instant, entre 2 gros cumulus, un paysage bucolique pour une micro-seconde de pause contemplative avant de retourner faire crépiter les mitrailleuses.
Peu connu, voir peu apprécié, j'ai pourtant bien aimé ce shmup, sorti en cartouche et en téléchargement sur Sattellaview, et vous le recommande chaudement.
ASSEZ BIEN

Spriggan ca a aucun rapport avec le manga nan ?
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Si tu parles du manga qui avait été adapté en long-métrage à gros budget (qu'on nous annonçait comme le nouvel Akira) avec un gars armé d'un couteau qui recherche l'arche de Noé (si ma mémoire est bonne), alors non ça n'a rien à voir ^^
Et en parlant d'arche de Noé (admirez la transition) ...


Super Noah's Ark 3D
(Wisdom Tree - 1994)



Ahhh Wisdom Tree, quel charitable éditeur porteur de la bonne parole. Ces gens absolument admirables s'étaient donné comme mission (à moins qu'elle leur fut confiée par quelque puissance divine) de créer des jeux Chrétiens, dont l'univers était basé sur des écrits de la Bible. Quelles nobles âmes ... encore que, vu la qualité des jeux et une façon de faire qui s'approchait plus du "business-model" douteux (leurs jeux étaient commercialisés sans l'accord de Nintendo) que de la charité chrétienne, on aurait plus tendance à souhaiter à ces développeurs de bruler en enfer ! Après avoir produits quelques horreurs sur NES (qui étaient en fait des détournements d'autres jeux produits précédemment par la même société, mais sans les thêmes religieux qui leur ouvrirent un nouveau marché qu'ils espérèrent juteux), les enfants de choeur de Wisdom Tree baptisent la Snes en l'aspergant avec Super Noah's Ark 3D. Dans ce jeu en vue subjective, on incarne Noé qui doit jeter de la nourriture vers les animaux embarqués sur son arche. Pourquoi pas ? Sauf que comme vous le constaterez sur les screenshots, le jeu est en fait Wolfenstein 3D dont les sprites des ennemis et des projectiles ont été remplacés ! C'est encore une fois un recyclage qu'opère Wisdom Tree. Sauf que contrairement à leurs productions NES, ils se servent d'un bon jeu comme base, c'est déjà un progres. Et quelle ironie que ce jeu soit en plus un de ceux qui ait défrayé la chronique à l'époque pour son ultra-violence (pas dans sa version Snes ceci dit) !! Hypocrisie, pratiques commerciales douteuses et foutage de gueule en tout genre constituent donc définitivement la signature de Wisdom Tree.
Tout ridicule qu'il soit, le jeu est cependant jouable et relativement amusant. Mais il est bien entendu préférable de pratiquer l'original, à savoir Wolfenstein, et si possible sur PC plutot que sur Snes.
BLASPHEMATOIRE

wi je parlais du même manga Dis donc t'as switché tes presentation pour la transition ou c'est un heureux hasard ?

Wisdom c'est pas eux qui produisaient des cartouches non officielles pour la NES (sans le seal of quality donc, et sans royalties) ?
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Normalement oui.
L'Angry Video Game Nerd avait fait une video sur ces jeux.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Oui c'est bien ça. Niveau arnaqueurs spirituels, Wisdom Tree, c'est la version JV des télévangélistes (Jesus he knows me !) ^^
D'ailleurs, en parlant d'arnaque spirituelle ...



Shin Togenkyo
(Banpresto - 1995)



A partir de votre nom, et de votre date et heure de naissance, ce soft va pouvoir vous donner votre horoscope au jour le jour. Diverses tendances seront illustrées par de petits graphiques et de longs textes en japonais, qu'on imagine passionants, vous prédiront amour et fortune, ou bien qui sait, une mort violente dans le quart d'heure qui suit. Avec son interface immonde, ses musiques indigestes, et son graphismes paresseux, ce soft a du laisser un gout amer à ceux qui ont déboursé plus de 11,000 yens pour l'acquérir à l'époque. Et ce n'est pas le bandit-manchot laid et minimaliste qu'on trouve au détour d'un menu qui a du consoler les acheteurs ...


et en bonus :


Shijou Saikyou no Quiz Ou Ketteisen Super
(TBS - 1992)



Ce titre est un quiz en japonais. Vous continuez quand même à lire ? Bien, alors sachez qu'en plus d'être injouable pour nous autre français, il est également particulièrement mal réalisé avec quelques graphismes hideux, des musiques énervantes, et une interface austère qui donne envie de fuir en hurlant. Les plus courageux pourront néanmoins s'y adonner jusqu'à 8 joueurs, chacun son tour.

Oui, Super Metroid, c'est un grand jeu de la SNES. J'appuie tout ce qu'ont pu dire Sebinjapan et Vakoran.

Je rajouterais cependant aussi qu'un aspect excellent, ce sont les "ruptures de séquence": c'est le fait de pouvoir briser la linéarité du jeu à l'aide des mouvements avancés comme le Shine Spark et surtout le saut "monomural". Avec ça, on peut vraiment "court-circuiter" certaines zones: arriver dans la zone de Kraid sans le super saut, obtenir tôt la bombe de puissance, finir le jeu sans avoir obtenu le grapin, finir le jeu sans avoir obtenu l'attaque en vrille (il y a un passage du jeu où on est censé détruire des piliers qui nous barrent le passage avec la vrille, mais on peut aussi les détruire avec les bombes de puissance, du coup sans la vrille ça complique le combat contre Ridley qui n'est pas facile). Dans les astuces, je pense à un passage de Cratéria où on est censé passer d'une plate-forme à une autre à l'aide du grappin pour accéder au vaisseau fantôme, mais on ne peut pas y arriver en sautant car on se cogne au plafond et on tombe à l'eau (faut refaire la phase de plate-forme depuis le début)... mais en fait si, il est possible d'y arriver en sautant sans avoir le grappin: pour cela, il faut aller dans le menu et désactiver temporairement le super saut, afin de pouvoir faire un saut plus petit qui ne nous fait pas cogner au plafond mais qui nous permet d'avoir une amplitude de saut agrandie au point de pouvoir rejoindre la plate-forme suivante.

Après, on voit aussi plein de vidéo de speed run qui exploitent des bugs ou glitchs (comme le coup du "Mockball"), mais ça ne m'intéresse pas car ça n'a pas été prévu par les développeurs contrairement à ce que j'ai cité plus haut.

En tout cas, ces "ruptures de séquences", c'est un aspect qu'on retrouve en force et avec joie dans Metroid Zero Mission (en se débrouillant, on peut vraiment faire pas mal de choses dans le désordre, comme affronter Ridley avant d'avoir visité la zone de Kraid).


Par contre, je suis un peu plus réservé sur les cachettes de bonus (réserves de missile ou d'énergie): il y a des endroits où on "sent" bien leur présence. Mais alors il y a pas mal d'autres moments où, franchement, c'est introuvable et assez idiot, du style tirer sur une plate-forme qu'on n'avait pas idée qu'elle pouvait être détruite, et à la longue ça revient trop à "scanner" toutes les salles du jeu avec le rayon X, ce qui devient vite rébarbatif.

[ Ce Message a été édité par: Rudolf-der-Erste le 2011-08-25 14:20 ]
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"Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt." Proverbe chinois

Super Ghouls n Ghosts / Chou Makaimura
(Capcom - 1991)




Capcom fit un beau cadeau aux possesseurs de Snes en leur offrant l'exclusivité du 3ème épisode de sa série Ghosts N Goblins. La recette est la même que dans les 2 célèbres hits d'arcade : un chevalier vu de coté qui doit affronter de nombreux monstres, zombies et fantomes en sautant et en tirant, un design gothique qui met bien en valeur des décors comme un cimetière ou un bateau fantôme, et une difficulté dantesque. Des coffres cachés permettent de trouver des armes aux caractéristiques diverses comme des lances, un arc et des flèches, des haches ou des torches enflammées (toutes sont des armes de jet), mais également des armures. L'armure verte augmente la puissance des armes et l'armure dorée donne accès à une super attaque en maintenant le bouton appuyé. On peut se faire toucher une fois avant de perdre une vie : le héros perd alors son armure et les pouvoirs qui vont avec. Attention car certains coffres abritent un sorcier qui peut transformer momentanément le héros en lui donnant une forme inoffensive. On trouve également les habituels boss. Enfin, la jouabilité, qui est un peu plus orientée plate-forme que Ghouls n Ghost, s'assouplit en permettant au héros de réaliser un double-saut.
La réalisation du jeu est superbe, surtout quand on considère qu'il s'agit d'un titre de 1ère génération sur Snes, avec des décors magnifiques et des musiques inoubliables, collant toujours parfaitement à l'action. De nombreux effets spéciaux typiques de la machine sont bien entendu présents. Et la mise en scène de chaque élément, de chaque situation est parfaitement pensée. Super Ghouls n Ghost n'en fait jamais trop, à l'image du début du second niveau (le navire) ou les ennemis sont peu nombreux, ce qui ajoute à l'ambiance, mais tous très dangereux. Et là, parlons de la difficulté : alors certes, ce 3ème épisode est certainement le plus facile de la série, entre-autre grâce au double-saut, mais il n'en reste pas moins particulièrement corsé. C'est du "die and retry" directement hérité des salles d'arcade qui nous est servi ici, mais les meilleurs joueurs, les plus persévérants et attentifs, finiront par connaitre tous les "trucs" et progresseront régulièrement.
A noter que le jeu est également disponible sur GBA dans une version un peu modifiée (et encore plus dure ...) et à l'identique dans les compilations Capcom.
BIEN

(objectivement j'aurais pu mettre "très bien" mais à titre personnel ce jeu ne m'éclate pas tant que ça)
Plus d'infos dans l'article sur GP ici : http://www.grospixels.com/site/sgg.php
A lire également, quelques posts récents (de Rudolf) qui relativisent la grande difficulté du jeu : http://www.grospixels.com/phpBB/viewtopic.php?topic=1098&forum=1&start=20

Je hais ce jeu

J'ai fini pourtant Ghost & Goblins sur CPC (j'ai un doute sur la 2e boucle, c'est loin) mais SGNG j'ai jamais reussi. Même avec le code pour le dernier boss je me fait latter
Trop dur ce jeu
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Vous m'étonnez quand même. Si vous avez connu la version européenne, je ne trouve pas tellement de différences de difficulté avec un Super Castlevania IV quand même. ^^
Surtout de dire qu'il est plus dur que Ghost'n Goblins qui est réellement un jeu très difficile lui.
Il n'y a que l'avant-dernier à affronter avec le bracelet qui est très dur dans cet épisode SNES.

Ah, d'ailleurs, lettre S, justement: ce Super Castlevania IV sera bientôt abordé. Et c'est maintenant que je réalise un truc: Sebinjapan, où se trouve Castlevania Vampire Kiss (alias Dracula XX)? Je ne le trouve ni à la lettre A, ni à la lettre C. Un oubli, ou bien tu as fait exprès d'attendre Super Castlevania IV pour parler des deux jeux en même temps?
Bon, ce ne sera pas pour aujourd'hui vu qu'on est déjà vendredi, ça attendra les vendredis d'après.

[ Ce Message a été édité par: Rudolf-der-Erste le 2011-08-26 19:58 ]
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"Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt." Proverbe chinois

Alors là je crois pouvoir dire que, pour la première fois depuis la création de ce thread, je suis très surpris par le décalage entre ma perception et la tienne. Je n'arriverais pas à donner à Super Ghouls'n Ghosts une autre mention qu'excellent. C'est tellement évident pour moi qu'il s'agit d'un des plus grands action / plates-formes du support. Il y a tellement d'idées de situation, tellement d'ambiance dans les 5 premiers niveaux.

Et franchement, je comprends pas ce reproche du die & retry. S'il y en a, c'est vraiment TRES gentillet par rapport à ce que le jeu vidéo peut faire de pire dans le domaine. Un joueur qui a pratiqué la plate-forme sur micro 8-bits, avec ses centaines de titres au die & retry le plus absurde, le joueur qui connaît le premier Cauldron, dans lequel il faut littéralement effectuer des sauts à l'aveuglette, le joueur qui a connu les versions arcade de Gun Force ou de Hammerin' Harry (l'arcade de la fin des années 80 a eu sa période mesquine), les Rick Dangerous (die & retry savoureux, mais sadique quand même) ou même le joueur qui a déjà testé des titres Snes comme Addams Family 2 ou Dino City dans ce même thread, ce joueur-là ne peut pas être très impressionné par les passages les plus ardus de SG'nG !

Bah castelvania 4 je l'ai fini sans trop de mal y'a quelques années. Et il me semble pas qu'il est difficile justement oO
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Ah mais je ne REPROCHE pas à Super GNG de faire dans le "die and retry", je le constate simplement. Ensuite est-il si particulièrement dur et sadique dans ce genre ? D'après toi, et d'après Rudolf, non. D'après moi, un peu quand même. C'est une question de perception je pense. Par exemple, dans le tout premier niveau, il y a un passage avec des "fruits" qui gonflent et explosent et des chariots squelettiques enflammés au sol. Je parie que ce passage ne te (vous?) pose aucun problème. Mais pour moi, c'est une horreur. Il faut amorcer son double saut du bon endroit pour ne pas se réceptionner sur un fruit / chariot tout en anticipant un soulèvement de terrain (donc en connaissant suffisamment le jeu pour savoir ou il a lieu), ainsi que le déplacement du chariot quand il va se mettre à bouger (suite au soulèvement du terrain).
Il y a plusieurs passage dans ce jeu que j'ai beaucoup de mal à négocier et que je trouve assez frustrants. Encore une fois, c'est subjectif.
Loin de moi l'idée de remettre en cause le fait que Super GNG est un très grand jeu.

@Rudolf : j'ai parlé des Castlevania en page 17. C'est l'occasion de rappeler qu'une liste des jeux présentée et des pages correspondantes se trouve dans la 1ère page de ce topic. Comme je ne présente pas les jeux dans l'ordre strictement alphabétique, il vaut mieux faire un "control-F" sur le titre du jeu recherché que d'éplucher la liste.

A part la tour de l'horloge, je n'ai jamais eu trop de problemes non plus. Mais le fait d'avoir des passwords permet de le terminer assez vite, alors que pour SGNG, faut tout se retaper a chaque fois! Cela etant, compare aux episodes 1 et 3 sur NES, oui, le 4 est plus facile.
J'ai le meme avis que Seb sur SGNG.
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Sauf que le chariot en question, apparait TOUJOURS au même endroit (dans le passage le plus délicat) donc une fois connu on ne se fait plus avoir.

Moi je ne trouve pas le jeu si difficile et pourtant je n'ai jamais passé le pénultième boss dont parle Rudolf (en fait je le trouve pas dur à part ce boss insupportable)

Pour moi ce jeu est dans mon Top 5 de la machine au dessus de SC4 (puisque vous avez décidé de les comparer) car plus varié à mon avis.


[ Ce Message a été édité par: Amindada le 2011-08-27 11:28 ]

Il y a des gens qui se sont fait avoir par les chariots dans le premier niveau? Moi, je me demande si je ne l'ai pas passé du premier coup (du moins en normal version européenne car il y a bien moins de "fruits"). Franchement, le terrain et le chariot qui dévale la pente, on le voit pas d'avance (et on se dit que les chariots ne sont pas là par hasard, on se méfie), on a plusieurs secondes pour anticiper et en plus on a un double-saut qui achève de rendre ces obstacles parfaitement évitables: un passage du jeu qui ne nécessite pas un apprentissage par coeur justement. Quant aux "fruits", bah, faut les détruire le plus tôt possible (deux coups quand ils ne sont pas gonflés, un seul coup quand ils sont gonflés à bloc si je me souviens bien), sinon on est dans le pétrin effectivement! Mais si on les détruit, on ne se fait pas prendre en traître. Rien à voir avec le passage du raz-de-marée dans ce premier niveau où on n'a vraiment pas le temps d'anticiper l'arrivée de la vague si on retombe au pied des piliers gris (là c'est du par coeur, il n'y a pas de réflexe mis en jeu, alors que la phase en chariot est un passage axé réflexe pas bien dur).

@Sebinjapan: Bizarre, j'avais pourtant fait un ctrl F en première page et je n'avais pas trouvé Castlevania. Là j'ai réessayé, et ça marche maintenant.
Au sujet du Vampire Kiss, je l'ai trouvé très chouette moi (et plus dur que Super Ghouls'n Ghosts, mais franchement pas impossible, et Dracula n'est quasi-infaisable que si on n'a pas la hache), avec quelques niveaux comme la tour d'horloge qui sont mieux que leurs "équivalents" PC Engine (même si globalement ce dernier est meilleur globalement et plus riche), sans parler du Dracula qui est quand même beaucoup mieux sur SNES que sur PC Engine où il était très décevant. Mais j'en reparlerai plus en détail ailleurs.

[ Ce Message a été édité par: Rudolf-der-Erste le 2011-08-27 12:59 ]
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"Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt." Proverbe chinois

Des passwords dans Super Castlevania IV ?

Il y a des passwords dans Castlevania IV, à base de croix, haches, coeurs...disposés dans un quadrillage. Le truc, c'est qu'en plus, le nom du joueur est utilisé. Si tu as nommé ta partie "Heckle", tu ne pourras pas utiliser le mot de passe que t'auras refilé ton ami "Jeckle".