Prehistorik man a, à l'époque de sa sortie, bénéficié d'un traitement mitigé de la part de la presse.

On sentait bien que le jeu avait beaucoup d'ambition (même si les développeurs ont rencontrés des problèmes, comme l'obligation de le faire tenir dans 8 mb parce que nintendo vendait les cartouches de 16 trop cher), mais les journalistes avaient été échaudés par Mr Nutz, le jeu qui devait tout déchirer avant sa sortie et qui au final était un magnifique jeu chiant..
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Haaa Prehistorik Man, quel jeu ! Quand je suis tombé sur ce jeu en fouillant dans le romset, j'ai accroché comme rarement devant. Un jeu au game-design soigné, visuellement magnifique et avec, en plus, tout plein d'humour. Il faudrait que je trouve sa conversion sur GBA, pour le plaisir de le refaire.
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Princess Minerva
(Red / Vic Tokai - 1992)



Princess Minerva est un RPG japonais tiré d'un anime et mettant en scène toute une bande de jeune filles sexy se baladant pour la plupart en bikini et qui évoluent dans un monde d'heroic fantasy dont le style de représentation graphique rappelle vaguement les Phantasy Stars. Le système de jeu est sans originalité avec les villes ou on papote et fait des emplettes, et les extérieurs et donjons ou des ennemis féroces nous prennent en embuscade aléatoirement. Les combats se déroulent au tour par tour avec des actions à sélectionner dans un menu (attaque, défense, magie ...). La particularité du titre est qu'il nous permet de démarrer l'aventure avec 9 héroines dans son équipe. Seulement 3 combattent simultanément et on alterne entre chaque combat les 3 groupes de 3 guerrières. En plus des actions sus-nommées, elles peuvent effectuer une attaque spéciale à 3 sur un ennemi (mais dans ce cas, c'est leur seule action pour le tour).
La jeu n'est pas très joli même si le design des héroines est très sympa. Les musiques sont assez bonnes et surtout les déplacements sont très rapides tandis que les combats ne sont pas trop fréquents. Ces points sont à retenir car ils permettront de s'interesser sans trop souffrir à l'histoire du jeu et de ses héroines si un jour un patch de traduction voit le jour. En attendant, passons notre chemin ...
Ce jeu existe aussi sur PC japonais et PC Engine CD-rom.

Populous
(Bullfrog / Imagineer - 1991)



Populous est l'une des grandes "success-story" du jeu-video et le titre qui a lancé la carrière de Peter Molyneux, actuellement l'une des personnes les plus influentes du milieu. Dans Populous on incarne un dieu du bien qui doit s'occuper de son peuple et l'envoyer affronter les adorateurs du dieu du mal. On survole ainsi une carte du monde ou des petits personnages vaquent à leurs occupations en temps réel. On interragit sur l'environnement par l'intermédiaire d'un curseur qui sert à sélectionner des actions, à utiliser des pouvoirs, et à définir l'attitude de son peuple. Il faut faire en sorte que son peuple se développe et prospère. On commencera ainsi par préparer le terrain en élevant ou abaissant le sol pour créer des plaines sur lesquelles des batiments de plus en plus grands se dresseront. Ainsi les fidèles seront de plus en plus nombreux, ce qui augmentera la "mana" (la réserve de magie) du joueur, lui permettant d'accéder à plus de pouvoirs. On pourra ainsi demander à ses hommes de partir guerroyer et les assister en déclenchant chez l'adversaire des catastrophes naturelles comme des tremblements de terre ou des raz de marée.
Dans sa version originale, sur micro-ordinateurs 16 bits, Populous est une merveille qui se joue encore avec plaisir aujourd'hui. Cette adaptation Snes est techniquement de très bonne facture mais souffre de problèmes d'ergonomie. En effet, il est impossible d'utiliser la souris, et le joypad se révelle très peu pratique. En fait, afin d'éviter les allées-venues vers les icones d'action, les développeurs ont inclus tout un tas de raccourcis à utiliser en conjonction avec la touche L ou R (ou les 2) et, à condition de les connaitre par coeur et de ne pas s'emmêler les pinceaux, ça permet de jouer avec un minimum de confort. MAIS, il reste le problème du déplacement du curseur horriblement lent et imprécis au pad dans ce jeu. C'est pour cette raison surtout que je recommande de laisser de coté cette version et de pratiquer Populous sur Amiga ou ST par exemple. Si vous voulez absolument jouer à un jeu du genre sur votre console Snes, préférez la suite de ce hit : Populous 2.
MOYEN (à cause des controles : jouez y sur micro-ordinateurs)

Pour plus d'informations : lire l'article de JPB dédié à Populous : http://www.grospixels.com/site/populous.php


Populous 2
(Bullfrog / Electronic Arts - 1993)



Pas de révolution dans cette suite du méga-hit de Peter Molyneux qui fait plus office de remake amélioré. Est-ce pour autant un mal ? Non car le jeu est très bon. Le principe demeure donc identique à celui de Populous mais cette fois, au lieu d'incarner une divinité "anonyme", on se retrouve immergé au milieu du panthéon des dieux grecs de l'Olympe. Il est d'ailleurs possible entre les niveaux de customiser le dieu qu'on incarne en répartissant des points dans ses différents pouvoirs afin de les rendre plus efficaces. Et ces derniers sont beaucoup plus nombreux que dans le 1er épisode et viennent considérablement enrichir les stratégies possibles dans un partie.
La réalisation a été bien revue : c'est beaucoup plus beau, les sprites des fidèles sont plus fins, les bâtiments plus détaillés et les sorts plus impressionants. Seul l'aspect sonore reste tout aussi discret que dans le 1er jeu. On trouve également un habillage beaucoup plus agréable avec de jolies illustrations entre les niveaux et des menus plus clairs. Enfin et surtout, l'interface a été revue et on peut jouer à la souris. Celà rend le jeu beaucoup plus ergonomique et permet d'apprécier toute la puissance d'un Populous sur sa console. Cependant, on ne dispose pas encore du même confort que sur micro ordinateur ou le couple souris + clavier rend l'expérience beaucoup plus agréable. Par exemple, on pourra sur Amiga modifier le terrain en cliquant dessus à la souris tout en déplaçant la carte avec le pavé numérique du clavier. Sur Snes, il faut aller cliquer sur la mini-carte en haut à gauche pour se positionner ou on veut et il est parfois difficile d'accéder précisément à l'endroit voulu.
Populous 2 est un jeu relativement méconnu et peu pratiqué, eclipsé qu'il fut par l'aura de son prédécesseur. Les tests de l'époque n'ont reconnu à cette suite qu'une supériorité technique sur le 1er Populous et ont manifesté une déception toute légitime devant le fait que le concept était repris à l'identique alors qu'ils espéraient peut-être, déjà à l'époque, que Peter Molyneux re-révolutionne le jeu-video ! Il serait pourtant dommage de laisser ce titre sombrer dans l'oubli car les quelques ajouts de gameplay (les nombreuses magies) renouvellent vraiment le plaisir qu'on peut prendre à pratiquer un Populous.
BIEN (mais jouez y plutot sur micro-ordinateurs)


Powermonger
(Bullfrog / Imagineer - 1993)



Sorti comme Populous de l'esprit fertile des petits génis de Bullfrog et adapté depuis les micro-ordinateurs 16 bits, Powermonger est un jeu de gestion / stratégie dans lequel on doit conquérir plusieurs cartes avec son armée. On incarne un général représenté à l'écran par une illustration en arrière plan et on donne ses ordres en cliquant sur des icones et sur la carte avec un curseur. Le déroulement s'effectue en temps réel mais on peut à tout moment mettre en pause pour observer tranquillement la carte et planifier ses actions. Il est possible d'ordonner à ses troupes de combattre, de chasser, d'inventer des nouvelles armes ou objets utiles (des bateaux par exemple) ou encore de recruter de nouveaux soldats après avoir conquis une ville ennemie. A tout moment, on influe sur l'efficacité de ses actions en réglant son agressivité. Par exemple on pourra choisir de mettre l'aggressivité au plus bas en attaquant un petit village peu défendu pour ne pas massacrer tout le monde, puis monter l'agressivité à fonds en choisissant de recruter afin qu'un maximum de personnes rejoignent notre armée. Après certaines victoires, de nouveaux généraux se joignent à nous, et on peut alors controller plusieurs armées simultanément pour mettre au point des stratégies plus complexes, ce qui n'est pas du luxe car le CPU se défend bien !
Le jeu dispose de plein de petits détails qui ont fait sa bonne réputation. Si dans Populous tous les petits bonshommes agissaient de la même façon (en fait ils ne faisaient pas grand chose), ici ils ont tous leurs petites habitudes. Quand on ne combat pas, certains vont pêcher, d'autres élèvent des moutons, ou ramassent du bois. Plus fort : on peut obtenir des détails sur chacun d'entre eux comme son nom ou sa ville de naissance. Quand on donne un ordre à un général autre que celui incarné par le joueur, un pigeon voyageur part de l'armée principale vers l'armée de son général et l'ordre ne commencera à être exécuté que quand le pigeon sera parvenu à destination.
La carte de jeu est représentée en 3D et il est possible de la tourner dans tous les sens et de zoomer et dézoomer. Malheureusement, ces actions sont très lentes : la Snes ayant semble-t-il beaucoup de mal à afficher la nouvelle vue du terrain. Sur Amiga, c'était beaucoup plus fluide et rapide. Et pourtant la fenêtre de jeu affichant le terrain est largement réduite sur cette conversion Snes. En effet, l'interface n'est pas la même que sur les versions micro : au lieu d'être disposés élégament autour de la carte, les icones sont ici toutes rassemblées dans une fenêtre à gauche de l'écran et la vue du monde offerte au joueur se trouve fortement réduite. Dommage. D'autant plus dommage que ce titre gère la souris Nintendo et son ergonomie se montre donc supérieure à celle du 1er Populous.
Powermonger est peut-être moins accrocheur aujourd'hui vu la concurrence, et son style graphique un peu tristounet peut déplaire, mais il reste un grand jeu, un très grand jeu même pour les retro-gamers. Cependant je vous déconseille cette conversion.
MOYEN (mais essayez le si vous ne connaissez pas et si l'émulation d'un ordi 16 bits vous semble trop compliquée)

T'as failli réussir !!!

On ne dit pas de mal de Titus, Rontudjuuuuu !!!
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Your face, your ass, what's the difference? - Duke Nukem

Populous 2 j'ai toujours cru que c'était powermonger. Et que le populous 2 sur console c'etait le remake du 1. 2 qui n'existait donc pas sur ordi ^^

Bon faut que je me motives, j'ai pas lu les 2 pages précédentes de tests
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En fait Powermonger est sorti avant Populous 2 et a été présenté par la presse (et peut-être aussi par ses développeurs) comme la suite de Populous. Et comme Populous 2 n'a pas eu beaucoup de succès, beaucoup pensent en effet que Powermonger, c'est Populous 2.



Pagemaster
(Probe / Fox - 1994)



The Pagemaster est un jeu de plate-forme occidental tiré du long-métrage du même nom : un film pour enfant des années 90 assez horripilant. On y incarne un jeune garçon qui plonge littéralement dans les livres d'aventure et en devient le héros. Les 2 premiers livres, qui constituent les 2 premiers niveau du jeu, sont un livre d'horreur et un livre de pirates. Le héros doit atteindre la fin de niveaux plus ou moins labyrinthesques qui s'étendent aussi bien en longueur qu'en hauteur. Il est possible d'explorer en quête de bonus pour améliorer son score ou acquérir de nouvelles capacités comme le "wall-jump" et le lancé de projectiles. L'amplitude du saut est très haute et comme le personnage est rapide et maniable, celà rend les phases de plate-forme pures très amusantes. On peut vaincre les ennemis en leur sautant dessus (pas tous) mais la détection des collisions étant perfectible, mieux vaut les éviter ou leur tirer dessus quand on en a la possibilité. Dans certains niveaux on doit grimper aux cordes, se déplacer sur des livres volants ou effectuer des course-poursuite pour échapper à un ennemi invincible.
Certains bonus permettant d'accéder à des phases de vol vues de derrière et animées en mode 7. Graphiquement impressionantes, elle ne sont pas très jouables et loin d'être trépidantes puisqu'on n'y fait que ramasser des bonus en évitant des "poteaux" et cette séquence est trop facile.
La réalisation du jeu est plutot bonne. Dans le 1er monde (horreur) Les couleurs sont peu nombreuses et sombres mais c'est un choix esthétique souligné par des effets de brume. Ensuite (monde des pirates) on trouve des décors plus colorés mais moins esthétiques. Les musiques sont correctes et l'animation très bonne, tout comme le scrolling multi-directionnel.
Mais voilà, malgré ses qualités, Pagemaster n'accroche pas le joueur. Peut-être à cause d'un manque d'originalité dans les situations qui en font une série B du genre plate-forme, surrement aussi à cause d'un manque flagrant de charisme dans la direction artistique générale. En tout cas le jeu n'est pas mauvais et est à essayer.
MOYEN

Vu ta description je l'aura plutot classé en clone de loaded. J'avais vraiment bien aimé la démo de ce jeu sur PSX, mais j'ai jamais acheté le jeu. Faudrait que j'y reflechisse vu que j'ai un avoir chez 100%jeux ^^

@(P)Tikon

Oui mais est ce qu'on se rapproche de la vraie version du jeu ? car c'est ça le truc. Jouer dans les conditions d'origine. Pour moi un emu qui corrige des bugs, c'est plus un ému


Sinon voila, je suis à jour pour ce topic ^^
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Mais non Rain, Bsnes émule justement la Snes le plus fidèlement possible : il ne corrige pas des "bugs" présents dans le jeu original sur la vraie console (pour peu qu'il y en ait, tu pensais peut-être aux ralentissements dans certains jeux ?). Ce que Tikon veut dire, c'est que Bsnes ne souffre pas des bugs qui surviennent dans les autres emus (Snes9X et Zsnes), bugs dus à l'émulation et non-présents dans la cartouche bien sur.

Et tant qu'on est sur le sujet, j'ai DL une version plus récente de Bsnes et ça a résolu mon problème de screenshots. Accessoirement, ça m'a permis de jouer à des jeux qui ne sont pas du tout émulés (ou très mal) sur les autres émus. Encore merci Tikon.

Le (très) bon jeu du Vendredi :



Panel de Pon
(Intelligent System / Nintendo - 1995)



Voici un excellent puzzle-game qui marque le début d'une série connue en occident sous le nom de "Puzzle League". Le principe est le suivant : des blocs harborant des symboles variés sont disposés sur l'aire de jeu et montent doucement vers le haut de l'écran, avec de nouveaux blocs apparaissant par le dessous. Le joueur dirige un curseur qui lui permet de faire pivoter 2 blocs adjacents horizontalement et ainsi leur faire échanger leur place. Le but est de faire en sorte que 3 blocs disposant du même symbole se touchent horizontalement ou verticalement et disparaissent. Evidemment, comme dans de nombreux softs du genre, il faut essayer d'en faire disparaitre plus de 3 en même temps, ou bien provoquer des enchainements, afin de marquer plus de points ou de gêner son adversaire.
Panel de Pon est un excellent puzzle game : son principe est addictif et suffisement original pour le démarquer de la famille Tetris. De plus, pour ce premier épisode, Intelligent System sort le grand jeu avec un soft très bien réalisé et très complet. En effet, les modes de jeu sont très nombreux : un enldess à la Tetris, un mode "score attack" ou il faut faire disparaitre les blocs en temps limité, un mode "clear attack" ou il faut tout faire disparaitre le plus vite possible, et un excellent mode puzzle ou il faut faire disparaitre des blocs dans une configuration donnée avec un nombre d'actions limité (souvent une seule). En plus de ça, on peut également jouer en "versus", c'est à dire en écran splitté contre un adversaire controllé par le CPU ou un ami.
Enfin, l'habillage du jeu est remarquable avec ses bonnes musiques et ses écrans de fonds beaux et colorés, et on trouve même un mode "tutorial" très bien fait qui explique par l'exemple toutes les techniques du jeu.
Abordable, profond, amusant, bien réalisé et très complet, Panel de Pon est un classique du genre qui poursuivra sa carrière sur toutes les consoles Nintendo, versions de salon ou portables.
A noter que le jeu est resorti en version "light" en 1998 pour le service de téléchargement Sattellaview sous le nom "Panel de Pon BS : Event 98". La plupart des modes de jeu ont disparu et il ne reste que le score attack et le versus mais uniquement contre un joueur humain. Il y a peut-être d'autres différences mais je ne les ai pas remarquées. Par contre, après chaque partie, une page affiche notre score avec un code, une adresse et un numéro de fax, j'imagine que celà servait dans le cadre d'un concours.
TRES BIEN


Tetris Attack / Yoshi no Panepon
(Intelligent System / Nintendo - 1996)



Panel de Pon sortira ensuite en occident sous le nom de Tetris Attack, ce qui est une utilisation du nom Tetris assez malhonête, à la limite de la publicité mensongère tant ces 2 titres n'ont pas grand chose à voir ! Tout l'habillage du jeu a été modifié puisque les petites fées de la version originale sous remplacées par des personnages Nintendo issus du jeu Yoshi's Island. Tout le reste du jeu est identique. Alors on peut préférer le design original mais cette version a tout de même l'avantage de proposer tous les textes en anglais, ce qui n'a rien d'indispensable mais s'avèrera utile si on souhaite profiter du tutorial qui présente tout de même des techniques avancées (combos ...).
Le jeu est re-sorti tel quel la même année au Japon sur le service de téléchargement Sattellaview et sous le nom Yoshi no Panepon. A noter que dans les 2 cas, il est possible de mettre les textes en anglais ou en japonais dans les options, mais que celà affecte uniquement les dialogues entre personnages dans le mode versus et les tutos : les textes des menus restent dans la langue d'origine.
TRES BIEN

Je parlais des ralentissements effectivement et quelques bugs graphiques.

Sinon puzzle de pon ca à un lien avec panel de pon ou pas ?.
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Je me suis demandé la même chose à propos de Puzzle de Pon. J'ai toujours cru aussi qu'il y avait une faute d'orthographe dans le nom de ce jeu.
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Your face, your ass, what's the difference? - Duke Nukem

Non, à ma connaissance, aucun rapport entre Panel de Pon et Puzzle de Pon.

Quelle faute oO ?
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@Rain : remplace un "p" par un "c" (j'imagine que Tonton avait dû voir la même chose)

L'article de la semaine (écrit par un gars très bien) est consacré à L'Aigle d'Or et à ses décors tout roses. Dans la même couleur, nous avons ceci :



Pink Panther : Pink goes to Hollywood
(Tecmagik - 1993)



La panthère rose est en vedette dans ce soft ou le joueur, controllant le célèbre personnage, doit traverser des niveaux plus ou moins inspirés du cinéma hollywoodien comme des décors de western, des forets enchantées, ou des cavernes lugubres, pour échapper à l'inspecteur Clouseau. On commence dans un niveau ou la panthère est ramenée à la taille d'un insecte et se balade dans une maison pleine de dangers, mais aussi pleine d'accès au différents autre niveaux du jeu qu'on peut donc faire dans n'importe quel ordre. On commence toujours avec un chapeau, toujours adapté au niveau en cours (un chapeau de cowboy dans les niveaux Western par exemple) qui protège une fois d'un contact avec un ennemi avant qu'un nouveau contact fasse perdre une vie. Pour éviter d'en arriver à cette funeste situation, on peut éliminer les indésirables en leur sautant dessus ou en leur lançant de la peinture rose avec une sorte de vaporisateur. Il est aussi possible de courir, mais attention à l'intertie très prononcée. Enfin, on trouve ici et là des jetons à utilliser à des endroits précis pour déclencher des événements servant à progresser (l'apparition d'un pont, un parapluie servant à voler ...).
Pink Panther est un jeu assez mal conçu et plutot mal réalisé également. Le joueur est toujours un peu perdu dans ces niveaux ou les téléporteurs sont légion, ou on ne sait jamais trop ou aller ni quoi faire. Souvent sans le faire exprès on pénètre dans des niveaux bonus ou on passe d'un monde à l'autre sans réellement comprendre ce qui se passe. La jouabilité n'est pas mauvaise mais les sauts manquent de précision tandis que l'intertie vient vite mettre un frein aux aspirations acrobatiques. Graphiquement c'est assez terne et sans inspiration. Seules les musiques, interprètations variées autour du célèbre thème de la panthère rose, sont réussies.
MEDIOCRE

Je suis impatient d'être à la lettre R que tu testes Ren & Stimpy





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Il y a un rapport avec Pink Panther ? (même développeurs ?)
J'ai déjà essayé les Ren & Stimpy (il y en a 4 différents sur Snes) et moi je suis pas franchement pressé de m'y remettre pour en parler ici ! J'ai trouvé les jeux dans l'ensemble pas terrible (à moins d'être fan du DA que je ne connais pas du tout peut-être ?) , mais celui dont tu as posté la vidéo, ce machin là, il est juste ATROCE !!
On aura l'occasion d'en re-parler, en attendant il y a encore plein de P et toute la lettre Q à se farcir (bon pour la lettre Q, ça va aller vite, c'est sur !)

Le machin atroce on l'a écumé en long et en large avec mon meilleur pote quand on avait 13 ans.

Un stage sur 2 était un espèce de truc immonde en mode 7...


edit : sans oublier la superbe chanson accompagnée d'une danse du cul : "Happy Happy Joy Joy"...

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Popful Mail
(Falcom - 1994)



Sous ce nom étrange se dissimule un jeu de plate-forme proche de l'action-RPG également sorti sur PC japonais, PC Engine et Mega-CD. On dirige tour à tour dans un monde d'heroic-fantasy des petits héros typiques de cet univers : d'abord une guerrière armée d'un épée et d'un bouclier, puis un magicien qui lance des boules de feu, et surrement d'autres personnages ensuite. Le déroulement se fait en vue de profil et on alterne deux types de niveaux à la manière d'un Zelda 2 Nes. D'une part des villes ou on discute avec des gens et ou on fait des achats, et d'autre part des extérieurs et des donjons qu'on doit traverser en se débarassant de nombreux ennemis. La guerrière avec qui on commence peut sauter, ramper et donner des coups d'épée dans toutes les directions. Son coup le plus efficace est une attaque sautée sur la tête des ennemis, lame vers le bas. Plus tard, on pourra alterner avec le magicien en appuyant sur R. Chaque héros dispose d'une barre d'énergie, d'un équipement, et de points d'expérience qui augmentent en tuant des monstres. Des boss attendent patiemment à la fin de chaque niveau.
Que ce soit en ville ou pendant les phases d'action, on rencontre de nombreux personnages donnant lieu à de petites cut-scenes et à beaucoup de texte à l'écran, malheureusement tout en japonais. Il est possible parfois de rentrer dans certaines maisons ou un dialogue s'engage tandis que son interlocuteur est représenté par une illustration plein écran assez jolie. L'absence de traduction ne semble pas trop handicaper la progression toutefois, du moins dans les premiers niveaux.
Graphiquement c'est réussi : les sprites sont petits mais mignons et détaillés tandis que les décors sont colorés et toujours très lisibles. L'animation en revanche se révelle assez raide mais ça ne gêne pas trop la jouabilité. C'est un jeu plutot sympathique en définitive. Mais il faut savoir que la version Mega-CD (dont les niveaux et le gameplay diffèrent un peu) est bien plus réussie, bénéficie de cinématiques en dessin animé et a été traduite en anglais.
ASSEZ BIEN (l'absence de traduction est regrettable)

Ah oui exact, je me rapellai plus que ça venait de là Seb, le DA est super trash pas sûr que t'apprécies.
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