Allez, je me lance. Devrait pas être trop dur, celui-là.

En 1995, LucasArts a sorti un jeu dans lequel on pouvait, à deux endroits, entendre la célèbre Chevauchée des Valkyries, de Wagner. Les questions sont les suivantes:
1) Quel est ce jeu?
2) A quels endroits du jeu pouvait-on entendre la Chevauchée des Valkyries?
3) On pouvait même en entendre deux versions différentes. Comment?

Bon alors, euh...
1/ C'est Full throttle !
2/ On entend cette musique en posant des lapins mécaniques sur le champ de mines qui protège la planque d'un gang de motards (non, je n'ai rien fumé). On l'entends aussi à nouveau à la fin du générique de fin, ou y a à nouveau tout plein de lapins...
3/ m'en rappelle plus...

1) Bien joué.
2) Oops, j'avais oublié ce passage-là (générique de fin). Bon ben alors y'en a 3, il t'en manque 1. Par ailleurs c'est pas la planque d'un gang de motards, c'est l'usine de Corley Motors, mais accordé quand même.
3) ...

Bon. Personne trouve? Alors voilà la fin des réponses...

Vers la fin du jeu, quand on se retrouve accroché à l'avant du gros camion jaune. Après avoir arraché la calandre, le radiateur devient apparent, notamment le gros ventilo. A ce moment-là, s'il reste des lapins dans l'inventaire, on peut en utiliser un sur le gros ventilateur. L'intro de la Chevauchée des Valkyries se fait entendre, on voit Ben avec un regard triomphant diriger le lapin vers l'hélice... Qui le broie avec un bruitage gore. C'est tout, ça sert à rien.

Ensuite, pour la deuxième version de la zique, c'est pendant la séquence de déminage que ça se passe. Si on balance plein de lapins d'un coup (genre toute la boîte) c'est la version normale que l'on entend. Mais si on les utilise un seul à la fois, c'est une version... euh... "remix guimbarde et tambour miniature" qui se fait entendre. Tout-à-fait ridicule.

Ah oui ça me revient
pauvres, pauvres petits lapins...

Yeaaaahhh... Kill les petits lapins... (désolé, j'ai pas dormi, je reviens d'un concert de Metal, j'ai plus toute ma tête).

Bon, allez, un autre sur un jeu LucasArts.
Dans Monkey Island (premier du nom), on pouvait mourir. Comment?
Attention, je ne parle pas de la fausse mort "uh-oh, you really screwed up this time" où on se vautre de la falaise, hein, je parle d'une vraie mort.

Il me semble que c'est vers la fin, quand Guybrush se retrouve SOUS l'eau... On a un temps limité pour ramasser un objet qui permettra de s'en sortir, une épée je crois... Si on reste trop longtemps, gloub, on meurt.
J'ai bon ?

Je dirai la même chose...
Par contre, il me semblait qu'en fait sous l'eau, il y avait un tas d'objets tranchants (épée, poignard, ciseaux, etc) mais on ne pouvait en attraper aucun. Pour s'en sortir il suffisait de prendre la pierre qu'on avait d'attaché au pied, et de se déplacer avec pour s'en sortir... Les autres objets n'étaient là que pour tromper le joueur...

Bonne réponse de JCV! Même si c'est pas vraiment vers la fin du jeu. Plutôt au début, en fait.
Un peu après avoir volé l'idole aux bras multiples, on se fait jeter à l'eau (sous les docks) avec ladite idole attachée au pied. Au fond de l'eau se trouvent non seulement plein d'objets tranchants qu'on ne peut pas atteindre mais également un énorme trésor (qu'on ne peut pas atteindre non plus; les boules...).

Or, lors de son premier entretien avec le conseil des pirates, à la question "Qu'est-ce que tu sais faire?", Guybrush a répondu "Je peux rester dix minutes sans respirer!".
Eh bien il n'a pas menti. Vous avez exactement dix minutes pour ramasser l'idole (vraiment trop conne cette énigme!). Après quoi Guybrush vire au bleu puis au vert, et les commandes SCUMM se transforment en "putréfie", "décompose" et autres trucs gore. Vous avez gagné le droit de charger votre partie.

Allez, on continue chez LucasArts avec un facile mais bien débile.

Dans Day Of The Tentacle, pourquoi a-t-on besoin de la quantité carrément immonde de pièces de 25 cents présentes dans le distrib' du Dr. Fred?

Au fait, on n'a pas de temps limité pour ramasser l'idole sous l'eau, c'est un jeu Lucasart!!

Si si, Kaede. C'est même l'objet de ce triva. On a exactement 10 minutes, après ça on dépasse l'autonomie de Guybrush. Je peux pas filer de screenshots (sous Win2000 Monkey Island marche très moyennement) mais je l'ai fait chez un pote.

Je crois que ça servait à faire fonctionner le sèche-linge suffisamment longtemps (quelques années) pour faire rétrécir un pull qui allait servir dans le futur à réchauffer une marmotte (et non, je n'ai toujours rien fumé)

Encore une bonne réponse de JCV, avec encore une petite erreur.
Dans le présent, Bernard met le pull dans la machine à laver et la tonne de quarters dans le monnayeur.
Quand on prend ensuite le contrôle de Laverne (qui est 200 ans dans le futur) et qu'on l'amène dans la cuisine, elle y arrive juste à temps pour assister à l'arrêt de la machine à laver (!). Vraiment trop débile. J'adore.

Bon, j'ai plus trop d'inspi sur les LucasArts alors on va passer un petit moment à autre chose (pas très difficile non plus).


Qui est Bren McGuire?

*Lève le doigt.*
Je sais ! Je sais !
*Sur un signe de Wild_Cat :*
C'est le héros de Turrican 2 !
C'est le monsieur qui se met une grosse armure pleine de métal pour aller botter les fesses à La Machine.
Notez en passant, que dans l'intro du jeu, La Machine est de taille humaine, et que dans le dernier niveau elle fait au moins 4 étages de haut. Sinon, quel jeu d'enfer Turrican 2 !

Et c'est une bonne réponse de JPB!

Bon, on corse un poil la difficulté. Quel excellent beat them all sur 16-bit avait pour particularité d'être le tout premier beat them all où personne ne s'était fait enlever dans le scénario?

(je sais, c'est vicieux, personne lit les scénars de beat them ann)

sword of sodan? peut-être plus beau que super d'ailleurs... je dois me tromper!

Au hasard, Mutation Nation?
Ou alors peut-etre Eight man?

Mmh... Je réalise que ma question est un peu vague. Alors voilà deux indices: la musique, inoubliable, est de Yuzo Koshiro, et de tous les beat 'em all "urbains" c'est probablement lui qui propose les coups spéciaux les plus pyrotechniques.

D'un coup c'est (beaucoup) plus facile...