Le problème c'est que j'y ai joué un quart d'heure, et maintenant mon gamin a chopé une sorte d'ingram en plastique et se ballade partout en faisaint "boum boum boum !!"
Vais me faire un TJE3, moi...
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ATI128 ? C'est moins bien qu'une carte PCI 2D avec 4 Mo de ram ?

Quand tu joues à Rez il fait quoi le petit ?

Il dit 'Papa, laisse moi jouer à ce très beau jeu Playstation 2'.

Et il s'en prend une.
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Je l'ai fini hier. en 5-6h seulement.
Oui, il n'est pas vraiment beaucoup plus beau que le premier (même avec ma config de bourgeois).
Oui, il n'y a qu'une seule innovation au niveau du gameplay.
Oui, on a peu l'impression de revivre la même histoire.
Oui, c'est hyper violent et des civils y passent.
MAIS QU'EST CE QUE C'EST BON !

Le bullet time est encore mieux qu'avant et c'est avec un grand sourire qu'on entre dans une pièce pleine gars. C'est rare d'avoir un jeu d'une telle intensité.

Le roman photo est encore plus beau et plus sombre accompagné d'une divine musique.

Les phases cauchemars sont bien moins chiantes et bien plus flippantes.

Les niveaux sont super bien pensés (aaah celui de la fête forraine)

Sans oublier les petits détails qui tuent : par exemple, à un moment on trouve un piano. Si on fait "utiliser" , Max commence à jouer l'air du premier opus
Jouez-y, c'est une tuerie (au sens propre comme au figuré).
Bientot la critique sur Krinein évidement ^^
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Le mauvais goût dans les jeux

Tu oublies le fait que dans le jeu, on peut suivre quatre séries télé (enfin, plutôt des romans photo): Lords & Ladies (soap opera, déjà présent dans MP1), Captain BaesballBat-Boy (cartoon à la con), Dick Justice (blaxploitation) et Address Unknown (horreur psychologique bizarre façon Le Prisonnier). Il est d'ailleurs intéressant de voir que si l'on mélange les scénarios de ces deux dernières, on obtient un truc qui ressemble étrangement à Max Payne premier du nom...

...et c'est vrai que les cauchemars sont très flippants maintenant. Par contre, je trouve les graphismes beaucoup plus beaux que ceux de MP1, surtout au niveau des visages (et des effets de postprocessing). Et vive le moteur physique.
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Pour info, on obtient une fin alternative en finissant le jeu dans le niveau de difficulté le plus élevé.

Un autre truc qui fait le charme du jeu, c'est tout les petits détails humoristiques, notamment les conversations entre les hommes de main, ou dans les series TV (avec notamment dans Dick Justice une belle preuve que les developpeurs n'ont pas peur de se moquer d'eux mêmes lorsque le perso dit "I had a permanent constipated grimace on my face").

hey on voyait vraiment des videos ? parce que moi j'ai toujours entendu 2-3 dialogues mais pas de vrais images sur les tv
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Des vidéos non, seulement des images, d'où le "plutôt des romans-photo". Ceci dit, les dialogues sont excellents.

J'ai vu la fin alternative, et j'ai une opinion mitigée dessus. C'est une sorte de happy end (je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler), et d'un côté je me dis que c'est mieux parce que je suis content pour Max, et de l'autre je me dis que les histoires qui finissent mal sont tellement plus belles...
Donc je préfère la fin originale, qui m'a presque collé les larmes aux yeux (surtout avec la zique après).

Encore un grand bravo à Sam Lake, le scénariste du jeu (et de Max Payne 1). Par contre je me demande pourquoi Max n'a plus sa tête dans MP2...
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La tête du premier Max Payne était celle d'un des développeurs. Peut-être qu'il ne fait plus partie de l'équipe.

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Justement non, Max Payne avait la tête de Sam Lake, le scénariste des deux épisodes.
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Bon, faut croire qu'il n'aime plus sa tête ou alors il y a eu une histoire droits.
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Et c'est là que je pose l'éternelle question :
vous ne trouvez pas que le premier Max Payne ressemble à Johnny Knoxville ?

Un truc qui m'a bien fait tripper dans le jeu c'est la "vente" du Havok, le moteur physique. Si à certains moments, ils sera utile pour le gameplay (repérez bien dans quelles directions vont les caisses d'explosifs enflammées), il sert souvent de défouloir juste histoire de dire "notre moteur assure."
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Le mauvais goût dans les jeux

max payne 2, la claque de cette année

soufflé par l'incursion dans le domaine de mona (la fete foraine abandonnée) ou les figurines en carton me font stresser

sur le cul par le retour dans la fete foraine, mais en coulisses, ou cette fois ci, on fait monter le stress des nettoyeurs.

Du bonheur !

cela dit j'ai a deplorer quelques soucis de camera, qui n'etaient pas presents dans le premier opus, si ma mémoire ne me joue pas de tours. Je parle de moments ou max occuppe une bonne partie de l'ecran, et empeche carrément de viser correctement un nettoyeur juste devant.

Ca casse un peu le rythme des sequences de shoot parfois.

D'ailleurs a ce propos, je trouve que max payne est plus un shoot qu'un fps, je ne sais pas, ca vient peut etre de la maniere que j'ai de l'aborder. Mais chaque piece remplie d'ennemis me fait penser à un level d'un shoot endiablé. Il m'arrive comme sur le premier de refaire 10 fois, 15 fois, une entree, jusqu'a atteindre la sequence parfaite, celle qui cumule economie de mouvements, economie de balle, economie de temps. Bref jusqu'a l'épure complete

et le reitere sur la scene de la "fete foraine", ou plutot des anciens studios, rarement un soft m'avait proposé un tel trip visuel, qui m'ont renvoyé direct a tout un tas de references (le tunel etoilé qui tourne m'a fait penser a une vieille serie avec des gens qui voyageaient dans le temps).

Et cette decouverte en deux temps ; dans le studio, puis dans les coulisses, avec le changement de statut du joueur, renforcé par l'impact du decor (de traqué-desorienté par le decor, à chasseur-utilisant le decor)

vraiment quelque chose de tres abouti je trouve.

Et encore une fois, on le descend pour sa facilité, et sa -relative- faible duree de vie.

Je ne sais pas qui oserait prétendre que Max Payne est un FPS car c'est un TPS (Third Person Shooter).

Cela dit, je suis un fanboy invétéré du premier. Ah ! cette plongée désespérée dans les ténèbres urbains, cette mise en abyme, ces grands moments de fureur et grandiloquents...

En plus techniquement, c'est du jeu bien optimisé, Max Payne, ce qui ne gâche rien...

Promis, j'essaierai le second.

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------- SPOILER --------


La fête foraine. je ne taris pas de commentaires sur cette scène d'anthologie; demandez à Manu ou à Maze! c'est un des plus grands moments du jeu vidéo: rien que cette scène repousse les limites du concept.
Quand aux scènes ou Mona snipe pour aider Max qui lui parle par radio (et que l'on voit dans la lunette du fusil) c'est grandiose. Il y a davantage d'idées dans un titre comme celui-là que dans n'importe quelle autre compilation de 10 FPS.

----- FIN DU SPOILER -----

Le jeu de l'année 2003? pourquoi pas, je ne trouve pas d'argument contre...
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comme le premier finalement... (pour le jeu de l'année)

et tout a fait d'accord avec toi, la fete foraine, comment dire, rarement un jeu ne m'a fait cette impression la. L'impression de jouer, et en meme temps de passer derriere, au sens figuré (derriere le concept du jeu) comme au sens propre (avec le retour).

Tant d'autres qualités, et je n'en ait pas encore fait la moitié !!

Hop, hier je me suis refait Max Payne 2 en mode de difficulté maximal (Dead on Arrival), histoire de voir la séquence de fin alternative. Et comme je le pensais, quand on la voit, on est content parce que c'est ce qu'on voulait qu'il se passe, mais... Rien à faire, ce n'est pas aussi beau que la première fin, celle qu'on sent lentement arriver depuis le début du jeu, celle dont on sait qu'elle est forcément inévitable (y'a même un chapitre qui s'appelle "there are no happy endings") mais dont on passe tout le jeu à se dire que non, c'est pas possible, il ne faut pas que ça se termine comme ça.

Heh. Ce qui semble confirmer ma théorie comme quoi les fins tristes sont toujours plus belles que les happy ends...

En tous cas, j'ai l'impression que le jeu reste aussi bon que la première fois, au niveau du gameplay (ce qui n'est pas une surprise) comme au niveau du scénario. La "deuxième lecture" de celui-ci est aussi excellente que la première; en effet, même s'il n'y a plus la surprise de la découverte, on note une tonne de détails qu'on avait loupé la première fois, ou qui prennent toute leur importance maintenant qu'on connaît la fin (vive la narration en double flash-back). Rien que dans le prologue de la première partie (l'hôpital), on se retrouve à sortir des variations de "merde" et de "bon sang" un nombre incalculable de fois.
On se prend aussi à essayer de regarder dans leur intégralité les 4 "séries TV". On se marre devant Dick Justice, la parodie blaxploitation du premier Max Payne, et ses métaphores miteuses ("The rain was comin' down like all the angels in heaven decided to take a piss at the same time. When you're in a situation like mine, you can only think in metaphors."), on flippe presque devant Address Unknown, on s'endort devant Lords and Ladies, quant à Captain BaseballBat-Boy, bah, euh... Disons qu'il donne lieu à l'un des nombreux passages cultes du jeu.


Et encore une fois, ça donne l'occasion d'apprécier ces incroyables dialogues de Sam Lake, interprétés par des acteurs au top, accompagnés par de superbes dessins. Raah, que ce jeu est beau, dans tous les sens du terme.
Si on m'avait dit que je trouverais dans un shooter Hong-Kong-esque des personnages parmi les plus travaillés de l'histoire du jeu vidéo, et que je regretterais presque que le méchant meure à la fin, je ne l'aurais pas cru.

Encore une fois, chapeau bas aux messieurs de Remedy Entertainment. J'ai cru entendre dire que le développement de Max Payne 3 n'allait pas tarder à débuter, je croise les doigts pour qu'il soit aussi bon que les deux premiers.


"Ladies and gentlemen, allow me to present Max Payne, New York's finest with the biggest mobster body count ever, dearest guests prepare to die... Max I'd love to come and welcome you but I'm busy dodging bullets and hiding under a desk at the moment."
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Déterrage de topic pour un petit compte-rendu de la version Xbox de Max Payne 2, que je découvre depuis deux jours.

Graphiquement, je situerai à vue de pif le niveau de détail géométrique et de textures à "tout médium", avec une bonne cuillérée d'anti-aliasing. Il me semble que les effets de particules sont au minimum, et je n'ai pas vu de fumée ou de brouillard. Par contre la gestion de la physique des éléments de décors comme les cartons ou les caisses de bois, et surtout le "ragdoll" sont bien présents, et c'est bien là la principale avancée technique du jeu. Le jeu dispose d'un affichage 16/9 qui en jette un max (jeu de mot), et c'est franchement bienvenu quand on a le personnage principal au premier plan. La luminosité est excellente (j'avais des craintes de ce côté là, parce que franchement les jeux où on voit rien j'en ai plus que ma claque). Côté animation c'est parfaitement fluide, aucun souci. J'ai juste eu une chute de framerate dans un décor près du repaire de Vlad, au 2e chapitre, et je ne sais pas vraiment pourquoi d'ailleurs. Les temps de chargement sont courts, de l'ordre de 5s au début d'un chapitre et puis plus rien jusqu'au prochain. La sauvegarde et le chargement rapides sont, comme dans la version PC, instantanés (ce qui n'est pas du tout une habitude sur Xbox contrairement à ce qu'on pourrait penser). Il faut juste faire pause avant de sauvegarder, et il n'y a pas plus de contraintes sur la quantité de sauvegardes possibles que dans la version PC.

Côté maniabilité, le passage au pad a ses avantages et ses inconvénients. La gâchette gauche sert au "shoot-dodge", et la droite à tirer. C'est très pratique pendant les gunfights. La visée se fait au stick droit, avec la possibilité d'accélérer la rotation de la caméra en utilisant le stick "clické". Un lock automatique des ennemis qui passent au centre de l'écran permet de faire mouche même si on n'est pas totalement précis. On se sent handicapé par rapport à la souris pendant une petite heure de jeu, et puis on s'y habitue. Par contre, les déplacements au stick gauche auraient pu faire l'objet d'améliorations sur cette version console : Max n'a qu'une seule vitesse de déplacement, ce qui va bien quand on joue au clavier, mais fait un peu cheap quand on dispose d'un stick analogique aussi bonnard que celui de la Xbox. Dans bien des phases de jeu, l'expérience sur des jeux comme Splinter Cell ou Rogue Ops donnerait envie de tenter, de temps en temps histoire de changer un peu, un zeste d'approche infiltration au lieu d'aller tout le temps au paquet comme un bourrin de flic psychopathe qui n'a plus rien à perdre. Ces déplacements en "tout ou rien" l'empêchent totalement. Au départ je dois dire que c'est ce qui m'a déçu dans ce jeu, mais après quelques heures dessus j'y trouve pas mal d'autres choses très bien, voire même beaucoup, voire même que je prends mon pied en fait ! La distribution des autres actions sur les boutons est parfaite.

En définitive c'est à vous de voir mais je trouve que le fait de perdre la visée à la souris est un moindre mal quand on voit tout le plaisir qu'apporte cette version, surtout si on dispose d'un petit home-cinema, car l'ambiance sonore du jeu est démentielle, et ô miracle sur un jeu console, tous les dialogues sont audibles ! C'est peut-être même le jeu actuel qui se vit le plus comme une expérience cinématographique (impression à confirmer, je suis loin de l'avoir fini, mais bon, le passage dans la fête foraine bonjour la claque). Le seul petit défaut est que les sous-titres sont écrits trop petits et difficilement lisibles si on joue en composite (la version que j'ai n'a pas le doublage français).

Enfin bref c'est vraiment une très bonne conversion !

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(je précise que la version xbox comme la version PC est vendue à 30 euros en neuf et à 25 sur cdiscount.com. A ce prix là, ce serait dommage de se passer du meilleur jeu d'action de ces dernières années )