Sur tes recommendations, j'ai joué et terminé DTIPB.
Je crois que c'est la première fois que je vais au bout d'un jeu de type visual novel - j'avais essayé Planetarian (un jeu commercial Japonais) pour m'y initier mais ça m'avait rapidement gonflé.. C'est donc déjà un exploit en soi

Effectivement j'ai trouvé que les dialogues sonnaient assez "vrai", et ça reste captivant jusqu'à la fin.

Au début, même in-game, le fait de lire des messages privés met quasiment mal à l'aise mais ça finit par devenir une routine, presque un peu lourde vu que c'est finalement pas loin de 50% du temps de jeu : cliquer pour lire les messages des autres.
Je suis extrêmement curieux de savoir ce que donnerait un second walkthrough et de voir quelles sont les conséquences si on prend quelques décisions différentes, je pense m'y essayer bientôt.

J'ai fait les 2 premiers chapitres de DTIPB. Comme je m'y attendais, la "magie" de Digital (liée à l'interface et au contexte de l'histoire) n'opère pas, mais en effet la qualité d'écriture fait que j'accroche beaucoup. Ca et le fait que je n'ai rien contre les jeux d'aventure ultra-dirigistes et pauvres en éléments de gameplay. Dommage que les digico si populaires au Japon ne soient pas distribués chez nous ...

Les personnages sont bien trouvés, attachants, "vivants" (sauf peut-être celui qu'on incarne, bizarrement), l'humour est efficace (la première conversation sur "12 channels" ...) et puis l'intrigue est bien menée (j'aime le parallèle avec le roman qu'étudient les élèves : un procédé pas original, mais pas éculé non plus et ici bien exploité je pense).

Je reviens sur le principe qui veut que le prof puisse accéder aux mails privés de ses élèves. Comme Wild, ça ne me surprend pas sur l'"éthique" de la chose sachant qu'en effet les patrons lisent déjà les mails de leurs employés, et puis vous avez entendu parler d'un truc qui s'appelle Loppsi2, non ? A partir de là ...
Mais bon, dans le cas présent, je ne pense pas que ça arrive. Regardez ce pauvre John Rook qui essaie justement de ne PAS s'impliquer dans les affaires de ses élèves et qui passe plus de temps à "espionner" ces derniers qu'à préparer leurs cours ! Je pense que nos profs protesteraient vivement contre ce surplus de travail, bande gauchos fénéants ce rôle de psychologue qu'on leur impose et qui n'est pas le leur, eux qui doivent se dévouer d'abord à l'enseignement. Par contre on imagine bien des personnes dont ce serait l'attribution (travailleurs sociaux ? policiers ?) et qui surveilleraient ainsi certains élèves jugés "à risque" ...


J'ai l'impression que le jeu fait des sauvegardes automatiques à chaque endroit ou une décision est à prendre, ce qui permet de tester rapidement pour voir ce que donne chaque choix. Mais je suppose que c'est surtout la fin qui diffère en fonction de nos actions, pas le déroulement global de l'histoire (j'ai testé sur le premier choix important du 1er chapitre et ça ne change pas la suite directe de l'intrigue).

Ou peut être tout simplement qu'elle ne fait pas de jeux. Visual Novel, je préfère dire roman numérique ( ), ça annonce assez clairement la couleur, on est pas là pour jouer mais avant tout pour suivre une histoire. Le roman numérique c'est ça (et pas les romans "classiques" qu'on lit sur une tablette/iPad) Christine Love fait parti de ces pionniers qui explorent de nouvelles façons de raconter des histoires grâce aux supports numériques et informatiques. Et elle a l'intelligence de ne pas mélanger ça avec les jeux vidéo, de faire l'amalgame entre raconter une histoire et élaborer un gameplay et, mieux encore, ne pas affirmer comme certains que l'avenir des jeux vidéo c'est de raconter des histoires... Un nouveau type d'écrivain est peut être en train d'émerger, et c'est très intéressant.

Ce serait le boulot des CPE. D'ailleurs en vrai ils le font déjà plus ou moins sur l'espace public pour éviter que les élèves ne publient des choses compromettantes ou insultantes sur les profs ou leurs camarades. C'est pas régulier, mais de temps à autre ce genre de pages posent problème.

Par ailleurs les ados sont généralement pas super responsables sur internet. C'est pas bien compliqué de trouver de lycéens avec des gros pétards au bec par exemple, d'autant plus que ces petits nigauds passent leur temps à demander leurs profs en amis FB. Il y en a qui acceptent, moi j'ai toujours refusé mais bon j'ai quelques élèves qui suivent le groupe de mon blog, etc. , comme c'est public je me vois pas leur refuser...

Disons que c'est un peu la caractéristique de base de l'adolescent, et pas que sur le net.

J'ai terminé DTIPB ce week-end et, si je ne reviens pas sur les qualités du jeu, essentiellement basées sur le talent d'écriture de son auteur, force est de constater qu'il ne me laissera pas un souvenir impérissable. J'ai en fait l'impression d'être trop vieux par rapport à la cible visée. Comme John Rook, je suis passé à coté du phénomène des réseaux sociaux tels que Facebook ou MSN, et j'ai l'impression de ne pas comprendre une partie du message délivré ici. De même la moitié des références dans la partie ou Akira et Kendall font leur représentation me sont complètement passées au dessus de la tête (heureusement qu'il y avait du Shakespeare à coté ^^).

Quand aux choix proposés pendant le jeu, ont-ils la moindre influence sur l'histoire ? Kaede, tu as essayé un second walkthrough ? J'ai un peu exploré d'autres options mais ça ne change que quelques dialogues sans faire dévier le destin des protagonistes (à priori).
Au fait, dernière question, au risque de passer pour un pervers, quel est le deuxième prénom de Kendall ? (ceux qui ont fait le jeu comprendront) Ce prénom existe vraiment ou bien la phase à laquelle je fais référence est juste un gag vicieux (c'est le cas de le dire) pour nous pousser à ré-éplucher tous les messages ?

Histoire de passer pour un pervers à deux : c'est Morgan. Mais je pense que cette phase est là pour montrer à quel point dévoiler trop de sa vie "privée" sur le Net est dangereux.
Bon premier run fini, et je me demande qu'est-ce que je peux modifier pour avoir les autres fins. J'ai fini par sortir avec Arianna (oui, c'est très critiquable, mais il fallait que j'essaie !), mais je me demande si on ne peut pas faire en sorte que Taylor s'améliore.
J'avoue tout de même avoir un peu flippé lors du passage du pseudo-suicide d'Isabella, avec sa soeur qui nous harcèle en permanence !

Bref, je suis soufflé par la qualité d'écriture, qui renvoie 90% de la production des VN dans les cordes, mais aussi comme le dit Wild Cat, DTIB tient la dragée haute à bon nombre de jeux sur PC/Consoles qui se vantent de proposer une histoire "mature". C'est vraiment une très bonne utilisation de support informatique, de l'image et du son, chose dont bon nombre de VN ne profitent pas vraiment : une grande majorité d'entre eux sont écrits/adaptés en VN pour se vendre, non pas par intérêt "ludique". Sans compter bien sur l'aspect Facebook/Twitter, qui n'aurait pas été possible sur un roman classique.
Après, est-ce que DTIB aurait-pu être plus qu'un VN ? Un jeu avec un vrai gameplay, comme un jeu d'aventure ? Peut-être, mais je me demande si, dans ce cas on n'aurait pas perdu un peu du côté "espion malgré nous"...

En tous cas, je redémarre un second run, histoire de voir ce que je peux changer.
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Mince, l'info était donnée à quel moment ? J'ai pas été attentif sur ce coup là.


C'est le passage qui m'a fait douter sur les capacités de l'auteur à écrire une histoire cohérente, car franchement les justifications de "l'acte" étaient réellement légères. Heureusement la suite du jeu apporte une autre perspective ^^

Nulle part ; il faut fouiller les fichiers du jeu pour le trouver (et donc avoir une autre perspective sur le viol de la vie privée d'autrui).



C'est vrai qu'à aucun moment on sait ce qui ne va pas chez elle, elle ne l'explique qu'à la toute fin du jeu. Mais on pouvait déjà avoir un indice : quand Akira parle d'un VN, "Digital Shinigami", ça a tout de même une grosse ressemblance avec ce qui arrive à Rook par la suite, à tel point qu'on peut déjà se douter que quelque chose cloche.

Sinon, deuxième fin, où les étudiants invitent Rook a une fête, et où ce dernier ne sort pas avec Arianne (avec une belle blague pour conclure !). Effectivement, les choix de dialogue ne sont pas nombreux, et en plus, peu d'entre eux influent réellement sur la fin. J'ai l'impression que c'est davantage pour mettre le joueur dans la peau de Rook que pour vraiment changer le cours des choses.
Après, est-ce que la troisième fin consiste à empêcher Kendall et Charlotte de se remettre ensemble ? Ca me ferait un peu mal, le dénouement est mignon comme tout.
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

J'ai terminé le jeu de Christine Love au titre interminable et j'ai beaucoup aimé. L'absence de gameplay ne m'a pas gêné, pour moi c'est plus un "livre d'images" qui utilise les codes des réseaux sociaux qu'un jeu. L'exemple le plus flagrant, c'est les moments où Rook dit "avant de continuer, il faudrait vraiment que je consulte ces messages". Qu'on le veuille ou non, donc, on lira tout. C'est compréhensible car Love met manifestement beaucoup de soins dans ses textes et l'appréciation du jeu s'appuie presque exclusivement là-dessus.

Et puis, prenons le problème à l'envers : son écriture serait-elle toujours si maîtrisée appliquée à un jeu aux possibilités plus larges ? Pas sûr.
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Si loin une roue

Pas encore Je dois dire que même si j'aimais croire le contraire, une petite voix me disait que le jeu n'était peut-être pas aussi ouvert que j'aimerais (ce que tu dis, quoi).
Peut-être quand j'aurai terminé Bioshock 2...

Ce week-end, j'ai découvert un petit freeware très sympathique qui s'appelle Desktop Dungeons. Il s'agit d'un rogue-like mais qui a été simplifié (la surface de jeu occupe un seul écran et les parties durent en moyenne une dizaine de minutes) ce qui fait qu'on rentre tout de suite dans le jeu et qu'on arrive très vite à se passionner. J'avais déjà joué à un jeu du même genre (NetHack) auparavant mais je n'avais pas réussi à accrocher car ça me semblait trop compliqué.
Par contre, si le jeu est simplifié, il est loin d'être facile pour autant (pour l'instant, je n'ai réussi à gagner que trois fois). Le jeu est plaisant aussi par l'univers rigolo qu'on découvre (exemple: les dieux un peu farfelus dont on peut devenir l'adorateur). Autre aspect intéressant et qui donne envie de continuer à jouer après la découverte: les choses à débloquer au fur et à mesure de la progression (ennemis, modes de jeu, classes, races).


(vous noterez la présence de Meat Boy en temps qu'ennemi)

http://www.qcfdesign.com/?cat=20

Alléché par la chronique qui en avait été faire il y a quelques mois dans le très sympathique podcast "Silence on joue" http://www.liberation.fr/grille-des-programmes-et-podcasts/040131-silence-on-joue, j'ai essayé Desktop Dungeons. C'est vrai que c'est amusant, mais au bout d'un moment, j'ai été frustré par la trop grande part laissée au hasard. Même en optimisant ses combats au maximum, il y a des tableaux impossibles à réussir. C'est pour cela que j'ai baissé les bras - sans regret.

Note : avec un petit éditeur hexadécimal, il est très facile de modifier sa sauvegarde pour débloquer tout ce qu'il y a dans le jeu (de mémoire, il faut coller des 01 un peu partout)

Grosse mise à jour de VVVVVV, le deuxième meilleur jeu de plate-formes de 2010: entièrement réécrit en C++, le jeu devrait maintenant tourner de manière impeccable même sur les netbooks les plus pourris du marché. Il inclut désormais un éditeur de niveaux, 7 packs de niveaux bonus (dont un écrit par Notch, le créateur de Minecraft) et deux musiques supplémentaires (je vous ai dit que la BO de VVVVVV était monumentale?). Ca tourne sous Windows, Mac OS et Linux -- pas de jaloux, pas d'excuse.

La mise à jour est gratuite pour tous ceux qui ont acheté le jeu (dont moi -- je testerai ça ce soir). Pour les autres, il fait partie du Humble Bundle 3, l'édition 2011 du "payez ce que vous voulez pour 5 jeux indépendants, et une partie de la thune est reversée à l'EFF ou à Child's Play".






PS: Je vous ai dit que Scaredsim avait fait 2e avec un remix de VVVVVV au Dwelling of Duels du mois dernier?
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https://twitter.com/MaxNoelBass
https://www.youtube.com/c/TheTiberianSons

J'ai reçu l'info dans ma boîte mail ce matin, avec le lien pour télécharger l'update. Vraiment super ! Ce sera l'occasion de me remettre à ce jeu que j'avais beaucoup aimé au début, avant que je ne sais quoi m'efface ma sauvegarde.

Merci aussi Wild_Cat de nous rappeler l'existence de Dwelling of Duels. Il faut vraiment que je pense à m'y rendre plus souvent.

Salut les amis,

c'est l'été et c'est mort au boulot au dernier stade de l'enfer. Je m'ennuie à donf comme disent les jeunes.

Existe t'il des jeux sympa qu'on peut jouer en ligne ? (je peux pas télécharger et installer)

merci

Moi je dis : http://www.grospixels.com/phpBB/viewtopic.php?topic=1309&forum=8

merci

Bonjour tout le monde,

j'aimerais vous parler d'un jeu gratuit jouable directement dans vos navigateurs. Ça s'appelle No Place Like Home, il s'agit d'un point&click type "Escape Room", inspiré par Le Magicien d'Oz. Le tout est signé Sandra "Sachka" Duval-Rieunier et Reynald François, que vous connaissez peut-être pour leurs contributions aux Cahiers du Jeu Vidéo chez Pix'N Love.

http://www.kongregate.com/games/Sachka/no-place-like-home

Si vous y jouez, n'hésitez pas à donner votre avis
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Si loin une roue

Je sors de mon lurking pour parler d'un titre qui, il me semble, n'a pas encore été présenté sur le forum : Owlboy de D-Pad Studio. C'est en cours de développement, mais une première démo est disponible depuis quelques jours. Quelques screens :









J'en parle parce que j'ai eu un vrai coup de coeur pour ce titre développé par de jeunes Scandinaves déjà récompensés par un prix. On joue à de l'action / aventure assez traditionnelle, mais ce qui a tout de suite attiré mon attention, ce sont les graphismes, parfois assez proche de ce qu'un Henk Nieborg aurait pu faire dans un style analogue. Les commandes mélangent le curseur (pour déplacer le personnage) et la souris (pour viser lors des attaques et pour avec les décors).

Comme son nom l'indique, le garçon hibou que l'on dirige peut voler autant que marcher. Pour se défendre, il peut faire une attaque toupie lorsqu'il est à pied. Lorsqu'il vole, en revanche, il ne peut pas attaquer directement. En fait, il ne peut que transporter quelque chose ou quelqu'un. C'est là qu'entre en scène un second personnage, armé lui. Ce "gunner", lorsqu'il est transporté par le garçon hibou, peut tirer sur les ennemis. S'il devient encombrant, on peut s'en débarrasser pour le récupérer plus tard (une touche permet de le téléporter à volonté). Le système est donc très flexible et se prend vite en main.

La démo commence par un court tuto dans un très bel environnement. Le jeu zoome et dézoome à loisir pour mieux cadrer l'action, ce qui a pour effet de pixeliser les décors mais le travail graphique est tel que, personnellement, je ne trouve pas ça gênant du tout. Après quelques minutes, on entre dans un donjon qui semble constituer la plus grande partie de cette démo. Ce donjon reprend sagement les codes de l'action / aventure au sens large, mêlant habilement action, exploration, séquences d'agilité, puzzles (souvent à base de transport d'objets) ... Lors de ma dernière partie, je suis même arrivé à une séquence d'infiltration dans l'obscurité.

Le soucis de variété interne est permanent, les puzzles que j'ai vus sont cohérents, le level design aussi (peut-être y a-t-il un tout petit peu trop de couloirs vides parfois). Certains passages empêchent le vol pour forcer le joueur à des séquences de plates-formes traditionnelles. Le donjon est assez grand, au point qu'une carte, ne serait-ce que sommaire, sera à mon avis nécessaire pour réduire le backtracking inutile. Dans son ensemble, le jeu respire l'envie de finition, de fignolé. La bande son est elle aussi travaillée. Il y a des boutiques, de nouveaux équipements, des coffres, des possibilités d'upgrade et tout ce qu'il faut d'éléments RPG pour piquer la curiosité du joueur. On meurt, parfois, mais on recommence tout près du lieu de son trépas.

Je conseille juste de jouer à la démo en mode fenêtre, à la fois parce que le jeu à un aspect graphique plus fin ainsi, mais aussi parce que chez moi le scrolling en plein écran n'était pas très fluide. Mais c'est peut-être ma config qui est en cause. Mes premières impressions sont en tout cas particulièrement enthousiastes, surtout s'il on considère que le jeu n'est pas du tout fini. Je vous encourage à essayer ce titre prometteur, développés par des gens talentueux, probablement nourris au Zelda ou au Wonderboy depuis le biberon. Tout dans cette démo transpire le respect aux références du genre. Je n'aime pas l'indie gaming qui veut nous faire croire qu'il est en train de réinventer l'eau chaude, l'indie gaming "fumiste" ou l'indie gaming ignare et fier de l'être, qui s'imagine qu'une bonne idée de concept permet d'expédier le contenu (combien y en a-t-il comme ça, présentés sur TIG Source ?).

Je veux de l'indépendant qui se sait appartenir à un medium presque quadra, je veux qu'il ait cette humilité-là. Et c'est exactement ce que semble vouloir nous offrir D-Pad Studio (mais le nom du développeur ne dit-il pas tout ?) J'espère voir d'autres initiatives du même type. J'ai le sentiment que, doucement mais sûrement, l'indie gaming prend de mieux en mieux conscience de son potentiel, que je crois sincèrement énorme. Enfin je dis ça, mais j'avoue ne pas avoir encore fait d'autres titres indie réputés d'exception sortis il y a déjà quelques années, par exemple Cave Story. C'est donc le point de vue d'un joueur dont la culture indie est encore superficielle.

La démo ainsi que le trailer et quelques vidéos de gameplay (si comme Sebinjapan vous n'arrivez pas à faire tourner la démo) sont ici : http://www.roflgames.com/DPadWebsite/www/index.htm

Une dernière chose, importante, le jeu est également prévu sur XBLA ou XNA. Enjoy.