@goyecha :
Ca ne dépaysera pas les possesseurs de la version XBLA qui sauvegarde dans le vent. C'est dingue ça. Vous savez si le patch est sorti pour la version XBLA ? Je n'ose même plus y jouer tellement ça m'agace.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Je remonte le topic histoire de donner mon impression sur Super Meat Boy après une semaine de jeu intensif (les bugs ont été corrigés très rapidement).
Je m'y attendais parce que j'avais joué à la version flash et que j'avais lu les avis sur le topic XBLA, mais le jeu est vraiment très bon. Ça fait plaisir de voir un gameplay aussi précis avec un challenge aussi poussé.
Par rapport à la version flash, il y a eu un gros effort niveau réalisation. Les boss un peu à la Mario World/Yoshi's Island sont très réussis, certaines musiques sont superbes et les graphismes sont joliment détaillés.
Quant à ma progression dans le jeu, bien que j'ai réussi à passer à force d'efforts les obstacles sur lesquels je me suis attardé, je crois que j'ai déjà abandonné l'idée de terminer le jeu à 100%. La faute à la fameuse warpzone "the kid" sur laquelle je me suis découragé (après avoir passé avec difficulté les deux premières manches) et que je ne pense pas retenter.
Sinon, j'ai vu qu'il y avait un second chapitre débloquable après Cotton Alley mais je sais pas à quel moment on le débloque (je croyais avec la dark end mais non) et je suis pas sûr non plus de savoir à quoi il correspond. Je sais que sur XBLA, il y a le chapitre Teh internets qui est un système de DLC gratuit mais j'ai lu sur le blog des développeurs que c'était une exclusivité microsoft. Ou alors, j'ai mal compris.
Dernière chose: le jeu sortira prochainement en version boite et l'illustration de la pochette a été dévoilée aujourd'hui:

Je suis l'actualité de TweakGuides qui indique régulièrement les mises à jours de logiciels et de jeux sur Steam. Super Meat Boy en a reçu une par jour pour la version Steam, par contre toujours rien sur XBLA (ou alors c'est une update silencieuse ?).
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Bon les gens, j'ai toujours été très intrigué par Minecraft, me demandant ce qu'on lui trouvait... Et aujourd'hui, j'ai vu un Gaming Live en 4 parties sur le jeu, et j'ai été totalement abasourdi par le principe que je n'avais pas saisi...
Du coup, je compte bien me le payer sous peu, 15€ pour un projet pareil, c'est donné!
Qui y joue sur GP?

J'ai aussi Minecraft, depuis l'alpha . Dernièrement je n'ai pas eu beaucoup le temps d'y jouer mais je vais tâcher d'y remédier. J'aimerai bien avoir de quoi connaître la fabrication d'items car je galère...
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

J'ai Minecraft, et franchement je suis partagé. Le côté "bac à sable ultime"est impressionnant, mais pour arriver à quelque chose de sympa, il faut beaucoup, beaucoup de temps - ce qui fait qu'à chaque fois que je veux reprendre le jeu, je me laisse convaincre de faire un truc plus rapide à la place, une partie de SF4 ou de Magic the Planswalkers en ligne par exemple.

Sur le sujet, il y a des vidéos intéressantes sur http://www.youtube.com/user/TheFantasio974, à condition de ne pas se laisser endormir par le son de la voix du présentateur

Oula, j'ai préféré arréter Minecraft. Ca me bouffait beaucoup trop de temps. C'est affreusement addictif, du coup je laissais de côté ma 360 et la 10aine de jeux que je dois finir... Nan, j'arrête!!! (dit-il, les doigts tremblants et le regard fiévreux)

Effectivement, la première session de Minecraft a été un vrai piège: j'ai commencé à 21h, et j'ai fini à 1h du mat.
Après, j'ai expérimenté les quelques formules que je connaissais (celles de base, j'ai pas voulu me spoiler en allant sur les nombreux Wikis qui détaillent chaque patron), force est de constater que c'est diablement addictif.

Finalement, j'ai entouré l'entrée de ma mine de murs en pierre, mis des verrières, un toit avec des inserts en verre, des portes, et je suis enfin en sécurité
Bilan de ces 4h de Minecraft, j'ai réalisé:
- un établi
- un four
- deux coffres
- des pièces d'armure en cuir
- des outils et une épée en pierre puis en fer,
- un gobelet
- une ébauche de maison.

Et j'en suis super fier!

Je me souviens avoir essayé la version gratuite de Minecraft, et de ne pas avoir été emballé. Je détruisais des blocs, j'en construisais des autres, certes, mais encore ?

Partout je lis "Minecraft c'est génial", et je prends conscience que je suis parfaitement passé à coté d'un truc. On me dit que la version gratos n'a aucun intérêt (ce que je confirme, bon gré mal gré).

Donc concrètement, à part jouer aux legos dans Minecraft, on fait quoi ?
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Retropudding : du rétrogaming en moins bien
Journalisme total ?

On va dire que c'est : LEGO Les Sims with Zomb1es in1t !!1

MineCraft c'est assez... inexprimable comme genre : Robinson Crusoé qui creuse des blocs pour en obtenir la matière et les déposer pour construire ce qu'il veut, les faire fusionner pour obtenir d'autre chose...

Y'a des trucs de ouf malade sur YouTube à propos de MienCraft... genre la coque de l'étoile noire, un croiseur interstellaire... des trucs de ouf malade quoi !

Ca me rappelle un démotivator sur le temps...
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Effectivement, après des heures de jeu, je peux dire que c'est un jeu vraiment TRES prenant, je n'avais pas connu ça depuis Sim City ou Transport Tycoon, je me suis retrouvé ce WE à creuser ma mine pendant 5 HEURES, juste à creuser et à tenter de trouver du matériau rare... Juste pour le plaisir de continuer ma maison, ensuite lui adjoindre une serre d'arbres souterraine avec toit en verre intégral, puis revenir à ma mine qui était un vaste merdier pour faire un puits qui descendait super bas, et ENFIN commencer à creuser de manière ordonnée.

Là, je commence à avoir une mine vraiment très grande, du coup je suis en train de me demander si il ne va pas me falloir construire un système de wagonnets pour me transporter moi et ma récolte jusqu'à ma maison

Voilà, Minecraft c'est ça: c'est ce que tu en fais. Le gros plus par rapport à la version "Classic", c'est que tu dois tout faire toi même: tu arrives dans un monde totalement vierge, avec RIEN en poche.. Et la nuit, les monstres sortent.

J'espérais il y a quelques pages revoir un jeu de Christine Love (si ce n'est déjà fait vous devez absolument jouer à son extraordinaire Digital: A Love Story, ça vous prendra 2 heures et ça changera votre vie)...

Joie! Elle est de retour, avec un visual novel se déroulant dans les salles de classe, les réseaux sociaux et l'absence totale de vie privée de 2027: Don't Take It Personally, Babe, It Just Ain't Your Story. Ca tourne toujours sous Windows, Linux et Mac OS, et c'est toujours gratuit.

Je ne l'ai pas encore essayé, mais semblerait-il que les mecs de Rock Paper Shotgun aient adoré.

Je teste ça ce soir et je vous en reparle. Mais en attendant, foncez dessus!
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Vous n'en avez apparemment pas grand-chose à faire (c'est mal), mais moi, je viens de terminer mon run initial de Don't Take It Personally, Babe, It Just Ain't Your Story (que je vais désormais appeler DTIPB, parce que sinon ça va me lourder de taper ce titre à rallonge).

C'est l'histoire de John Rook, prof de littérature (et noob en la matière) de presque 40 ans (mais qui grâce au style artistique typé manga en fait 20 de moins -- ramène-toi, Erhynn, y'a du bishonen! ) qui débarque dans un lycée privé friqué et se retrouve à la tête d'une classe de 7 ados -- 5 filles et 2 garçons. Sauf que tout le monde passe sa vie sur son téléphone portable ou iPad du futur, à blablater sur AmieConnect, le Facebook/Twitter/E-mail de 2027. Pour étouffer dans l'oeuf les problèmes de harcèlement, l'école a décidé de permettre aux professeurs d'espionner toutes les communications de tous les élèves. Rook peut tout lire, un big brother dans tous les sens du terme.



Peu à peu les personnalités des élèves émergent au travers de ces communications privées qui contrastent souvent avec leur image "publique". Une a craqué sur le prof. Deux sont des lesbiennes qui viennent de se séparer. Un pense être homo. Tous se cherchent...

Je n'en dévoile pas plus. C'est drôle, souvent touchant et globalement adorable, raconté pratiquement sans fausse note, et ça se termine en une soirée. Et il y a trois fins différentes, donc il faut en refaire des bouts après (ce que je vais faire -- je vous tiendrai au courant).





Christine Love écrit beaucoup trop bien pour les jeux qu'elle fait. Digital était une petite aventure graphique linéaire et sans grande difficulté enrobée d'une qualité d'écriture remarquable. DTIPB, c'est pareil mais pire: l'écriture est encore mieux maîtrisée. Les personnages (moins nombreux et donc plus développés) sonnent incroyablement juste. Les dialogues sont naturels. La demoiselle a assimilé et déconstruit les codes et les enjeux de la génération Facebook/4chan (dont les idéologies, par définition complètement opposées, sont contrastées d'une manière intéressante, quoique, dans un exemple en particulier, un peu forcée).

Pas d'argot futuriste inventé, c'est notre netspeak qui sert (avec moins de fautes d'orthographe et de SMS, heureusement) et qui rend les dialogues crédibles. Nos tics de langage -- enfin, "nos" tics de langage anglophones. Mais si DTIPB était en Français, il paraît évident qu'en plus des gens qui disent "lol" et "tl;dr" dans la vraie vie, on trouverait la tonne d'anglicismes forcés qui arrachent les yeux de ceux qui les remarquent encore (je vous ai dit que "Omnivium" d'Obscura, c'était juste le record de la centurie?).





C'est brillant sur tous les points. Il y a de l'humour à retardement, de la mise en abyme, des trolls, des méta-références, une analyse de la scène du phare de Battle Royale (le livre, pas le film)...

Et au milieu de tout ça, pas de gameplay. Mais vraiment, rien.

DTIPB consiste à cliquer pour faire défiler le texte (conversations, descriptions, etc) tout en lisant les messages privés et publics des élèves (la bonne idée du jeu, d'ailleurs: exactement comme les accros du Blackberry d'aujourd'hui qui interrompent les conversations IRL toutes les 5 minutes pour lire ou écrire un mail, on est toujours tenté d'aller voir les messages dès qu'ils apparaissent), et une fois de temps en temps faire un choix binaire: "embrasser X [oui/non]?", "encourager Y à se réconcilier avec son ex malgré l'influence néfaste de celle-ci sur les notes de Y [oui/non]?"... Et quand je dis "de temps en temps", c'est que le jeu se termine à vue de nez en en faisant moins d'une dizaine.

C'est un visual novel, dans le sens le plus rigide du terme (à côté, Phoenix Wright c'est un bac à sable façon Crackdown). Christine Love n'a d'ailleurs jamais prétendu que c'était quoi que ce soit d'autre, mais là où c'est épouvantablement frustrant, c'est que pendant toute ma partie, je me suis dit que la seule chose qui manquait à ce jeu c'était le gameplay d'Uplink. Vraiment. La même chose, le même scénar, les mêmes personnages... Et quelque chose à faire pour le joueur; quitte à espionner les réseaux sociaux, quitte à sonder les profondeurs du Net, autant faire une expérience "hacker de film Hollywoodien" comme dans l'excellent titre d'Introversion!


On a là un jeu qui est 10 fois mieux écrit et plus intelligent que 90% de la production actuelle (et rien que pour ça, il mérite vraiment que vous y jouiez), et un gameplay dont je ne peux même pas dire qu'il est naze puisqu'il est tout simplement inexistant.

Imaginez l'équivalent vidéoludique de Stephen Hawking: c'est Don't Take It Personally, Babe, It Just Ain't Your Story.

Et ça se télécharge toujours là: http://scoutshonour.com/donttakeitpersonallybabeitjustaintyourstory/




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Voilà un homme qui me prend par les sentiments !
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

J'avais adoré Digital (peut-être déjà téléchargé sur tes bons conseils Wild, ou ceux de Camite ? je ne sais plus), donc je vais faire DTIPB dès que possible (téléchargé à l'instant). Le coté "trip vieux BBS / Amiga" avait énormément joué pour me happer dans l'univers du premier. Ici on a un sujet et une esthétique qui m'attirent beaucoup moins, je vais donc voir si la qualité d'écriture de la jeune Christine Love arrivera à elle seule à me rendre fan de son jeu encore une fois.

Digital avait été une très jolie surprise, je vais tenter ce DTIPB de ce pas.

Par contre c'est vache de dire que Christine Love vaut mieuxque ses jeux, elle n'a même pas 20 ans et les propose gratuitement. Mais elle peut aller très loin, c'est sûr. La nouvelle Roberta Williams?

Je sais pas pourquoi mais j'ai pas du tout aimé le début de Don't Take it... Peut-être parce que Digital te mettait directement dans l'ambiance en t'installant sur un ordi alors que là l'exposition et le prétexte sont très maladroits (dans un établissement scolaire tu as accès au réseau social de tes élèves, WTF ?)... Peut-être parce qu'étant prof -- et de litté en plus -- moi-même je tique assez facilement quand on représente une classe de manière artificielle...

Bon c'est juste une première impression, mais j'ai peur d'être déçu par une intrigue forcée... Et j'aime pas non plus les graphs animés, mais je vais faire un effort...

Tu penses que c'est WTF, mais c'est hélas visionnaire (et glauque, aussi, mais il y a une habile discussion des implications dans le jeu). Là maintenant tout de suite en 2011, il y a des patrons qui lisent les e-mails de leurs employés, des parents qui espionnent les communications de leurs enfants et des gouvernements (et des entreprises privées) qui forcent l'installation de mouchards sur tout et n'importe quoi.

Qu'en 2027 les profs lisent les communications privées de leurs élèves, c'est la continuation logique.


Ceci dit, persévère quand même. L'intrigue paraît en effet plus forcée que dans Digital (je pense que c'est une conséquence de la rigidité du non-gameplay dont je parlais dans mon post précédent -- à aucun moment on n'a l'impression d'être John Rook), mais c'est tellement bien écrit que ce serait dommage de passer à côté.
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Pourquoi pas mais j'ai trouvé le début assez mal amené et laborieux. Dans Digital il y avait une pure transparence entre le joueur et le personnage, alors que là ça passe par une exposition avec un monologue intérieur, c'est un peu moins élégant.

Mais promis je vais essayer de m'y remettre.

C'est certain. Mais bon, faut pas que tu prennes ça personnellement, mec, c'est simplement pas ton histoire.
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