Captain America and the Avengers
Isco/Date East - 1992



Dans quelques semaines sort le film Avengers, qui marque pour la première fois au cinéma l’apparition de l’équipe de super slips de la Marvel, après leurs films solo respectifs. Mais leur création dans les comics ne date pas d’hier, et ils ont déjà eu droit à leur jeu vidéo.

Avengers est un beat’em all dans lequel on peut incarner Iron Man, Cap’ Am, Hawkeye et Vision, qui vont botter le derche des sbires de Red Skull, tantôt à pied, tantôt dans des phases de shoot.

Chaque perso dispose d’un coup au sol (pas un combo, hein, un coup), un en sprintant, deux en l’air, une chope et un coup spécial qui coûte 10 points de vie. Le choix des boutons fait déjà preuve d’une sacré intelligence, puisque deux d’entre eux sont attribués aux coups, et donc servent à la même chose, alors que le coup spécial s’obtient en faisant saut + coup. On pourrait penser que les développeurs pensaient aux joueurs qui pourraient s’emmêler les pinceaux, mais on aurait tort, car en fait ils n’ont pas pensé aux joueurs du tout.

Par où commencer ? Déjà, c’est moche. Les héros, les ennemis, les décors font pitié. Les bruitages sont ridicules, mais la musique est tolérable et il y a de nombreuses voix digits, et la jaquette est méga jolie. L’animation est minimaliste, tout le monde semblant avoir un baobab dans le fondement. Mais le pire, c’est le gameplay. Vous connaissez beaucoup de BTA où le fait d’enchaîner un ennemi ne l’empêche pas de répliquer et vous mettre à terre à n’importe quel moment ? Et bien ça fait au moins un. Comme le jeu est difficile à la base, les ennemis étant rapides, nombreux, et ayant tendance à vous encercler rapidement, c’est très frustrant. Cependant le jeu est adapté d’une borne d’arcade jouable à 4, il peut donc s’agir d’un mauvais rééquilibrage. N’empêche : c’est pas bon. Sans compter la façon dont les Avengers sont tournés en ridicule, non seulement par leur sprite, mais aussi les phases de shoot (je n’ai pas eu le courage d’y arriver à nouveau, mais allez voir mon test sur Planetemu pour vous faire votre idée), et le fait qu’ils peuvent ramasser des cailloux pour les jeter sur les ennemis. Des cailloux !

Bref, Captain America and the Avengers est un BTA potable en arcade, mais vraiment mauvais sur consoles. A la rigueur avec un pote pour rigoler...

AVENGERS, DISASSEMBLE !
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

J'ai testé le jeu en arcade il n'y a pas bien longtemps et ce n'est déjà pas fameux sur ce support.

Et bien moi, j'aime bien ce Captain America and the Avengers, et je ne me lasserais jamais (d'essayer) de le défendre ici.

Évidemment, il y a une grande part de nostalgie. Il fut un de mes premiers jeux sur cette console. Mais j'avais aussi Streets of Rage, ZE classique, et pourtant je faisais de temps en temps des parties sur le jeu des Vengeurs.

Objectivement, c'est pas génial, mais ce mélange de couleurs fluos, de petites répliques sensées claquer, de voix digit , des animations de coups surexcitées, avec tout plein de choses à balancer (des cailloux, certes, mais aussi des canettes !, des pneus et j'en passe), ou bien les passants en fuite, plein de petits détails qui en font un jeu avec un je-ne-sais-quoi-de-reviens-y.

C'est un peu kitsch, mais accrocheur pour ma part, et le gameplay, s'il n'est pas une réussite, n'est pas déshonorant. Un jeu honteux pour certains, mais que je n'ai pas honte d'apprécier.


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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Je crois qu'on en avait effectivement déjà discuté dans le coin . J'imagine très bien que, vu à travers le prisme de la nostalgie, Captain America ait un certain charme, car effectivement il est très kitsch, par contre je trouve vraiment que le gameplay est complètement à jeter, du moins seul. Mas hein, à chacun ses déviances ^^

Captain Planet and the Planeteers
Chris Gray Enterprises - 1992 - Dans ma collection, non terminé



Vous vous souvenez de Captain Planet ? Le super-héros anti pollution à la peau bleue qui se balade avec un slip et une coupe mulet verte, entouré d’enfants de tous les continents qui possèdent chacun un pouvoir, pour sauver la Terre des méchants qui font rien qu’à la polluer ? Bon, je rigole mais c’était pas si mauvais que ça, Captain Planet, il y avait même des épisodes intelligents, même si le concept du super héros affaibli par la pollution doit être vachement handicapant dès qu’il intervient ailleurs que dans les Alpes suisses.

Tout ça pour vous dire que la série a été assez populaire pour engendrer des jeux video, sur NES, Amiga, Spectrum, CPC, et MD. Je ne sais pas ce que valent les autres jeux, mais la version MD est, je vous épargne tout suspens, une purge sans nom.

On incarne tour à tour les gamins, qui doivent remplir une mission qui leur est propre : le rouquin doit détruire 5 ordinateurs, la blonde trouver un chemin dans un labyrinthe dans les égouts avant que l’eau ne monte trop haut (ce qui signifie qu’il est très mal dimensionné), etc. On peut à peu près sauter, et envoyer des projectiles en rapport avec le pouvoir du héros, mais pas trop, sinon la jauge clignote, et on ne peut plus rien faire. Mais j’ai eu beau attendre, pas moyen de tirer à nouveau. Un message contre le gaspillage énergie ? Les sauts sont incroyablement approximatifs et le jeu, sans être affreux, n’est quand même joli, et fait fort fouillis. Je ne vous cache pas que je n’ai pas réussi à jouer plus de 2 minutes dans chaque stage, mais là encore, c’est peut être fait exprès : une télé et une console éteinte = un ours polaire sauvé.

Je peux vous dire que si tous les jeux étaient du niveau de ce Captain Planet, on n’aurait plus de souci à se faire pour la calotte glacière.

POUBELLE !
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Le bon jeu du week-end est une vraie découverte en ce qui me concerne :

Capt’n Havoc (USA : High Seas Havoc)
Data East - 1994




Capt’n Havoc est un jeu de plateforme dont la particularité est d’avoir de faux airs de Sonic. On incarne Havoc, qui doit sauver son meilleur ami et une mystérieuse naufragée, kidnappés par un méchant pirate qui souhaite récupérer la carte aux trésors permettant de trouver une émeraude légendaire. Il faut donc pourchasser ce méchant et, j’imagine, trouver le trésor.

Havoc peut uniquement courir, glisser, sauter et, en appuyant sur saut une deuxième fois, se mettre en boule pour se défaire des ennemis qui rôdent dans les niveaux (on peut aussi le faire en leur sautant sur la tête). Le level design rappelle également Sonic, on retrouve quelque sensations en descendant une pente... c’est assez difficile à expliquer, mais c’est bien là.

Cependant Havoc garde sa spécificité, puisqu’il est bien plus lent, aussi bien dans ses déplacements que ses attaques ou ses sauts, ce qui est d’ailleurs déroutant, puisqu’on met un peu de temps à déclencher l’attaque, et on n’a donc absolument pas le droit de foncer. En plus d’arriver à la fin du stage, souvent ponctuée par un boss, on doit ramasser le plus de joyaux possible pour faire gonfler son score.

Havoc a beaucoup de charme, et ça repose surtout sur sa réalisation, qui est vraiment réussie : l’univers de la piraterie est original et très plaisant, le design des ennemis est très sympa et les graphismes, l’animation (avec des effets de déformation très réussis) et les musiques sont très bons. Les boss, en particuliers, sont très gros et leur design façon Looney Tunes est mignon comme tout.

Au registre des défauts, une maniabilité un peu lourde, un level design perfectible sans être mauvais et des collisions un peu inconstantes : on se fait facilement toucher par les ennemis mais il faut vraiment passer au milieu des joyaux pour les ramasser. Malgré tout le jeu est bien sympathique et j’en ai parcouru 3-4 niveaux avec plaisir.

BIEN
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Y en beaucoup des captain machin sur megadrive ???

On a fait le tour, là
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Il a l'air bien le Capt'N Havoc ! On dirait un jeu Core Design.
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Your face, your ass, what's the difference? - Duke Nukem

Je me souviens que Capt'n Havoc avait été très apprécié de Joypad qui l'avait sous-titré "Sonic 4" dans son test...

Je relance, mais je viens de me rappeler d'un point qui me plait beaucoup dans ce jeu, c'est sa scénarisation.

C'est très relatif, certes, mais on a les boss et sous-boss qui se balancent des répliques avec les personnages sélectionnés. Et ils ne sont pas là pour cueillir des fleurs.

Ou, dans le premier niveau, on arrive, et on voit une foule paniquée débouler. Mince, il y a du grabuge pas loin, les amis, allons faire respecter l'ordre et la justice.

Alors que dans un jeu comme Final Fight ou Streets of Rage, on se balade dans des niveaux où on bastonne du punk impunément. Ce n'est pas parcequ'ils zonaient là qu'ils sont forcément malveillants. Et le droit à la différence ? S'ils sont agressifs, c'est justement à cause du mépris de héros beaux et musclés sans aucune once de respect.

C'est vraiment dégueulasse.



Sinon, je ne connaissais pas Capt'n Havoc, ça me plaît beaucoup. Sa fiche Wiki indique qu'il est sorti en Europe, mais je n'en ai jamais entendu parler, il est vraiment sorti ?
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Il semble qu'il soit sorti :



Mais vu la tête de la jaquette, qui ne correspond pas à la charte graphique des jeux MD, et le fait qu'il n'y ait pas le logo Megadrive sur la boîte, je me demande si ce fut de façon tout à fait régulière.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

J'ai essayé Havoc, c'est pas mal du tout. Un peu déconcertant tout de même au début : il faut en effet avancer prudemment mais il y a plein de charge explosives qui nous touchent si on ne passe pas devant rapidement. Le 1er niveau m'a paru plutôt ardu pour un premier niveau. La suite immédiate (le bateau) me semble plus simple. En tout cas c'est joli.

Notez que ce jeu fait partie des titres exclusivement consoles développés par Data East qu'on connait surtout pour l'arcade et les flippers. Il y en a d'autres et ils sont malheureusement condamnés à sombrer dans l'oubli maintenant que la compagnie a fait faillite et que les droits des jeux ont été divisés entre plusieurs (petites) sociétés.

J'aime beaucoup ce Captain Havoc, je m'en fais une petite partie de temps en temps depuis des années. En fait j'aime bien le genre "post-Sonic" sur MD, avec lui et Tiny Toons.

C'est curieux, mais quand on voit l'arrière de la boîte, cela semble sorti de façon officielle.



Et pour l'anecdote, la jaquette de la version australienne qui passe sous silence le côté coloré du jeu.


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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

En fait il faut savoir que certain éditeur comme Electronic Art fabriqué eux-même leur propre cartouche afin de ne pas avoir a payer des royalties a Sega pour cette dernière.
Bref une cartouche différente de forme n'était pas forcément synonime de jeu pirate ou non officiel sur la megadrive.
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Déjà la mode du Dark & Gritty... Ce n'est pas la forme de la cartouche (caractéristique des jeux Codemasters) qui m'étonnait, mais bien l'absence d'un logo MD sur la boîte, mais en fait c'est pareil pour Pete Sampras Tennis.

Je ne vous ai pas présenté de jeu hier, alors je me rattrape avec du lourd :

Castle of Illusion starring Mickey Mouse
Sega - 1990 Dans ma collection - Terminé



Alors que Mickey et Minnie batifolaient joyeusement dans un champ de fleurs, la méchante Reine de Blanche Neige kidnappe cette dernière : Mickey part donc à l’assaut du château des illusions et de ses nombreux pièges.

Je pense que rares sont ceux qui ne connaissent pas ce mètre étalon de la plateforme disneyienne sauce Sega. Mickey peut avancer et sauter, et se débarrasse des ennemis soit en leur lançant des pommes ou des billes ramassées sur le chemin, soit en leur rebondissant dessus, ce qui permet, si on maintient le bouton de saut, d’aller très haut. Cette trouvaille bête comme chou permet d’accéder à des bonus inaccessibles autrement et dynamise la progression dans des niveaux qui font preuve d’une belle imagination en termes de level design par ailleurs, comme celui des jouets qu’on peut retourner pour se défaire des ennemis : le jeu regorge d’idées de ce genre.

Le jeu est de plus magnifique, et comporte des passages mémorables, comme, dans le tout premier niveau, le changement d’ambiance dans la forêt, qui se matérialise aussi bien dans le décor que la musique, et dés décors qui deviendront des références, comme les toiles d’araignée ou la bibliothèque... On voit bien qu’il est sorti au début de la vie de la console, car l’animation n’est pas irréprochable comme elle le sera dans d’autres jeux Disney, mais cela reste malgré tout enchanteur. Mickey répond au quart de poil, et le plaisir de jeu est total. Le jeu est relativement facile, mais la progression par l’expérience est gratifiante : perso, je l’ai fini en 3 parties, en allant un peu plus loin à chaque fois, et c’est un plaisir d’y revenir. Bref, Castle of Illusion tue tout, et l'article sur GP vous en dira autant.



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Castlevania : The New Generation (USA : Castlevania Bloodlines)
Konami - 1994



Premier épisode de la série des Castlevania à sortir sur une console Sega, Bloodlines est aussi un des rares jeux à avoir été davantage censuré en Europe qu’aux USA, certainement à cause de l’Allemagne. La version américaine est ainsi bien plus sanglante que la nôtre.

Je suis bien incapable de situer cet épisode dans la chronologie de la série, je vous dirai donc seulement qu’il faut cette fois vaincre la nièce de Dracula qui veut ramener son tonton à la non-vie après qu’il ait été tué pat Van Helsing 20 ans plus tôt. Pour cela, nous avons le choix entre John Morris, qui utilise le fouet Vampire Killer, et Eric Lecarde, qui utilise une lance. Le fouet a une meilleure portée, alors que la lance est plus rapide, mais les vraies différences se situent ailleurs : Eric pour frapper dans toutes les directions quand il est au sol, possède un super saut et a une attaque tournoyante, alors que John ne peut frapper vers le haut que lors d’un saut, mais peut s’accrocher au plafond. En plus de l’arme principale, upgradable 3 fois, on peut ramasser trois armes secondaires différentes : le boomerang, la hache et l’eau bénite, qui servent de smart bomb lorsqu’on a atteint le niveau max de l’arme principale.

Le jeu ressemble un peu à un remake d’une version NES avec les capacités de la MD : les sprites sont petits et pas vraiment bien animés, les bruitages sont risibles et les couleurs font très 8 bits, même si leur choix sert bien l’ambiance glauque du jeu, avec les ennemis qui meurent en explosion de tripes, et les plateformes qui dégoulinent de sang. Les musiques sont excellentes, avec un rendu symphonique assez étonnant pour de la MD. Le jeu n’est pas facile, et ce dès le premier stage, car les bonus de vie sont inexistants, mais je n’ai pas de reproche à faire à la jouabilité. Je ne sais pas ce que vaut cet épisode par rapport à ses concurrents, mais dans l’absolu il s’agit là d’un très bon titre.


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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Il se passe en 1914 je crois.

Un jeu tres dur, c'est sur. Un des plus hard de la serie a mon sens.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

C'est surtout le seul à être sorti sur une machine Sega. Resurrection a été annulé sur Dreamcast.

L'action se passe en 1917, il y a des soldats allemands squelettes. Le jeu est effectivement assez dur, il n'y a que 6 niveaux très longs, et surtout, on est revenus à des standards de jeu à la NES : petits sprites, contrôles NES (sauts incontrôlables)... mais la direction artistique est excellente, il y a de nombreux effets graphiques, et deux persos jouables.

Et cet épisode est effectivement reconnu pour son côté gore. Malgré la censure européenne dont tu as parlé, Shenron, la version US n'a jamais connu autant de sang avec les versions Nintendo : il y a des cadavres partout dans le décor, certains ennemis sont mutilés en mourrant...

La musique est de Michiru Yamane, qui signera la bande son de Symphony of the Night (là, vous devriez avoir la musique de l'outer wall dans la tête).

C'est aussi le premier Castlevania a proposer un niveau de difficulté, avec une fin différente selon celui choisi (histoire de rebondir sur le groblog de Mia sur les séquences de fin !).

La cartouche MD japonaise coûte assez cher, elle est dans le top 5 des Castlevania recherchées (plus de 150€ je crois).
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Your face, your ass, what's the difference? - Duke Nukem

The New Generation est effectivement un excellent jeu, que je juge supérieur par exemple à Rondo of Blood. Même si je continue à avoir un gros coup de cœur pour Castlevania IV, c'est vraiment le titre à avoir sur MD pour tous les fans du tueur de vampires. Un jeu énorme, qui arrache techniquement la rétine.

Portraits of Ruin, sur DS, se place par ailleurs dans la continuité de l'histoire de ce jeu, en reprenant une partie de son ambiance et les personnages principaux ; et, du reste, le père de John Morris, le protagoniste masculin du jeu, est Quincy Morris, issu du roman de Bram Stoker. C'est ainsi le premier Castlevania, à ma connaissance, à intégrer directement le canon littéraire dans son histoire.

Faudrait quand même pas déconner non plus. On ne touche pas à la sainte trinité.

Rappel de la sainte trinité :







Si tu n'es pas d'accord avec moi, on règle ça dans un grocast dédié à Castlevania.
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Your face, your ass, what's the difference? - Duke Nukem