Ah ! J'aimerais savoir lesquels !

Ah ! Patience !

Bonkers
Disney Interactive- 1994




Bonkers est une série animée Disney, qui tenta de rencontrer un succès que Talespin (Super Baloo) et Darkwing Duck échouèrent à obtenir. Mais les péripéties d’un bobcat policier n’attirèrent pas grand monde, et la série ne connut qu’une saison. Cela n’a pas empêché de mettre un jeu en route, qui est sorti dans l’indifférence la plus totale, à la fois parce que personne n’en avait rien à battre de la série (en 1993-1994, tout le monde regardait soit Batman, soit DBZ aussi), et parce que le jeu n’est pas d’une qualité folle.

Bonkers veut devenir le policier du mois. Et pour ça, c’est comme chez nous, il faut faire du chiffre. Il se dit donc qu’il pourrait attrapper 4 criminels notoires pendant que son chef est en vacances, pour lui faire la surprise (ce qui est contraire à la logique : normalement c’est quand notre chef est là qu’on bosse, et quand il est en congés qu’on glandouille). Bon, là j’ai oublié leur nom, mais il y a un mélange de Mickey et Pat, une souris, une espèce de voiture et un sac à main cambrioleur.

La souris veut faire sauter des entrepôts, et il faut désamorcer les bombes avant qu’elles n’explosent. Mais ça, Bonkers ne sait pas le faire, alors il doit retrouver les différentes parties du corps d’un pote lapin, cachées dans des caisses, pour que lui s’en occupe. On doit donc casser des caisses et des tonneaux pour les retrouver. Le souci c’est que parfois on les casse, parfois on les pousse, et que j’ai pas compris pourquoi. Au fil des stages des ennemis arriveront pour ajouter à la confusion.

Le gros Patmickey, je ne sais pas trop ce qu’il veut faire de mal, mais Bonkers doit balancer des briques pour construire un mur tout en évitant les projectiles balancés par une machine et par le méchant lui même. Pas la peine de trop viser, on n’est pas dans Tétris, les balancer au petit bonheur la chance suffit.

La vilaine voiture, il faut la rattraper, tout en se débarrassant de ses sbires, en ramassant des bonus lancés par un soutien aérien. On conduit une voiture dans une vue de dessus, et on utilise haut pour accélérer, et bas pour aller vers l’arrière, et ce quelque soit la direction de la voiture. Je vous laisse imaginer le bonheur de maniabilité que c’est, surtout que le stage n’est pas linéaire et qu’il faut explorer le réseau routier pour trouver le méchant.

Enfin, le sac à main criminel veut voler des reliques Disney dans un musée. Pour les en empêcher, il faut tous les éliminer en leur balançant des donuts, ce qui n’est pas facile vue la vitesse à laquelle on se déplace, alors même qu’ils seront plus nombreux et rapides stage après stage (je me suis arrêtée au 6è, j’en avais plein le dos). Au bout d’un moment on aura droit à un stage “bonue” de plateforme, où le seul challenge est de ne pas rater un saut malgré une manabilité désastreuse.

J’en ai déjà trop dit sur Bonkers, dont les graphismes sympa sont le seul intérêt. Tout le reste est raté, et on se demande pourquoi Disney n’a pas opté pour un plateformer classique.

MAUVAIS
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

D'autant que la version Snes est justement un plateformer classique, confié à Capcom, dans la lignée des Magical Quests. Voir ici.

Boogerman
Interplay - 1994



Alors qu’un scientifique invente une machine qui peut débarrasser le monde de toute pollution, sa source d’énergie se fait dérober par un être d’une autre dimension. Le balayeur qui était là enfile donc sa tenue de super héros et part retrouver la machine. Le monde en question est particulièrement dégueu, et ça tombe bien : Boogerman, le héros, l’est aussi, et se sert de ses crottes de nez, ses crachats, ses rots et ses pets pour se débarrasser de ses adversaires.

Boogerman est un platformer classique, qui ressemble beaucoup à Mick & Mack and the Global Gladiators, mais en moins niaisement horripilant, à la fois par sa thématique, mais aussi sa totale absence de travail de level design. Les développeurs ont probablement laissé à leur petit neveu de 7 ans le soin de dessiner les reliefs des niveaux, qui sont sans intérêt et répétitifs, d’autant plus qu’on se tape au moins 4 fois de suite les mêmes environnements. Par contre le jeu assure techniquement : les graphismes sont plutôt bons, et les animations détaillées et amusantes. Même les musiques sont plaisantes, mais on ne peut pas en dire autant des bruitages (un bruit de pet, même bien digitalisé, reste un bruit de pet).

Dommage donc, que le jeu ne tienne pas la distance en termes d’intérêt, car il y avait un peu de potentiel.

MEDIOCRE
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juste une question de sémantique, mediocre c'est mieux bien que mauvais ?
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SI je réussis à interpréter la question, je confirme que médiocre c'est mieux que mauvais.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ah oui tiens, j'ai edite mais j'ai oublie le 2e mot
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C'est le week-end, l'occasion de sortir entre amis, se faire un restau, et pourquoi pas un bowling. Mais ça caille un peu, alors on va peut être commander des pizzas et rester au chaud. Heureusement nous avons...

Boogie Woogie Bowling (USA : Championship Bowling)
Visco - 1993



Voici un petit jeu qui ne paye pas de mine mais est finalement très sympathique. Il s’agit, comme son nom l’indique, d’un jeu de bowling. Dans le mode 1 joueur, après avoir choisi son personnage (apparemment leurs caractéristiques diffèrent), on affronte une série d’adversaire sur différentes pistes, qui sont plus ou moins rapides, voire avec des zones mixtes. Avant chaque match, on choisit sa boule, puis une partie classique débute.

A chaque tir on choisit notre position, l’effet à mettre dans la boule, la direction du tir et sa puissance. Apparemment la physique du jeu a ses limites, qui permettent de “tricher”, mais si on joue le jeu les possibilités offertes par les effets rendent les parties intéressantes, même si la vitesse de défilement de la jauge m’a semblé un peu aléatoire. Les différents adversaires ont eux aussi leurs forces et leurs faiblesses. On peut évidemment jouer à deux, en mode classique, en mode “Spare”, dans lequel il faut accomplir des Spare dans différentes conditions, et le mode “Bonus” dans lequel on a pour objectif d’abattre certaines quilles précises.

Les graphismes sont plutôt agréables sans être transcendants, et l’unique musique, bien que sympathique, peut facilement taper sur les nerfs. Un peu dans la même ligne que League Bowling sur Neo Geo, mais en moins délirant, Boogie Woogie Bowling est plutôt bon dans un genre intrinsèquement limité.

Notez que la version US a été recarrossée pour être moins japonisante dans son design général.

BIEN
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Boxing Legends of the Ring
Sculptured Software/Electro Brain - 1993



Cette simulation de boxe anglaise permet d’incarner des légendes du ring, comme Jake la Motta ou Sugar Ray Leonard, mais aussi de créer son propre boxeur : le mode carrière permet ainsi de choisir son nom, mais aussi son physique et de distribuer des points de compétence, à la fois au niveau de ses caractéristiques générales (force, endurance, et résistance aux coups) que de chacun des types de coup. En plus des coups classiques (uppercut, jab, etc) chaque boxeur dispose d’un super coup, qui est en fait un coup de base plus puissant.

Notre boxeur est vu de ¾ dos, et on ne peut que faiblement se déplacer à droite et à gauche, et se mettre en garde haute ou basse. Il faut gérer son endurance, matérialisée par un gant de boxe en haut de l’écran, afin de ne pas trop se retrouver vulnérable, en gérant le rythme des attaques. L’état de santé des boxeurs est lui indiqué par leur portrait, dont le fond devient blanc en cas de Down imminent.

Le choix de la vue rend le jeu assez impressionnant, mais l’animation en pâtit, et est assez rigide. Les commandes répondent bien, mais les joueurs sont beaucoup trop résistants : je ne vois pas quel boxeur pourrait tenir debout après une série de 5 uppercut et 5 directs dans la face, et pourtant c’est le cas ici. Et en cas de Down, ils se relèvent quasiment sans séquelle. Les matchs manquent donc d’intensité, ce qui rend le jeu assez ennuyeux.

MEDIOCRE
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Bram Stocker’s Dracula (+CD)
Traveller’s Tales/Psygnosis - 1993



La version MD est identique à la version SNES : dans ce jeu d’action qui bénéficie de la licence du film de Coppola, mais qui ne s’en inspire pas vraiment, on incarne Jonathan Harker (Keanu Reeves dans le film) qui doit aller à la rencontre de Dracula, aidé par Van Helsing. Il s’agit d’un jeu de plateforme/action, où une flèche indique en permanence l’objectif à atteindre, tandis qu’on se débarrasse des ennemis à coups d’épée. Le jeu est plutôt joli, avec quelques chouettes effets spéciaux, le personnage principal est bien animé et l’ambiance sonore est réussie. Malheureusement, la jouabilité pêche par son manque global de réactivité et de précision, et le level design est absolument indigent : pièges inévitables, ennemis inatteignables s’ils sont sur une pente descendante, boss impossibles à tuer sans se faire toucher... la cata.

MAUVAIS



La version MCD est différente : pour le coup elle exploite vraiment sa licence, en insérant de nombreux extraits du film pas trop mal digitalisées. L’aspect graphique n’a plus rien à voir avec les autres versions : ici les décors et les sprites sont digitalisés, et les mouvements de Harker ont fait l’objet de Motion Capture, ce qui semble idéal pour lui faire faire du kung fu. Car oui, ici, Keanu Reeves met des coups de poing et de pied, vers le bas ou en hauteur, et se permet même de faire un petit coup de pied retourné au début de chaque stage. Une fois cette information assimilée par notre cerveau (ça et le fait qu’on se fait attaquer par des livres ou des armées de furets), on doit aussi composer avec une maniabilité exécrable : il faut trois ans pour se retourner et pour frapper, et les sauts sont parmi les pires que j’ai pu tester dans un jeu. Une sacré purge.

NUL
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Brett Hull Hockey 95
Radical Entertainment/Accolade - 1994



Comme son nom l’indique, Brett Hull Hockey est un jeu de hockey sur glace qui dispose de la licence NHLPA. Contrairement à la version SNES qui utilisait le mode 7, la version MD est en 3D isométrique, ce qui ne nuit pas à la lisibilité. Le jeu est relativement joli, mais les animations et l’ambiance sonore sont minimalistes, et la jouabilité pas très réactive. Ne connaissant pas bien ce sport, je ne vous en dirai pas plus.

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Brian Lara Cricket
Audiogenic Softwares/Codemasters - 1995



Brian Lara Cricket 96
Audiogenic Softwares/Codemasters - 1996



Voici un sport un peu plus exotique. Le cricket est un sport relativement populaire dans les pays du Commonwealth, malgré le gros handicap d’être une sorte de baseball en plus mou et en plus long, certains matchs pouvant durer plusieurs jours selon la forme jouée. Il oppose deux équipes de 11 joueurs, avec une qui sera à la batte, l’autre au lancer. Une équipe marque un point lorsqu’elle est à la batte et que ses deux joueurs positionnés de part et d’autre de la bande de jeu échangent leur place.

Les deux jeux sont sensiblement identiques, la version 96 se contentant de mettre à jour la base de stats et de joueurs. Que dire sinon qu’on rentre vite dans le match, les règles étant assez simples et la vue “action” assez bien choisie pour être lisible. A part ça, ben c’est du cricket, alors ça ne risque pas d’intéresser grand monde, moi la dernière.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

T'as acheté un dictionnaire de synonyme ou bien ? Parce que vu les derniers jeux, ca se sent que tu essaies de varier pour pas dir nul tout le temps
Enfin j'espere que tu tomberas sur de meilleurs jeux pour la suite
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Les pro-megadrive vont réagir !

Arf, Brett Hull est pas mal, mais en partie gâché par une inertie dans les déplacements... Et c'est vrai que l'ambiance ne "déchire" pas (mais on est dans une arène de hockey, pas au Camp Nou !)

Quant au jeu de cricket... bah j'ai appris un nom de joueur, Brian Lara !

Merci pour ces tests Shenron, bon courage

Merci Gazza, mais tu sais, je suis rodée maintenant, même si, parfois, certaines déceptions font mal...

Brutal : Paws of Fury (+CD)
Gametec - 1994



Brutal est un jeu de combat ou s’opposent des animaux qui maîtrisent différents arts martiaux : karaté, kung fu, boxe thai, etc, pour 8 combattants au total. C’est plutôt une bonne idée, d’autant plus que le chara design est sympa. Il y aussi un système de progression, et on apprend des coups spéciaux à chaque grade passé. Ce qui n’est pas sympa, par contre, c’est d’avoir tout un tas de notions élémentaires du genre,e t alors que j'avais un à priori positif sur le jeu, j'ai vite déchanté.

Par exemple, il semble qu’on ne puisse pas parer deux coups de suite. Une fois qu’on en a encaissé un, on se prendra le suivant (ça, ou la commande pour la garde marche une fois sur deux, je ne suis pas décidée). Déjà, c’est débile. Mais en plus, on peut bourrer dans la garde de l’adversaire sans craindre de contre-attaque, l’attaquant n’est jamais vulnérable. En plus, les attaques fortes ne sont pas plus lentes que les faibles. Même le concept de hitbox devait leur sembler être un truc de bourgeois et a été laissé de côté. Et je suis sûre que je n’ai pas vérifié un tas d’autres trucs, mais comme les développeurs n’ont pas jugé utile de faire leurs devoirs, je ne vois pas pourquoi je m’en chargerais à leur place.

Brutal : Above the Claw (32X)
Gametec - 1995



Ne cherchez pas, c’est la même bouse que les versions MD et MCD, peut être même plus moche, avec 4 persos en plus.

Non mais quel gâchis !


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Bubba ‘N’ Stix
Core Design - 1994- Jeu dans ma collection - Non terminé


Sorti également sur Amiga et Amiga CD32, Bubba’n’Stix mélange plateforme et réflexion. On dirige Bubba, un ado pas très évolué (il est en salopette et pieds nus, m’étonnerait pas qu’il joue aussi du banjo) qui a été kidnappé par des aliens pour être exposé dans un zoo. Il arrive à s’échapper en compagnie d’un bâton extra-terrestre, qui pourra l’aider à retourner sur Terre en lui servant d’arme, de levier, d’échelon ou même de tuba (ce qui est assez dégoûtant si vous y réfléchissez).

Les niveaux ne sont pas forcément linéaires et, dès le deuxième, il faudra faire des allers-retours et preuve de jugeote pour s’en sortir. On est d’ailleurs un peu balancé à l’arrache, sans trop savoir quoi faire, le jeu ne prenant pas la peine de fournir le moindre tutoriel, y compris ingame. Résultat, on tâtonne pas mal. De plus, les ennemis sont nombreux et on ne dispose pas de beaucoup de points de vie, ce qui rend le jeu très stressant car on peut se retrouver quelque part sans trop savoir quoi faire tout en étant assailli par des petits bêtes. Perso je suis peu patiente et j’ai lâché l’affaire au bout de deux niveaux, mais j’imagine qu’en s’accrochant le jeu doit être intéressant, car il regorge d’idées, malgré une technique passable. Pas sûre que le mélange des genres soit une bonne idée.

ASSEZ BIEN
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

T'es genereux dis donc pour un jeu que t'as laché ^^

Mais sinon cest pas tiré d'un DA ? le héros me dit quelque chose
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Bubba N Stix, je l'avais sur Amiga. Je trouvais l'esthétique très bien et la gameplay fourmillant de bonnes idées. Mais j'ai été rapidement bloqué, ne sachant pas trop quoi faire pour avancer. C'était avant Gamefaqs, il faudrait que je lui re-donne sa chance maintenant ...

Je n'aime pas trop réfléchir dans les jeux, ou en tous cas ne pas être interrompue par d'autres éléments de gameplay. Du coup, je pense que des joueurs plus "cérébraux" que moi peuvent apprécier le jeu, mais c'est vrai aussi que le peu que j'ai fait, c'était avec un longplay à portée...
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Bubble and Squeak
Fox Williams/Sunsoft - 1994




Encore du travail pour les méninges avec Bubble and Squeak, un jeu plateforme/réflexion sans prétention mais de qualité, sorti également sur Amiga. Bubble (un enfant) et Squeak (une bestiole extraterrestre quelque part entre Doraemon et une loutre) doivent s’allier pour se débarrasser de méchants chats aliens qui coupent la queue des congénères de Squeak.

Le but des niveaux est d’atteindre la borne de sortie aussi bien avec Bubble que Squeak. Mais seul Bubble est directement contrôlable (il peut sauter et tirer des étoiles pour dégommer les ennemis). Squeak, lui, restera planté sur place tant que Bubble ne lui aura pas demandé de bouger (en même temps, c’est qu’une bête). Une fois débloqué, Squeak suit Bubble à la trace, dans la limite de ses possibilités : par exemple, il ne peut pas sauter aussi haut que lui, et il faudra emprunter des chemins détournés pour le faire grimper : prendre un ascenseur, ou lui shooter dedans pour qu’il prenne des rampes. Le seul moyen de le contrôler directement est de lui faire manger un bubblegum, ce qui lui permet porter Bubble sur son dos et de sauter plus haut. A la fin de chaque stage, si on a trouvé un sous-marin, on aura droit à une phase de shoot aquatique à la fin de laquelle on affrontera Kat, afin de lui prendre une de ses neuf vies.

Mais ce n’est pas tout, car un test complet du jeu m’apprend qu’en plus de la sortie, il faut trouver dans les niveaux 50 cages au total renfermant les amis de Squeak, et qu’en plus les niveaux doivent être terminés dans un temps limité à cause de la montée des eaux. La progression peut être sauvegardée par un système de mots de passes, mais qui ne conserve pas les cages trouvées, ce qui semble influer sur la fin du jeu.

La difficulté du jeu est progressive, aussi bien au niveau des énigmes - les capacités de Squeak sont introduites peu à peu - que de la limite de temps, dont je ne m’étais pas rendue compte au début. Le jeu est joli comme tout, les décors employant des teintes acidulées et bénéficiant de déformations du plus bel effet. Les musiques sont également charmantes et les arrangements sont harmonieux. La jouabilité est également impeccable. Bref, Bubble and Squeak est une bonne surprise.


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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

J'ai Bubba'n Stix sur ma CD32 et c'est effectivement très sympa.
La version CD32 me paraît plus belle d'ailleurs. Par contre c'est coriace comme titre.