je l'ai lu aussi sur wiki mais je comprend quand meme pas ce qu'il faut faire

J'ai du mal avec les jeu bac à sable
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Faut reconnaître que c'est pas facile à appréhender.

y a que moi qui n'a quasi aucune image qui s'affiche ?
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ca depend. Celle de la vioque ne marche pas. Les autres oui je les vois
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Je crie à l'injustice ! Déjà parce que oui, Shanghai c'est très bien pour passer le temps, mais aussi parce que tu as mis "Assez Bien" à Dragon's Eye : Shanghai 3 (qui est en fait une adaptation de Shanghai II, donc le même jeu) en page 37.

En fait, pour jouer à Shanghai sur Megadrive, on a le choix entre le vieux Dragon's Eye japonais qui est graphiquement ultra austère, ou bien ce Shanghai II américain bariolé comme c'est pas permis, avec des couleurs bien flashy : on est coincés entre 2 extrêmes donc ! Mais cette version là est quand même beaucoup mieux (et je la trouve pas si moche). Déjà on peut enlever les animations et les arrières plans dans les options, et même remplacer le bambou par un curseur normal. Ensuite, les musiques sont mieux, les menus plus ergonomiques, et il y a plus d'options.

Bref, perso je recommande ce jeu si on aime Shanghai (mais les 3 Shanghai de la Snes sont mieux )

Page 37 c'est il y a 7 ans non ?
Tu sais quoi, je vais pas me battre pour du Shangai, donc j'invite les lecteurs de ce grosblog à suivre ton avis

Street Fighter II: Special Champion Edition
Capcom - 1993



SFII SCE est la compilation de Street Fighter II’, et de Street Fighter II Turbo, dans une seule grosse cartouche.
Les deux jeux sont jouables à la fois en solo, en versus, et dans un mode tournoi très sympa. Je ne vais pas vous faire un laius sur SFII, mais plutôt parler de la qualité de la conversion : elle est plus que correcte, avec des graphismes très bons, des musiques correctes et fidèles aux orchestrations de l’arcade (et non pas le concert de klaxons de la version SNES hinhin), des voix vraiment pas terribles, même pour la MD, et une jouabilité nickel pour peu qu’on ait acheté un pad 6 boutons. Sinon, il faut appuyer sur Start pour alterner entre les poings et les pieds, ce qui est juste pas possible. Heureusement à l’époque il y avait des offres combinées jeu+pad, dont ça ne coûtait pas beaucoup plus cher, et aujourd’hui ce n’est même plus un sujet.
Notez que cette version MD permet en plus d’augmenter la vitesse du jeu en mode Dash, grâce à un code, ce qui est toujours sympa.

TRES BIEN

Street Racer
Ubisoft - 1994



Street Racer est un jeu de course arcade qui est une sorte de mélange entre Mario Kart (pour les karts, les items à ramasser, et le côté cartoon en général) et Road Rash (parce qu’on peut mettre des gnons aux adversaires). Les gnons sont d’ailleurs le principal moyen de ralentir les adversaires, car les bonus donnent surtout du boost, et permettent de regagner de la vie : en effet, chaque conducteur a une barre de vie, et si elle est vidée, alors le kart fera un tête à queue qui vous fera perdre de précieuses secondes. L’autre item offensif est la dynamite, qu’il faut refiler à un adversaire comme une patate chaude sous peine qu’elle vous explose à la figure.

Le jeu est très rapide, et la prise en main n’est pas facile. On a tendance à pas mal sortir de la piste au début, mais ce n’est pas très pénalisant, et on prend vite le pli. La conduite est assez agréable et les karts sont très réactifs. Malheureusement, toutes les pistes se ressemblent un peu, et sont désespérément plates (un héritage de la version SNES et de son mode 7 sans doute). C’est rigolo vite fait, mais pas assez varié ou rigolo pour tenir la distance comme un MK. Malgré tout, on peut saluer le fait que tous les modes de jeu sont jouables à deux, ce qui n’était pas systématique à l’époque.

En plus du championnat , du versus et du time attack, le jeu propose un mode rumble sans aucun intérêt, où il faut sortir les adversaires d’une piste en forme de disque, et un mode soccer complètement injouable.

BIEN

Street Smart
Treco - 1990



Adaptation du jeu d’arcade du même nom de SNK, Street Smart est un jeu de combat en un contre un. Notre (unique) héros va affronter une série d’adversaires dans des combats de rue, à l’aide d’une palette de coups rachitique (pied, poing, coups sautés, esquive, et c’est marre), dans des décors permettant de se déplacer dans la profondeur.
En gros, c’est le mode “duel” de Streets of Rage 2, mais avec encore moins de coups, en plus moche, et uniquement contre l’IA. Et oui, pas de mode 2 joueurs VS dans Street Smart : on combat les mêmes ennemis en alternance, et en partageant nos crédits en cas de défaite. Au moins le joueur 2 n’a pas le même perso que le 1, mais ça ne change pas grand chose puisqu’il est également imposé.
Petite originalité, à chaque victoire on gagne des crédits qu’on peut dépenser pour augmenter notre barre de vie, notre attaque ou notre défense, et on peut parier sur l’issue du combat pour gagner plus d’argent. Ce n’est pas du luxe car nos adversaires sont très vite bien plus forts que nous, et si on n’a pas super bien géré les premiers combats, les suivants sont peine perdue.
Pour compléter le tableau, le jeu est vilain, les animations risibles et la jouabilité catastrophique : on passe plus de temps à traverser les adversaires qu’à les frapper. Bref, un jeu à éviter.

MAUVAIS
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Y' aun souci sur tes screen ? je l'ai trouve super sombre oO.

POur street smart y'a que le fait qu'il est un des 1er versus qui le sauve. A jouer c'est vraiment chiant et moche
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> des voix vraiment pas terribles, même pour la MD

Le Super est encore pire a ce niveau...
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

C'est peut-être le filtre et la méthode de redimensionnement qui font ça.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

ça vaudrait peut être le coup de tester avec le patch du driver sonore par stef (le dév. de de Gens et SGDK)... ça a l'air de complètement changer la donne à ce niveau.

Intrigué par le mini-test de Shenron je me suis lancé illico dans un comparatif sur le vif des deux versions de Street Fighter II Turbo. Et en effet, les ziques sur Super Famicom sont infâmes (cruelle désillusion compte tenu des capacités du support). Heureusement, les digits vocales sont plus convaincantes que les crachotis asthmatiques présents sur MD : on a sa fierté

Si Street Racer passe pour un sous-MK c'est parce qu'il se repose trop sur la nouveauté du jeu à 4 en simultanée, en négligeant toute la philosophie du game design qui a fait de MK un jeu culte. Résultat : un beau jeu, très coloré, mais également très creux... Allez, j'en retiens quand même le mode battle avec la grande arène d'où il fallait expulser les autres adversaires : si seulement les coups spéciaux avaient été plus précis... Ceci dit, avec la concurrence sur MD de la série des Road Rash, je ne donne pas cher de la peau de ce jeu. Il a eu son petit succès à l'époque, ou les joueurs MD s'en fichaient comme d'une guigne ?

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Moi je (Canard WC?) m'en foutais, mais ma représentativité est toute relative.
Pas besoin de ce truc, j'avais Road Rash II…

On a testé sur le live, en même temps que la version Remastered, et c'est mieux effectivement.


Il a bien marché, malgré une sortie uniquement en Europe. La version Saturn, qui est un peu différente, est quant à elle sortie au Japon, donc je pense que le succès a été suffisant pour qu'Ubi ait eu quelque ambition.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Strider
SEGA - 1990



Ce hit de Capcom, qui a été porté sur Mega Drive par des équipes internes de Sega, apparement sans beaucoup de soutien, ce qui les a obligés à ripper des assets depuis le board arcade.
On y incarne Strider Hiryu, un ninja du futur, équipé d’une épée plasma, qui va sauver l’humanité contre des communistes du futur gouvernés par une sorte de sorcier malfaisant. Le jeu est doté d’une forte idenfité graphique, avec sa ville pseudo-soviétique éclairée par des projecteurs, ou son second stage sous la neige. Les ennemis ne sont pas en reste, et en plus des sbires en doudoune et chapka, on affronte des boss plutôt imaginatifs.
En plus de son épee, Hiryu peut parfois être aidée par différents modules, mais il faut surtout compter sur notre épée, et notre agilité. On peut s’accrocher aux mur et à certains plafonds, voire à certains boss. Les attaques venant de toutes parts, il faut être mobile, et même comme ça le jeu est assez difficile.

Techniquement le jeu accuse un peu son âge. On a droit à quelques loadings d’une demie sconde environ au sein même des niveaux lorsque le décor change, et les ennemis clignotent en disparaissant lorsqu’on les tue. L’animation d’Hiryu est aussi assez raide. En revanche les musiques sont très réussies, et j’applaudis certains effets de mise en scène, comme les éclairs qui font passer le jeu en ombres chinoises.

Le jeu est plutôt jouable, on a juste un peu de mal à se détacher d’une paroi à laquelle on est accroché. Bref, Strider est une valeur sûre de la MD.

BIEN

Strider II
Tiertex Design Studios/US Gold - 1993



Cette “suite” de Strider sur MD, se repose énormément sut les acquis du premier épisode, au point de reprendre le sprite d’Hiryu à l’identique, et même l’image du sorcier de l’écran titre en changeant vaguement les couleurs.

Le gameplay est largement inchangé, et le fait de pouvoir changer l’apparence des coups d’épée ne fait pas illusion. Dans la grande tradition des jeux US Gold, le jeu est à peine passage techniquement, en plus d’être totalement quelconque artistiquement, aussi bien en ce qui concerne les ennemis que les décors. Je ne pensais pas qu’on avait le droit de faire des décors avec un fond noir sur MD en 1993.

Le game design est un peu pété, avec des zones qu’il semble impossible de passer sans se faire toucher, et des attaques surprise hors champ impossible à esquiver à cause de la lenteur du héros. Je n’ai aucun souvenir des musiques, ce qui n’est pas bon signe.

Sans être une catastrophe, Strider II est inférieur en tous points à son prédécesseur. Pas étonnant que Capcom l’ait supprimé du canon de la série.

MEDIOCRE

Striker
Rage Software/SEGA - 1995



Voila un jeu étonnant. Sorti uniquement en Europe, Striker est un jeu de football dans lequel on peut jouer à la fois avec les équipes nationales et les les clubs européens, soit en championnat, soit en coupe, soit en rencontre amicale.
Le jeu ne possède aucune licence de club, et bizarrement, plutôt que de simplement les appeler par le nom de leur ville (qui est libre de droits il me semble), a préféré les déformer, ce qui nous donne des noms rigolos comme Mar Say, Strosberg ou le Harris St G. Evidemment aucun nom de joueur n’est réel non plus.

Les développeurs sont d’ailleurs vraiment des petits rigolos, car le menu d’options n’utilise que des icônes et aucun texte. Il faut donc deviner qu’on peut choisir la sévérité de l’arbitre en en choisissant un portant un bandeau sur les yeux, de grosses lunettes, ou rien du tout.

Une fois en jeu, on peut choisir l’angle de vue à volonté : soit vu de dessus à la Sensible Soccer, en vue de côté à la Fifa, ou avec le terrain à la verticale comme dans Super Soccer. C’est une vraie performance car cet effet, qui était obtenu grâce au mode 7 sur Super NES, est ici réalisé en software, tout en maintenant les 50FPS.

Bon, malheureusement, Striker n’a pas que des qualités. Même si on n’a pas de problèmes pour diriger les joueurs sur le terrain, durant toute ma session j’ai été incapable de distinguer les tirs des passes longues, et les gardiens sont de vraies passoires. Les matchs sont rigolos vite faits, mais on sent qu’on n’aura pas la profondeur de jeu d’un Fifa. Petit point bonus cependant pour la présence d’un mode futsal.

ASSEZ BIEN pour la performance technique
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Du Strider MD, j'en retiens surtout les aperçus du jeu présents dans les premières pubs TV françaises pour la 16-bits de Sega, très impressionnants J'y avais joué quelques années plus tard, et la conversion tenait encore remarquablement la route. Bon, maintenant, c'est sûr qu'après avoir retourné dans tous les sens le jeu d'origine sous MAME, la conversion Megadrive risque d'avoir pris un petit coup de vieux. Reste que c'est du bon boulot, surtout sans véritable soutien de Capcom qui aurait dû en principe refiler tous les assets (documentation technique et artistique) de son jeu à Sega et semble ne pas avoir fait le job dans les règles.
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Apparemment c'était aussi un peu le cas pour Ghouls'n Ghosts, sauf que c'est Yuji Naka qui était chargé du portage, et c'est une brute techniquement (ce qui ne l'empêche pas d'être un connard, entendons-nous bien).
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Hou-là, ça tire à sprites réels. Mais encore ?

Tout le monde sait pourtant.

Il y a même des ticheurtes.

Mais il fait une très bonne tartiflette, entendons-nous bien.

(Comprenne qui pourra, surtout à deux heures du mat' ^^)
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Je le prends quand il veut en concours de tartiflette.