Il me semble que la version GBA est encore plus dure que la version Snes (si si, c'est possible) à cause d'un écran de jeu plus réduit qui fait qu'on voit venir les ennemis de moins loin. De plus attention, il y a 2 versions du jeu : original et arranged. Le mode arranged propose plusieurs embranchements qui sont tous encore plus difficile que le mode original.

Même la version PSP est pas piquée des vers niveau diffcultée
Sacré jeu tout de même.

Pour ma part, ça fait trois-quatre jours que je me suis mis à Rocky Rodent sur SNES par le biais de ma Dingoo.
Un grand merci à Sebin d'avoir mis un nom sur ce jeu dont j'ai eu un mal fou à me rappeler ce dont il s'agissait.

Mazette, la dernière fois où j' y ai joué c'était il y a 17 ans...
Et mon souvenir n'était pas des meilleurs, seul sa difficultait me revenait à l'esprit. On n'arrivait pas à dépasser le stage 4 (avec les ascenseurs rouges), c'est dire. Bon, c'est sur, il y a d'autres jeux difficiles et qui frustrent les joueurs, mais celui ci était vraiment l'un des seul qui nous posait problème (je dis nous , car on y jouait entre amis).
Donc ce jeu, j'avais une revanche à prendre, il m'avait traumatisé et il n'allait pas s'en sortir comme cela.
Ma vengeance allait être à la hauteur de son challenge abusé : save states à outrance.
Oui, c'est môche, c'est sur.
Mais il l'avait bien cherché, non de non !
Pourtant les ecrans ne sont pas bourré de monstres, c'est même plutôt vide.
Mais c'est pas grave, à la manière des moult quicksave dans les fps micro, j'ai fais de ma Dingoo une vrai gattling à saves states, nha !

Conclusion, il ma fallut d'un peu plus de deux séances de deux heures chacune pour le finir. Et je peut vous dire que j'en ai bavé. Ah ! le saligaud ! Ah, l'empaffé ! J'l'ai eu !




Bon, de ce jeu, je crois que le pire ce sont les saut millimétrés, c'est du n'importe quoi et seul une vrai chance de cocu permet de passer ces passages sans perdre ses trois vies.
Ce jeu n'est pas un Die&Retry, c'est jeu d'entrainement cérébral !
Ce perfectionner est le maitre mot, apprendre les niveaux par coeur ne sert à rien, c'est savoir comment franchir les epreuves qui est primordial.

A part cela, chose que je n'avais pas remarqué à l'époque, est qu'en fait il est un des multiples jeux de plate formes qui se sont calqué sur Sonic (comme Zool, le plus connus). De la plate forme, de la vitesse et un heros à l'allure cool.


Sinon pour l'anecdote, durant le générique de fin, apparait les noms des gagnants à un jeu réalisé par un magasine de l'époque et Irem.
Vous voulez les noms de ces six personnes , histoire de placer quelques mots de culture lors d'un repas famillial ?

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Zut, j'ai cité au lieu d'éditer.
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J'ai rejoué à Rocky Rodent il n'y a pas longtemps (pour mon blog en fait). En me renseignant sur le jeu, j'ai vu que tout le monde le qualifiait de super dur. Ca ne m'a pas frappé en jouant mais je ne suis pas allé jusqu'à ce fameux niveau 4, enfin je ne crois pas, j'ai arrêté dans un grand immeuble avec plein de chemins différents.
En tout cas, je trouve un autre jeu de plate-forme de IREM sur Snes bien plus difficile : Dino City.

EDIT : au fait tu utilises quel ému sur Dingoo ? Une version qui tourne sous Linux je suppose ? De mon coté, je n'ai pas vraiment trouvé que l'ému Snes était satisfaisante sur cette bécane, et, de ce que j'ai essayé, je préfère les émus sur PSP (loin d'être parfaits non plus cependant)

Le premier stage de Rocky Rodent n'a rien de trés difficile. Le second avec la course entre les voitures donne alors le ton. Ce n'est pas insurmontable, il faut un peu s'entrainer pour bien avoir en main la bête et se jouer des situations.
Ensuite les stages sont scindé en deux parties. L'immeuble n'est pas trop dur, un peu plus que le 1er niveau, avec des passages un peu stressent (les fantomes dans les pièces sombres). S'ensuit alors le 4ieme qui se trouve en extèrieur sur l'echafaudage d'un bulding apparement. Là commence la difficulté avec moult piège.
Les boss sont long aussi à tuer.
A ma deuxième rencontre de la chauve souris, j'ai du perdre dix ou quinze vies avant de comprendre ce qu'il fallait faire pour la seconde partie. Et même aprés cette seconde partie, j'ai du en perdre autant durant la troisième et derniere partie du boss. Pfiou.
Vers la fin il y a beaucoup de phases avec des plateformes mouvantes, des engrenages et autre joyeusetées. C'est trés tendue et je pense que seul un bon entrainement de plusieurs jours, sur quelques semaines, sur ce jeu permet d'en voir le bout à la loyale.

Et bien je vais t'étonner, mais j'ai joué sur l'ému natif et non sur Dingux.
Mes saves states ne marchent pas sous Dingux, je te raconte pas comment ça me met les nerfs en pelote ^^
Dernièrement j'avais remanié mon Dingux car il y avait des p'tits problèmes et comme de par hasard ce qui ne marchait pas avant, marche, et ce qui marchait bien, marche moins bien dorénavant.
C'est Dingux.



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Ayé, j'ai fini Order of Ecclesia Je m'en vais faire un bref compte-rendu ici...

------------------ SPOILS PROBABLES ! ---------------------------

Après une petite vingtaine d'heures de jeu, j'ai enfin terminé ce dernier opus portable des Castlevania. Et contrairement à Portraits of Ruin qui a été, je dois le dire, très laborieux à terminer, malgré la présence évidente de bonnes idées (les quêtes, le système à deux personnages, etc.), OoE recèle, quant à lui, de sérieux arguments en sa faveur. Je le place volontiers aux côtés des grandes réussites que sont Harmony of Dissonance et Aria of Sorrow (et Down of Sorrow, si l'on considère que les deux jeux n'en forment qu'un en réalité, tant dans l'esprit que dans la construction).

Tout d'abord, le jeu renoue avec une difficulté que je n'avais pas vu depuis Circle of the Moon, difficulté qui n'était même absente de Symphony of the Night qui était, si ce n'est ce timide point, absolument parfait en tous points. C'est peut-être d'ailleurs là le grand malheur des "Castletroid" : le premier opus était d'ores et déjà un coup de maître, et il était compliqué de surpasser un modèle qui, dès la première tentative, était un chef d'œuvre. Konami eut beau revoir profondément le gameplay en ajoutant divers petits éléments (le fouet des Belmonts, les âmes, etc.), le modèle de Glyphes de OoE s'impose d'emblée comme une évidence et le seul amène à rivaliser avec son glorieux modèle. Ce système s'étend de trois façons différentes :

- D'une part, il oblige le joueur à jongler constamment entre types d'armes (masses ou rapières) et éléments primordiaux (feu, glace, lumière, roc, ténèbres, etc.), car les ennemis ont de très fortes résistances. Et faire du levelling n'aide en rien : un ennemi rencontré au milieu du jeu sera toujours difficile à vaincre sans le bon élément, tandis qu'un ennemi tardif, au même niveau, sera explosé en deux secondes grâce à l'utilisation de la bonne arme ;
- D'autre part, il invite à une stratégie défensive nécessaire face à certains ennemis et boss, en étant amené à assimiler (même si l'on a déjà) les glyphes magiques qu'ils utilisent pour éviter des attaques dévastatrices (comme le Globus de Barlowe) ;
- Enfin, leur union (que ce soit deux glyphes physiques, un physique et un magique, ou deux magiques) permet un vaste éventail d'attaques diverses, prompt à vous tirer de n'importe quelle situation, même les plus périlleuses.

Il reste alors que la quête de ces pouvoirs (qui sont en fait autant d'armes) est incroyablement stimulante, et même nécessaire à la fin du jeu où l'acquisition des glyphes ultimes de masses, épée, haches facilite énormément la tâche du joueur.

Cela encore, ce ne serait rien. Mais il reste que le jeu évite un écueil souvent vu dans les Castletroids, à savoir la redite. C'était notamment cela que je reprochais le plus à Portrait of Ruin, puisque les ennemis et les lieux étaient fortement ressemblants à ce qui se faisait auparavant. OoE permet d'éviter cela non seulement en proposant une totale redistribution des ennemis que l'on avait alors l'habitude de voir (certains apparaissent plus tôt, comme les démons volants, d'autres plus tard, comme les loups-garous) et surtout par une apparition fortement marqués de nouveaux ennemis, dont certains sont véritablement marquants et manquaient, quelque part à la mythologie des Castlevania : ennemis humanoïdes, comme le "Fossoyeur", qui vous attaque à coups de pelle, mécaniques (les fameux "Hommes de métal", plus coriaces qu'il n'y semble), animaux (notamment les animaux aquatiques). Un regard neuf sur le bestiaire qui touche du reste autant les ennemis classiques que les boss, tous plus intelligents les uns que les autres, à commencer par Blackmore (l'ombre vivante) et Abigor, centaure tenant sur près de six écrans (!) et dont le combat se déroulera devant lui, sous lui, derrière lui et sur lui pour enfin l'achever : un gigantisme rarement entrevu depuis Super Metroid et une mise en scène qui donnerait presque un goût de God of War.

Bien entendu, le jeu est construit sur un twist, à la façon de Symphony of the Night ou Harmony of Dissonance, qui font comprendre qu'une fois arrivé au bout de nos peine, l'on est en réalité qu'à la moitié du jeu. Et après avoir exploré les diverses zones toutes plus agréables les unes que les autres (à part deux qui se contentent d'être des "lignes droites" avec une entrée et une sortie), si l'on a libéré tous les villageois (qui sont souvent sévèrement cachés), on accède alors au Château de Dracula qui, s'il n'est certes pas aussi grand que de coutume, compte tout de même près de 5 zones complexes et labyrinthes, avec leurs 5 boss. Une exploration qui, du reste, fait durer le challenge.

Il y a encore du reste deux zones cachés, à la difficulté colossale, mais qui permettent d'obtenir les derniers objets cachés...

Bref, un jeu formidable, sur tous points de vue. Foncez-y, c'est du bon
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J'ai laissé tomber ooe à...dracula. Je n'ai jamais réussi à le battre Et les deux niveaux cachés sont abominables. Je suis presque arrivé au bout des deux mais j'ai laissé tomber, le jeu me saoulait. Et le système de glyphe (devoir sans cesse jongler) est à mon avis peu pratique...

Face à Dracula il existe un ou deux combos de glyphes permettant de l'éliminer en à peine 3 ou 4 coups.

C'est un peu lâche mais si tu souhaites voir la fin malgré tout ...

Dites, quelqu'un aurait identifié le shmup vertical que l'on voit sur la borne d'Arcade dans les pubs de Free (chez l'ami Rudolf) ?
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Difficile à dire on voit très mal, Galaxian, Galaga ?

J'ai cru reconnaître Exerizer, de Jaleco.

Ayé, j'ai lachement abandonné Order of Ecclesia. J'étais sur une bonne lancée, arrivé sans trop d'embrouilles (Rusalga or something peut-être) au gros poisson rocheux. Mais je me suis peu à peu détourné de ma DS, dont j'arrive pourtant habituellement à concilier la pratique avec ma grosse PS3. Mais là non. Ca m'arrive souvent ces derniers temps.

J'avais suivi les conseils de Tonton ben il y a quelques mois et je m'étais lancé dans l'opus PSP que j'avais adoré (Dracula's Chronicles), Petitevieille n'avait pas traîné pour me rappeler à quel point Nec, c'était le bien. Donc impeccable. J'avais survolé Symphony of the Night rapidos en passant.

Mais pour OoE, et malgré toutes les qualités qu'on peut lui accorder, je n'ai pas suffisament accroché pour m'infliger tous ces boss ultra retors jusqu'au terme de l'aventure. Je devais être à 60%.

Edit: C'était un message à visée thérapeutique.

Edit 2: J'ai commencé à travailler un peu Mega Man 9 (Wii) une ou deux heures ces derniers jours. On va bien voir. J'en parlerai dans le fil "immédiatement retro".

Oui c'est trés ressemblant, surtout pour le sprite du vaisseau du joueur.
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De mon côté je viens de finir Zelda a link to the past sur snes. Entre temps j'ai eu le malheur de voir ma sauvegarde à mi-parcours s'effacer en ayant malencontreusement bougé la cartouche pour faire un reset sur la console.
Cela ne m'a pas découragé pour autant et j'ai finis par administrer à ganon la bonne trempe qu'il méritait. Sans surprise ce fut un très bon jeu même si je n'ai pas retrouvé la féerie des épisodes n64 et gamecube tout en trouvant l'univers nettement moins vivant. Je me dis que tout cela est due aux capacités techniques de la machine qui a certainement obligé les développeurs à faire des concessions.

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Je crois en dieu et comme dieu c'est moi, je crois en MOI !!!
ALLÉLUIA MES FRÈRES ! ALLÉLUIA !!!
Father yoZe...

Faut dire qu'il s'inscrit dans la droite lignée du tout premier Zelda.
A ce moment tout le monde révait que Nintendo sorte une suite de la même trempe que l'opus NES.
Ce qui fit Nintendo, en plus grand.
Aprés les épisodes 3D, c'est une autre histoire, notement avec le fait que, par exemple, Ocarina of Time donne une note contemplative au joueurs.
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Vous l'avez peut-être déjà vu ailleurs, mais pas encore sur le forum de Grospixels, cette video datant du début des années 1980 présentant les jeux video.

Celle-ci se consacre avant tout à Atari, et présente les grandes parties de la réalisation d'un jeu, de la recherche d'une idée à la fabrication de la borne. Le tout accompagné d'images qui devraient plaire aux plus vieux retrogamers, mais aussi aux autres curieux.

Autre curiosité, après des commentaires plutôt positifs, la video se termine sur une petite note alarmiste sur les éventuelles dérives du jeu video. Avec le recul, elle annonce, hélas, les reportages angoissants qui viendront plus tard et dont nous ne sommes toujours pas sortis *.




* Celui d'hier soir sur Direct 8 sur l'addiction n'a évidemment pas oublié de consacrer une place aux jeux video....
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Tout juste à l'instant au jt de 20h sur TF1, un reportage sur le retrogaming.
Avec quelques images du Musée du Jeu Vidéo.
Sujet cours, abordé simplement et débarrassé de tout les a-prioris.

Ca fait plaisir


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Très sympa le petit docu de chez Igor et Grichka.
Mais quel est donc ce jeu ET qu'on les voit développer ? Ce n'est pas la fameuse version VCS et ça a l'air pas mal du tout. Il y a eu un jeu d'arcade ET ?

C'est la version Atari 8-bits... et elle ne casse vraiment pas des manivelles.

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Atari Frog
http://www.atarimania.com

Ah OK, merci. Vu le prix qu'elle a du leur couter, j'aurais du me douter que Atari avait essayé d'amortir l'achat de la licence ET en développant plus qu'un seul jeu.