Bon là ça devient pénible.
Qui, ici, se "vante" d'arrêter de jouer ?

Pourquoi des critiques aussi négatives, l'évocation de cette attitude vue "ici ou là", alors qu'ici même, a priori, personne ne prend cette posture de rejet méprisant ?

Et puis d'abord, le crépuscule, c'est la fin de la journée, et après la nuit il y a une autre journée qui commence.

Nordine, je vais le dire une dernière fois, ensuite je décroche et tu te faches si tu veux : je ne passe pas mon temps à analyser TON cas et m'étendre dessus sans te nommer. Simplement j'ai remarqué à la lecture d'un certain topic chez Push-Start que quand tu t'exprimes sur l'expérience que tu vis en ce moment, ça peut rameuter des gens qui, sur ce sujet précis, tombent dans les travers que je décrivais plus haut.

Là dessus, j'en ai ma claque de cette discussion et je n'y participerai plus que pour répondre si on s'adresse directement à moi. J'ai assez de phases crépusculaires qui m'attendent d'ici une vingtaine d'années, je vais essayer de profiter du soleil.

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Mais personne, j'ai pourtant bien pris soin de préciser que l'on ne parlait pas forcément des gens ici mais du sujet en général et de certains types de comportements qu'on pouvait constater. On parle du sujet, quoi, et d'une partie de ce qu'il recoupe.

Ce que j'ai décrit comme arrivant parfois, j'en ai vu sur IGN, j'en ai vu sur Gamekult, j'en ai vu dans des commentaires de site de news, j'en ai vu dans ma vie. Et j'en ai vu sur d'autres sujets que le jeu vidéo. Et ça n'arrive tellement pas ici que justement j'explique au gens qui ne voient pas de quoi je/on parle ce dont je/on parle.

Enfin, j'ai aussi bien pris soin de dire plusieurs fois que j'ai arrêté le jeu vidéo pendant des années.
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Dans ce cas, il serait bienvenue d'arrêter de généraliser tout en évitant les conclusions hâtives Laurent.
PetiteVieille l'a répété et d'autres aussi, la question ici soulevée relève du cas par cas. Sans compter qu'elle nécessite de vraiment bien connaître les personnes concernées. Je veux dire personnellement, pas simplement à travers des ragots de concierges ou des déductions hasardeuses.

Concernant le topic sur Push-Start, si des personnes utilisent éventuellement cette discussion pour la détourner à des fins malveillantes, je n'y peux rien. Ceci dit, je les invite à intervenir sur le site orange plutôt qu'ici tant le sujet semble sensible.

De mon côté je suis désolé d'avoir lancé un sujet que je ne suspectais pas aussi sensible.

Il me semblait tout de même assez normal, naturel, humain, que l'on se lasse parfois même de ses plus grandes passions. De manière temporaire, définitive, ça dépend de tout un tas de facteurs. Même Rimbaud s'est lassé de la poésie.

Et puis même si j'ai participé moi aussi à la dérive du topic, je l'ai lancé sur un sujet plus restreint : comment garder la flamme quand on la sent vaciller. Je pensais que ça allait déboucher sur une discussion "entre passionés" (comprendre, "toujours passionés"), et ce d'autant plus que je n'avais pas réalisé ici que certains s'étaient vraiment lassés à ce point du jeu vidéo.

Bref je comprend parfaitement que ce sujet soit clos ici, d'autant qu'il peut toujours continuer sur push start.

Je répond quand même, étant directement cité : si j'ai à peu près arreté de jouer pendant un moment, ça n'est pas parce que je dédaignais le jeu vidéo. Jamais je n'ai considéré le jeu comme abrutissant, infantile, et tout ce qu'on peut lire sur ce topic. Seulement quand on est entouré de gens qui pensent ainsi, après avoir essayé en vain de leur démontrer que c'était faux et bien... On a plus le courage. Ca ne signifie pas que je pense qu'ils aient raison, c'est plutôt une petite lacheté personelle. Mais voilà, je suis humain.

Je re-interviens pour clarifier parce que je t'ai cité : quand je l'ai fait, c'était pour pointer le poids de l'entourage. Je n'ai jamais dit que tu l'avais intériorisé, mais c'est quelque chose qui est possible en général et qui peut expliquer des revirements assez spectaculaires que j'ai constatés ailleurs (et encore une fois j'ai constaté la mécanique ailleurs que pour le jeu vidéo). Et ce d'autant plus qu'on vit dans un pays assez hostile au jeu vidéo.

Encore une fois je comprends très bien qu'on arrête ou mette sur pause sa passion : j'avais un rapport avec le jeu bien moins agréable avant mon arrêt que maintenant. Je veux dire, je me revois adolescent devant mon écran à essayer de battre Shadow of the Beast sans tricher (et réussir) et c'était pas brillant.
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Je suis quand meme étonné de la virulence des réponses "anti-crépusculaires".

On touche quand même à quelque chose de très sensible. Je sais pas comment vous le ressentez, mais j'ai quand même l'impression que nous avons une passion qui fait l'objet de critiques d'une violence parfois inouï, à peu près injustifiées, et surtout constantes. Que ce soit dans les médias ou dans son cercle social, quand on est joueur et passioné on se sent attaqué de toutes parts.

La citation de l'accademicien qui était en phrase du mois jusqu'à il y a peu n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. On pourrait aussi parler de Bourdieu, Attali... De tous ces reportages et sujets de JT... Je pourrais vous parler de ma femme, de mes parents... Et encore, la France n'est pas l'endroit où le jeu vidéo est le plus violemment attaqué et/ou censuré : il y a cette offensive actuelle en allemagne, l'interdiction des jeux 15+ en australie, les attaques sans fin des puritanismes americains...

Alors forcément, dans ce contexte assez peu rejouissant où les joueurs "traditionels" sont pris en tenaille entre le casual gaming et l'opposition féroce dont je viens de parler, ça fout toujours un coup de voir "les notres" se barrer en si grand nombre.

Mais justement, j'ai pas l'impression qu'on "se barre". La preuve : on en cause encore sur un forum de jeux vidéo...
On a des gens qui restent imprégnés de cette culture, ne la renient pas, parfois travaillent dans le milieu ou autour du jeu vidéo, et même peuvent troller comme des sagouins à propos de manettes inchangées depuis 15 ans par des fabricants de chaîne hi-fi.
Par exemple Nordine, qui vient de se séparer de ses jeux personnels, reste assez attaché à cet univers pour faire un article parlant de bouquins consacrés aux jeux vidéo.

Si un jour l'un d'entre nous venait à chier sur les jeux vidéo, là il y aurait de quoi s'émouvoir.
Mais qu'on évoque le fait que certains ne sont plus aussi actifs qu'avant devant leur écran, ça ne fait pas de ces gens de vilains contempteur de notre loisir.

Un niveau au-dessus, parler de «névrose», de «dépression», de «haine de soi» - d'ailleurs en utilisant ces mots comme des accusations, alors que ce seraient plutôt des problème à résoudre - ça me semble tout à fait inapproprié.

Ou alors sur push-start, où on peut traiter chacun de ses camarades de tous les noms (surtout les connards de droite et les nazis pédophiles).

Je pense quand même avoir été assez explicite et avoir suffisamment mis de tonnes de garde fous pour qu'on ne sorte pas les mots que j'ai employés de leur contexte, quand même. Ou alors j'édite et j'efface tout parce que j'en ai un peu marre de répéter le contexte de ce que j'ai dit à chaque fois.

C'est encore plus gonflant quand non seulement on les sort de leur contexte mais qu'en plus on les détourne carrément en disant que c'était utilisé comme des accusations, ce qui n'était clairement pas le cas.

C'est surtout qu'on ne compte plus le nombre de fois où axer le débat autour des réactions d'énergumènes vus sur IGN ou GK a mis le souk ici. Parce que ça entretient le malentendu et que ça envenime la discussion. Donc oui, il y a des blaireaux là-bas, et parmi ceux-ci des blaireaux qui bombent le torse d'avoir su "décrocher d'un truc infantile". Personne n'ira prendre leur défense, je pense.

Maintenant j'aimerais bien qu'on m'explique en quoi ce sujet est déprimant. Laurent, ça t'émeut à ce point de lire un mec dire qu'il a du mal à s'éclater sur les jeux vidéo désormais ? Calmos... Ce sujet aborde notre rapport au jeu vidéo. Il y a ceux qui s'éclatent comme au premier jour et qui, à trente ans ou plus, se débrouillent toujours pour concilier vie pro/de famille et jeux vidéo, parce que c'est pour eux une priorité indéniable. Et puis il y a ceux que le manque de temps ou la tentation d'autres expériences font dériver vers une pratique plus occasionnelle, du zapping souvent. Je me retrouve dans ce cas de figure et, contrairement à FF_Clad ou Rainmaker, je ne trouve pas ça frustrant : je ne finis pas tous les jeux auxquels je touche, et alors ?

Ma pratique s'est resserrée autour de l'émulation, parce que j'aurai envie de jouer à un jeu J à un instant T. Ça ne débouchera pas forcément sur une partie complète mais, pour ma part, je ne vois pas où est le problème. Je ne suis peut-être plus passionné (d'autres loisirs ont pris le relais) mais je reste un curieux. Pour ma part ce n'est pas tant le panorama vidéoludique actuel qui m'a fait décrocher de l'actu que l'émergence de tendances que je n'apprécie pas : le flirt du jeu vidéo avec le home cinema et la dématérialisation, en laquelle je ne fais pas confiance. Ajoutez-y ma maladresse maladive à la wiimote, qui finit toujours par m'irriter, et me voilà désoeuvré.

Maintenant j'ai effectivement du mal à comprendre :
- pourquoi il faudrait se forcer, se contraindre à des régimes du type "un ou deux jeux à la fois" : si un jeu nous plaît réellement on le continue, quoiqu'il arrive.
- en quoi l'inverse serait égoïste. Quelque soit le temps que l'on y consacre, un loisir n'incombe pas de devoir.
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Que tu trouves mes conclusions erronées d'accord, mais en aucun cas elles ne sont hâtives, car ça fait 9 ans que je discute quotidiennement avec des joueurs sur le net ou que je lurke des forums représentatifs comme celui de GK ou les réactions de lecteurs chez Factornews et autres, et je commence à bien les connaître. La vérité est que ce n'est pas des jeux vidéo que je suis écoeuré, mais d'une assez large partie des personnes qui s'expriment sur ces espaces, pour des raisons que je ne pense pas avoir besoin de détailler vu qu'elles me font pousser des coups de gueule régulièrement ici même (de manière souvent excessive et dont je me doute qu'elle peut choquer).

Bien entendu, quand j'ai la possibilité de mieux connaître les gens je sais apprécier leurs qualités, mais il faut bien admettre que quand les échanges se limitent à quelques réactions à chaud sur le quotidien du jeu vidéo, pour un bisounours qui répand de l'enthousiasme autour de lui il y a cent triste sires qui arriveraient à te démotiver un chimpanzé affamé de se taper un banana-split. Et comme beaucoup dans ce topic ont admis que les discussions sur Internet occupent une place importante dans leur vie de gamer, je suis convaincu que les tristes sires en question font des dégâts, qu'ils ne sont pas pour rien dans le "phénomène crépusculaire". Dans ton cas non, je l'ai bien compris, mais d'autres peuvent être bien plus influençables, et quand ils se retrouvent pris en tenaille entre les Attali des médias et les sous-Desproges du web, ça pas doit être facile tous les jours pour eux de chasser le doute.


J'ai pas dit que ça m'émeut, j'ai dit que ça me gave Crois-moi, des topics crépusculaires j'en ai lu pas mal, et j'ai rarement vu quelqu'un s'y pointer et balancer des pavés dans la mare.


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J'uppe le topic pour parler du facteur "pression sociale" qui peut faciliter ce "crépuscule du gamer".

Il est réellement difficile de "beaucoup jouer" quand la vie de famille s'installe, et heureusement qu'il reste des "petits jeux" pour meubler les temps de jeux.

Trial HD est parfait pour ça d'ailleurs...
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Moi j'ai réussi mon concours (je retourne en bibliothèque), j'aurais donc moins de temps pour jouer. En même temps avec moins de temps libre, je serai obligé de mieux le structurer ce temps, et donc moins de possibilité pour perdre du temps sur facebook et autres bêtises du genre. Finalement, je vais peut-être pas forcément moins jouer...

Après avec des mômes, je sais vraiment pas comment vous faites (je dors beaucoup, facile 9h par nuit)

Voilà, c'est ça le truc. On fait des choix. On fait le tri. Et on balance les trucs finalement inutiles et anti-productifs. Depuis que je suis papa, je joue moins, certes, mais je "glande" surtout beaucoup moins.
Je suis pas certain que le manque de temps influe tellement sur le "crépuscule du gamer". On joue différemment mais on joue toujours si on a la passion. On se tourne vers les "petits jeux" comme dit Dante, et c'est pas forcément le solitaire sous Windows ou Wii Tennis. Ca peut être Trial HD, mais aussi des jeux d'arcade (Mame), ou n'importe quel jeu 8/16 bits qui ne nécessite pas un tuto d'une heure pour commencer à s'éclater.

Moi j'ai eu ma période où ça m'intéressait plus trop (sans totalement lâché non plus mais je jouais beaucoup moins), sur 2008-mi 2009 à peu près, d'ailleurs je ne postais quasiment plus ici pendant cette période.

Je penses que c'est comme tout, il y a des hauts et des bas, par exemple j'ai eu mon revival BD dans cette période justement et c'est un peu passé depuis. J'étais cinéphile et bdphile avant d'être gamer et même aujourd'hui je reste intéressé par le cinéma, mais je ne suis quasiment pas son actualité, j'ai vu assez de choses pour ne jamais me tromper sur mon choix avant d'aller voir telle ou telle oeuvre.

Pour le coup je suis retourné aux jeux vidéo parce que c'est un des domaines qui me semble le plus créatif (si si, voir les jeux indé, pas mal d'autres productions etc...).
Je ne connais pas de passionné adolescent et pourtant ils doivent être plus nombreux que nous ne l'étions au même âge, je ne penses pas que ceux-là trouvent le jeu vidéo moribond, déjà au temps des 16 bits il y avait des bouzes, des jeux à licence, des séries hyper-commerciales etc... et pourtant il y avait aussi beaucoup de perles pour celui qui fouillait bien.

C'est pareil aujourd'hui et dans tout les domaines créatifs, alors oui les relais médiatiques ont été complétement chamboulés, c'est le règne du marketing et du marchandising mais la curiosité est plus que jamais nécessaire pour découvrir, elle l'a même toujours été.

Voila, c'est exactement ça.

Je supporte de moins en moins les jeux qui brodent. On m'a prêté Bully sur 360, j'aurais accroché à mort il y a quelques temps, mais là passer la moitié du temps de jeu à aller d'un point A à un point B, ça m'ennuie profondément.
En plus si je veux jouer en présence des enfants les jeux 360 sont un peu un peu contre indiqués. Du coup j'ai acheté Kinectimals et on s'amuse vraiment bien ensemble avec ça, en plus de ça je tourne beaucoup aux jeux XBLA, à savoir Rez et Crazy Taxi, et beaucoup de jeux 8 et 16 bits, surtout du papillonnage, qui ont le mérite d'être guillerets et colorés. A 3 ans 1/2 ils n'ont pas besoin d'en voir plus. Voir le gosse de mon patron qui passe plusieurs heures par semaine sur Starcraft 2 ça me désespère...

Bref c'est vrai qu'en ce moment les jeux au long cours ce n'est pas évident du tout, et je n'approfondis rien. En plus l'actu ne m'intéresse plus vraiment: j'adore la Wii mais en 2011 elle est officiellement entrée dans le coma, sur 360 les jeux sont trop complexes (je galère comme un russe dans Gears of War en recrue mais j'avance petit à petit). Par contre le XBLA me comble, mais il faut que je retrouve la liste de Laurent pour savoir vers quoi m'orienter.
Bref en attendant d'être plus disponible, il ne faut pas hésiter à jouer petit. Small is beautiful!!!

(et aussi continuer à lire les articles de GP et Pix'n love, une flamme ça s'entretient!)

Moi je maintiens qu'un temps de jeu quotidien réduit n'est pas incompatible avec les jeux longs (pour peu qu'on reste régulier et que les zones de sauvegarde ne soient pas espacées toutes les 3 heures), mais bon...

Je me souviens qu'il y a deux ans, je jouais aux jeux longs quand j'avais peu de temps pour jouer (genre une heure par jour) et aux jeux courts quand j'avais plus de temps devant moi (genre trois heures par jour), comme quoi.

Et jouer à un jeu d'aventure avec les enfants à côté pendant un mois, il me semble que c'est aussi une expérience forte qui peut valoir le détour je trouve, comme quand on suit un feuilleton quotidien (il me semble que les enfants aiment bien suivre les séries animées dont les épisodes sont diffusés chaque jour). Après tout, un jeu permet de s'évader et de s'immerger dans un autre univers, et pour ça un jeu d'aventure c'est super.

C'est tout simplement une question d'envie fluctuante et non pas de "situation sociale".

Quoi qu'il en soit, il serait grand temps que Niloc termine Metroid Prime 2: Echoes, non mais!
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"Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt." Proverbe chinois

Ah oui toutafé! Mais kestuveu j'ai l'impression d'avoir passé des dizaines d'heures sur le jeu, que j'avais attaqué en septembre, hein, et quand après plusieurs heures dans la forteresse Luminoth je n'avais toujours aucun emblème, et qu'en plus j'ai appris que je devais en trouver encore dix autres,tout ça pour déboucher sur une chiée de plusieurs boss successifs, ça m'a comme qui dirait découragé. Mais je compte bien m'y remettre sous peu, ma période noire professionnelle touchant à sa fin j'aurai plus de temps à moi (couplée à la venue d'un lave-vaisselle - ô que je t'attends toi, oui un jour prochain tu seras mien!)(non je n'ai pas bu)(pas depuis midi en tout cas).

Bah ça fait 2 semaines que je suis retombe dans le piege Lost Planet. Mon tableau des succès faisait un peu la gueule alors je me suis replongé dans le jeu ^^ Quel tuerie ce jeu.
Enfin ça fait 2 semaines que je fais des succès sur lui et DR2, du coup je change plus de jeu. J'ai du mal à passer à un autre jeu. J'attend de voir Dead Space 2, je vais le rusher ce jeu. Du coup en attendant sa sortie je me lance plus dans de nouveau jeu

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