Je l'avais celui-là ! Je crois qu'il y a moins de monstre inédit que tu ne le pense, en général, les boss sont des versions "géante" de créatures passé trois seconde en arrière plan dans le film. Un détail qui montre bien le soucis de plaire au fan hardcore.

En tout cas, c'est clairement le jeu qui perdrait 90% de son intérêt si on remplacait Luke par Toto.

Super Empire Strikes Back
(Sculptured Software / Lucasarts - 1993)



Par rapport à Super Star Wars, ce jeu, c'est la même chose Empire (ah ah). Mais il n'est pas mauvais pour autant, d'ailleurs comment le pourrait-il puisqu'il ressemble tant à son prédécesseur ? Même mélange de phases d'action / plate-forme au rythme apocalyptique avec ennemis venant de tous cotés, et de phases à l'intérieur de véhicules abordant un gameplay différent, comme celles ou on combat les gigantesques forteresses AT-AT aux commandes d'un snowspeeder vu de derrière. Il sera même possible de piloter le Millenium Falcon pour une phase de tir en vue subjective. De plus le gameplay s'enrichit de petites nouveautés, la principale étant la possibilité d'effectuer des double-sauts et d'utiliser la force avec Luke : il peut ainsi renvoyer les tirs ennemis avec son sabre laser. La réalisation s'est améliorée : les persos sont mieux animés et les décors plus colorés. Les ennemis encore plus nombreux à l'écran provoquent parfois l'apparition de petits ralentissements en revanche.
Le problème du jeu, c'est sa difficulté énorme et particulièrement mal dosée. On sera confronté dès le début à d'horribles pièges et des passages vraiment crispants. Et cette maniabilité parfois approximative qu'on subissait déjà dans le 1er jeu devient un réel handicap ici car les erreurs ne pardonnent pas. J'en veux pour exemple ces ennemis capables de paralyser Luke et Han Solo dans les niveaux enneigés : que c'est énervant de se retrouver transformé en glaçon à répétition, incapable de se défendre contre des ennemis qu'on ne parvient pas à toucher et qu'on préfère fuir en usant d'amples double-sauts, là ou le 1er jeu nous amenait plus à user de notre puissance de feu dans une orgie destructrice.
Le jeu reste assez bon, et ses niveaux plus variés qu'auparavant, mais certains passages relèvent du masochisme et on regrette amèrement que la jouabilité n'ait pas été un tout petit peu mieux calibrée, ce qui aurait donné un superbe soft d'action. Au lieu de cela, on a un jeu qu'on ne peut vraiment recommander d'essayer qu'aux fans de la saga.
Assez Bien

Ils ont surement voulu corriger le tir car le suivant est le plus facile des trois. Pour moi, le problème principale c'est que pour adapter "star wars" le genre action/plate-forme ne me parait pas le plus adapté.

Bien que je sois du genre à apprécier les jeux corsés il faut avouer que Super Empire Strike Back est dés le début particulièrement ardu, surtout lors de la première partie mettant en scène Luke dans les profondeurs enneigées de la planète hoth. Toutefois j’ai apprécié l’aspect plus labyrinthique que prennent les niveaux pour obliger le joueur à farfouiller et dégoter les précieux bonus, apportant généralement des upgrades pour la barre d’énergie ou le blaster indispensable pour voir le bout des niveaux. En soit ce titre ne révolutionne pas profondément la formule mais s’avère bien plus long en rallongeant ainsi la durée de vie au point d’apporter un système de password. Cependant même si ces différents éléments apportent un petit plus non négligeable, je trouve que l’on perd un peu le côté immédiat et très bourrin de Super Star Wars qui rend cette suite bien moins jouissive que son prédécesseur. Un titre à essayer si vous appréciez l’univers de Georges Lucas.

Disons plutôt que c'est le moins difficile. Je le trouve quand même retors le retour



Super Return of the Jedi
(Sculptured Software / Lucasarts - 1994)



Voici la conclusion de la trilogie de jeux Snes consacrée à Star Wars. Ce dernier épisode ne change pas la recette et utilise toujours comme ingrédient principal des phases d'action / plate-forme efficaces avec des héros vus de profil, saupoudrés de scènes en fausses 3D ou on conduit des vaisseaux comme le Faucon Millenium ou encore les célèbres motos volantes dans la forêt des Ewoks. Malheureusement, le développeur n'est pas parvenu à rendre ces scènes "bonus" plus intéressantes qu'elles ne l'étaient dans les jeux précédents. On se concentrera donc sur les phases d'action/plate-forme dans lesquelles les personnages peuvent toujours sauter, effectuer des double-sauts ou des glissades, et soit frapper avec une arme au contact (le sabre laser pour Luke bien sur), soit tirer dans toutes les directions au blaster. Dès les 1ers niveaux (enfin dès le second, puisqu'on débute avec une phase en mode 7 soporifique qui fait craindre le pire pour la suite) on peut choisir entre plusieurs personnages se jouant un peu différemment.
La réalisation progresse toujours un peu et on apprécie vraiment les sprites superbes et finement dessinés de ce dernier épisode (pour les héros en tout cas, tous les ennemis ne bénéficiant pas forcément du même traitement de faveur), avec de plus des musiques toujours aussi géniales et particulièrement bien restituées par le processeur sonore de la console.
Reste que le jeu est toujours d'une difficulté phénoménale et qu'une partie de cette difficulté est clairement due à une maniabilité parfois approximative, et un game design qui fait tout pour énerver le joueur. Ainsi, ces ennemis qui dès les 1er niveaux nous saisissent sans qu'on puisse rien faire se révèlent particulièrement pénibles. Pourtant les auteurs ont tenté d'améliorer les choses : se protéger avec son sabre est plus facile qu'auparavant puisque attribué à un bouton (il fallait laisser appuyer et mettre vers le bas avant) ; mais pour par exemple tirer en diagonale haut sans bouger (ce qui est indispensable dans certaines situations), il faut se mettre d'abord en position abaissée, ce qui n'est déjà pas évident en soit (souvent on tirera vers le bas).
Bref, ce dernier Star Wars est toujours aussi amusant, varié et difficile tout en étant mieux réalisé. Mais il faut vraiment être un peu maso pour passer des heures sur ce titre aux nombreux passages très frustrants. Ceux qui sont insensibles au charmes des films de Lucas trouveront le jeu plutôt moyen.
Assez Bien

Il est quand même bien plus facile au niveau des boss qui sont presque tous des gros nuls. Sinon le dernier niveau en vue subjective est vraiment immonde, c'est une des pire utilisation du mode 7 que j'ai vu.

Moi je conseillerai juste le premier en fait.

Un jeu de baston ca l'aurait fait ^^
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Il y en a qui ont essayé...

Et c'est nous qui avons eu des problèmes...
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Carl : J’ai commencé sur Commodore 64 avant de passer sur Atari ST
Youpla : Dommage, t’étais bien parti.

Je parlais d'un beat à la double dragon en fait ^^
C'est vrai que j'avais oublié ce versus tiens...
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Si vous voulez vous raffraichir la mémoire :
http://www.grospixels.com/site/starwarsteras.php
Sacré Tonton

Et pour rester dans la thématique Star Wars, voici l'Attaque des Clones (de Super Mario Kart) !


SD F1 Grand Prix
(Video System - 1995)



SD F1 Grand Prix est un clone éhonté de Super Mario Kart techniquement réussi et globalement très amusant à jouer. Comme le hit de Nintendo, il est jouable à 2 en écran splitté, et propose de choisir son pilote parmi un groupe d'animaux ayant chacun leurs points forts et points faibles dans plusieurs catégories comme la vitesse, l'accélération et l'adhérence. 20 circuits sont disponibles répartis en 4 championnats et sont disputables selon 3 niveaux de difficulté. Il y a en fait 2 modes principaux : l'un permet de jouer "sérieusement" sans avoir accès aux armes, tandis que l'autre permet aux concurrents de ramasser des bombes, des missiles ou des étoiles rendant invincibles (ah bin tant qu'à copier ...). Des modes time-attack, duel, dog-fight (il faut détruire le second joueur dans une arène) sont également disponibles.
Mais par rapport à Mario Kart alors, quoi de neuf ? Quelques petites choses tout de même. D'abord, on peut ramasser du carburant spécial sur la piste qui remplit une jauge ; lorsque cette dernière est pleine, on peut déclencher un turbo qui dure quelques instants. Ensuite, les armes ne sont pas aléatoires, le type de bonus étant visible quand on passe dessus et se trouvant toujours au même endroit pendant toute la course. Enfin il est possible de customiser son véhicule entre les courses avec l'argent remporté en fonction de son classement. De plus, et c'est assez surprenant, le titre est jouable selon différentes vues : on a la vue par défaut, qui reproduit exactement le visuel de Mario Kart, et des vues aériennes plus ou moins éloignées qui changent le gameplay et le rapprochent des F1 Grand Prix du même éditeur sur la même machine (voir page 32), sauf qu'ici ces vues aériennes sont assez moches et pas très pratiques à utiliser pour certaines. Mais c'est techniquement un petit tour de force pour la Snes, d'autant que chaque joueur peut choisir une vue différente et on en trouve même d'assez insolites puisqu'il est possible de jouer à partir de la vue de la carte vue de coté (bonne chance !). Et la performance technique ne s'arrête pas là, il faut aussi parler de la partie sonore : si les musiques n'ont rien de spécial, les courses sont en revanche commentées par deux journalistes (qui apparaissent à l'écran en mode 1 joueur) avec des nombreuses voix digitalisées ! Un troisième journaliste apparait même parfois (son visage est alors affiché dans une petite fenêtre) pour apporter une info.
La jouabilité est bonne également, et les 3 niveaux de difficulté assurent un challenge soutenu. Forcément, le titre souffre de la comparaison avec Super Mario Kart : il manque de finition, ses tracés sont moins interessants, ses décors BEAUCOUP moins variés, et son gameplay moins équilibré. Mais ça reste sans aucun doute un bon jeu de course.
Assez Bien

Ce jeu est cité dans l'article de LVD consacré aux clones : http://www.grospixels.com/site/clones.php


Street Racer
(Vivid / Ubi Soft - 1994)



Lors de sa sortie, le jeu de course en mode 7 Street Racer était considéré comme le plus sérieux concurrent à Super Mario Kart. Mais alors que l'histoire a glorifié ce dernier, qui se souvient de Street Racer ? Pas grand monde, et pourtant le jeu est très sympathique et s'avançait déjà à l'époque avec de solides arguments. Jugez plutot : un choix de 8 personnages ayant chacun ses caractérristiques propres, la possibilité de frapper à gauche et à droite de son kart, des turbos, des sauts, des attaques spéciales, la gestion des dégâts, de nombreux circuits, 5 modes de jeu différents avec du classique comme le championnat et la course contre la montre, mais aussi du plus farfelu avec un match de foot ! Bon le foot n'est pas super jouable, mais le mode "battle" ou les joueurs doivent s'éliminer est plus réussi. Et enfin, surtout, la possibilité de jouer à 4 simultanément en écran splitté verticalement ! Ca en jette. Mais disons le tout de suite : si dans ce mode l'animation reste tout à fait convainquante, les graphismes déjà pas toujours très lisibles à la base se trouvent compressés par les petites fenêtres de jeu et l'intérêt s'en ressent fortement.
Restons donc raisonable et adonnons nous à Street Racer seul ou à deux. Dans ce cas, on découvre un clone de Super Mario Kart abordable et parfaitement maniable mais à la jouabilité moins subtile puisque les fameux dérapages ne sont pas gérés. D'autre part, on ne ramasse pas d'armes diverses sur la piste, mais des bonus nous permettant d'utiliser nos attaques, sauts et turbos. Et là, c'est un peu dommage, tous les persos sont logés à la même enseigne avec un seule et même attaque spéciale latérale (mais l'animation est différente à chaque fois).
Techniquement c'est coloré et mignon au niveau du design, même si je trouve les graphismes pas toujours très fins et celà gêne parfois un tout petit peu la lisibilité de la course. C'est quand même joli dans l'ensemble. Les musiques sont entrainante et rythment bien la partie tandis que l'animation ne faiblit jamais. Signalons aussi d'impressionants "replay" à la Gran Turismo ou on peut suivre n'importe quel concurrent et tourner la camera autour de son véhicule ! Pas courant sur une console 16 bits
Jouable et amusant, Street Racer est une sympathique alternative à qui vous savez, même s'il est loin de faire jeu égal avec lui.
A noter que certaines versions du jeu (Saturn, PC, Playstation), sorties plus tard, semblent particulièrement réussies et proposent un mode "mini" avec vue isométrique et possibilité de jouer alors à 8 (sur Saturn en tout cas)
Assez Bien

Entièrement d'accord ; pourtant, moi je m'en souviens
Et pour cause, c'est un fameux clone de SMK, avec son univers bien à lui et une dose de "fun"... différente de celle procurée par la franchise de Nintendo ; il y a sans doute un aspect plus "agressif" dans les courses, plus "trash" dans le style des persos (comparé aux Mario, Luigi et Toad, c'est facile...).

@Sebinjapan : tu évoques les fameux dérapages de SMK, mais ils n'existent pas encore dans la versions Super Nintendo ?

Seb parle des dérapages tout simple à mon avis et pas forcément des dérapages "turbo" qui existent aussi mais sont l'apenage d'un petit nombre de joueurs.

Le plus dur de la trilogie Star Wars sur SNES, c'est Indiana Jones' Greatest Adventures...
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Your face, your ass, what's the difference? - Duke Nukem

Tu m'as tué Ben

ça a aussi été fait




et c'était naze.
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l'animation est space oui. Mais bon si on peut defoncer des jarjar par grappes de 12 ca peut etre sympa ^^
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Le top serait de défoncer des George Lucas par grappe de douze...
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Comme vous avez envie de cogner, et comme l'article de la semaine est consacré aux courses de moto (dossier Hang-On), je me vois obligé de concilier les deux ...


Super Mad Champ
(Tsukuda - 1995)



La Megadrive a Road Rash ? Pas de soucis, la Snes accueille Super Mad Champ : lui aussi est un jeu de courses de moto très arcade et vu de derrière dans lequel on peut balancer des coups de pied aux autre concurrents en passant près d'eux. Mais attention car, comme dans le hit d'Electronic Arts, certains sont armés de chaines ou de bâtons. Les courses à disputer sont réparties en 3 championnats pour une vingtaines de circuits au total. Ces derniers ne se déroulent pas toujours sur l'asphalte avec également des routes de terre ou recouverte de glace. Dans les courses avancées apparaissent des tremplins, des flaques d'huile et d'autres obstacles. Chaque victoire rapporte de l'argent qu'on peut dépenser pour customiser sa bécane ou en acheter une nouvelle.
La jouabilité est bonne, les graphismes plutôt corrects et, surtout, le scrolling est impeccable quoique moins rapide qu'un Super Hang On par exemple.
Le petit plus de Super Mad Champ ? Eh bien lorsqu'on fait une chute, il faut remonter sois-même sur sa moto. Mais alors qu'on se dirige vers sa monture, un autre motard s'arrête et met pied à terre. La solidarité entre "bikers" en action ? Que nenni, le type vient en fait pour bastonner ! Et en effet on se rend compte que le bouton Y qui servait jusqu'ici à accélérer permet maintenant de donner des coups tandis que le bouton B sert à sauter. On peut même se mettre en garde avec A et il est possible de réaliser des combos. Plus fort encore : on peut décider de fuir le combat (c'est conseillé de toute façon pour ne pas perdre trop de temps) mais de le faire en s'emparant de la moto de l'adversaire !
Très fun et assez bien réalisé, il ne manque qu'un mode 2 joueurs et, surtout, un peu plus de technique dans la conduite pour faire de Super Mad Champ un très bon jeu. A découvrir.
Assez Bien

Désolé j'ai oublié de te répondre mais Amindada l'a fait à ma place. Il s'agit bien des dérapages "normaux", voir même du simple "hop" (le petit saut qui sert à se repositionner), techniques absentes de Street Racer.

Motos, suite et fin :


Suzuka 8 Hours
(Namco - 1993)



On pilote des motos de diverses cylindrées dans ce jeu de course qui permet de disputer un championnat nous entrainant sur 5 circuits (dont le célèbre tracé de Suzuka), mais également de s'entrainer ou de disputer des contre-la-montre. Un mode 2 joueurs en écran splitté est aussi présent. Les courses se déroulent avec pour objectif de parcourir le plus de distance possible en un temps donné : 15 mn, 30 mn, un heure, ou bien sur 8 heures comme la compétition qui donne son nom au jeu. Evidemment le temps dans le jeu défile de façon accélérée, mais il est possible dans les options de choisir entre "game time" et "real time" ... je n'ai pas vérifié si l'option "real time" permettait VRAIMENT de jouer des courses de 8 heures, mais ça m'étonnerait quand même ! On dispose de plusieurs réglages pré-définis sur sa moto pour privilégier l’accélération, la vitesse de pointe ou la maniabilité. Au fur et à mesure qu'on remporte des courses, on accède à des motos de cylindrées plus puissantes.
La maniabilité est très arcade, avec une prise en main immédiate, mais tout de même quelques subtilités comme l'utilisation des boutons L et R pour se pencher, en plus des touches gauche et droite pour tourner son guidon. Mais en jeu, cela se traduit par un feeling proche de celui de F-Zero lorsqu'on utilise ces mêmes boutons. Il faudra tout de même bien freiner et se placer pour négocier les virages les plus vicieux.
Techniquement, c'est moyen pour de la Snes avec une route animée en mode 7 à la Mario Kart et des graphismes corrects mais sans plus. Le bruit du moteur est discret.
Le jeu est censé être une conversion de Suzuka 8 Hours en arcade mais, très honnêtement, j'ai bien du mal à voir les points communs ! Les graphismes et les modes de jeu sont différents, la conduite n'a rien à voir et le défilement de la piste, totalement différent en arcade, donne à cette dernière version une impression de vitesse bien plus efficace. Cette cartouche Snes n'en reste pas moins assez sympathique et tout à fait jouable, mais il est certain qu'on a fait bien mieux dans le genre depuis.
Moyen