Le gimmick sonore dont tu parles Tonton, il me perturbe un peu (oui je suis un vrai emmerdeur décidément) car à chaque fois j'ai l'impression que je vais entendre juste après "bien youé, Yade !"

Et sinon, ça aussi, c'est ce que j'ai toujours entendu : le 2 est vraiment meilleur et corrige les défauts du 1. OK. Sauf que j'étais parti du principe qu'il y avait moins de choses à corriger

Et on m'a dit que vis-à-vis du scénar, il pouvait être dommage de faire l'impasse sur le 1er, et comme je pensais vraiment être bon public sur ce jeu, j'y suis allé de bon cœur.

Il faut que je continue ma partie, il ne peut pas être aussi mauvais, ce 1er épisode, quand même. Par contre vous ne m'avez pas dit si j'étais passé à côté de quelque chose dans la façon de jouer cette première mission. Devais-je vraiment retirer des infos utiles (je veux dire, pour moi le joueur, pas juste pour Altair dans le jeu) de la phase "enquête" ? Des choses qui devaient conditionner mon approche de l'assassinat final ? Je reste interloqué par ce marchand qui s'est rué sur moi sans raison apparente. Donc je dois partir du principe que tous les ennemis connaissent ma tronche ? Ou alors c'est parce que je l'ai regardé de travers ? Bref à quel moment j'ai fait ma quiche ?

En outre, j'ai secouru tous les villageois et donc fait apparaître plein de complices, qui me dit-on m'aideraient à fuir en bloquant mes poursuivants, mais ça ne m'a jamais servi à rien. Justement parce que presque à chaque fois qu'il y a eu baston, c'était pour secourir un villageois, donc pour moi l'idée était de zigouiller les gardes et pas de fuir. Est-ce que pour secourir un villageois, il suffirait d'attaquer un garde même sans le tuer puis de fuir ? Au risque de laisser de plus en plus de gardes méfiants dans la ville au fur et à mesure de la partie ?

Il faut dire aussi que vue la capacité d'Altair à grimper sur quasiment n'importe quel mur au pif, il semble plus facile de gagner les toits que de semer les gardes à travers les ruelles. Je n'ai donc pas encore goûté au courses poursuites en slalomant entre les badauds.

Je suis passé à côté de quelque chose, non ?
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"Et quand ils devenaient mécontents […] cela ne menait à rien, car sans idées générales, ils ne se focalisaient que sur des contrariétés insignifiantes. Les plus grands maux échappaient invariablement à leur attention." G. Orwell

Euh... Ne te prends pas autant la tête, ce n'est qu'un jeu vidéo ! Il y a plusieurs façons de jouer, à toi d'essayer, mais c'est assez ouvert dans les méthodes de fuite ou d'infiltration !

Ça se pratique comme un shen mue ou un GTA... Fait se laisser porter par l'ambiance. Au début je trouvais la couche moderne du scénario très nanarde ! 3 jeux plus tard, jen pense toujours la meme chose mais jai envie de connaître la suite

Apres, il en faut pour tous les goûts, Jika ! J'en connais même qui adorent les jeux Nintendo récents !

(pardon pour ce trollage, c'était juste histoire de piquer un coup !)
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@tof :
Ah ouais quand même. Faut se mettre dans le contexte aussi : AC Revelations débute pile poil après Brotherhood, lequel débute pile poil après AC II, lequel débute pile poil après AC I.

C'est comme de commencer la saison 5 de Dexter sans avoir vu les précédentes. Le début de Assassin's Creed: Revelations met en lumière ce qui est arrivé à Desmond juste après "ce qu'il a fait" dans AC Brotherhood (probablement mon épisode favori, loin devant le 1). Donc oui c'est un joyeux bordel et si on arrive comme un cheveu dans la série, on capte strictement rien, malgré le résumé qui est fait en début de partie.

Sinon en parlant de Revelations, je l'ai fini cette semaine et je suis impatient de voir le 3. Il se murmure de plus en plus qu'il se passera au 18è siècle, pendant les révolutions américaines. Comme prévu, ce sera aussi le dernier où on incarnera Desmond Miles.

A ce propos, je dois admettre que je suis légèrement furax qu'Ubisoft (je ne sais pas lequel des studios vu qu'ils ont tous bossé dessus) ai changé le physique de Desmond. Il fait beaucoup plus latino qu'arabe (avis perso) maintenant... et en plus c'est stupide : dans le résumé au lancement, on le voit avec son visage normal, et quand on commence, ben au secours. Ce n'est qu'un détail mais ça me gêne, comme notre Shepard dans Mass Effect était d'une sauvegarde à l'autre modifié physiquement sans aucune justification scénaristique.

Sinon, le jeu reste extrêmement maniable, l'ajout du crochet est une bénédiction pour la grimpette qui devient encore plus rapide. Les bombes m'ont bien amusé mais je n'ai pas pu m'empêcher de faire joujou avec tout ce que le jeu laisse à disposition des joueurs : la confrérie (rha !), les voleurs / mercenaires / romanis, les fléchettes empoisonnées (rha !), il y a TOUJOURS plusieurs solutions, à vous d'improviser. Coté histoire, j'étais moins captivé que pour Brotherhood, même si je suis très attaché à Ezio et Altair. Mais j'ai quand même suivi les fameux flashback avec intérêt. Cela permet de se rendre compte que la mort d'Al Mualim a provoqué toute une série de troubles pour Altair, qui a durée près de cinquante ans !). Les missions annexes des assassins sont très sympa et bien écrites. C'est d'ailleurs toujours très agréable de les envoyer faire des missions dans le monde pour récupérer de l'EXP pour les assassins, de l'influence et plein d'autres choses par la suite. Ce n'est pas obligatoire mais ça peut rendre service.

Bon par contre, les trucs qui m'ont le plus gonflé : la défense de territoires et la vigilance des templiers. Désormais, racheter un établissement quelconque fait augmenter la vigilance des templiers. Si elle se rempli au maximum (ça monte très vite) et que l'on fait quoique ce soit qui puisse alerter les gardes, un de nos territoires est capturé et il faut subir une mission type tower défense du pauvre. J'ai particulièrement détesté ces missions, pénibles. Parfois, les unités tirent, parfois non, parfois ils ne font rien et se laissent tuer. Et comment faire baisser la vigilance ? Deux moyens, deux ! Soit on trouve un cafteur et on le supprime discrètement, ce qui fait chuter 50% de vigilance, soit on donne 100 pièces à un hérault, qui ne fait baisser que de 25%. Et après, rebelote quand on rachète des commerces, on retourne voir le hérault, etc etc etc...

Vivement le 3 qui, j'espère, va se permettre d'innover sur ce point.


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En même temps, Rome, c'était franchement l'impunité. Encore dans le 1er, on prenait des risques ; en Italie, tu ne risquais plus grand chose à faire ce que tu veux devant les gardes.
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Je suis pas sur vu la fin de brotherhood

qui évoque la déclaration des droit de l'homme
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Mais quelle drôle de réponse, quand même Tonton o_O On est du genre à se prendre la tête, ici, franchement ?

Bon j'ose à peine poster maintenant mais j'ai embrayé sur la seconde mission (à Acre, me reste plus qu'à aller zigouiller le médecin crapuleux) et ça se passe mieux. Bon alors rien de neuf (ça vous le savez déjà), les défauts continuent à me sauter à la tronche mais j'arrive un peu plus à passer outre. Quelques exécutions furtives sur les toits m'ont redonné un peu de joie de vivre (je fais de l'humour là Tonton ) et j'appréhende un peu mieux les mécaniques assez pataudes du gameplay. Il faut mettre son suspension of disbelief en mode super-gentil (obligatoire, l'aspect furtivité/IA étant complètement craqué), se dire qu'on s'amusait bien à lancer des boulettes de riz aux gardes dans Tenchu il y a 15 ans, et ça passe mieux.

J'ai encore un peu de mal sur les séquences de fuite éperdue, c'est parfois du grand n'importe quoi à mon niveau (et je n'ai encore jamais réussi à écarter les passants du bras avec la touche B tout en courant, à chaque fois je me viande).

Par contre le plaisir d'évoluer dans des décors aussi grandioses est toujours bien présent et j'ai bien envie de voir Jérusalem maintenant.

Bon, avant ça on va voir s'il y a moyen de régler le cas du médecin comme un gentleman ou si je me fais un climax à l'envers comme contre le marchand.
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J'apprécie le jeu de plus en plus, et en même temps il se débrouille toujours pour me mettre deux claques dans la tronche au moment où je vais commencer à trop l'aimer.

En mission c'est plaisant, le côté répétitif des tâches n'est donc pas ce qui me gêne le plus pour l'instant, car on peut alterner les phases de jeu comme on le souhaite (un peu de voltige et de grimpette, un petit bain de foule, etc). Se faire quelques archers sur les hauteurs en mode ninja est toujours assez grisant. Les villes sont décidément superbes et on y passe volontiers du temps. Quant aux courses poursuites, c'est toujours pas la joie en ce qui me concerne, notamment à cause du fait que les commandes pour sprinter et grimper sont les mêmes - parfois dans les endroits confinés et fréquentés c'est complètement grotesque, je me retrouve avec Altaïr qui essaie de grimper à des bouts de murs, voire des paniers à légumes pendant que les gardes l'encerclent... mais au moins maintenant j'arrive à bousculer les passants - c'était une des aptitudes perdues eu début du jeu, récupérée après la 3e mission

Ce qui me laisse vraiment le plus perplexe à présent, ce sont les fins de mission. Bon, depuis mon premier post j'ai su faire marcher mes deux neurones, et remarqué qu'après avoir subtilisé une lettre, il fallait faire "voir la pièce jointe" dans le récap' des séquences (oui c'est la honte, z'auriez pu m'aider à être moins bête quand même).

Ensuite j'ai d'abord foiré le médecin à Acre au moment où j'arrivais dans son dos (il s'est retourné brutalement en dégainant son épée alors qu'il s'occupait d'un patient). J'ai préférer recommencer la séquence, optant cette fois pour une approche via les lustres (conformément à un indice - vraiment débile car ce n'est absolument pas discret, mais je me suis plus ou moins fait à certaines "lois" du moteur de jeu), là je me laisse tomber lourdement au sol, et je le zigouille proprement dans le dos. Bon… admettons.

Mais la fin de la mission suivante, à Jérusalem contre un archer (Talal je crois), m'a vraiment anéanti. Je récupère pas mal d'indices (dont certains paraissent complètement quelconques) et parmi eux, deux cartes : une montrant son parcours préférentiel, et une la position de ses gardes. Problème, les deux cartes ne se ressemblent pas… ce sont des cartes de QUEL(s) endroit(s) au juste !? Bref, j'arrive au bâtiment où je suis censé le trouver, et là bim, cinématique, en fait il m'attendait, etc, et ça finit sur les toits. Là j'ai beau regarder avec insistance, je ne vois pas le rapport entre la situation présente et les deux fameuses cartes, et je reste comme deux ronds de flanc. Ca finit en poursuite, puis en bagarre générale, et à un moment où le HUD me dit qu'il s'est réfugié dans une tour, je me fritte contre plusieurs ennemis et… ah bon, cinématique, je viens de tuer le dénommé Talal sans m'être rendu compte qu'il s'était en fait mêlé à mes assaillants. In-com-pré-hen-sible.

Depuis j'ai mis entamé une nouvelle mission à Damas, le plaisir de jeu est bien là, mais à mesure que je collecte mes indices je suis très méfiant sur la séquence d'assassinat à venir…
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Franchement, tu risques d'adorer Assassin's Creed II : ils ont carrément supprimé les collectes d'indices.

(Bon, par contre, jusqu'à Revelations on se coltine cette manie de vouloir escalader le moindre minuscule obstacle, et une IA des gardes complètement à la ramasse)

Merci de m'avoir fait revivre cette séquence à laquelle je n'avais RIEN compris non plus.

Tout ca pour dire que si t'arrives à jouer à AC premier du nom malgré tous les défauts, tu devrais scotcher sur AC2, comme nous tous. Tu es déjà condamné à te taper les volets suivants, Twipol.

Twipol, je te rejoins sur la confusion avec laquelle on remplit les contrats. Sur les 9 gars à buter, un seul a péri par ma lame discrète et encore, c'était pendant une course poursuite.
Les cibles ont une facheuse tendance à nous repérer trèèès facilement (chose qui sera corrigée dans le II) ce qui fait que la plupart du temps, ça tourne à la baston générale.
Bon, quand la cible reste avec les assaillants auprès de toi, ça peut aller mais alors, quand elle se met à courir, ça devient le grand n'importe quoi : la cible est poursuivie par Altaïr qui est lui même poursuivi par une vingtaine de gardes.
Il m'est arrivé aussi de buter la cible sans m'en rendre compte, au milieu des pugilats mais au bout d'un moment tu auras l'oeil et tu apprendras à ne jamais la quitter des yeux et savoir parfaitement où elle est sur l'écran.

Après, ces assassinats exécutés n'importe comment ont donné un petit supplément de charme à ce jeu (sans doute involontaire d'ailleurs) : on passe son temps à planifier minitieusement son meurtre et on réalise que tout foire et que rien ne se passe comme on l'avait prévu.
Mais comme ça a été dit plus haut, enchaine avec le II après, tu vas voir c'est le jour et la nuit. Et pourtant, le premier que j'ai découvert également il y a 2 ou 3 mois m'avait déjà filé une claque monumentale, en dépit de ses nombreux défauts.
Mais le II, mon dieu le II. C'est....pfiou.... difficile de trouver les mots pour décrire ce que j'ai vécu avec ce jeu.

Que de souvenirs me fait revivre ce topic ^^ J'ai moi aussi réussi un seul assassinat discret (et encore, juste après cet assassinat "discret", j'avais l'impression de me retrouver au milieu d'une guerre civile) et j'ai bien ragé contre Talal : même problème d'Altair qui saute ou s'accroche à des poutres en pleine course poursuite, Talal qui s'enfuit comme un lapin pendant que ses gardes me latent dans le dos... et même mise à mort sur un coup de chance...

Donc oui, le jeu est souvent énervant (la mission qui consiste à approcher discrètement d'un bateau, alors qu'Altair ne sait pas nager... j'ai cru que ma console allait passer par la fenêtre) mais parfois, on parvient miraculeusement à trouver l'équilibre, on arrive à exploiter correctement les indices pour tuer de main de maître et la tension ressentie est alors assez exceptionnelle.

Cela dit, je ne regrette pas du tout qu'ils aient changé la formule sur le II, effectivement d'une toute autre dimension.
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Si loin une roue

Moi je me souviens d'un p....n d'e.....é de b....l de m...e de drapeau sur un poteau au milieu d'un canal, à Âcre je crois. Il fallait sauter sur une dizaine d'autres au milieu de l'eau pour l'atteindre. Et comme altair ne se positionne pas correctement devant le suivant.... Plouf !

Ça m'a pris deux jours. J'en ai gardé quelques séquelles neurologiques. Je les ai rangées avec celles de Crash Bandicoot et Tony Hawk Pro Skater.
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Sinon j'en profite pour donner un avis sur AC:Revelations, maintenant que je l'ai terminé.
Attention, je préviens d'avance, il va y avoir beaucoup de défauts de cités alors que j'ai globalement aimé le jeu.

Ce que j'ai aimé :
- Le recrutement des assassins : pas très intéressant dans Brotherhood, ici faire monter le niveau de ses recrues débloque des missions. Ca permet de plus s'attacher à ses padawans, et renforce le coté mentor d'Ezio.
- La conclusion : sans spoiler, on connait maintenant la conclusion des histoires d'Ezio et d'Altaïr.
- Des gardes un peu plus coriaces (les janissaires)
- Les bombes. Mais attention, pas les bombes à fragmentation, ça c'est pour les sauvages. Mais les bombes vacarmes, leurre de fumée ou chausse-trappe permettent de varier les approches.
- Les succès, pas trop compliqués (hormis celui des 100% de synchro). Certains ont même carrément la classe, comme "Le magnifique"

Ce que j'ai moins aimé :
- Le background historique. Mince quoi, c'est ce que je préfère dans les AC, mais là c'est léger. Une vague histoire de famille vite expédiée et basta! Rendez moi les Borgia, les Pazzi, les Medicis et Richard coeur de lion.
- Les mini-phases de tower defense.
- La notoriété qui augmente quand on achète une boutique (voir le post d'Erhynn)
- La ville. OK, elle est belle, mais elle me semble aussi plus petite et surtout moins variée que Rome. A la limite, je préfère finalement plusieurs petites villes
- Le recyclage. Le temps a manqué et ça se voit. Le jeu ressemble parfois à un copier/coller de Brotherhood : les tours Borgia transformées en repaires d'assassins, les courtisanes qui deviennent des romanis, et des gondoles qui...restent des gondoles. A Constantinople
- les séquences avec Desmond. Il m'en reste une, et outre le fait qu'on y apprend pas grand chose, je les trouve complètement ratées.
- La disparition des énigmes : j'adorais ces petites séquences de réflexion, avec en bonus le petit coté "les assassins et les templiers sont derrière chaque évènement de l'Histoire".
- La musique. Et c'est une grosse déception, car je suis ultra-fan de ce qu'a fait Jesper Kyd sur les trois premiers épisodes. Même après une vingtaine d'heures de jeu, je suis incapable de me souvenir d'une des musiques du jeu. (Bon, il faut dire aussi que je subis un bug assez désagréable : je n'ai plus de musique d'ambiance depuis que j'ai terminé le jeu )


Résultat : j'attends énormément de choses d'ACIII, et je ne suis pas le seul. Je pense que si Ubi fait un copier coller de plus, ils risquent de tuer leur poule aux oeufs d'or. Remember Tomb Raider !

J'adore les écran de fumée, c'est très sympa de la balancer sur des gardes, foncé dans la brume et une fois levé, voir tout le monde a terre sauf le héros





Pareil, c'est une des raisons qui me fait préféré le 2 à ses suites. Je préfère 3 ville au ambiance bien distincte qu'une seule.


J'attend impatiemment Assassin Creed III, parce qu'un épisode de plus autour d'Ezio et la renaissance serait vraiment de trop. Mais a mon avis il devrait être bon (je suppose qu'il bosse dessus depuis la fin du II, les suite ayant été faite en parallèle pour rentabiliser)

Yep, AC III risque d'être mastoc, et scénaristiquement, il ne peut sortir QUE cette année. A la fin, la véritable révélation est un poil déprimante, d'autant plus que la femme ressemble beaucoup à Eve que l'on voit quand on récupère tous les messages secrets du Sujet 16 dans AC II (avec un magnifique : Euh... c'est quoi ce bordel ? Attends, ces deux là, c'était bien qui je pense ?!).

Vis à vis d'Altaïr, j'ai vraiment apprécié de ne jouer que des moments de sa vie, plutôt que de devoir se retaper toute une série de choses à refaire, ce qui en plus aurait pu entrainer des paradoxes. C'est assez émouvant de le voir vieillir jusqu'à en devenir presque sénile, quand on le dirige dans sa bibliothèque, si on écoute la conversation qu'il garde en mémoire jusqu'au bout...

Concernant les villes, je suis d'accord avec vous : qui n'a pas été soufflé lors de l'arrivée à Venise dans AC II ? Et lors du Carnaval ? Même le décor marécageux et triste de Forli est saisissant. Chaque ville avait sa propre identité et c'était très bien comme ça.

Ce que je regrette aussi depuis Brotherhood, c'est la disparition de lieux vraiment passionnants à escalader pour se synchroniser et ainsi, débloquer un morceau de carte. Là on escalade de bêtes tours pratiquement toutes identiques et c'est marre, sauf un ou deux lieux. Rien à voir avec les escalades du tout premier Assassin's Creed ! Sinon, j'espère vraiment le retour du crochet dans AC III.
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Haha, ouf merci les gars, je me sens moins seul

Vraiment une drôle d'expérience, ce premier AC. Les qualités et le potentiel qu'il montre parviennent à maintenir l'intérêt (et vraiment hein, pas du genre "bon allez je continue quand même pour voir") malgré toutes les aberrations rencontrées, et je crois que ça ne m'était jamais arrivé, en tous cas pas dans des proportions aussi marquées.

Je pourrais citer les Resident Evil oldschool (pré RE4) qui m'ont en général beaucoup amusé, mais c'est différent, leurs aberrations (?) sont assumées dès le départ, ces jeux remplissent leurs objectifs. AC, lui, fait de jolies promesses et les trahit comme un petit salopiaud. Normalement c'est à peu près éliminatoire pour moi (ça m'a complètement gonflé dans Shenmue ou Fahrenheit), et là non, ça passe.

Du coup c'est exactement ça Jika : je me dis que si ce premier opus arrive à me faire gober tout ça, le second doit être assez fabuleux.
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Un petit up pour vous demander si l'un d'entre vous avait eu la version complete de Assassin's Creed Brotherhood (avec le code pour avoir le marché Trajan et les Aqueducs). J'ai un code dans la boite pour lancer le téléchargement, mais il n'y a que 23 chiffres au lieu des 25 habituels (5 séries de 5 chiffres). Quelqu'un a-t-il eu le même problème que moi ?

Parce que bon, ayant fini Sherlock Holmes, j'ai début AC Brotherhood et c'est toujours aussi génial. Cette série est en train de me rendre fou...

On pourrait pas centraliser une bonne fois pour toutes les discussions sur un des deux topics ?
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Mais oui Thezis, trouve toi AC2 à pas cher, tu ne le regretteras pas.

Pour info, j'ai choppé AC1 & 2 pour respectivement 10 et 15€. Là, je vais me préparer à lancer Brotherhood dès que j'ai un weekend qui se libère: J'ai hâte de retrouver Ezio et continuer l'intrigue après avoir mis fin aux agissements des Borgia!
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Fuuuuuuuuusion !