D'autant que les abonnements GK permettaient d'avoir un cadeau. C'est comme ça que j'ai eu Dark Souls 3 ou la MD Mini. C'est mieux que la montre "Lip" du nouvel obs...

GK semble avoir du mal à reprendre mais il y a quelques soubresauts de vie. À voir sur la durée...
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Bon sinon je sais pas vous mais je pense de + en + que les articles de jv.com sont ecrits par une IA. Ca parle de tout et de rien c'est affligeant ....
Une IA et un jeune prepubere fan de twitcheuses ^^
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C'est pour le référencement. On étire les textes pour arriver à un minimum de caractères pour que Google ne pense justement pas que c'est écrit par un bot, et on cale des mots clé partout.

Je ne suis même pas sûre que ça marche, mais alors qu'est-ce que c'est pénible, et généralisé.

Tu cherches "objectif d'appareil photo" et tu tombes sur un article mal traduit de l'anglais qui commence par un chapitre sur "un appareil photo : qu'est-ce que c'est" qui fait 30 lignes, un autre sur "les objectifs : à quoi ça sert", et enfin, peut-être, en bas de la page, sous 4 vidéos, tu as une réponse à ta question.

Peut-être.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ah ca je peux te le confirmer.

On avait un génie dans mon imprimerie (j'y bosse plus), il etait chargé du referencement. Soit disant que blinder ton site e-commerce d'article de blog ca aide google.

Du coup oui on avait des tonnes d'articles assez pourri sur comment faire un selfie, comme imprimer ses cartes de visites et plein de trucs avec un rapport tres tres loin avec le schmilblick....

Mais oui je te confirme, article ecrit au km avec certains mots clés et des phrases pas super parlantes....
C'est la faute à google
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C'est la faute à Google, oui, mais en même temps c'est difficile de vraiment le leur reprocher.

Le principe de base du modèle économique reposant sur la publicité, c'est qu'une page vue rapporte autant qu'une autre, donc qu'il est bien plus rentable de faire des articles rapidement (de simples news) plutôt que des trucs qui demandent beaucoup de travail (des dossiers ou des enquêtes). Sauf que Google essaye d'apporter les meilleurs résultats possible lorsqu'on lui demande de chercher un truc, et donc il y a tout un tas de critères pour essayer de déterminer quel va être l'article le plus complet possible. C'est une bonne intention, mais du coup les sites s'adaptent : si la news pourrait être résumée en trois lignes, l'article qui en résulterait serait mal référencé, donc le principe va être de meubler pour donner à Google l'illusion d'un article bien documenté, en disant tout un tas de banalités autour de l'information. Et comme dit Shenron "peut-être", parce que l'important n'est pas tant d'avoir la réponse à une question, mais d'avoir un article bien référencé sur une question que se posent les gens, donc au pire on se contente d'émettre des suppositions avec un article de 4 000 signes dans lequel il n'y a finalement aucune véritable information.

Le pire étant que Google est conscient du truc, mais ne peut pas y faire grand chose. Sa méthodologie de recherche change régulièrement, mais tous les gros sites ont des employés dont la mission consiste à l'étudier pour ensuite établir un plan afin de rédiger les articles de la manière à être le mieux référencé. D'une certaine façon, ça consiste à piéger Google pour être bien placé avec un article lambda. Et d'ailleurs, la solution principale trouvée par Google est d'afficher, en tête des résultats, un extrait d'article pour isoler la réponse à la question que tu poses sans avoir à cliquer sur l'article pour te farcir les banalités.
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Mieux comprendre l'industrie du jeu vidéo et son histoire : Ludostrie.

Avec l'IA, le phénomène ne fera que s'accentuer.

Il est de plus en plus dur de trouver quoi que ce soit par Google.
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Le Blog de Batbad - Simbabbad sur Steam - Compte Twitter

Google ca fait longtemps que ce n'est plus un moteur de recherche. Je crois deja en avoir parlé mais j'en ai marre de ce site qui ne trouve rien ...
Pire suivant le poste que tu utilises, pour la meme recherche il ne te donnera pas les memes resultats....
Ca me gonfle de devoir utiliser 3 postes differents pour trouver un resultat convenable ...

Et pour les sites de news je dirai que ca se rapproche de plus en plus des clubs de foot. Ca sert juste de vitrine pour vendre des pubs ou des joueurs. Mais ca ne remplit plus du ttout le role de base

JV c'est juste devenu un amazon geant + un programme tv pour twitch .... ca va commencer à etre pénible de savoir quelles vont etre les futures sorties jv
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Si tu veux parler de JV.com, tu sais sûrement qu'ils se sont fait racheter par Webedia il y a un bail, tout le monde s'attendait à ce que ça devienne rapidement une machine à fric.

ah nan je savais pas. Je pensai que le site etait suffisamment robuste pour etre à l'abri de ca...
Webedia j'ai entendu parlé que parce que c'est une agence qui chapotte des youtubeurs, visiblement c'est en train de devenir le nouveau endemol oO ?
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Merci pour le complément, Oscar.

Le plus agaçant avec Google, c'est que l'algorithme qui décide de la mise en avant d'une page plutôt qu'une autre est opaque pour le quidam moyen.
Par exemple, sur Sega-Mag j'ai tout bien fait pour que Google reconnaisse l'illustration de mes articles, et l'outil de vérification de Google me confirme que oui, c'est bon, il voit laquelle c'est. Mais il ne s'en sert pas pour les résultats de recherche

Et le classement d'une même page n'a rien à voir entre DuckDuck Go et Google par exemple : nos tests sont en bonne position dans DDG, mais souvent introuvables dans Google. Mais parfois on a un test qui apparaît en tête de gondole. Et qui disparaît.

En pratique pour avoir un résultat correct quand tu as une question il vaut mieux ajouter "+reddit", c'est quand même incroyable. Tu m'étonnes que les sites dont les revenus dépendent de la pub font des contorsions pour répondre à des critères aussi obscurs.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ca va beaucoup plus loin que ca Shen, y'a le contenu oui, mais y'a aussi la facon dont tu organises le contenu ... Je me prennais regulierement la tête avec mon "génie" parce que nous on preferait une page genre devis avec tout au même endroit, mais c'est mieux pour google d'avoir des sous page facon wizard, google il ce genre de format d'image, et puis on utilise plus la balise title mais alt (ou l'inverse) etc....

La liste est très longue mais en gros pour etre bien referencé par google faut lacher plein de thunes dans google ads et surtout faire un site comme ca LUI plait

Les faux graphistes tout ca on s'en fiche, c'est google qui te dit quoi faire
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Si tu veux obtenir les résultats de Reddit.com, il vaut mieux taper "ma_recherche site:reddit.com".
Ca ne te renverra que des liens du domaine Reddit.com

Bonjour les gens, j'aimerai vous offrir aujourd'hui une critique (pas très gentille je préviens) de Télé-Start, sorti récemment chez Omaké, et garanti sans smiley. Car j'aimerai que les gens évitent si possible ce livre piège.

Vous vous souvenez sûrement, j’avais fait la critique de Presse Start quelques pages auparavant, un bouquin dans l’ensemble pas trop mal malgré quelques imperfections. Aujourd’hui, et ben, je vais vous parler de Télé-Start, un bouquin dans l’ensemble mauvais malgré quelques bons trucs dedans.

Vous me direz, j’annonce la couleur du pavé, d’autant que je n’ai pas totalement fini de le lire. Il me reste une centaine de pages (que je lirai bien dans la journée ou demain au plus tard), mais parfois, il arrive même que cette centaine de pages restantes ne suffisent pas à reprendre l’affaire en main, à cause de la structure même du livre.

Télé-Start, c’est comme vous vous doutez, le (piètre) petit frère de Presse Start, publié dans une suite logique marketing au premier, qui a plutôt bien marché, pour en avoir discuté directement avec ses auteurs. Et qui dit petit frère dit malheureusement reprise des défauts des choix d’impression du premier. Papier de basse qualité, impression douteuse bulgare en noir et blanc. J’imagine qu’Omaké veut faire de la marge, surtout en ce temps où le prix du papier a augmenté, je comprends parfois que la logique business amène à faire des erreurs d’appréciation. Je dis ça, parce qu’autant une impression couleur, il y a quelques années, oui, il y avait une vraie différence de coût, autant aujourd’hui cette différence est minime. Et sincèrement, vu le sujet traité, très spécialisé, payer au final quelques euros de plus ne fait guère la différence. Je ne sais pas vous, mais entre 25 et 29 euros, pour un bouquin sur le jeu vidéo, vous les mettez les quatre euros en plus si le livre est en couleur ?

A moins que le choix effectué par Omaké de publier en noir et blanc, c’est pour masquer la qualité parfois douteuse de certains captures d’écran. Et puis une maquette pas nécessairement terrible. Foireuse, j’ajouterai même. Le livre est entrecoupé de beaucoup de pages blanches. Une page blanche, oui c’est cool, pour aérer le texte, passer d’un chapitre à l’autre quand c’est nécessaire. Sauf que dans ce livre, c’est quasiment systématique, avec d’un côté une page blanche, de l’autre une page grisée, puis la page d’annonce du chapitre. Le livre, dénombrant une quinzaine de chapitres, plus ou moins courts, on doit avoir une trentaine de pages qui servent à rien dans cet ouvrage qui en compte 368, et une police de caractère un poil grosse. Le tout entrecoupé d’images, pas nécessairement bien placés et / ou ajustés par rapport au texte. On se retrouve quelques fois avec un texte de deux lignes sur une page suivie de deux captures d’écrans, coupant la dynamique de lecture. Ou encore un gros quart de page vide pour laisser passer la prochaine image. Le gars qui a fait la maquette devait être manchot et, malheureusement pour nous, il a dû se contenter de ses pieds. Ou s’agissait-il du stagiaire recruté en bas de la rue ? C’est louable quand même pour nous, lecteur cela permet de disposer d’entre nos paluches ce bouquin avec un sujet qui mérite d’être traité, tant il touche le jeu vidéo et nos mémoires.

Mais si la forme d’un livre est importante, parce que c’est un objet que je vais peut être caler à la fin sur une étagère (spoiler : il risque ici plutôt de finir dans la cheminée...), le fond est tout à fait capable de sauver la forme. Mais hélas, le festival des mauvais points se poursuit dans une farandole tellement longue que je ne sais pas par quel bout commencer. Peut-être la structure. Ou l’effet catalogue. Ou la syntaxe. Ou la rigueur du texte. Certainement un peu de tout ça.

Là où Presse Start déboulait, c’était pour sa capacité à maintenir un cap chronologique régulier, sans trop d’allers-retours avec le temps, qui s’inscrivait avec une certaine rigueur scientifique, avec un véritable temps fort dans la lecture quand il s’agit d’aborder Future, le tout entrecoupé de diverses analyses pertinentes. Et là, avec Télé-Start, on ne fait que du zapping (normal, on parle de télé, non?). L’auteur, unique cette fois-ci, est journaliste. Je n’ai absolument rien contre les journalistes qui écrivent des livres. Un certain nombre font des choses vraiment bien quand il s’agit de verser dans l’essai lié au jeu vidéo. Mais, c’est plutôt un foutoir ici. Le sous-titre du livre, c’est bien 40 d’émissions de jeux vidéo en France ? Je veux bien qu’on parle de dessins animés liés à des licences vidéoludiques, même si ce ne sont pas réellement des émissions qui traitent directement de jeux vidéo. Mais purée, on parle bien de la France ? Alors pourquoi aborder ce qui se passe aux Etats-Unis avec Megaman ou d’autres émissions ? Pour faire la promotion du livre Gaming goes to Hollywood de chez Omaké ? Qu’est-ce que fout là l’animé de Shemnue de 2022 ? C’est pour respecter le sous-titre de 40 ans d’émissions ? Où sont donc passés dans ce cas les .hack et autre Castlevania ? C’est du hors-sujet pur, qui se méprend à du remplissage. Et quand on cherche à faire du remplissage pour un sujet aussi riche, et où il y a des choses à dire, c’est mauvais signe, cela signifie que l’auteur ne parvient pas à cadrer correctement son sujet.

De fait, l’auteur, à son honneur, essaie d’aborder tout ce qui a été produit pour la télévision en France, mais au final on parvient à un effet catalogue sans beaucoup de saveur, ni beaucoup de liants entre les différentes parties. On passe des émissions jeunesses aux émissions qui traitent du jeu vidéo, aux dessins animés divers et variés. Le soucis dans cette histoire est qu’on a plutôt affaire à une collection de témoignages juxtaposés les uns à côté des autres, en disant qu’un tel a fait ci, l’autre a fait ça, oh on jouissait d’une très grosse liberté, mais quand même, certains étaient pas contents qu’on parle de jeux vidéo à l’antenne. Et l’auteur de présenter deux fois au cours du livre Alain Le Diberder un peu trop survolé à mon avis (personnage indispensable pour comprendre l’émergence du jeu vidéo à la télévision). Quand on regarde les faits, c’est toujours traité de manière partial. Par exemple, la naissance de Game One. On dirait un coup de baguette magique, et c’est à peine si Infogrames est mentionné dans l’affaire (un peu plus lorsqu’il devient actionnaire à 100%). Et je pense que le livre comporte pas mal d’inexactitudes. Je viens d’en relever une. Cowboy Bebop a été diffusé pour la première fois par Canal+, juste après avoir diffusé Escaflowne. Game One, dans l’ordre logique, a d’abord diffusé Nadia, puis Escaflowne (ils en avaient fait une nuit complète). Autre manquement du livre, c’est de ne pas véritablement aborder le jeu vidéo sous ses divers aspects polémiques. Aucun chapitre du livre n’aborde la thématique, alors que zut, il y aurait vraiment des choses à dire.

Y a-t-il quelque chose de bon à retirer quand même de ce livre ? Trop peu à mon humble avis. Il arrive quelque fois à sortir des informations intéressantes, comme par exemple sur l’obtention de la licence de Donkey Kong par France 2. Ou comment s’est construite la Nuit du jeu vidéo animé par Jean-Michel Blottière ? Mais dans le fouillis, c’est aussi mince qu’un papier à cigarette. Je veux bien qu’on tire la larmichette à l’œil du lecteur en invoquant la nostalgie et les souvenirs des protagonistes, mais je n’apprécie pas qu’on se fiche de sa figure en ne lui fournissant pas le contenu qu’on serait en droit d’attendre pour un tel ouvrage, en usant d’un langage pas trop varié (c’est juste que j’ai lu plusieurs fois dans le bouquin se marre-t-il). Et si je voulais terminer la somme des reproches, je dirai que l’auteur aurait pu au moins faire l’effort de rendre à l’INA (ou à une de ses antennes en province) pendant quelques après-midi, ça aurait été le minimum syndical pour mettre un peu de rigueur dans ce foin, en ayant accès à autre chose qu’aux ressources limitées de Youtube & co. A un moment donné, l’auteur se lamente du manque d’information sur le Télé-Tennis de Philips. Alors je sais que ça demande de chercher un peu plus, de se renseigner, mais il y a tout un beau dossier sur le sujet au Conservatoire national du jeu vidéo. Bertrand Brocard aurait été heureux d’en discuter.

Je ne veux pas être assassin, je sais ce que peut représenter le travail d’écriture, mais au final, ce bouquin mérite tout au plus de terminer sa vie dans le rayon occasion d’une librairie. Bien derrière les autres livres, pour lui éviter le pilon qu’il mériterait tout du reste. En la matière, essayer de trouver les Chroniques de Player One, c’est peut être beaucoup plus ancien, mais c’est beaucoup mieux fourni et articulé.

C'etait quoi le but du livre à la page ? recenser toutes les emissions tv, ou expliquer le contexte, filer des anecdotes etc... ?

J'ai pas lu le livre et j'en ai peu entendu parlé le 2e point m'interesse, le 1er bof bof...

Sinon pour les pages blanches apres tant d'années j'ai eu l'explication. Ca m'a toujours paru completement debile d'avoir pleins de pages blanches au debut ou a la fin des bouquins. Mais ayant travaillé dans une imprimerie on m'a expliqué pourquoi.
Ne me jettez pas de pierre si vous le saviez ou si c'etait evident, mais moi je savais pas

En fait pour faire un bouquin y'a plusieurs methodes, soit on prend des grosses feuilles qu'on coupe en plusieurs, soit assemble des cahiers de x pages.
En fait on sait pas (peut etre juste mon imprimerie), faire des pages avec pile poil le bon nombre de pages. Ou alors ca coute trop cher. Donc au final vu qu'on travaille avec des contraintes de ce genre, forcément on a des blocs de x pages. Et si l'auteur ne les comble pas, bah on est obligé de le laisser. D'où les pages blanches

Par contre laisser des pages blanches au milieu je pense que c'est un choix delibérés parce pour l'imposition des pages, y'a des templates qui existent.
J'ai deja vu comment on impose un livre pour impression, sans template c'est impossible, parce que les pages sont, en gros, imprimées sur une grande feuille qu'on va plié et coupé en plusieurs. Et donc forcément faut prevoir le sens du pli pour positionner la page comme il faut
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Pour avoir publie un roman recemment j'ai decouvert ca aussi oui, mais en temps normal les pages blanches de trop sont releguees a la toute fin...
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Ah sinon ca a pas fait les gros titres mais, JV c'est la meme boite que GK ?

Ils ont viré les redacteurs aussi ? parce que depuis la mort de GK le site ne publie que des news de m****.
Squeezie, Amouranth, et plein de youtubeurs/twitcheurs/on s'en fout ... y'a tres peu de news de jv et la plupart on voir que c'est généré par des IA ....

Ayez on y est, quasi plus de sources de news ;(
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Et bien, disons qu'il n'y a pas d'introduction qui cadre vraiment le propos. Dans l'avant propos d'une page, ça clame que "l'histoire de ces émissions qui ont parlé de jeux vidéo contre vents et marées, il fallait qu'un jour elle leur soit racontée." Et sur le quatrième, on annonce un programme comme quoi seront évoqués des émissions de jeux vidéo, des dessins animés en passant par des publicités cultes. Et elle clame que l'auteur a interrogé une soixantaine de personnes en tout et pour tout qui "livrent d'incroyables anecdotes sur des émissions cultes".

Donc, la direction n'est pas trop claire, à part pour le côté trivia et du type d'émission, car avec le titre Télé-Start, on peut supposer qu'Omaké a voulu appliquer la formule de Presse-Start aux émissions télé.



Cool pour l'explication ^^ Mais là, c'est au coeur de l'ouvrage, quasiment à chaque fin de chapitres que cela se produit.

Pour les sources de news, c'est vrai que cela devient très compliqué pour le jeu vidéo, limite tu apprendras qu'un jeu est sorti plusieurs mois après sa sortie. Chaud. Gamekyo peut être pour les news ?
Une vidéo de GK vient juste d'être publié sur le nouveau GK.

Yep j'ai vu pour GK, ils sont que 2 en ce moment.
Par contre j'ai l'impression qu'ils ont enfin compris que bloquer les news c'est debile
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En bref, on imprime sur des grandes feuilles qui repliées ensuite en 4, 8 ou + forment des feuillets de 8, 16 ou + pages, qui assemblés formeront le futur livre.

Si ton bouquin fait cinq pages tu prends un feuillet de 8 et tu te démerde pour meubler (ou non) les 3 pages blanches, et si ton imprimeur n'est pas trop con il les fout à la fin.

Presque.

Je sais plus si c'est en 32 ou 64 le max qu'on peut plier...
En gros on imprime sur la grosse feuille, qu'ensuite on plie et decoupe.

Donc soit le gars file tout tout fait, soit il file son manuscrit page a page et on l'impose comme il faut.
Mais bon en general on retouche (au passé vu que j'y bosse plus) pas à la mise en page en détail sinon on perd du temps et de l'argent
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