Les flash c'est un peu le bronx. Ca se passe au lycée oui, mais bon il se passe pas grand chose
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Ca a debute en 1979 je crois.
C'est un probleme qu'on a deja aborde. Dans un manga comique, si on parle de references culturelles ultra-pointues comme la pop japonaise du debut des annees 80, quel est le pourcentage de Francais qui va saisir les references? 0,1%? Dans ce cas-la, adapter pour coller a la culture francaise en utilisant un effet comique, ca ne me derange pas. C'est le fait que ce soit drole, plus que le sujet en lui-meme, qui est le plus important.
De toutes facons, Kimengumi - le manga tout du moins - ne peut a mon sens vraiment s'apprecier qu'en japonais (et je ne le trouve vraiment pas "veilli"; je l'ai relu il y a environ d'un an, je me suis toujours autant marre (enfin, la periode college surtout. Apres y a une bonne baisse de regime, mais Flash releve le niveau))
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Oui mais meme sans les references, qu'est ce qui t'as fait marré ?

Dernierement y'a que school rumble qui m'a eclaté. Dr Slump, un de mes mangas cultes me fait toujours un peu marré, mais beaucoup moins.

Pourtant j'ai toujours lu que jap/fr c'etait ce qui se rapprochait le plus en humour
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Les mangas qui me faisaient marrer étaient plutôt du genre Noritaka ou GTO.

Sinon LVD, toi qui habites au Japon (si j'ai bien compris), il est connu là-bas Junji Ito ? Sa "Spirale" est le seul manga (je dirais même la seule BD en général) qui m'ait vraiment foutu mal à l'aise vu ses dessins vraiment glauques.
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

Ce qui est drole? Avant tout les innombrables jeux de mots (d'ou le cote intraduisible de la chose), et donc aussi tout un tas de references culturelles tres marquees (sur la japanim des annees 70 notamment, dans les premiers volumes du moins)

Dr Slump, je trouve les 4-5 premiers volumes tres droles aussi, aprs ca s'essouffle... comme la plupart des mangas comique j'ai envie de dire.


Jamais entendu parler de Junji Ito
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Je ressortirai le même exemple que d'hab:
- les Dr Slump de Glénat, ou ils étaient fidèle au japonais, quitte à parler de Ultraman, Gamera et balancer des chiyooowatch qui était hilarante.
- les Kimengumi de Tonkam ou ils ont mélangé concessions et fidelité et qui m'a rarement arraché le moindre sourir.

Les Kimengumi sont ils aussi sinistres en jap? Je ne le saurai sans doute jamais.

Petit up pour deux manga que j'ai fini

Bamboo Blade



Bamboo Blade a deux problèmes :

Le premier est son héros masculin alias Toraji Ishida. Il est dur de s’attacher à ce personnage pathétique. Comprenez le bien, il y a des loosers qui tiennent plus de la malchance qu’autre chose et ceux là on arrive a s'y attacher pour leur coté victime. Ce n’est clairement pas le cas de Ishida et on se demande sans cesse pourquoi on serait concerné par ce qui lui arrive ou éprouver une sorte d’empathie vu que quasi tout ce qu’il fait n’est que dans un but personnel.
Le second défaut et que le manga a du mal à se trouver un enjeu narratif concret, certes il y a des trame scénaristique, mais on n’a pas le sentiment qu’elles aient une importance cruciales pour les protagonistes. Et le rajout de personnage et d’histoire autour d’eux sur la fin n’aide pas à y voir plus clair à ce niveau.

Heureusement le manga possède des qualités qui compensent voir font oublier ces défauts ces défauts. A commencer par ses héroïne aux personnalités bien trempées et toutes plus attachantes les unes que les autres. C’est définitivement pour elle que l’on suit le manga et non leur incompétent professeur.
L’humour se montre efficace tout comme la mise en scène. Malgré les accoutrements de Kendo qui de base cache les visages on arrive très bien à suivre les affrontements. Et au final, si l’histoire dans son ensemble manque d’un enjeu réel, on se plait à suivre nos héroïnes mais également ceux qui les rencontrent.

Bref Bamboo Blade se suit sans problème et même s'il ne laisse pas forcément un souvenir impérissable il permet de passer un bon moment, ce qui est déjà très bien



Bakuman



Bakuman à pas mal de qualité. Cela a déjà été dit dans divers critique, outre la qualité de la narration et du dessin qui arrive à garder un rythme assez constant, des personnages attachants et surtout permet de comprendre le fonctionnement du monde de l’édition de manga.
Pourtant il souffre de défaut qui au final ont brisé mon enthousiasme premier et qui sans remettre en cause les qualités du titre m’empêche de le considéré comme une grande œuvre.

Si Death Note était un thriller basé sur la réflexion et les plans parfois capilotracté, Bakuman se veut beaucoup plus simple et ceci dès son plot de départ, à savoir la promesse entre Mashiro et Mhjo de se marier une fois qu’ils auront réussi dans leur carrières.

Et là on en vient à un des défauts du manga : il dure trop longtemps pour son pitch de base. Je ne parle pas de son temps de publication, car 4 ans c’est plutôt correct sans être abusif pour un shonen, mais de la durée de l’histoire. En effet entre la promesse et la fin du manga il se passe 10 ans. 10 pendant lesquels notre couple ne se verra au maximum que deux fois, où jamais leur relation ou sentiment ne seront vraiment mis en danger ou mis à l’épreuve (oubliez toute possibilité d’intrusion d’une autre personne amoureuse) et où la promesse initial ne sera que très peu remis en cause (mais jamais par le héros). D’ailleurs sur ce point j’ai trouvé le couple d’Akito et de Kaya bien plus crédible, ce qui ne faisait que renforcer mon ressentiment vis à vis de la relation entre Mashiro et Miho.
Je sais bien qu’on est dans une fiction mais là on est à la limite de faire sauter ‘’la suspension consentie de la crédulité’’*, d’autant plus que l’histoire est censé se passer dans le monde réel, bref ça a failli me faire sortir.

Un autre reproche que je ferais à l’histoire c’est qu’elle introduit beaucoup de perso, en fait le souci n’est pas le nombre mais le fait que très peu vont jusqu’au bout de leur intrigue, étant parfois abandonné et oublier. L’un des meilleurs exemples étant Aiko, l’écrivaine rivale de d’Akito et qui est pas mal mis en avant dans le manga au point qu’une intrigue apparaisse autour de ce personnage. En effet en plus d’être mis en avant comme une rivale directe plusieurs fois il est montré qu’elle a un problème affectif et a peur de finir seule. On s’attend à avoir donc une conclusion non seulement à la rivalité mais aussi à cette sous-intrigue, pourtant Aiko disparaitra avant qu’on ait eu une conclusion à son histoire, elle ne réapparaitra que le temps d’une case à la fin histoire de rappeler que ce perso à exister. Et des personnages comme ça il y en a trop.

Je reprocherais également l’absence de véritable critique du système de publication. Oh certes il y a des questionnements et de légère remise en cause, mais que la plupart du temps on pourrait conclure par un ‘’ce n’est pas parfait mais ça marche comme ça’’. Evidement ce n’est pas le but premier du manga qui à la base retrace surtout la vie de deux auteurs mais c’est dommages d’être passé à côté de ce qui pourrait être une vraie critique.

Ces défauts sont d’autant plus dommage que le manga soit bon, et a pas mal de bons éléments. On a déjà la narration et le dessin du duo Obata-Ohba qui n’ont plus rien à prouver à ce niveau (et montre via les mangas fictif de Bakuman leur imagination) et également, même si on peut reprocher l’absence de véritable remise en cause, permet d’en savoir plus sur le fonctionnement de la publication japonaise.
De même, si on met de côté le fait que la pluparts soient mal exploités, les personnages secondaire se montre attachant et intéressant.

Globalement j’ai beaucoup apprécié suivre ce manga et j’aurais plutôt tendance à le conseiller c’est juste que j’ai sans cesse le sentiment qu’il est passé à côté de ce qui aurait fait de lui une œuvre incontournable. Et c’est quand même rageant quand on voit une œuvre qu’on apprécie ne pas exploité son potentiel.

* Pour ceux qui voudront en savoir plus sur ce terme c’est très bien expliqué ici :
https://youtu.be/dlRkzhH1aMk

Et de façon plus complète là :
https://youtu.be/oHHozRlV1XM



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Hello.

Des bons mangas qui sortent actuellement à me conseiller ?
Pas trop de préférence, sauf :
- pas de shojos ou trop connotés "girly" (ou alors il faut que ce soit trash et rigolo genre Daimaho-Toge)
- un peu la claque des shonens aussi qui se ressemblent un peu tous, ou alors il faut que ce soit différent.

Mes derniers mangas que j'ai apprécié si ça peut vous procurer des pistes :
- Beaucoup de Tezuka, dont ses "Histoires pour tous" (même si je n'ai pas toute la collection)
- Doraemon (j'en ai quelques uns et j'avais beaucoup aimé malgré le côté un peu répétitif à force... d'ailleurs, la publication est toujours en cours ou ils ont arrêté, vu les trouze mille tomes existants au Japon ?)
- 20th Century Boys (déçu de la fin, trop de longueurs malgré un suspense et une tension comme rarement vu depuis)
- Death Note (pareil que 20th Century Boys, du gros kiff au début mais trop de longueurs au final)

On m'avait prêté les 2 premiers Fairy Tail, c'était sympathique sans plus.
On m'avait aussi prêté Pluto du même Urasawa, mais j'ai pas trop accroché (très bon manga, ça c'est clair, mais pas trop mon trip).


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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

Ah, justement, j'aie une petite sélection qui sortirait un peu du lot (perso, malheureusement, moi aussi je ne trouve plus trop mon compte avec ce qui sort comme nouveauté ):

- Nausicaä de la Vallée du Vent : Un classique de chez Miyazaki, en tant qu'oeuvre personnelle, et l'histoire est bien plus sombre et recherchée que son adaptation en animé, je trouve... malheureusement, il n'est plus édité et le moindre volume d'occase coute un bras .


- Bye-Bye My Brother de Yoshihiro YANAGAWA : Oui, ça à l'air un peu trop "kawaii" tout ces petits chatons =^.^"=... mais en fait, ce one-shot à un ton plus adulte qu'il n'y parait. Je cite :




- Planet-ES de Makoto Yukimura : Histoires (sans?) gravités autour d'une équipe d'éboueurs de l'espace. Tout un programme
(Par contre, je ne recommande pas trop sa version en animé, trop conventionnel à mes yeux, malgrés une ost qui claque bien )



- Encyclopédie des animaux de la préhistoire de Jiro Taniguchi :
Des histoires courtes pour sortir un peu des sentiers battus, tout en se cultivant, y'a pas de mal à ça .
(Et les bestiaux en question sont plutôt expressifs, malgrés leur traitement "réaliste" )



Voilà, voilà

Et Monster toujours d'Urasawa ?
Les mêmes qualités et défauts que les autres séries (notamment la fin... décidément), une histoire très sombre qui fait comme toujours le lien avec des évènements réels.

J'ai commencé Billy Bat aussi, mais je trouve qu'Urasawa en arrive presque à se caricaturer lui-même (sans doute une mise en abyme, pour faire pédant) avec à peu près toutes ses manies.

tout pareil que PV, je crois même que j'ai préféré Monster à 20th century boy. J'ai beaucoup aimé Pluto, qui du fait de son format raccourci, permet d'éviter le syndrome de la fin pourrie (mon avis sur Monster & 20th, super plaisant à lire, mais fin pourrie).

Merci bien.

Kollembole :
"Nausicaa", je l'ai en DVD mais pas encore vu.
Merci de me faire penser à "Planètes", j'avais beaucoup aimé le premier tome pourtant, faudrait que je voies ce que donne la suite.
"Bye Bye My Brother" je ne connaissais pas, si je le trouve à petits prix ça peut le faire (pas fan de chats mais peu importe, si le scénario est bon).
Concernant Taniguchi, j'ai un immense respect pour le monsieur. Mais ses oeuvres sont tellement différentes des autres mangas, que ça passe ou ça casse. J'avais bien aimé "L'homme qui marche" par exemple, mais d'autres de ses oeuvres ne m'ont pas du tout parlé. Je ne connaissais pas cette "Encyclopédie des animaux de la pré"histoire", merci bien pour le conseil.

petitevieille et noah :
yep, je connais le "Monster" d'Urasawa (c'est d'ailleurs grâce à cette oeuvre que j'ai découvert le bonhomme). Mais oui, fin bien bâclée comme d'hab avec le monsieur. Dommage, car le manga, en omettant sa fin et là aussi ses longueurs, est bien bon.
"Billy Bat", j'avais lu quelques chapitres de ce manga en scantrad (quand il n'était pas encore licencié en France). Ca m'avait bien plu. Après, à voir ce que ça donne sur la longueur.
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

Houla en recent ?

Parce que sinon spontannement je te dirai school rumble


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Et en US? J'ai pas mal de mangas en anglais, et je sais qu'ils sont assez souvent réédités, à tenter peut être? On en trouve facilement sur Amazon.

^^"... heu, je parlais justement de la version "papier" (manga, quoi), qui va beaucoup plus loin, justement.
- Bon, après c'est vrai qu'il est conseillé souvent de regarder le film avant, pour une fois, sinon il parait un peu fade à côté du manga en question... qui serait même presque "trash" en comparaison :

---> (Trivia vidéoludique) : il ne vous rappelle rien, ce "bonhomme" ?
(enfin, inversement, j'entends )



Perso, j'aie bien aimé les problèmes soulevés, notamment celui de la pollution orbitale, ou les problème liés au radiations solaires et au "mal de l'espace" , entre autre, dont quasi-aucune histoires de sf, même un peu plus "réaliste" ne fait vraiment mention .
(Pas vu "Gravity", peut-être qu'ils en parlent aussi ?)

En tout cas, le background des perso et leurs a-côté est plutôt bien géré (ce qui s'est littéralement perdu dans l'animé, où finallement ce n'est rien de plus qu'un "boy meet girl" grossièrement déguisé, de mon point de vue ...même si l'OST est un peu là pour tout rattraper, en revanche.)



C'est aussi une histoire tragique, sans vouloir spoiler.

En tout cas, c'est bien loin de "chat" =^.^= :
<----(mais là, c'est presque du vécu comme histoire, quand même. )



Bon, je peux comprendre . L'avantage de cette "encyclopédie", c'est que ce sont des sortes de fables courtes (les bestioles ont quand mêmes des préocupations et des mimiques un peu anthropomorphisés, mais avec un certain second degrés, malgrès un style graphique "sérieux" -ce n'est pas du Gon* non plus.)


* Gon, c'est lui, même si c'est un peu anciens comme édition :





Oui, c'est d'ailleurs la première édition que j'aie pu lire, et je la recommande d'ailleurs pour sa traduction bien meilleure que la vf*, si on et pas allergique à la langue de Lincoln ...et aux pages en "mode miroir" (que voulez-vous, on ne peux pas être parfait )

(*Sérieux, en camembert, les Torumekians deviennent des Tolmèques (!!!)... et les Doroks, des ...Dorks *pffff...* )

Dans un manga publie chez un gros editeur? Tu reves. Jamais la Shueisha n'accepterait qu'on remette en cause sa maniere de faire (ou Shogakukan, ou n'importe quel autre...) Au Japon, c'est l'editeur qui est tout-puissant et ses auteurs sont ses esclaves, ils n'ont pas leur mot a dire. Ceux qui ne sont pas d'accord, ou ils fondent leur propre maison d'edition, ce qui demande beaucoup d'argent (c'est ce qu'on fait Tetsuo Hara et son ami Tsukasa Hojo en creant Coamix en 2000), ou ils passent dans une petite revue chez un autre editeur, plus underground, mais avec un tirage ridicule.

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J'en suis bien conscient et c'est d'ailleurs l'un des reproche que je fais a Bakuman, c'est que son concept de raconter la vie de mangaka est capoté dès le départ. Mais le pire c'est que ça va plus loin que le fait de ne pas critiquer, c'est que limite le manga défend le système. Ainsi a chaque fois que se présente une alternative au système (comme l'idée de faire des pré-test d'un mangas) fini par un echec parce que le type n'a pas compris que seul le système actuel fonctionne.
Bien que je suis conscient qu'une critique du système n'aurait pas été possible, j'aurais quand même aimé qu'on évite d'en faire son apologie par moment.

Et comme je l'ai dit ce qui m'agace c'est qu'a coté le manga se veut décrire la vie réel d'un mangaka et de l'entreprise, sauf qu'on a vite interet a faire abstraction de ça tant tout est finalement hyper romancé jusqu'a ne pas êtree crédible.

Sur ce point j'aprécie beaucoup une mangas comme Medaka Box qui est un shonen mais profite de son statut de shonen pour se moquer des codes du genre et du système des éditeur (notament les sondages de popularités) que Bakuman qui lui se veut être représentatif mais au final ne l'est pas.

c'est marrant mais en parler me fait me rendre compte que j'ai plus de problème avec ce manga que je le croyais.
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Planete est excellent oui le souci c'est que l'histoire est fini mai c'est pas une vraie fin. C'est bizarre quoi.


L'edition sur le net ne s'est touours pas démocratisée ?



Bah justement les gros bouquins qui regroupent des tonnes de manga, c'est pas des test justement ? (je demande parce que je sais pas)

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C'est ce qu'on appelle une fin ouverte ..."La vie continue.", quoi.

- Bon, je sais des fois c'est un argument un peu facile surtout quand on sait pas comment finir son histoire, ou qu'on est contraint de l'arréter... mais est-ce que c'est mieux une fin-couperet style "Mais en fait, ils sont tous morts" façon Lost, en comparaison ? ^^" (enfin, pour Lost, c'est pas le meilleur exemple, vu que le concept en question est foiré en plus... on va plutôt parler de Tomino "Kill-them-all", avec son Od... Ideon, à la place )
...bon, j'arrète, je vais encore trop loin niveau existentialisme-scénaristique, encore une fois, je sais .

- "Et puis, rien n'empèche d'écrire une fanfic' d'une suite potentielle à "PlanètES" pour se soulager la conscience, aussi, pourquoi pas ? ."

"...Non, par contre, je ne parlerais de Yukito Kishiro, en "contre-exemple" avec son "je change la fin, finallement" ...on sait comment ça a fini, c't'histoire ."

L'edition sur le net ne s'est touours pas démocratisée ?
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Y en a de plus en plus bien sur mais bon, ca te plairait toi de lire 500 pages sur un telephone portable? Et de devoir payer en plus? (Beaucoup de gens ici lisent gratos en magasin)

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