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Rappel des 10 derniers messages du topic (les plus récents en haut)
Sarugaku
Pixel de bonne taille
Citation :
Le 2021-07-14 19:10, Niloc-Nomis a écrit :

Ce qui m'étonne avec ce jeu c'est que je progresse, et que j'y prends vraiment du plaisir. Je dis ça car je n'ai encore jamais réussi à m'investir dans un Resident Evil. Onimusha en reprend la technique (le moteur?) et la structure générale de progression, mais il me semble beaucoup plus fluide dans sa progression. Le fait de cacher ses clés dans des coffres plutôt que dans des statues ou des pendules doit aider. Le cadre du Japon féodal me plaît aussi beaucoup, avec une grosse emphase sur les aspects cinématographiques. Les cut scenes sont mises en scène, certains points de vue sont superbes (le combat sur le toit sous la pleine lune, le pont devant la cascade...), et surtout je sens que la difficulté a été amoindrie par rapport à la série d'en face, qui en plus de sa maniabilité balai dans le fondement (je m'y suis fait, ceci dit), impose de viser en haut ou en bas. Pour au final n'être jamais dans le bon sens.
Alors que là... un bon samouraï il voit un truc bouger, il frappe... mais c'est un bon samouraï. Les manipulations supplémentaires sont là pour la garde et le type de coup donné. Mais dans tous les coups ça touche. Le jeu s'éloigne du genre point and click pour inclure le joueur dans un flux narratif au rythme soutenu.


Onimusha, malgré les apparences, n'a que très peu à voir avec Resident Evil, hormis le type de moteur (je ne sais plus s'il s'agit réellement du même en version plus évoluée pour la PS2). Ce fut, si je me souviens bien, un fort quiproquo à l'heure de sa sortie : la technique étant la même (personnages 3D sur décor peint et caméras fixes), beacoup s'attendaient à un jeu typé survival horror dans le Japon féodal, et étaient prêts à l'aborder comme tel. Sauf que non, pas du tout.
Le jeu est un BTA, pas du tout un survival. L'utilisation d'un moteur similaire à RE lui a surtout permis, en contrôlant parfaitement les angles de caméra, de bénéficier d'un confort presque identique à celui des BTA 2D (en tout cas, de ne pas subir les même déboires que les nombreuses tentatives malheureuses de BTA 3D qui avaient pu le précéder).
En plus, ces cuts de caméra, cette assises à la fois très statique et fluide (on passe d'un angle à l'autre avec quand-même pas mal d'aisance) se marie très bien avec le style de combat, je trouve. A la fois bien chorégraphié, mais aux enchaînements courts, aux arrêts nets et précis.

Citation :

C'est une belle découverte pour ma part, un jeu vraiment dépaysant, cool à jouer, dur quand il le souhaite mais tellement ramassé dans sa structure qu'il est assez rapide de reprendre pied si l'on pense à sauvegarder le plus souvent possible dans de multiples emplacements de sauvegardes.
Après celui-là je pencherais bien sur les suites, mais je crains le syndrome "the bigger the better" qui élignerait le jeu du trip compact qui me plaît tant ici.


Ravi de voir que le jeu garde toute sa saveur après toutes ces années. Les suites valent le détour également (un peu moins le 3, sans doute le plus faible des quatre finalement), mais en effet, je conseillerais bien de faire une pause entre deux épisodes pour mieux apprécier ce chacun a d'unique.

RainMakeR
Chef de Rubrique Nécrologique
aaaaaah tu m'as fait peur

Le 1 je l'ai pris sur one mais j'ai pas l'impression qu'ils l'aient refait. C'est le meme oO.

Pour oni 2 est vraiment different du 1. Y'a des embranchements... le jeu reste le meme dans le fonctionnement mais c'est plus aventure, y'a plus d'A/R. C'est un peu comme re4 mais en moins bien.
Je ne l'ai fait qu'une fois et il ne m'a pas laissé un souvenir imperissable. Faudrait que je le refasse un jour

Niloc-Nomis
Pixel visible depuis la Lune
Non je parle du premier!
J'ai pris le topic du 3 car c'est le seul sur le forum, mais je joue au remaster du 1er épisode paru l'année dernière (il me semble).

RainMakeR
Chef de Rubrique Nécrologique
ON parle bien d'oni 3 ?
Tu le trouves bien ?

Niloc-Nomis
Pixel visible depuis la Lune
Bon j'ai passé les 10 heures de jeu en compagnie de mon Pierrot samouraï, comme quoi je me suis accroché et suis bien entré dans le trip.

Ce remaster est sympa car il donne clairement l'impression d'être un portage brut du titre d'origine, nonobstant ses petits ajouts. L'affichage en HD est super propre et les décors semblent avoir été conçus pour cette résolution, et les ennemis sont suffisamment détaillés, ils ont manifestement été refaits pour l'occasion. Deux types de jouabilité sont proposées sur la manette: la classique relative sur la croix, et l'extérieure sur le stick. Cette dernière est séduisante au début, mais elle devient vite pénible avec les changements de caméra qui occasionnent des changements de directions intempestifs pénibles. Au fur et à mesure du jeu j'ai appris à prendre en main la jouabilité originelle, qui est finalement assez agréable grâce aux petits plus que sont le ciblage automatique avec la gâchette L ou le demi tour rapide en cliquant le stick droit.
Autre point important sur lequel les développeurs du portage ont préféré conserver les caractéristiques du jeu de 2001, ce sont les sauvegardes. ici pas de sauvegardes à volonté, il faudra repérer les autels permettant de garder une trace de votre progression. Et comme le jeu est chiche en remèdes, gare à vous si vous sauvegardez avec quelques pauvres points de vie en stock. Moi je fais toujours comme ça, un art de vivre, faire et défaire.

Ce qui m'étonne avec ce jeu c'est que je progresse, et que j'y prends vraiment du plaisir. Je dis ça car je n'ai encore jamais réussi à m'investir dans un Resident Evil. Onimusha en reprend la technique (le moteur?) et la structure générale de progression, mais il me semble beaucoup plus fluide dans sa progression. Le fait de cacher ses clés dans des coffres plutôt que dans des statues ou des pendules doit aider. Le cadre du Japon féodal me plaît aussi beaucoup, avec une grosse emphase sur les aspects cinématographiques. Les cut scenes sont mises en scène, certains points de vue sont superbes (le combat sur le toit sous la pleine lune, le pont devant la cascade...), et surtout je sens que la difficulté a été amoindrie par rapport à la série d'en face, qui en plus de sa maniabilité balai dans le fondement (je m'y suis fait, ceci dit), impose de viser en haut ou en bas. Pour au final n'être jamais dans le bon sens.
Alors que là... un bon samouraï il voit un truc bouger, il frappe... mais c'est un bon samouraï. Les manipulations supplémentaires sont là pour la garde et le type de coup donné. Mais dans tous les coups ça touche. Le jeu s'éloigne du genre point and click pour inclure le joueur dans un flux narratif au rythme soutenu.

C'est une belle découverte pour ma part, un jeu vraiment dépaysant, cool à jouer, dur quand il le souhaite mais tellement ramassé dans sa structure qu'il est assez rapide de reprendre pied si l'on pense à sauvegarder le plus souvent possible dans de multiples emplacements de sauvegardes.
Après celui-là je pencherais bien sur les suites, mais je crains le syndrome "the bigger the better" qui élignerait le jeu du trip compact qui me plaît tant ici.

RainMakeR
Chef de Rubrique Nécrologique
c'est vrai que y'a un truc

Niloc-Nomis
Pixel visible depuis la Lune
Avant de risquer un ban voici la source de mon émoi:

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Image

Carl
Membre du Soviet Suprême
Citation :
Le 2021-06-21 14:44, Laurent a écrit :

Nan mais où va le monde...


Nan, finalement, rien... (je me fatigue tout seul )

noah
Pixel monstrueux


remarque ils sont bruns tous les 2...

Laurent
Commissaire apolitique
16 ans séparent ces deux posts et Jean Réno est devenu Pierre Niney. Nan mais où va le monde...




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