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Rappel des 10 derniers messages du topic (les plus récents en haut) | |
Péricqlès Pixel digne de ce nom ![]() |
En attendant on profitera d'un moment de partage voir plutôt que l'une de ces autres séances de remue-méninges. Qu'il avait bu son café d'une traite avant de sortir son calepin. Dès lors que l'on se souvenait de rappel dans le cahier de texte, la domination du média qui transplante le culte de l'imagerie, qu'il entendait lâcher prise avec toute la naturalité de l'éclair sans préméditation (en partant de son zèle sans attache) tout en griffant quelques pattes de mouche d'une remarquable consonance liturgique sur l'environnement et la production ambiante (une fois extrait du cadre d'altération persistante qui prévaut sur toute éventualité de discours autre que la vie d'essence). « Est-ce que tu prendras autre chose... mon poussin ? – ...demandes au prochain poussin qui passe une autre limonade secouée, hé bébé. » On aurait beau distinguer. Envers la concrétisation de ses premiers émois amoureux, l'amitié de bonne entente avec sa bande de potes (aussi) disséminée aux quatre coins des jeux massivement multi-joueur à faire du réseau une autre aptitude pensée de déchiffrer le sens du langage notoire en mode boudoir inter-galactique (tisser la toile) suivant le cours du devenir (inter-conditionnel) de la foi résidant en notre haut-parler (à raison) des complications qui subsistent sur la question d'impression de l'encre (qui ne doit pas sans déteindre au menu de l'affichage) : l'animation des lettres dans une petite pièce de notre principe mental. Alors de renchérir la théorie d'Andy dans le développement modal d'un courant au long cours. Elle fut la première à répliquer après que le serveur s'en revint déposer les boissons : « …avec une vue extérieure depuis l'intérieur de la cour... ...c'est pourquoi et si l'on prêtait attention à la zone de confort qui va pair de la prime allouée des services micro-techniques de la santé, si on portait notre attention sur la rétribution financière qui coule de source ? – Tu aimes l'idée qu'on plaide la primauté envers la nourriture et le logement puisse d'en avoir été vécu en tant que luxe au second rang du secteur tertiaire, non ? Or je ne veux pas délaisser ce monde d'où l'on ne s'entend que pour les encoches publicitaires dont l'élaboration appliquée, qu'on puisse admettre l'étanchéité de l'image qui signifie la mise en scène du produit à grand coup de mash-up et combien d'autres copier-coller... – Tu veux encore dire si lui de choisir une vocation d'arti... bah de la construction, de l'apprentissage de lecture ou une forme d'adhésion à la connaissance méta-critique, on en a... » ...autre raison neutre qui vienne de réfléchir la passion au sein de la pensée active (une révision au pays du sens critique) hormis qu'il lui rende plaisir d'écouter, quitte pour raison gardée selon laquelle elle ne laisse d'observer l'entourage d'un air vague et distrait, cherchant la réplique d'en briller par l'offensive envers et contre la méthodologie de son petit ami. C'est lui qui reprit le sel de la discute là où elle s'était arrêtée l'espace d'une lourde poignée de secondes... : « Peut-être que l'on se doit (quelque part) de promettre de juger comme preuve (ou non) d'exemplarité l'artisan (hors de sa mesure d'identification) à l'étude de son élan de répréhension tacite (le sens de notre poésie perso) depuis que cette vie brodée de caprices et de rigueur non-simulée au long cours d'un courant pictural et pas un autre... – ...l'exemple, la découverte de l'art, ok, je veux dire le sentiment agréable d'une sensation (oubliée) traversée comme une simple routine de jeunesse. – Si c'est dit avec le son trivial et cool d'une chute sympa sans rigueur ni sérieux en gros si ton plus vieil ami, ton conseillé proche dans la vie de tous les jours et si cette personne serait bien la dernière à distinguer un relent de reproche d'après cette phrase oubliée par la furtivité légère d'un rire, alors tu peux prétendre d'être un aristochoc de goût qui concerne un point dans la vie... – Miroir fondu de la luxure... – Tu veux qu'on aille louer une chambre pour l'après-midi ? – T'as quel âge pour prendre au mot de ces âneries, encore ? – Pardon hep ! Ce sera tout et est-ce qu'on pourrait avoir l'addition s'il vous plaît ? » « À toi de t'amuser alors de dépoussiérer ce qu'il y a encore de “son” adolescent au sens de l'image figurée la “négativité prétentieuse” qui rend soumis et subordonné pour elle-même bah oui les Beatles kickés par le king (of pop) ont gagné depuis un moment, et quelques temps après, avec eux, TOUT ce qui leur assimilé. – L'élargissement pop de l'instant gaming dans les prochaines décennies généraliserait l'affiliation plurielle d'adoption de la culture populaire... – La remontée du cinquième totem confirme l'effet singulier sans caution libérale... – ...et plus que cela, en vrai ! Et pas que d'un sixième sens sur le front de la culture pop... » |
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~ Ne doit rien d'y être laissé au hasard de plus à subsister (de la modélisation du personnage en train d'écrire au passé recomposé) de l'esprit raccord à la conscience d'un nouvel élément (l'époque qui voit les choses comme tel) : net ou point de latitude maniérée dans la démarche (moyennant ce gage d'exemplarité) que toute anti-métaphore s'éprenne de ce cas qui laisse au lecteur la possibilité de faire appel à quelque honoraire (de ce qui ne doit rien au change de la précision de l'instrument) voir de quelque manière autre fantomatique que le >>yakumo<< doive apparaître au premier avis sur le fil de la question >> ni parti en éclaireur ni de taille à balayer les propriétés de l'énoncé << depuis lors que chaque fragment de détail en céranéique se révèle aux frais de l'employeur... |
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On valorise l'artisan (à l'aune) de son appartenance (au milieu) et son équipe de traducteurs en rétro-ingénierie (selon quoi il adviendrait de légitimer le moindre commis en herbe occupé sur le moment de densifier le back-tracking de son propre jeu !) dès l'instant où il crée. Mais combien la possibilité d'interférer les portions entières de niveau plus faible (en valeur cognitive), entre deux monceaux de chapitre à la meilleure stature (sous l'effet de la compétitivité qui s'estompe, la linéarité du projet rayonne), justifie de reposer la tête du joueur après que d'avoir endormi la méfiance avec des phases intenses face à un certain type d'ennemi qui désolidarise Néotopie II en exemple, avec des parcelles de niveau atmosphériques non-dénuées de tout repos (avec cet air de déjà-vu vers la fin de la quête canonique, ostensiblement + calme, éthérée) et on bascule dans un faux rythme histoire d'être à son avantage avant la méta-chute que l'on désignait parmi eux en tant que sempiternel buffet spirale, de l'abîme flottante avec la sainte application (définition du détachement antagonique qui relie un artiste à sa tablette ou à sa muse protectrice). Mon cervelet dégobillant des ondes organiques qui transmutent... Le joueur vient de finir l'aventure (si faite) et qu'il soit pris à témoin (en passant) ou simplement bon client, amateur éclairé ou acheteur compulsif et pas depuis que l'instant où il crée... ce nec + ultra du clap de fin sonnant de souligner l'aventure d'une queue de poisson acrostiche, en réalité (aussi) un de ces virages à 180° pour initier le jeu suivant et changer d'univers (le monde réel de la nature vivante). Après ce clin d'œil à la vraie vie qui comme tout à chacun le sait a toujours été un jeu, la séance de fin (en guise de générique) emmène le joueur sur le point de valider son identifiant inséré dans la mémoire de sa console (ou de son smartphone). Moment de découvrir l'une ou l'autre des deux troupes de héros distinctes qui serviront d'avatar dans le jeu suivant. Au joueur le soin d'établir sa sélection (une zone de raccord désigne une famille moyenne troquant le dernier point de compétence avant l'ultime artefact du produit nécessaire). Seule l'éventuelle réponse du joueur lors d'une fenêtre de dialogue avancée dans ledit jeu aboutissait vers un autre segment (un arc narratif différent...) lequel prenait tournure à la toute fin du jeu. Les rayons photoniques défilent, un soleil dur et brûlant se détache depuis le lac sur la contrée... ...où (alors) l'on offrait cette probabilité au joueur (en fonction de la réponse donnée) un endroit de la conversation impossible à contourner (sans qu'il le sache) une mise ultra néo-conservatrice de plan-séquence censé conclure le titre (tout autant) : à la place de la petite famille chamane en pleine partie, la chute renvoyait le miroir tendu vers notre propre réalité en mode fantastique (le choix d'un tableau alternatif nous dorait sinon plus l'illusion de contrôler une bande d'étudiants depuis leur mission faculté (les feux de la rampe) au meilleur d'une banlieue molle en colocation (d'appartenance à autre genre et quitte pour reconduire cette fratrie d'adolescents écolos sans doute accros au jeu vidéo depuis que la parution de la marque Peacemagik). Enfin de l'acheteur potentiel, au cas de ne point être (ou de ne point avoir été) détenteur du premier jeu (la suite de Néotopie bien...) une sauvegarde automatique ouvrait la qualité d'un segment emprunté dans le précédent ouvrage qui concernait le scénario de la troupe de geek exclusivement). Dans la brume écarlate le lac sur la contrée à la lueur d'une petite bougie de glaise de sorceleur... Voilà le topo : le choix d'incarner l'une ou l'autre famille dans le jeu qui allait suivre se limitait à ceux qui avaient pratiqué le précédent (différent qu'il puisse être aux antipodes). Vérification du serveur de la console consultable en partant d'une sauvegarde effectuée sur la puce mémoire de l'objet physique ou alors directement depuis le cloud et son profil ID... Développer en première intention là où et quand il y aurait matière à perspective serait une idée. La subjuguer par une personnalisation du trait émotionnel lié à l'expérience de jeu en serait une autre : désigner avec force de l'innovation quand la distinction entre reprise inspirée et redite maladroite est souvent ténue (par de ce qu'elle domine), la culture du jeu vidéo évolue d'après le progrès technique et sa force d'imagination qui repose sur le renouvellement constant de l'effort de qui fait la fraîcheur d'actualité, pourvu que d'une profusion de l'offre à la demande (pour peu qu'un retentissement commercial impose ladite œuvre dans un semblant de mémoire collective.) |
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~ ...avant d'obtenir un de ces potages du meilleur goût (garanti sans les cheveux sur les bords, aussi inodore que parfaitement lyophilisé) un vrai jeu c'était l'histoire d'une soupe excellente pour notre santé mentale et puis la vague confinée dans une pseudo-retraite (celle des années covid') ressemble à ces années passées à établir de la covariance dans les concepts (seulement après concept et nouvelle instrumentalisation d'un paysage vidéo-ludique calibré – ou non – en vue de satisfaire la curiosité du média scientifique, tant que ceci demeure pour mieux nous enfoncer l'idée d'humanité subsistant au moyen d'une sorte de paix intérieure, de cette foi en l'espérance qui nous consume aux confins de l'espace tri-dimensionnel, depuis les galaxies d'entre toutes (parce que l'on ne se contente pas de nous observer...) |
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quoi qu'aimer jouer juste et participer avec les uns et de l'autre (à toute heure) d'avant même ce buffet des futurs anciens élèves de ce jour où il aurait aussi bien pu avoir été en mesure de rester sobre (et puis finalement) il s'acclimatait de cet apostolat avec sa chère et quoique pas toujours tendre (savant être entière, diriger envers elle-même en parfait état de la connaissance des goûts prononcés pour l'évasion voir de la personnalité) qu'ils possédaient en commun... ...en cet instant de traitement des données via ce mail écran à destination de son amie en sous-traitance, il était désormais certain de la validité de circonstance de sa requête, en état d'y laisser couler sa pensée sûre d'y satisfaire d'un rien de protocole succint (couramment usité) depuis les “ondes cacophoniques des diodes radio-cerf-feuilles” : « ...transmettre discours apparu en tête de topic trouble de mémoire avec en option d'un semblant de direction spontanée (même pas besoin d'inventer) nous sommes lassés d'interpréter en préciosité du dérisoire (accessibilité adhésive du procédé immédiatement uniforme comme cette sentence mélée de conflit ouvertement prospecté par le rayon plutonique qui précède notre entité pensante et si elle est capable d'esprit critique, d'une répréhension tacite résurgente) d'une autre coutume et depuis cette vague confinée dans une énième pseudo-retraite des années covid' ressemble à celle des dernières années passées à établir une covariance des concepts (seulement après concept et nouvelle instrumentalisation du paysage non-calibré pour satisfaire la curiosité du média scientifique). Et c'est dans ce contexte que la suite de “Néotopie” se contentera de faire de la figuration (ou bien être intronisée en tant que nouveau remake ?), maintenant qu'ils en sont pour la recherche d'une licence fraîchement importée dans un de ces univers cybergoth qui exaucerait la thématique de mon produit orienté aventure/scénario avec même la possibilité de lui adjoindre des éléments d'action/magie typés stratégie. Chose certaine est donc soit qu'ils aient tous les trucs soit que le titre se cantonne (encore et toujours) à cet entretien des bornes du jeu d'aventure orienté arcade (celui empreint d'une moindre dose de fun, suis du côté de chez Swan) : j'attends de végétaliser un nouvel arbre de choix à l'aide d'un prototype réduit de scénario adapté à la thématique du reconditionné qu'il emprunte aux jeux d'adresse et de société où finalement je me retrouve à drainer un jeu linéaire supra-scripté où l'épreuve de la compète serait une vitesse de résolution des énigmes : le fait d'y revenir au mode de lecture seule ne manquera pas d'interpeller ce qu'il impliquera d'épouser les manies du réalisateur à la baguette avec une toute puissante imprécation des motifs ludiques et ce réalisateur c'est nous deux putain de bordel de zeus » [Elle] : « bon sang bon dieu de bonsoir ! Tu imagines ce que cela fait pour le commun des mortels de recevoir un message pareil ? Par chance j'ai une équivalence littéraire, mes capacités d'analyse restant vives, ok, champ lexical,... ça parle du boss et d'une dictature sous-dictée (ça oui, or tôt faux niste alors oui ça me parle ça) dérivation langagière nocturne et pas que de délayage existentialiste, et de tristesse, osi oui mais quand même c'est pas facile. Tu pourrais répéter encore une fois ? » [Il] : « quitte pour que soit libre à eux ce choix d'une licence à repasser au dressing auquel cas tu conseilleras de récup' les droits de l'ancien testament (celui-là même de réincarnation de la déesse) [jeu populaire en indonésie] Ce serait le minimum syndical de la conscience (suffisante) en complète auto-gérance avant que j'assimile. Je t'aime. poussin. » [Elle] : « N'appréciant pas spécialement qu'on s'adresse à ma personne comme à une vulgaire hippie fashion chick et c'est un peu ce que tu viens de m'énoncer et je te dis ça tu sais combien je t'aime moi itou... Le motif Yakumo au Japon vient vraiment de leur propre culture et notamment de la façon dont ils se représentent le génie des nuages. C'est un symbole de protection contre les mauvais esprits mais ça n'a rien à voir avec de la démonologie judéo-chrétienne. Je plussoye d'où tu veux en venir avec l'idée que se protéger du mal est universelle... Le Yakumo est-elle vraiment une création japonaise liée à leurs traditions ? » L'idée partait d'écrire sur le thème pendant qu'on improviserait du fait que “l'Antre de la Terre” jouissait d'un moteur 3d et de la vue subjective, celui-là même susceptible de mettre en scène son projet. C'était une question pratique : non seulement on pourrait répéter des séquences entières de storyboard (fantaisie bucolique et chevaleresque développée dans la suite de “Néotopie” ou l'ambiance cybergoth et polaroïde d'un side-project au parfum de rayon ordinaire : celui de nos cités en mode fantastique), moyennant une astuce de scénari (qui permettrait de joindre deux univers qui diffèrent grâce un double habillage graphique et sonore). Cette chute en roue libre menait notre condition de spectateur devant elle-même en tant que focale, de l'angle du champ durant ce plan-séquence censé sortir de l'écran au sens propre révélant ainsi tel joueur face à un abîme... |
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~ Cela remonte aux premières bornes spécifiées des cafés et la domestication des ordinateurs personnels... ...le jeu a pris la mauvaise habitude qui consiste à venir tremper ce cheveu filasse sur le bord de la soupière comme depuis l'avant-veille (il n'en retourne pas autrement avec celle de nos grands-parents depuis l'après-guerre) on appelle pas ça la révolution sixties et – à l'époque – on ne sait pas où vont mener les années qui deviendront les trente glorieuses – avant d'en revenir au bail de colonisation spatiale – de préférence après avoir établi la paix de l'âme avec tout l'or de ce monde pour mener à la seule unique certitude que de cette réponse scientifique ne daignerait pas ne pas reconduire le sentiment jusque la racine dans un où et un quand profitable aux libéralités du corps et de l'esprit... |
Péricqlès Pixel digne de ce nom ![]() |
...ce n'est qu'en rentrant au foyer qu'il découvrit un mail de planeur en chef lui indiquant (c'était une exhortation) de mettre à profit les prochaines échéances, par exemple, un appel urgent dans le texte ne manquerait point de lui être taraudé (rien que le sermon dont il serait l'objet) mais de réaliser que le numéro perso du boss de la nation (bien de le supposer) ne traînait dans aucun de ses répertoires : il serait donc monté se reposer uniquement armé de son grog favori (avec des tartines de pain d'épice) à seule fin de piquer un sommeil réparateur... ...à peine assoupi efforçant de lester en éveil des strates de la conscience intuitive encore nimbées de mouron en trompe-l'œil et de ce fait d'optique en dernière instance autre qui lui aurait valu cet écriteau : floqué d'un big up baveux au goulot du warning dont il était la cible et rien d'autre que d'une manière éruptive en redéfinition non-sensible et récréative, chez qui il aurait su raison gardée (ni d'être ailleurs) d'une autre raison sérieuse envers et contre le son creux du marteau conservateur qui intercède (contre le fait d'avoir étendu ce mode opératoire vers davantage de terrain ?) il rêvassait d'une inversion des pôles en décomposition... ...voyez le salon qui se découvrant après une entrée-couloir canapé serti sur la gauche partant de l'entrée juste en face, la télévision posée sur une table de bois, à côté de laquelle on situait une étagère dans un coin rempli de divers bouquins avec espace réservé aux bandes-dessinées (sur la droite) une porte-fenêtre entrebaillante de cette table de salon laissait filtrer les rayons lumineux du dehors (un petit jardin pentu avec une remise servant d'atelier...) ...il ne sera réveillé au bruit de la sonnerie lancinante du téléphone : au troisième appel (en tout) pour s'entendre présenter quelque complimentation de la voix de ce patron de la mafia russe (en quelque sorte) et à ce moment de se confondre par toutes excuses... ...que l'on serait fixé (ou non) sur la manière d'opérer avec cette jouabilité qui abat de la besogne... ...que l'on serait à même de lui adjoindre quelques notions de réflexion la plus vivace gardant à l'esprit que seul un scénario de qualité supérieure garantirait un seuil de visibilité d'un jeu d'arcade maxi-mâle (moyennant la fusion de gameplay orienté stratégie oblige – à l'aide d'une grille de compétences accessible – depuis ce trait nonobstant et frénétique) d'où l'on pourrait extraire le rapport du yakumo dans l'intrigue ce souffle court avec l'analyse du spectateur et le type de révélation qui allait suivre... ...il n'a pas le temps d'aligner trois séries de phrases sur sa topologie propre au discours à même d'émouvoir le chef à la tête du projet qu'il avait relâché sa vigilance de débat de somme (laquelle n'aurait point manquer de profigurer la contribution) dès l'instant où l'on pouvait entendre son interlocuteur dresser une apologie d'un soit dit en passant “mauvais retour d'impression dans sa tête d'artiste sur le qui-vive toujours prêt au volte-face quand il s'agit de retourner une situation en faveur de ce degré ivre de davantage de perfection...” : « ...la raison en incombe du fait que la suite de Néo serait encore un de ces jeu d'action typé fantasy (là où la toile de scénario proposée par vous camarade s'orienterait vers un jeu d'aventure de type polarisant et cyberoïde...) » « Une fausse 3d proprement projetée en vue isométrique doit céder en faveur de la véritable patte de synthèse par l'emploi du rendu en cel-shading haut-en-couleur (lequel devrait faire sensation au moyen de cette toile de fond scénaristique inhabituelle dans un jeu de ce style). Ok certes l'idée partait d'en référer au moyen de direction artistique au top de la scénographie dans un jeu de tir à vue subjective quand le premier volume se travaillait bien au doigt et au clavier (selon qu'on y joue en nomadeur) et c'est la linéarité scénaristique du procédé qui se veut accessible, revisite les codes néo-classiques du preux chevalier partant au chevet de la princesse soit la raison du succès qui n'en concernait rien le scénario : elle s'accordait seulement avec le principe du gameplay pur et dur comme il t'arrive de décrire dans ton journal de bord... » etc. ...il révise quelque esquisse de personnages ultra-stylés quand sa copine de classe (en provenance du feedback) de concert avec notre intendant à la conception de l'interface sont venus évoquer les possibilités de craintes envers “cette tuile très riche pour un jeu excessivement arcade” (dans le texte). « ...oui je suis au courant... ...c'est le temps qu'il fait et c'est celui qui joue contre eux... » |
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~ On aurait beau passer en revue ce mode d'expression coutumier de la source rassérénée de l'information il entretient cette possibilité que des autres foudres transitives – dans le même style de paralogisme convertible en mœurs excentrées que voici – ne puissent que prévenir le fait que l'on accède (ou pas) à une seule et unique formule de la connaissance et ce bien avant l'orée de notre crépuscule le choix apparaît qui consiste à nous emparer de tel idéal avant de s'enticher avec, avant de résoudre cette équation du produit de la raison en abîme, avant ce qui nous bride à la croisée de ces autres schèmes constitutifs d'une réalité en tant que concept nous devons rester concerné par la vision panoramique de notre cadran logique psolaire aussi bien que super bio-hazard-plant. |
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...à la limite de death valley (en anglais dans le texte) où il y avait un peu de terre cultivable pour vivre à son aise la vieille dauphine fonçait sur la route grise. Il était là son bonheur d'avoir passé la canopée des champs du désert instrumentalisés de la région Nord. Au-delà les fameuses roches de calcaire dont l'érosion effectue comme des blocs sculptés à même d'être encore bien présents, ce sont les prés et enclos des vastes prairies que l'on transitait lors d'évaluer des deux côtés de la route. Heureux ensuite car il se rapprochait de la capitale (“paname, paname”) et cela signifiait qu'il allait bientôt revoir sa concubine avec qui il devait prêter serment d'amitié dans la grande ville pleine axe du district nord que l'on appelle encore parfois “île-de-France” ou “de Navarre” et lui roulait à grande vitesse sur la Nationale 0 de la région du comté Picardique. Il avançait donc sur une route pas trop mal fréquentée au volant de sa dauphine rouge sang qui se mariait plutôt mal avec l'odeur des champs de blés devant l'épicentre (de la montagne) se contentant d'épouser la couleur orange et ocre du coucher de soleil qui plafonnait en tout point d'horizon. Il était parti de Dunkerque près de la frontière et non comme l'on aurait prêter de penser (avant de percher d'une oreille) au lieu de prendre le train (ou l'avion) il avait déjà opté de se taper ces trois-cent bornes qui sépare son village natal de la capitale à l'aide de son vaisseau favori (à l'époque). Un phénomène autrement moins apparent devait être l'objet sentimental du béguin qu'il avait pour cette fille, végétant dans une douce ignorance interrogative parsemée de certitudes éludées et de pointillés suspendus à cause des pires difficultés à se faire un avis définitif (relativement) avec le sien. Mais, elle n'avait de cesse de réviser son jugement, comme quoi c'est à dix-sept ans qu'il fut invité à un repas de classe entre futurs bacheliers. Il avait été étonné de se voir convié à cette fête de circonstance avant de se rendre compte que tous les lycéens avaient été invité. Alors lui qui avait les yeux vert écaille, des cheveux bruns et mesurait un mètre quatre-vingt et des poussières avait choisi de s'y rendre sans arrière-pensée : le chef d'équipe ou délégué syndical avait proposé la salle qui lui avait (en fait) été cédée par son oncle, pour la soirée et... un des amis de son oncle avait une fille ayant été aussi conviée à la fête. Notre jeune mec solitaire et la fille ne connaissant personne (ou si peu) devaient se rencontrer, il était encore si ivre qu'il avait eu de la peine de s'en souvenir le lendemain lorsqu'une fille au plus-que-parfait l'accosta devant les portes battantes de la salle louée pour l'occasion (au petit matin) au moment précis de s'en aller : « tu crois que tu peux t'en aller comme ça ? » ou « sûr qu'hier tout le monde ayant un peu bu et ce gars qui m'a dragué durant près de quatre heures, et... c'est toi... dès qu'il avait été question de ma personne, grandement des yeux et... j'te signale que tu as été pris de coliques » (“grandement des yeux” un instant ?) avec un air incrédule aussi instantanément qu'elle était apparue même d'explications évasives encore redondantes, plus tard avec sa bande de potes élargie, c'est dans cette salle aux lumières de phosphore avec des couleurs qui balancent le son du laser qu'il la rencontrerait enfin sous l'angle de la représentation théâtrale car elle aimait posséder cette fausseté de comédienne qui cherche en nous de réinventer voir d'embellir le ressort comique de nos rites tragiques, de nos anecdotes en roue libre et perpétuelle laquelle se contenterait de rejouer sans cesse les scénaris interchangeables de son existence imprimés, sous le feu de la mémoire vive. Il avait maintenant vingt-cinq ans et c'est la verdure des fougeraies implémentée au surplus de la terre sèche que l'on pouvait désormais se plaire d'admirer des deux côtés de la voie en terme d'une montée qui recommençait à déniveler de manière sadique (interminable) alors qu'il semblait être arrivé au bout de ses surprises. On allait se souvenir des côtes qu'il remontait à dos de vélocycle mais il n'eut pas le temps à cause du camion ! Ce dernier opère une violente glissade des freins en pente douce pour s'étaler au milieu de la route... Lui donnant un brusque coup de volant à droite et fonçant vers la barre de sécurité qui doit craquer sous le choc soyeux et électro-mécanique de la roue joyante de l'automobile : c'est une descente à tombeau et la mort qu'il avait devant lui... ...or forçant de dévaler des buissons en nombre + la terre caillouteuse éplorante et la pédale de freins sans autre réponse (après avoir buté dans un amas de roche) la voiture ferait plusieurs tonneaux avant d'atterrir en bas de la pente : on ne voyait plus du tout la route sans doute à cause de la hauteur de la descente... est-ce qu'il... ? « …non, visiblement pas... » |
Péricqlès Pixel digne de ce nom ![]() |
~ Abondance des loisirs dans la culture : chronique oblige à l'étude de par son aspect rapide et reporté sur le "simple" fait du moment de l'écoute. On parle de l'art car les baby-boomers (soit ceux qui sont aux commandes de notre société) s'en faisaient encore d'argument de séduction massif mais dans la société de conversation – émancipation niaise de la consommation dans les 50's et 60's. On parle de la cause avec plus ou moins de sérieux dans les sphères sociales huppées mais on se méfie de sa représentation portant sur l'ascèse par une échelle coutumière de l'expression qui se rapproche de l'étude de son moa et des grandes enjambées narcotiques du peuple : art classique (antiquité et renaissance) + pop culture (de 1920 à nos jours) = le peu du meilleur encore à venir. |
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