C'est ça encore le plus frustrant pour DSII : j'aime son ambiance et son gameplay, malgré ses imprécisions (scrogneugneu de backstab...), et la variété de ses environnements est folle. Mais on ne peut pas s'améliorer en y jouant, aucune connaissance supplémentaire du jeu et de sa structure ne permet d'aller plus vite ou d'être plus efficace. C'est un grind terrible et lorsque je vois des challenge runs sur la série, comme je suis très client de ces vidéos (finir le jeu avec une contrainte : n'augmenter qu'une caractéristique, avec une arme particulière, en s'interdisant tel ou tel mouvement...), pour DSII, les challengers finissent toujours par vider des zones, typiquement la forteresse de fer, pour avancer. C'est absurde. Il aurait simplement suffit de repenser le nombre des ennemis ou leur zone d'aggro pour rendre le truc bien plus agréable.

Quand je suis revenu au quai de la désolation, et dès que le nom de la zone s'affiche j'ai : 2 mobs devant moi, 1 qui poppe en étant suspendu à un pont (???), un archer au loin et un autre qui me balance de l'huile pour que les flèches du feu me fassent plus de mal encore, et que tout ce petit monde s'active immédiatement, avant même que j'ai pu comprendre comment la zone fonctionnait, je trouve ça débile et ça me donne pas envie de poursuivre. J'ai déjà fait, j'ai déjà donné, je ne prends aucun plaisir à tout ça. C'est comme si j'essayais d'avancer dans de la mélasse.

Dark Souls II a surtout pour qualité l'enrichissement du gameplay, c'est probablement l'épisode qui apporte le plus de choses par rapport au précédent. En revanche il ne parvient jamais à s'imposer comme un tout cohérent. Ce qui lui a manqué, peut-être, c'est 6 mois de développement en plus pour prendre du recul et supprimer certains passages, ajouter des raccourcis, donner plus d'ampleur à certains endroits (ça manque de grands châteaux à la Zelda)...

Concernant le placement des ennemis c'est effectivement le plus foiré de tous les Soulsborne, la sortie de la version Scholar of the First Sin le prouve, sans pour autant régler le problème. Elle tente, je pense, d'en faire un jeu qu'on prend plaisir à refaire malgré sa longueur, en lui donnant un rythme plus soutenu. Mais c'est impossible, la qualité est trop irrégulière.

Malgré quelques moments très réussis et une ambiance très particulière qui lui est unique (les autres DS sont mélancoliques, celui-là est dépressif), c'est un épisode qui privilégie trop la quantité et oublie la manière dont l'intérêt du joueur doit évoluer sur le long-terme : d'abord galérer, puis triompher, puis devenir maître du jeu. Ce n'est pas le cas ici, il y aura toujours quelque chose de laborieux dans un run de Dark Souls II. D'ailleurs c'est à partir de cet épisode que les speedruns sont devenus bourrés de passages glitchés et pauvres en enseignements pour un joueur normal.

Je reviens en ce moment aux Dark Souls, quelques années après mes premiers runs, histoire d'actualiser mes souvenirs. J'ai relancé les deux premiers, partant.

Le premier Dark Souls est toujours un chef d'œuvre : j'ai fait un run "magie" exclusivement (à l'exception de New Londo, où j'ai utilisé l'arme d'Artorias après avoir transformé l'arme de Sif pour tuer les fantômes), et ça a été un régal. Je me suis même lancé dans un "enemy randomizer" avec beaucoup de plaisir et de sueurs froides, et ça marche toujours super ! Définitivement, le jeu est même meilleur à la relecture, quand on connaît les astuces pour progresser, l'emplacement des bonnes armes et tout le toutim. Même si la seconde partie de la quête, après Anor Londo, est plus laborieuse, la première moitié demeure extraordinaire.

Dark Souls II en revanche... J'ai acheté la version "Scholars of the first sin" et définitivement, que ce soit lui ou l'original, mon avis est toujours aussi mitigé, voire plus négatif. En fait, même si on connaît le jeu, certaines zones restent définitivement imbitables : le quai de la désolation, la forteresse de fer, ou le château de Lendric sont horribles, dès qu'on met un pied dans la zone, whatmille mobs et des spectres nous agressent sans qu'on puisse rien faire. Impossible de les squeezer, ils nous pourchassent jusqu'à la fin du monde, et les boss sont incroyablement décevants, et loin des efforts qu'on investit. Je me suis amusé, avec DSII, avec un Cheat Engine à tenter différents builds, essayer de nouvelles armes etc. et définitivement, ça ne prend pas sur moi, je laisse tomber.

Je relancerai DS3 en revanche pour faire un run magie, je ne l'avais pas encore essayé.

Un rapide message pour remercier les auteurs du dossier sur Dark Souls. Je viens de le lire avant de me mettre à la série. C'était vraiment super ! Un sacré travail de synthèse !
C'est vraiment ce qui fait de Grospixels un site aussi précieux !

Et voilà, le dernier DLC, et le jeu je pense pour moi, est terminé. Le combat final contre le Roi d'Ivoire est une franche foire d'empoigne Je l'ai battu avec les quatre chevaliers et deux invocations, dont un joueur humain, et ça tapait de partout. C'est un beau final, cinématiquement parlant, mais j'ai préféré le duel tendu contre le Chevalier Fumerolle, tant le jeu excelle davantage dans les duels que dans les combats à plusieurs. Toutes choses égales par ailleurs, le DLC du Roi d'Ivoire a été celui que j'ai le moins préféré, la faute à des ennemis trop nombreux et trop pugnaces. Je place très volontiers celui du Roi de Fer en haut de mes DLC favoris, pour son architecture intelligente et son duel final, et celui du Roi Englouti en second, malgré ses qualités. J'ai reçu la "bénédiction de Vendrick", qui me permet donc de rester humain avec les couronnes après une mort... ce qui est alors inutile, comme on a fini le jeu, et que l'effet n'est pas conservé dans un NG+. Bref.

Je sais qu'il me reste des boss à faire et des choses à explorer (je n'ai pas fait les "zones co-op" des DLC, ni la quête du "Darklurker"), mais après 70h de jeu, je suis plutôt fatigué, et je ne crois pas y revenir, ou alors juste en m'amusant, et en réexplorant des zones de ci, de là, à l'occasion. Alors, est-ce que les DLC ont fait évoluer mon avis général sur le jeu ?... Peut-être un peu, oui, mais pas dans l'essentiel. En fait, les DLC m'ont surtout montré ce qu'aurait pu être le jeu original avec un peu plus de soin dans ses zones et ses mécanismes, mais le cœur du gameplay, lui, ne change pas vraiment. Surtout, le jeu est surtout pensé pour affronter les ennemis en solitaire, ce me semble, et se perd rapidement quand on doit affronter plus de deux opposants à la fois... il est alors bizarre que le jeu nous confronte très souvent à cette situation ! Alors oui, c'est un peu mieux en désactivant le lock, comme on gagne en mobilité, mais il est difficile malgré tout de gérer ces instants, et je trouve que DS premier du nom s'en tirait bien mieux, ne serait-ce en ne bloquant pas les frames d'invincibilité des roulades derrière une caractéristique.

Pour conclure, je ne sais pas trop quoi penser de DSII, même sans le comparer au premier DS. Il y a énormément de choses que j'aime dans ce jeu, la grande variété d'équipements et de builds possibles, des ambiances folles y compris dans des zones "classiques" comme les forêts ou les marécages, des designs d'ennemis vraiment sympas (la sentinelle flexible, le Poursuivant, l'Araignée bicéphale, le Chevalier Miroir...), j'aime le gameplay plus lent qui brille face à certains affrontements précis (ne serait-ce que face au Chevalier-Fumerolle), et l'ambiance ruineuse de Dark Souls demeure. Progressivement cependant, beaucoup de choses m'ont déplu : le recyclage trop visible de certains concepts (la femme-scorpione, les gargouilles, le boss du ravin noir...), la linéarité pesante de quasiment toutes les zones du jeu, des incertitudes dans le gameplay (les hitboxes pas toujours claires, le backstab qui ne se déclenche pas toujours quand il faut, les dégâts de chute trop violents, les torches inutiles si ce n'est à deux ou trois reprises seulement), des mobs trop nombreux qui attaquent en bande dès qu'on lance une flèche ou fait un pas dans une salle, la générosité quasiment indécente du jeu en termes d'objets de renfort d'équipement et de soins (on peut spammer les gemmes de vie en situation de détresse, voire face aux boss, sans être vraiment puni), une histoire désarticulée et fourmillante, qui ne parvient pas vraiment à construire sa mythologie. Certains de ces points sont vraisemblablement plus visibles en comparant le jeu au premier Dark Souls, dont l'ombre plane constamment sur l'épisode et qu'il est difficile de dépasser, mais d'autres lui sont incontestablement propres, et impactent profondément sur le plaisir général de la partie.

Avec tout ça, je ne dirais pas, comme on le lit parfois en ligne, que DSII est un "mauvais jeu", il faut pour moi être de mauvaise foi pour ça, et je n'aurais pas passé 70h dans cette aventure si les aspérités avaient été trop fortes. Mais j'ai dû faire des pauses régulières tant ceci ou cela m'ennuyait, alors que je n'avais pas lâché la manette du premier DS, au point de pousser jusqu'au NG++. Ici, je ne pense pas relancer la partie, je n'en ai aucune envie. Mais ce n'est pas, non plus, un "excellent" ou un "grand jeu" pour moi. C'est un bon jeu, copieux, avec plein de bonnes idées (de présentation, de jouabilité, d'ambiance, etc.), mais qu'il ne sait pas vraiment comment organiser et mesurer, il lance tout contre le mur, et regarde ce qui tient. Les DLC prouvent qu'il y avait davantage à faire avec tout ça, et exception faite de l'épisode du Roi d'Ivoire, que j'ai trouvé assez fastidieux dans son milieu, il est dommage que le parcours de la Tour de la Brume ou de Shulva soit écarté du reste de la partie. Je ne sais pas si ces DLC ont été créés spécifiquement, ou s'ils venaient de concepts mis de côté lors du développement du jeu, mais il est heureux qu'ils soient à présent directement inclus dans le jeu qu'on achète, comme il serait dommage de passer à côté.

Je ne suis pas mécontent d'avoir traversé tout ça, et j'ai eu de bons moments, même si interrompus par de nombreuses frustrations, alors qu'elles étaient bien moins nombreuses dans le premier DS. C'est un épisode qui divise beaucoup les joueurs et les joueuses, à ce que j'ai vu, certains l'aimant absolument, d'autres l'abhorrant jusqu'au bout. Moi, je penche davantage vers le positif, mais à peine : s'il n'y avait pas eu notamment la direction artistique, je ne pense pas que je me serai entêté. J'aurais, alors, du mal à le recommander à quiconque, à moins d'être assez client de l'ambiance. Il m'a cependant plu de revenir dans cet univers si particulier, de mourir et de recommencer, d'aller plus loin, de gagner finalement : et je pense faire tôt ou tard DSIII, qui semble opérer un virage notable de son gameplay.

Et deuxième chevalier sauvé ! Ces sections ressemblent vraiment à des micro-donjons, assez distincts les uns des autres. Le premier était loin dans les remparts, le deuxième au bout d'un parcours serpentant dans des cavernes, et je présume que le troisième est dans le tour de bois avec le millier de chiens dont je parlais plus haut, et où il y avait des coffres congelés avant ma visite de la cathédrale. J'ai trouvé ce deuxième chevalier assez éprouvant à libérer : les hérissons de glace sont très méchants (;_;) et nous font mal avec un simple contact. Je suis même mort quelques fois face à eux (saloperies). J'ai été assez déçu du recyclage du Demon de l'Aiguille de Terre en version congelée, qui n'a pas appris de nouveaux tours, et tout le chemin menant au donjon du chevalier est rempli de tous les types d'ennemis du DLC, du moins du château. J'ai bien aimé, en revanche, le retour des Golems de Drangleic, qui s'animent si on tue un ennemi près d'eux, mais la zone persiste dans son envie de remplir le même endroit d'un très grand nombre d'ennemis... Il est sympathique en revanche de faire rouler la boule de neige pour créer un raccourci, les énigmes environnementales sont finalement assez rares dans le jeu (comme dans le premier DS du reste), et je le regrette.

J'ai aussi compris que sur le chemin de chaque zone, un envahisseur ("fantôme rouge") apparaît pour nous bloquer le passage. La sorcière du rempart m'a bien embêté, jusqu'à ce que j'arrive à l'empoisonner, celui du second chevalier avec les éclairs était embêtant, jusqu'à ce que je trouve le moyen d'interrompre ses sorts par une approche raisonnée et argumentée (avec ma grosse épée), et j'avais auparavant tué le paladin... qui se dissimulait dans un tonneau Je ne sais pas si c'est vraiment quelque chose que l'on peut faire en PvP, mais cela m'a assez surpris ^^

J'ai toujours aimé les zones enneigées, et celle-ci me fascine.

Mais c'est vrai : elle ne fait pas semblant d'être impitoyable !

Et encore, si j'ai bien compris, tu n'es pas encore passé par un endroit mémorable, tant il est angoissant... J'ai hâte de savoir ce que tu en penseras !

Eh bien, c'est pas peu dire que ce dernier DLC m'épuise Je suis parti en quête des chevaliers pour m'aider à vaincre le Chaos ancien, et chaque salle est une épreuve. Il y a de nombreux ennemis, résistants et tenaces, attaquant et à distance, et en corps à corps, qui viennent de je ne sais où à chaque fois que j'ouvre un coffre ou passe une porte. Dans une grotte, j'ai compté pas moins de 6 sorcières à capuchon blanc, et deux sentinelles flexibles (comme le boss du galion), et tout ça pour une simple clé ! C'était irréel. Et je ne parle même pas de la tour de bois, où il n'y a pas moins de huit chiens qui viennent brutalement vous voir dès qu'on descend l'échelle... Incroyable. Alors, je comprends qu'il s'agit de l'ultime zone du jeu, je peux le comprendre, et cela permet de se faire une bonne réserve d'âmes, mais entre les flèches, les gemmes de vie et les poudres de réparation, comme mon arme s'use à une vitesse folle, on n'a pas vraiment le temps d'en profiter.

C'est vraiment dommage, parce que l'ambiance est envoûtante, il y a plein de choses à explorer, des raccourcis à débloquer et tout le toutim, mais nom d'un petit bonhomme, ils ont vraiment exagéré, je trouve, pour ce niveau.

J'ai commencé le DLC du "Roi d'Ivoire", et j'ai battu Aava, la panthère du roi ! J'ai assez pesté contre elle, non pour le combat en lui-même, comme elle n'a que quelques attaques seulement et n'est pas trop agressive, mais surtout parce que la durabilité de mon arme a encore été un problème (j'ai dû réparer mon arme en milieu de combat), et à cause de hitboxes que j'ai trouvées peu claires... Plus d'une fois, après un coup de patte, je prenais des dégâts alors que son mouvement était fini, et que je finissais ma roulade. J'ai rencontré le même problème avec certains soldats de la zone, avec des gros maillets, qui me faisaient du dégât alors que j'étais ouvertement à côté de leur marteau... bref.

Le reste du DLC est, encore une fois, d'une belle architecture, cette fois-ci plus horizontale que verticale, avec beaucoup de remparts : ça change assez, et c'est sympa à explorer. Les ennemis sont coriaces en revanche, et font très mal, et ils ont l'air d'épuiser plus que tous les autres la durabilité de mon arme. J'aime bien aussi ce principe, une fois Aava vaincue et la Cathédrale atteinte, de pouvoir réexplorer le château à présent que la tempête est arrêtée, et que certains blocs de glace ont fondu. Finalement, les trois DLC empruntent le même schéma global, d'explorer plus ou moins en ligne droite jusqu'à trouver un interrupteur ou un mécanisme, qui ouvre de nouvelles portes ou débloque de nouveaux passages. Au bout de trois fois, on sent venir le truc mais au regard des autres niveaux du jeu de base, c'est un changement bienvenu, tant et si bien que je me demande si je n'aurais pas préféré un principe à la "Demon's Souls", avec un Nexus et des passages menant à différents environnements, déconnectés les uns des autres. J'ai d'ailleurs appris que c'était l'ambition initiale, avant de revenir à un monde plus relié, mais on sent encore dans le jeu ce principe premier.

Eh bien, quel combat les enfants, quel combat ! Le Chevalier-Fumerolle est l'un des meilleurs combats du jeu à n'en point douter, voire du diptyque formé avec DS1. Je le mets très volontiers aux côtés d'Artorias dans le DLC du premier DS, même si ses attaques sont plus "classiques" et qu'il ne fait pas des saltos dans tous les sens comme le vainqueur (hmm...) de l'abysse. Il lui manque aussi, sans doute, un peu de mythologie même si on découvre qu'il est lié à Vendrick et à Velstadt, mais c'est peu, et loin de l'émotion ressentie en découvrant Artorias. Bref. Au bout d'un moment, je parvenais à passer sa première phase sans me faire toucher une fois, et après une dizaine d'essais complémentaires sur sa phase 2, je l'ai enfin battu "au finish", alors qu'il ne me restait plus qu'un pixel de vie ! En tout, je dirais que cela m'a pris une bonne heure entre hier et aujourd'hui, pour une trentaine ou quarantaine d'essais.

C'est fascinant, car je n'ai pas trouvé ce niveau de soin dans le jeu de base, en termes de gameplay et d'équilibre. On apprend ses attaques progressivement, on apprend à "lire" ses combos en regardant ses armes (c'est d'ailleurs mon conseil général, en plus du besoin d'avoir une roulade efficace et de gérer son énergie : regarder ses armes et non lui), on réplique conséquemment... La première moitié du combat est ma préférée, je pense : il faut apprendre à esquiver et sa rapière, très rapide et qui peut enchaîner jusqu'à trois coups (mais il en fait parfois un, parfois deux), et sa grosse épée de feu, au tempo beaucoup plus lent et qui demande à délayer sa roulade. Trop tôt ou trop tard, et on se prend le coup, alors que l'on peut rouler quasiment en continu pour la rapière.

Et puis, la seconde phase bouleverse tout. Il n'a plus que sa grosse épée, et ses attaques sont tantôt lentes et délibérées, tantôt plus rapides, et il faut apprendre à réagir soit un peu en décalage, soit immédiatement quand il lance son épée. Et puis, il gagne une attaque de zone qui surprend les premières fois. Cette phase est beaucoup plus traître, notamment car les attaques font deux fois plus mal et que beaucoup peuvent nous tuer en un coup, ou nous immobiliser sans que l'on ne puisse répliquer. Les fenêtres de soin se réduisent aussi conséquemment, ses attaques pouvant être plus rapides qu'on ne le croit.

Même la Pêcheresse n'avait pas ce degré de finesse et d'exigence dans ses attaques à ce que j'ai trouvé. Je ne sais pas si ce sont les mêmes développeurs qui ont travaillé sur les DLC, mais c'est vraiment le jour et la nuit en terme de level design et de boss. J'ai préféré ce deuxième, celui du Roi de Fer, à celui du Roi Englouti, mais aussi, j'aime beaucoup explorer des structures verticales ^^ Aussi, j'ai trouvé la progression moins laborieuse, même s'il y a encore quelques salles remplies d'ennemis... Je n'ai pas fait toutes les zones, j'y reviendrai sans doute, mais je veux d'abord explorer le dernier DLC ! Vous avez bien fait de me convaincre