Le titre du topic n'est pas des plus limpides. En fait il ne s'agit pas de dire quelle fin vous changeriez parce qu'elle gâche le film, mais plutôt quel est le film pour lequel à chaque fois que vous le regardez vous rêver à un autre dénouement pour quelque raison que ce soit...

Moi par exemple c'est L'Impasse, j'ai beau faire, à chaque fois que je le regarde j'espère que Carlito Brigante va s'en sortir et je me perd en imprécation sur ce f* de p* de Benny, Benny Blanco, l'homme du Bronx!

bah, très certainement celles de tout les "retour vers le futur.
j'adore cette trilogoie, mais je trouve que, sur ce coup, Spielberg est passé à coté de qulque chose...
de meme, rencontre du troisième type, j'aurai aimé voir quelque chose de réellement impressionnant, car meme la vraie fin est décevante...
sinon, à la fin de "la boum", j'aurai bien aimé voir Sophie Marceau faire un streap-tease...
également la fin de "la liste de Schindler", que je trouve trop "happy end" par rapport au thème abordé.
et d'autres films encore, mais là, 'faut que j'aille bosser...
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"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

C'est clair Chevalier, Spielberg est tellement passé à côté de ces films qu'il ne sont pas de lui mais de Robert Zemeckis !

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J'aimerais changer un détail dans la fin de Rencontre du troisème type édition spéciale.
Quand Neary entre dans le vaisseau extra-terrestre, ce qu'il y voit est tellement beau et féérique que le musicien John Williams, atteint d'un accès de sénilité passagère, a cru bon de faire retentir à ce moment là la petite mélodie qui introduit les films de Walt Disney. Quelle horreur !! Je sursaute à chaque fois que je le vois, et je n'arrive pas à m'expliquer cette bourde d'un compositeur qui fait pourtant depuis 30 ans un magistral sans-faute.

Voilà ce que j'aimerais changer dans ce film que par ailleurs je trouve merveilleux.
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La fin de "Il est revenu" trop pourris, à croire qu'il est impossible de bien adapter un bouquin de King (sauf qques exception comme Dead Zone ou La Ligne Verte).

La fin de 2001 l'Odyssé de l'Espace, qui ne retranscrit pas avec exactitude ce qui fut ecrit par Arthur C. Clarke (il reste tout de même un film culte).

John Williams a fait ça ???
Je m'en rappelle plus j'ai vu ce film y'a beaucoup trop longtemps...
C'est laquelle la musique de Disney? Celle qui est issue de la Belle au Bois Dormant (enfin je crois, c'est vieux tout ça)?

E.T. !!! Je veux qu'il reste sur terre !!!!!

Ca n'étonnera personne que je réagisse, là
2001 est à l'origine un film de Kubrick écrit par Kubrick en collaboration avec Clarke (même si Clarke s'est un peu fait lourder sur le fin, classique avec Kubrick), en s'inspirant vaguement d'une nouvelle de Clarke intitulée "The Sentinel".
Le roman "2001 l'odysée de l'espace" a été écrit après la sortie du film par Clarke qui désirait éclaircir les éléments laissés volontairement flous par Kubrick. C'est plus une explication du film qu'un roman, donc, et il est normal qu'il y ait des différences.

Et surtout, le final de 2001 est un des plus grands moments de l'histoire du cinéma, alors pas touche, svp, merci

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KipCool LOLO, respire un grand coup, desserr la ceinture, ha va mieux hein.

Tu t'emportes un peut quoi, je trouve simplement la fin complexe pour le commun des mortel (perso elle ne m'a pas derangée, mais il est souvant difficile de suivre les pas de Kubrick). Je le repète, 2001 A Space Odyssey est pour moi un film culte (autant que la serie de romans de Clarke cad 2001 2010 2061 et 3001, ainsi que La Sentinelle evidemment).

PS : un peut à la bourre (comme dab quoi), mais joyeux anniversaire.

Je pensais que les suffiraient à te faire comprendre que j'étais pas en colère. Au contraire, c'est toujours un plaisir de parler de ce film .

La fin de Kubrick était volontairement floue et déroutante, car c'était une tentative de film "sensoriel" ou la raison du spectateur ne serait pas mise à contribution. Un tel parti-pris impliquait de réaliser un film d'une beauté picturale irréprochable, et surtout intemporelle. Et le pari est réussi : 2001 ne trahit jamais son âge (sauf par la représentation qu'il donne des ordinateurs futurs, mais c'est un détail).

Tiens, une citation approximative de l'auteur à propos de 2001 : "Si vous avez tout compris, c'est que nous avons échoué."
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La fin de Zombie (78) qui devait à l'origine se déroulait comme ceci: le membre du swat se suicidait et la jeune femme enceinte faisait de même en se jetant dans les hélices de l'hélico. "Malheureusement", Georges A. Romero a changé d'avis du coup le membre du swat ne se suicide pas et il s'en va avec la femme à bord de l'hélico laissant les zombies faire leur course tout seul dans le supermarché.

la fin de "la nuit des morts-vivants " (l'original).
premier film de l'histoire du cinéma (noir et blanc), ou un noir est le héros!!!
il sauve tout le monde au péril de sa vie, meme de bon gros fachos, et tout ça pour quoi?
pour etre abattut par les flics...
j'aurai tellement révé d'un shérrif qui vienne lui serrer la main en lui disant :" vous etes un héros".
ben non, dans les films Américains, meme encore aujourd'hui, t'es noir, tu crève...
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Une grande reussite

La nuit des morts vivants (68) est aussi de Romero et à la fin du film ils meurent "tous" ce qui n'est pas le cas du remake de Tom Savini (sauf erreur) en couleur.

A propos, dans zombie le membre du swat est aussi noir et pourtant il survit...

D'ailleurs, je crois que si Romero a justement fait que le héros de la nuit des morts vivants (68) soit abattu c'est plus une attaque sur cette époque, car il faut tout remettre dans le contexte... D'ailleuirs, dans le film la fille mange sa mère, une grosse bourgeoise...

De même, le fait que zombie se déroule dans un supermarché n'est pas innocent... Zombie fut même interdit aux moins de 18 ans à sa sortie, on y flingue des gosses etc.

J'espère que l'idée que Romero soit "raciste" ne vous a même pas éffleuré...

absolument pas. et j'avais bien pigé le truc. seulement, je pense que le fait de ne pas tuer le héros aurait peut-etre pu etre un fantastique pied de nez aux wasp.
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Certainement, mais du coup cela aurait peut-être été moins "réaliste."

ah? parce-que des zombies qui passent leur temps à bouffer de la cervelle au kilomètres, tu trouve ça réaliste?
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Fallait pas envoyer une sonde sur jupiter!

Et si l'on omet le fait que l'on ne sait pas exactement comment des gens sont devenu des zombies, le film se cadre dans un contexte cohérent et actuel, ce n'est pas de la sciences-fiction. Les acteurs interprêtent des personnages qui sont pour ainsi dire "normaux" mais devant faire face à une situation extraordinaire.

De plus j'aime bien l'imagerie du zombie, société stagnante, apathie, ramoli du bulbe...

heu...si, on apprend comment cela est arrivé, lorsque le couple (les premiers à mourrir), s'embrassent dans la voiture en écoutant la radio.
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Il me semble que c'est plutôt la musique de la fée de Pinocchio.

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