Il est clair que le 4eme épisode était bien plus marquant à l'époque de sa sortie, c'était une vraie révolution.

Néanmoins, avec ce 6ème épisode, c'est la formule du 4 qui va au bout de ses intentions, le rythme est meilleur, le gameplay est meilleur, les situations sont plus variées, le fait qu'il y ait 4 campagnes différentes est une excellente idée (surtout qu'il y a des parties d'embranchement de scénario qui diffère pas mal selon le personnage choisi), et ça assume jusqu'au bout son statut de rollercoaster AAA que même Michael Bay aurait du mal à mettre ça sur un écran de cinéma.

Et puis voilà la trilogie de ouf : Resident Evil 4, 5, 6. Il y a de quoi tenir un an de jeu facilement avec ces 3 titres. J'envie les gens qui ne les ont pas encore fait.
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Je trouve que resident evil 4 à un rythme supérieure. RE 6 est une montagne russe qui serait toujours sur la descente. Le trouve le 4 plus équilibré et il arrive à ménagé ses effet.
Mais bon resident evil 4 n'a pas de t-rex mutant.
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Amis ! Nous sommes au bord du gouffre . Faisons un grand pas en avant !

Oui c'est vrai.

Pour ceux qui regarde/ont regardé How I met your mother, on pourrait résumer la philosophie de Resident Evil 6 à ça :


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Dites, ce jeu m'intrigue au plus haut point, il s'est fait démolir par 80% des gens et les 20% restant le défendent bec et ongles. Et j'avoue que ça me donnerai presque envie d'aller me le faire par moi même pour voir de quoi il en retourne.

Alors de tous les avis que j'ai pu voir ici où ailleurs il y a quelques aspects que je retiendrai comme positifs: la durée de vie très longue (25 - 30h pour boucler les 4 campagnes si on rush pas comme un ouf), un contenu pléthorique, de l'action en veux-tu en voilà et en re-voilà et en re-voilà encore, du grand gignolesque qui donne lieu à de nombreuses situations WTF croustillantes (oui j'ai fait assez facilement mon deuil de l'aspect Survival Horror des débuts de la série), un gameplay arcade avec une grande marge de progression.

Maintenant dans ce qui me refroidit un peu c'est l'aspect coop, si je me le prends dans un premier temps ça sera pas pour jouer en duo j'aime bien découvrir les jeux à mon rythme ni trop vite, ni trop lentement et malgré le fait que RE soit devenu un jeu d'action il reste quand même un jeu à ambiance également et ce côté là se conjugue assez mal avec du coop online pour un premier run (à deux dans la même pièce je ne dis pas, mais y'a aucune chance que je puisse me retrouver dans ces conditions). Et donc c'est ici que ça fait mal, apparemment l'IA du coéquipier en solo est complètement à la ramasse et ça je pense que c'est ce qui me fait le plus hésiter à sauter le pas parce que vraiment c'est le genre de défaut capable gâcher une expérience. Alors est-ce aussi catastrophique que ça au point de tuer le rythme du jeu? Qu'un coéquipier soit inefficace je peux faire avec, ça serait comme jouer en solo c'est pas très grave, mais si c'est un boulet qu'on traîne là ça peut vraiment contrarier.

Autre point qui me questionne c'est cette fameuse marge de progression, j'ai entendu à droite et à gauche qu'on découvre des mouvements/combos importants pour bien progresser seulement après 3 ou 4h jeu par pur hasard parce que ces manips n'étaient indiquées ni dans un tuto, ni dans la notice du jeu. Qu'on ne soit pas pris par la main dans un tuto, j'ai rien contre, en revanche le coup de découvrir des nouveaux mouvements ou comment on fait ci ou ça par hasard ça je considère que c'est plutôt une faiblesse. Est-ce vraiment comme ça que ça se passe?

Pour conclure je dirai que je compatis à la douleur de ceux qui espéraient un retour au RE classique ou un compromis entre les deux à la RE4, mais si ce RE6 est un bon TPS arcade de la veine de Binary Domain (en plus long) je pense que je suis prêt a souscrire.

Resident evil 6 est un très mauvaus jeux coop. Il n'y a pas de partage de munition et d'herbe par exemple. Il arrive qu'on soit séparé mais l'IA est alors scirpter et n'offre pas de frustration. Les rares moment qui gêne à la limite c'est pour ouvrir des portes.

Le jeux n'explique rien mais il y a une notice en ligne. La courbe de progression est très grande, découvrir les mécaniques est un réel plaisir.




Resident evil est mort, vive resident evil !

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Aussi loin que je me souvienne (et je ne jouait pas en dessous du mode "pro'") je n'ai jamais vu mon/ma partenaire mourir. L'IA est parfaitement autonome et se permet d'abattre des cibles si on est trop paumé (le coup des otages en Chine par exemple).

RE6 est un très mauvais RE0-1-2-Veronica mais un excellent RE4-5 et un des meilleurs jeux d'action de cette génération.
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Pour faire simple l'IA est invincible avec les balles infinies, donc pas de souci pour jouer
Par contre balles infinies ca veut pas dire qu'il va forcement te couvrir. Tu vas etre souvent en galere de munitions.
Mais sinon le mieux c'est de decouvrir le jeu par toi même Kimuji.

Perso je trouve que c'est le moins bon des RE (bon un peu devant l'episode GBC), pour d'autre un des meilleurs....
Donc à toi de te faire ton avis et de nous le faire partager ^^
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Bon ben je crois que vous me l'avez vendu, je ne suis pas à la recherche d'un RE traditionnel, si RE6 est aussi fun qu'un Binary Domain avec un contenu double ou triple alors ça devrait me plaire.

RE 6 n'est pas aussi fun qu'un Binary. Binary est fun, RE 6 ne l'est pas, stou.

J'avais pas vu !
On peut filer des mumu' mais en écran splitté pas en ligne puisque le loot se duplique sur les deux parties.
Et quand tu te soignes à proximité de ton équipier, tu le soignes aussi même en gobant une pilule. Sans compter que tu peux décider de le relever en lui donnant des pastilles de soins... ou pas ^^
Dans le mode mercenaires, tu n'as même plus besoin de proximité si tu possèdes une compétence spéciale.
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Ayé enfin fini. Mon petit topo final sur Resident Evil 6.

Campagne de Leon : La campagne est assez longue, faut compter 8 heures pour la boucler lors d'un premier run. On est accompagné d’Héléna Harper, une nouvelle venue, une sorte de Léon au féminin. L’aventure commence classiquement dans un campus universitaire avec des zombies, l'atmosphère est fidèle aux ambiances manoirs de la série, avec de superbes jeux de lumières et des environnement de toute beauté. Après le campus, on prend la fuite vers la ville, avec un passage dans un métro souterrain assez jouissif, puis on arrive dans une ville infestée de zomblards, et on finit par se réfugier dans une armurerie non sans peine, en ayant sauvé et récupérer un groupe de survivants. Tout, ça, c'est juste le premier chapitre! C'est super rythmé, ça se renouvelle sans cesse, ça annonce la couleur pour la suite, on va avoir un Resident Evil orgiaque, rempli à ras bord de générosité. La suite se poursuit dans une église et ses catacombes, là encore, très bonne ambiance lugubre, et une coopération vraiment bien intégrée. On en apprend un peu plus sur Héléna dans ce 2eme et 3eme chapitre. Le rythme se calme un peu, c'est moins effréné, et ça permet de souffler un peu avec un 1er chapitre tonitruant. Le chapitre suivant est une tuerie intégrale, avec un long passage dans un avion de ligne avec des zombies, et on débarque en Chine dans un climat de fin du monde, dans une atmosphère qui suinte la maladie, l'incubation de cochonneries et autres grippes porcines. Avec ce chapitre, on change complètement d'ambiance et de décor, pour commencer ce qui sera l'élément centrale de tous le jeu, la ville de Tatchi en Chine, infestés de J'avos, une sorte de mutation des Plagas qui beuglent en cantonais, et qui sont sujet à des transformations assez peu banales. La campagne se finit sur un chapitre qui constitue un très long combat contre un boss qui ne veut pas mourir. Capcom a un peu abusé sur la longueur du boss, mais l'intensité dramatique qui conclue le chapitre fait passer la pilule, et Léon a son heure de gloire assez jouissif.
Je vais être bref, la campagne de Leon tue sa gueule, elle mérite à elle seule de jouer à RE6 tant la qualité est là.

Campagne de Chris : On commence directement en Chine, et on découvre Piers Nivans, soldat du BSAA et partenaire de Chris. L'action débute dans les rues de Tatchi pour partir assez rapidement dans les immeubles insalubres de la ville. Ici, on est plus dans un TPS guerrier avec énormément de J'avos à buter à la mitraillette. Normal, on joue 2 soldats super-entraînés, on est pas là pour faire dans la dentelle. Après àa, on a une petite interlude avec un chapitre entier en Edonie, quelque part en Europe de l'Est. On passe à une ambiance hivernale avec des décors enneigés, et un contexte de guerre qui n'est pas sans rappeler les guerres dans les Balkans. Puis on revient en Chine, avec une course poursuite à travers les étages d'un monstre invisible, des hélicoptères armés jusqu'aux dents à buter, et une poursuite en jeep (avec un gameplay assez douteux, mais ça passe. D'ailleurs, j'ai bien aimé ce passage car les 2 personnages prennent le volant en alternance, et comme j'ai fait ce passage avec ma soeur en écran splitté, et que la conduite, c'était pas son truc, on s'est littéralement passer le volant comme dans un film de de Funès ). Puis on arrive aux docks de la ville et dans un navire, et là, on est confronté à d'autres types d'ennemis plus coriaces, dont certains rappellent les Ganados de RE4, avec une ambiance plus claustrophobe que la ville. Mais bon rassurez-vous, ça va quand même se finir avec des avions de chasse qui vont tout exploser! Enfin l'ultime chapitre se déroule dans une plate-forme en pleine mer, avec un boss qu'il faut se farcir en plusieurs fois. Comme avec Léon, ça tire un peu en longueur, mais le dénouement dramatique compense largement ce défaut. Pour conclure, la campagne de Chris est presque aussi longue que celle de Léon, le buddy duo Chris et Piers marche super bien, et niveau rythme, ça tue bien, on n'a pas le temps de s'ennuyer.

Pour moi, ces 2 campagnes sont les meilleurs du jeu, tellement le rythme est soutenu, le contenu généreux, et le côté blockbuster hollywoodien assumé à 200%.

Campagne de Jake et Sherry : on commence en Edonie, avec une sorte de Tyrant appelé Ustanak qui va nous poursuivre durant toute la campagne. Jake est assez intéressant à jouer, car c'est un personnage essentiellement tourné sur le corps à corps, il a peu de munitions, et il possède une habilité qui lui permet d'atteindre des endroits inaccessibles à Sherry. Après un autre crash d'avion, on se retrouve dans des montagnes enneigées avec un épais blizzard qui nous empêche de voir à plus de 5 mètres. On peut s'interroger sur ce choix de gameplay, mais ça dure assez longtemps pour nous donner du fil à retordre, mais pas trop pour commencer à être insupportable. Ensuite, changement total avec un chapitre 3 qui rappelle un peu Mirror's Edge par moment. Le duo doit s'enfuir d'un complexe bien gardé rempli de J'avos. C'est assez déroutant, mais ça varie les situations. par la suite, on se rend compte qu'ils étaient fait prisonnier quelque part en Chine, et qu'encore une fois, on va avoir droit à un chapitre à Tatchi qui va également nous conduire à la plate-forme en pleine mer, avec enfin la confrontation finale avec l'Ustanak. Cette campagne est moins longue que les 2 précédentes, et qui alterne les moments calmes et les séquence d'action effrénées. La répétition commence à se faire sentir, car comme toutes les campagnes se croisent entre-elles, on refait de courts passages avec les autres personnages.

Campagne d'Ada : cette fois, c'est une campagne vraiment solo, avec Ada, équipée d'une arbalète et d'un grappin bien utile, qui a trempé son nez dans toutes les campagnes, elle est comme une sorte de fil directeur de toute l'intrigue du jeu, elle est le personnage tapie dans l'ombre qui intervient à des moments cruciaux. On commence dans un sous-marin qui est tout simplement en train de couler. C'est donc une longue poursuite en avant pour se tirer de là, avec son lot de compte à rebours et de die and retry. On se farcit ensuite un passage dans les catacombes où sont déjà passé Léon et Héléna. Puis elle arrive en Chine pour rejoindre les joyeux drilles, avec un passage en ville et également à bors du navire avec Chris et Piers. On finit avec le final de la campagne de Léon. De loins la campagne la plus courte, elle peut se boucler en 4H, et malgré la répétition qui commence à se faire vraiment sentir, les chapitres sont assez courts et ça passe assez bien finalement.


Un petit mot sur les très décriés QTE. Je les ai trouvé parfaits, ce ne sont pas de bêtes QTE, on sent la patte Capcom derrière. A l'instar du parrying de SF3, on a parfois des QTE qui vont à l'opposé de ce l'instinct du joueur va faire, ce qui va provoquer des crises de nerfs au début, mais qui va nous forcer à gagner en concentration pour jouer contre-nature. C'est juste parfait pour maintenir la pression au joueur, et éviter qu'il joue en pilotage automatique. De même qu'il y a aussi des QTE à effectuer en rythme, souvent dans le but de débloquer un passage en urgence, et cette pression nous pousse à l'erreur forcément. Il y a un très bon équilibre avec ces QTE qui font le liant entre les scènes d'action, pour maintenir une certaine intensité. C'est largement mieux utilisé que dans les épisodes précédents qui étaient déjà pas mal dans le genre.

On obtient donc un jeu qui se fait en un peu moins de 30h, ce qui est énorme pour un RE, voire un TPS classique de nos jours. On sent la générosité par transpire par tous les pores, avec ces 4 campagnes qui se coupent, s'entrecoupent, et qui se finissent ensemble. On a des duos qui se jouent assez différemment, avec une approche plus classique avec Léon, une approche plus TPS avec Chris, une approche plus beat'em all avec Jake, et un gameplay plus axé infiltration avec Ada. Capcom a même pensé à offrir des interfaces différentes entre les campagnes, du coup, ça donne vraiment le sentiment de différenciation. RE6 assume totalement son côté blockbuster, et j'ai trouvé les cinématiques absolument géniales. L'intrigue parait décousue, mais ces scènes permettent de développer la caractérisation des personnages et c'est une réussite totale de ce point de vue, les nouveaux personnages Héléna, Piers et Jake rejoignent le cercle des héros charismatiques de la série, et on a hâte de les revoir dans des épisodes ultérieures. Et puis Chris est absolument terrible dans cette épisode, il gagne en profondeur, il a franchi un cap, on est bien loin du membre du STARS de RE1.

Il faut savoir que le jeu propose 5 niveaux de difficulté, énormément de secrets à découvrir impossible à tout trouver lors d'un premier run tellement on est pris par le rythme, pleins de succès à débloquer avec des noms qui font références au cinéma, des habilités à upgrader (ça remplace le système d'upgrade des armes), et un mode mercenaires qui est dans la droite lignée des précédents épisodes (cad qu'on peut les considérer comme des jeux à part pour peu qu'on soit adepte du scoring et qu'on veuille débloquer tous les personnages et tous les costumes), et qui prend même une autre dimension tant le gameplay générale du jeu semble avoir été pensé pour ce mode Mercs. On a donc une durée de vie qui frôle l'indécence, une campagne solo/coop qui tient en haleine et plein d'extras à faire. J'ai fait les campagnes à la fois en solo et en coop, et même si le plaisir est décuplé en coop, le jeu se fait très bien en solo, le partenaire a une très bonne IA, ce qui fait qu'on a pas à se préoccuper de ont état, et qu'on est pas frustré avec une IA débile.

En résumé, Resident Evil 6 est un jeu qui ressemble à un jeu occidental avec son enrobage hollywoodien, mais qui est tellement japonais dans le fond. Resident Evil ne cherche par le réalisme à tout prix, on ne cherche pas la maniabilité absolue. Ici, les règles du jeu sont imposées. On ne peut pas tirer en courant? Soit. On ne peut pas se retourner instantanément pour tirer sur des ennemis derrière soi? Tant pis. De toute façon, le jeu n'impose pas de devoir faire ce qu'on veut. A chaque situation proposée, il y a une solution adéquate. On meurt souvent dans RE. On meurt parfois à répétition, jusqu'à ce qu'on trouve la solution. Tellement japonais. Arcade, exigence, humilité et game over. Des notions qui semblent être oubliées chez beaucoup de joueurs.

J'ai pris un pied monstre sur RE6, j'en ai pas encore fini, et je ne peux que le recommander chaudement.

Honte à la presse qui ne savent pas apprécier un vrai jeu, et pas un jeu qui est consommé, plié et rangé tranquillement dans sa boite une fois fini.
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Un truc aussi que j'ai découvert complètement au pif... certaines armes (toutes spécifiques aux personnages) ont un tir rapide "augmenté" qui rend l'arme plus intéressante.
L'hydra par exemple, dans le 5 Chris le tient comme Dante-la-classe et ventile large. Mais dans le 6, Helena le tient normalement et se vide très vite sans pour autant être surpuissant. En revanche en tir rapide, elle sort une esquive bienvenue qui met hors de protée du corps à corps tout en allumant la cible.
J'ai toujours considéré le tir rapide comme un truc inutile qui crame les munitions mais ça m'a l'air plus utile que ça depuis.


On peut tricher en une pression sur "courir" (X ou A) lorsque le personnage se retrouve face caméra.
Sinon, il existe l'option qui fait en sorte d'orienter la visée-épaulée directement dans le sens de la caméra ou l'inverse : orienter la caméra dans le sens du regard du personnage en cas de visée-épaulée.
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rhaaaaa le pavet. Bon j'ai lu que les conclusions mais bon après chacun son point de vue

Pour tirer sur un mec qui est dans ton dos moi je fais avec le tir rapide
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Je ne suis pas sur de comprendre. Il faut faire quelque chose de spécial pour déclencher cette feinte-tir??

Je ne connaissais pas le nom d'Hydra pour le fusil d'Helena, je suis tombé sur ça sur youtube :


oO, encore un move que je n'avais jamais vu, triple esquive-tirs!! Pourtant, j'ai bien joué avec Helena lors de la campagne de Léon?!

Ce jeu regorge de surprises géniales.
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Tellement d'accord avec Yoshiki !
Malgré son apparence de TPS lambda, RE6 est une perle de jeu jap' et une grosse partie de la presse et des joueurs - autant ceux qui attendaient un survival, qu'un TPS traditionnel- sont passés à côté.
Yoshiki, tu parles de maniabilité contre-nature, moi, je pense surtout que les joueurs ne sont plus aussi ouverts qu'avant, refusent de facto une maniabilité qui ne correspond pas aux normes d'un genre - je crois avoir parlé d'occidentale-centrisme du gameplay quelque part. Ca me rappelle God Hand, toujours chez Capcom/Clover, dont l'esquive (stick vers l'avant) n'était pas "logique"/naturelle en début du jeu, et qu'on retrouve sur MGR: Revengeance (mais en tant que parade)...

En general tu découvres ce genre de feinte en jouant beaucoup en mercenaire. Enfin c'est mon cas. Le tir rapide je m'en suis pas servi pendant la campagne. En plus c'est chiant à faire, faut faire les 2 gachettes l'une après l'autre. Comme une fourchette.
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Ben non, le tir rapide, faut appuyer les 2 gâchettes en même temps.

Sinon, VICTOIRE, j'ai enfin réussi à avoir un rang A dans le mode Mercs, j'ai débloqué le costume de pirate de Léon! Purée, j'ai l'impression d'être nul à ce mode, j'ai bien lutté, et je sens que ça va être la galère pour les autres persos. D'ailleurs, je ne sais pas du tout joué les autres niveaux Mercs, je me suis essentiellement concentré sur Chaos Urbain, la structure du niveau est assez facile à apprendre.
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Bah tu verrras ca s'apprend le mode mercs. T'as 2 technique, soit tu petes tous les sabliers en 1er et après tu tournes dans le niveau. Soit tu fais les 2 en même temps.

Parce qu'en fait tu peux pas rester statique sinon les mecs respawnent plu. Faut tourner dans le niveau vers les sablier pour les faire apparaitre tous. Après y'a des boss cachés que tu débloque en faisant certains trucs, mais bon c'est assez chiant.
Celui du pont par exemple j'ai jamais reussi à l'avoir
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Sinon, c'est quoi les meilleurs habilités pour scorer en Mercs?

Moi j'équipe celui qui augmente la puissance de feu.

Mais j'ai vu pas mal de vidéos de mec qui ne font que des counters (ça tue direct, et ça rapporte 10 sec de rab), et même en équipant de l'habilité Puissance de contre, je n'arrive pas à en faire à chaque fois.
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Moi je mets le bonus de temps et je tente le plus de finish au corps à corps.
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