Idem pour moi, que de l'inconnu tout ça.
Mais dis moi miss, tu as des rudiments de Jap? Je n'oserais même pas démarrer un RPG en jap

Ouais, je sais dire "Bonjour", "Au revoir", "S'il vous plaît", "Où est l'hôtel" et "Kamehameha". Avec ça tu t'en tires partout.

Plus sérieusement, non, moins que trois fois rien (deux fois rien ?). Les civilités, quoi. A une époque j'avais juste appris les alphabets syllabaires, et j'ai des restes, ce qui peut servir dans les menus, mais c'est tout. J'use donc de la technique de "je parle à tout le monde, je tente un par un tous les menus jusqu'à ce que ça débloque quelque chose".

Si j'avais su j'aurais juste fait un Grosblog Mega-CD
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Le Mega-CD, je le considere un peu comme le CD-ROM de la PCE. Bon ok, meme les jeux cartouche, la NEC n'a jamais ete tres connue en Occident, mais quand meme un minimum. La version CD par contre, c'etait vraiment clairement pour des joueurs d'import. Le Mega-CD joue dans la meme classe (meme s'il y a bien plus de bons jeux sur PCE CDR que sur Mega-CD...)
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Je ne pense pas qu'on relèvera le niveau moyen de la machine avec le prochain jeu...

Aisle Lord (Mega-CD)
(Wolf Team - 1992)




Je vais être beaucoup moins prolixe sur Aisle Lord que sur les précédents RPG, car je dois avouer que je n’ai rien compris à ce Dungeon Crawler. Une fois l’introduction à peu près animée du jeu terminée (avec une chanson et tout, Mega-CD oblige), une autre cinématique en FMV absolument dégueulasse nous présente le héros qui se voit remettre une épée par une prêtresse ou quelque chose comme ça. Et on bascule dans le jeu à proprement parler.

Et là.... Bon, la vue est à la troisième personne, mais c’est vraiment histoire de faire son intéressant parce que la façon de se déplacer est la même que dans Dungeon Master, si ce n’est qu’on fait plusieurs pas à la fois. Lorsqu’on est dans une pièce (je pense avoir trouvé des boutiques ou du moins des maisons), on déplace un curseur qui permet au choix de regarder, prendre, parler ou se déplacer. De temps à autres on se fait attaquer, et on engage un combat au tour par tour. Malheureusement, bien que le choix des actions se fasse via des icônes, elles ne sont pas du tout explicites. De plus, je pense que j’ai raté un truc car je me suis fait tomber dessus par une meute de monstres qui m’ont défoncé.

Techniquement ce n’est pas gégé, on est assez proche de Shining of the Darkness, mais pas en plein écran. Les voix digits crachotent tout ce qu’elles peuvent et les musiques sont moyennes. Mais surtout, le jeu n’est pas du tout Gaijin-friendly. On est balancé dans des couloirs qui se ressemblent tous, et débrouille-toi.

De toutes façons, connaissant un peu le travail de Wolf Team, je ne serais pas étonnée que le jeu s’en sorte mieux dans le domaine de la poudre aux yeux que dans celui de la pure qualité. Je dis ça, je dis rien.
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Alshark (Mega-CD)
(Polydor - 1993)



Ce nouveau RPG qui, une fois de plus, n’a pas dépassé les frontières du Japon, se situe dans un futur où l’humanité a colonisé l’espace. Le père du héros, Shiron (et oui) se fait assassiner par un proche, semble-t’il possédé par un démon, et on doit enquêter. Tout ça, je ne l’ai pas su en jouant, mais en consultant la fiche du jeu sur Jeuxvideo.com (qui l’eût cru ?), car je ne suis pas allée jusque là.

Le jeu est vue de dessus, traditionnellement, mais n’est pas bien beau : on est plus proche de la PC-Engine mal exploitée que de la MD. Heureusement les déplacements comme les combats sont très dynamiques, les musiques sont très chouette et certains dialogues sont doublés, et de belle manière. On recrute très tôt dans le jeu une amie, avant de partir battre la campagne. Les combats sont aléatoires, et se déroulent au tour par tour, mais je n’ai pas bien compris leur fonctionnement : en effet, après avoir choisi d’attaquer, on désigne une cible commune pour les deux héros, ce qui me semble un peu idiot. La gestion de l’équipement est des plus rudimentaires puisqu’on peut uniquement équiper une arme à chaque main, un casque et une tenue.

Je ne suis pas allée très loin car mon héros s’est fait empoisonner très tôt dans le jeu, et je n’ai jamais réussi à trouver le menu de l’inventaire ou des magies (parce que la fille de l’’équipe a forcément des sorts de soin). J’ai réussi à réorganiser mon équipe (mais bon, on était deux), à voir mon statut, a ouvrir des milliards de fenêtres avec des milliards de texte, mais pas à trouver une plante anti-poison. Ce fut donc un retour immédiat au début du jeu. Je n'ai pas vraiment d'opinion mais les combats étaient quand même suffisamment intéressants pour que j'oublie d'en faire des screens. Vous ne ratez pas grand chose, notez.

Bon, la prochaine fois je pense que je comprendrai quelque chose à ce à quoi je joue !
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Seb fait le bon jeu du ween-end. Moi, je vous propose le non jeu du week-end.

The Animals - A true multimedia experience(Mega-CD)
(The Software Toolworks/Sega - 1994)




The Animals n’est pas un jeu à proprement parler, mais une encyclopédie sur le zoo de San Diego. L’écran principal est une carte, sur laquelle sont représentés divers thèmes : l’accueil du zoo, la forêt équatoriale, la nurserie ou encore le centre de recherche. On choisit son thème en déplaçant un petit bonhomme sur la carte.

Chaque thème propose une série de photos et de vidéos, qui peuvent être soit purement illustratives, soit être de vrais petits documentaires ou des interviews de spécialiste en tel ou tel domaine. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg : en allant directement dans encyclopédie générale, on a accès à tous un tas de contenus supplémentaires : des sons, avec les cris des animaux, beaucoup de textes (avec la liste des espèces menacées, une classification des espèces), mais aussi quelques conseils écologiques, voire militants, avec une sensibilisation à la déforestation et à la disparition des habitats naturels des animaux.

The Animals est un beau produit, mais qui malheureusement ne soutient pas la comparaison avec les encyclopédies qu’on trouvait à la même époque sur ordinateurs : Megadrive oblige, les photos ne sont pas toutes bien chouettes, et les vidéos se déroulent dans une toute petite fenêtre. De plus, la navigation est assez pénible : il faut maintenir une direction pour déplacer le petit bonhomme, sous peine de le voir revenir à son point de départ, et les temps de chargement pour accéder à la base de donnée sont incroyablement longs (on dépasse allégrement la minute pour certains d’entre eux).

Ça reste malgré tout une belle initiative (à but un peu publicitaire, ok), réalisée avec soin, et le jeu assure largement son quota de “owwwww” pour satisfaire les gagas des bêtes comme moi.

PS : le jeu est entièrement en anglais.

ASSEZ BIEN
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Adventures of Willy Beamish
(Dynamics/Sierra Online - 1993)




Willy Beamish est le portage d’un Point’n Click sorti originellement sur Amiga, puis PC et Mac. Il nous met dans la peau de Willy Beamish, un garçon cool selon les standards des années 90 (il y a une queue de rat capillaire, comme la gamin pourri gâté dans les Simpsons), qui s’est retrouvé en retenue parce que sa grenouille domestique a bondi sur scène pendant un discours du proviseur et lui a volé sa moumoute. On peut attendre tranquillement que la retenue se termine, ou bien se débrouiller pour fausser compagnie à la vieille prof qui nous surveille, non sans avoir bricolé un “Hall Pass” à montrer au prof de gym une fois dehors. Et c’est en allant aux toilettes qu’on se fera menacer par le dur de l’école, qui nous piquera notre Game Gear.

Tout ceci est bien évidemment traité sous un jour humoristique, et semble-t’il un peu sarcastique.

Le jeu a tout d’un dessin animé interactif, dans lequel on choisit assez souvent ce que Willy va dire, et qui prend de temps à autre des allures de Point’n Click. Il semblerait que, dehors ses aspects un peu tapageurs, Willy Beamish soit un jeu assez conformiste puisqu’à ce que j’ai pu lire, il faut la plupart du temps choisir la réponse la plus raisonnable pour espérer avancer dans le jeu (ce qui induit la possibilité d’être coincé à un moment si on a fait un mauvais choix). De plus, si on se comporte de façon trop effrontée, on finira à l’école militaire, symbole de Game Over.

Malheureusement, tout ça, je n’ai pu le voir par moi-même, la faute à des temps de chargement incessants, et interminables : vous choisissez une réplique : loading. Willy dit sa réplique. Loading. Réponse de l’interlocuteur. Loading..... Ah, Willy bouge, il va sortir de la pièce. Loading. Et ainsi de suite. C’est proprement horripilant.

Techniquement le jeu n’est pas horrible, les couleurs sont un peu délavées et le style graphique peut rebuter, mais ce n’est pas si mal. Par contre, l’animation est pour ainsi dire inexistante, et je pense qu’ils auraient du s’en tenir à des images fixes de meilleure qualité plutôt que d’opter pour cette parodie de DA. La musique est également omniprésente et particulièrement horripilante.

Bref, Willy Beamish, s’il n’a pas l’air d’être un chef d'œuvre, a quand même du potentiel pour peu qu’on accroche à son humour. Mais si on veut tenter le coup, mieux vaut le faire sur PC plutôt que sur cette pâle conversion.

MAUVAIS, jouez-y sur PC !
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ça m'a toujours intriguez la présence d'un tel jeu sur un support dépourvu de sauvegarde.

On pouvait tout à fait sauvegarder ses parties sur Mega-Cd, soit dans la RAM interne de la machine, soit par le biais d'une cartouche qui s'insérait dans le port de la MD. Un peu comme pour la Saturn en somme.
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Tu tiens un bon rythme Shenron, bravo !
Contrairement aux jeux en cartouche, je n'essaie pas les jeux Mega-CD systématiquement car il sont plus lourds à récupérer. Ce qui rend donc ton exploration et ton tri d'autant plus précieux ! Mais je pense que le "jeu" avec les animaux m'aurait énormément plu si j'avais eu la machine à l'époque.

Disons que j'ai refais mon compte et en fait je dépasse les 1100 jeux, donc il faut au moins ça pour finir avant d'être à la retraite

Pour les jeux Mega-CD j'ai récupéré un set partiel via Pleasuredome, qui en plus tourne sur Gens32, que j'utilise parce qu'on peut assigner les captures d'écran au pad.

Teasing : demain, c'est une spéciale Wolfteam !
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Willy Beamish est sur mega cd alors ?
Tiens je me suis toujours demandé, ils ont jamais sorti un equivalent de la neogeo cd x mais avec le mega cd ?
Parce bon un lecteur 1x..... Et sur emu c'est pareil, pas moyen de booster les loading ?
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Je n'ai pas essayé. J'imagine qu'on peut, mais le problème c'est qu'on des micro chargements entrecoupés de scène de dialogue, et que les dialogues sont doublés, donc si on accélère tout le temps on y perd.
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Finalement un seul jeu ce soir, je me rattraperai demain. Saleté de boulot !

Annet Futatabi (Mega-CD)
(Wolfteam - 1993)




Annet Futatabi (qu’on peut traduire par “Annet à nouveau”) fait suite à El Viento et Ernest Evans, deux jeux d’action/plateforme du même studio qui sont sortis auparavant sur MD et qui partagent le même univers, et dont je parlerai plus avant quand j’aborderai la lettre E. Contrairement à ses prédécesseurs, Annet Futatabi est un beat’em all, dans lequel, comme son nom l’indique, on dirige la chasseuse de trésor Annet.

Alors, ce que j’aime bien, avec Wolfteam, c’est qu’ils font toujours des intros super chiadées pour des jeux qui au final se révèlent en général moyens bof. Annet Futatabi ne fait pas exception, mais je l’aime encore plus parce que même l’intro vaguement animée fait cheap. Dans sa réalisation, d’abord, avec un chara-design inconsistant d’un plan à l’autre, le réemploi du même zoom sur un biplan 6 plans de suite, et une chanson sympa mais qui crachote à mort. Dans sa mise en scène, ensuite. Ernest et Annet se retrouvent dans un château louche, genre Transylvanie, qui appartient à une aristocrate. Evidemment, la doubleuse (pour le coup, les voix sont nickel) parle avec le ton typique des grandes dames dans les animes japonais : elle articule beaucoup, et prend une voix de gorge (si vous avez vu Ranma ½ en VO, imaginez Kodachi la rose noire. Ou à peu près n'importe quel personnage féminin de Lady Oscar, ça marche aussi). Tellement caricatural, que je suis mise à imiter son rire caractéristique... et au même moment, le perso en faisait de même. Je ne vous dis pas le fou rire que j’ai piqué

Bref, la méchante dame envoie ses sbires piquer le collier d’Annet, qui se défend, et c’est comme ça qu’on commence à tataner du béret vert, du vilain en collant et du chevalier en armure. La palette de coups d’Annet est honnête : elle ne possède qu’un seul enchaînement, mais peut aggriper et balancer ses ennemis, courir dans toutes les directions et enchaîner avec un high kick ou encore faire un super coup sauté. Le problème, c’est qu’elle ne frappe pas fort et qu’elle encaisse mal : une fois à terre, on met 2-3 secondes à se relever et être à nouveau opérationnel, ce qui permet aux ennemis de lâchement nous enchainer. Ils peuvent aussi casser notre combo, ce qui est injuste. Annet possède aussi une magie, qui se charge sur plusieurs niveaux de puissance avec une jauge. Mais là encore, c’est un peu faiblard car même le sort le plus puissant, la Mort, ne tue pas systématiquement les ennemis. Et en plus la magie est désactivée contre les boss. A ce sujet, je n’ai pas réussi à battre le premier boss qui peut tuer en un seul coup.

Le jeu se tient au niveau technique : on a vu bien mieux sur MD, surtout en 1993, mais ça reste dans la moyenne et surtout de bon goût. Le sprite d’Annet est très détaillé et bien animé, au contraire des ennemis. J’ai remarqué quelques clignotements de sprite, mais c’est peut être du à l’émulation. Les musiques sont très sympa et le jeu bénéficie de très bonnes digits vocales. Annet répond bien, mais certaines collisions sont un peu hasardeuses et le jeu manque de rythme et de punch, sans parler du fait qu’on n’a qu’une seule vie et qu’en cas de mort, on recommence le niveau en cours depuis le début. Et il n’y a même pas de mode deux joueurs.

Bref, Annet Futatabi semble être un jeu Wolfteam classique : pas mal d'esbroufe pour peu de résultats, mais c’est toujours assez raisonnablement torché pour occuper une après-midi pluvieuse.

MOYEN
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Pas tout a fait. Le 2eme est un jeu MCD, seul le 1er est sur MD.
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Pas pas tout à fait. Le deuxième est à la fois un jeu Mega-CD pour le Japon mais Mega Drive/Genesis pour l'Amérique du Nord... et rien pour l'Europe.
(Source)

Merci pour les précisions
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Arcus I-II-III (Mega-CD)
(Wolf Team - 1993)




Sorti uniquement au Japon, Arcus I-II-III est une compilation/remake des 3 épisodes du RPG Arcus, sortis sur X68000, NEC PC-8801, NEC PC-9801, et MSX à la fin des années 80. Malheureusement je n’ai absolument rien trouvé concernant ces jeux, si ce n’est que leurs scénarios se suivent et qu’ils ont plutôt bonne presse, surtout grâce à leur scénario. Ce remake Mega-CD les compile en actualisant les graphismes et, CD oblige, l’ambiance sonore. Particularité : on est obligé de faire les 3 épisodes dans l’ordre.

Arcus 123 est un dungeon crawler pure souche. On dirige nos héros (on commence seul et on sera amené à en recruter 5) et on parcourt des donjons en vue à la première personne. La progression se fait case par case, et fort heureusement une carte se dessine petit à petit (on l’active en appuyant sur C), mais malheureusement elle est sommaire et désespérément statique. Sinon bah, on affronte des monstres au tour par tour, on trouve des coffres, tout ça tout ça. La progression est assez agréable, car fluide et assez instinctive : si on est tout de suite jeté dans un bain de dialogues et de menus, ces derniers sont assez explicites pour qu’on puisse à peu près s’en sortir, y compris chez les marchands d’armes et d’armures. Et fait pas forcément courant à l’époque, on sait quels seront les effets d’une pièce d’équipement avant de l’acheter... Les déplacement entre les différents points d’intérêt se font instantanément via une carte du monde, on se concentre sur l’essentiel : les donjons. Le seul que j’ai parcouru avait des murs entièrement gris, et n’était pas bien accueillant, peuplé de slimes et de chauve-souris, mais avait une structure relativement simple, malgré la présence de boutons à activer. La musique était très bien, et surtout le morceau du donjon était long et varié.

Le problème étant que je ne savais pas du tout ce que j’étais censée faire dans ce donjon (et que j’ai un sens de l’orientation exécrable), j’ai un peu tourné en rond jusqu’à ce que je me fasse tuer - je n’avais pas acheté d’herbe de soin. Voila.

Pour ceux que ça intéresse un test très élogieux de Arcus I-II-III
Et quelques images du premier Arcus sur MSX.
Un article relatant l'histoire de Telenet
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Je suppose qu'il y a un rapport (scénaristique ?) entre ces Arcus et Arcus Spirits / Odyssey de la même équipe ?


En fait, la bonne réputation de Wolfteam / Telenet, c'est surtout auprès des joueurs occidentaux, et du à l'abondance d'illustations très "manga" à une époque ou le style explosait en popularité ici, non ? Ou bien y a-t-il également un "culte" autour d'eux au Japon ? (datant d'avant la sortie des Tales je veux dire)
De mon coté (explo Snes), je suis également tombé sur des titres souvent moyens, et même quand c'était bon (Neugier, Hiouden), c'était pas génial non plus.

Je ne sais pas si Wolfteam/Telenet (qui depuis s'est reconverti dans le jeu pornographique, d'ailleurs c'est une histoire un peu triste, je vous retrouverai l'article) a vraiment bonne réputation en occident. Disons qu'ils sont un peu connus (et c'est déjà pas mal) parce qu'ils ont eu une bonne visibilité à l'époque du Mega-CD.

Leurs jeux ont fait l'objet de tests (pas forcément très bons, d'ailleurs), et effectivement leurs intros "manga" attiraient pas mal l'attention, à une époque où la mode commençait. Par exemple, dans une vidéo promo Sega, on ne voyait de Lunar (ce n'est pas Wolfteam mais c'est pour illustrer mon propos) que son intro animée.

Si culte -relatif- il y a au Japon avant les Tales of, à mon avis c'est uniquement autour de la série des Arcus. Par contre je ne crois pas qu'Arcus Odyssey ait un quelconque rapport scénaristique avec la saga principale. M'est avis que c'est un le peu Shining Wisdom de la série, si tu vois ce que je veux dire.
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Ca existe encore les jeux pornos ? Ca m'interesse de lire cet article parce que bon, au fond, porno ou pas ça reste des jeux commandés...
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