si c'est bien celui auquel je pense, c'est un emulateur avec plein de roms.

Apres je sais pas si ton offre propose toutes les roms ou pas, mais à l'epoque fallait les acheter 1 par 1 ou par pack
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Là c'est le pack tout en un, avec 17 jeux je crois.
Mais c'est pas clair il semblerait qu'il faille acheter dans un premier temps le soft d'accueil de la collection, à 4,79€. Comprends pô.
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Ils te font la promo des roms mais pas de l'emu oO ????

Apres c'est toi qui voit, mais bon le souci c'est que les jeux sont vu et revu, et que comme pour SNK, y'a eu des tonnes de compil sur toutes les generations de machines avant
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L'émulateur (application ou autre, appelez ça comme vous voulez) est téléchargeable gratuitement.
Tu as + d'infos sur cette page : http://www.lamemoiredupad.net/3101-capcom-arcade-cabinet-ps3-xbox-360.php (je suppose que c'est pareil sur XBox One...).

La version Game Boy annulée d’Akira exhumée en vidéo
http://mag.mo5.com/actu/106978/la-version-game-boy-annulee-dakira-exhumee-en-video/

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La musique toute guillerette ne me semble pas vraiment en adequation avec l'univers d'Akira
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Un petit post pour parler de la déception que constitue pour moi Darkest Dungeon.



Vous êtes l'héritier malchanceux d'un hameau sans nom, perdu au milieu de terres obscures. Votre père/grand-père/en fait on n'en sait rien n'a qu'un seul souhait, que vous redoriez le blason de sa famille et repreniez vos droits. Il va donc falloir ramener ce hameau à sa gloire perdue, en le développant et en envoyant des aventuriers explorer ses coins les plus reculés.

A sa base, Darkest Dungeon est un jeu de gestion, derrière son maquillage de RPG-rogue-like qui ne trompe personne. Vous êtes à la tête du hameau où il va falloir à la fois développer les infrastructures, et neutraliser le Darkest Dungeon, une tour sombre trônant au-dessus de la vallée. Vous commencez avec un peu d'or en poche, et à vous de vous organisez comme vous l'entendez. Tout coûte de l'argent, sauf une chose : recruter des aventuriers. Ce sont eux, la ressource indispensable et gratuite autour de laquelle tourne l'économie du jeu, et les infrastructures s'organisent autour d'eux : les divertir, les soigner, les entraîner, renforcer leur équipement...

Car lorsqu'il partent à l'aventure, ils jouent littéralement leur vie. A ce moment-là, le jeu s'organise comme un RPG au tour par tour, jusqu'à quatre protagonistes et ennemis à la fois. Il faut bien sur éviter de les faire tuer, ce qui peut arriver de la main d'ennemis (une fois les PV à 0, ils "agonisent", leur laissant la vie sauve jusqu'au prochain coup qui porte une probabilité de les achever) ou d'autres choses comme des pièges. Mais le plus mortel est sans doute le stress : leurs découvertes ou certains coups ont la capacité de faire grimper la jauge de stress, et une fois passé un certain seuil, le personnage voit son courage testé...en cas de résultat positif, tant mieux, sa jauge baisse de moitié et il peut gagner des compétences d'équipe ma foi fort utiles ! Mais en cas d'échec, le voici affligé de maux divers, comme la paranoïa, l'égoïsme ou l'irrationalité qui l'empêcheront d'obéir correctement et pire encore, feront stresser le reste de l'équipe.
Quant au résultat lui-même, c'est aléatoire...
...comme à peu près tout dans ce jeu.

C'est ce qui a été la douche froide pour moi, l'absence d'impact concret qu'à le joueur sur le déroulement du jeu, et la poudre aux yeux déployée par le jeu pour me persuader du contraire. Peu importe vos talents de gestionnaire ou de combattant, peu importent les compétences débloquées, la qualité de l'équipement emporté, tout se règle par le hasard où vous n'avez pas votre place, aucun moyen de faire pencher la balance en votre faveur. Un croisé fier et droit que vous avez entretenu peut tout à fait, sous le stress, décider de se barrer à l'arrière, passer son tour ou mourir d'une crise cardiaque.
On me dira "les aventuriers sont le personnel dispensable, c'est pas grave", sauf que dans ce jeu, si. Peu importe combien d'aventuriers je peux recruter, leur qualité ou la difficulté du donjon si, au bout du compte, le déroulement est confié à des dés invisibles. Beaucoup d'autres séries jouent de la RNG avec bien plus de talent ! Là, c'est presque si on peut faire tout le jeu les doigts de pied en éventail en regardant la partie se jouer toute seule...

Et une fois l'illusion dispersée, il ne reste qu'un game-design pauvre, un level-design inexistant (des couloirs plats et des salles carrées...youpi...), un gameplay avec aucune marge de progression (tout le monde devient meilleur SAUF le joueur, qui a TOUT vu du jeu dès les 10 premières minutes). Même l'ambiance et l'esthétique très réussie ont fini par me taper sur le système. Désinstallé à la semaine 15.

A l'inverse, je joue à Cogs sur Steam.



Cogs, c'est très simple. On pourrait, avec un certain cynisme, le qualifier de taquin glorifié. Mais lui n'essaie pas de se faire passer pour ce qu'il n'est pas. C'est un pur de jeu de puzzles en 2D ou 3D à résoudre, où l'on fait glisser des cases pour lier des mécanismes aux autres afin de faire marcher des machines (des roues, des ballons, des voitures...), et passer au puzzle suivant. Et comme tout puzzle qui se respecte, ça devient vite très, très dur ! Je suis en train de noircir des carnets pour m'aider à trouver les solutions, et ce sans même chercher à avoir les meilleurs temps ou finir les énigmes en un minimum de mouvements...
C'est simple donc complexe - et ce que je viens de taper a bel et bien un sens - et ça se passe d'effets de mode et d'artifices. Le joueur mis en face de son besoin naturel et dévorant de voir un mécanisme fonctionner par sa main, c'est toute l'étendue de ce qu'il propose. Il y a un nombre d'énigmes et de défis très important, ce qui tend à montrer que Cogs va me tenir la jambe pendant plusieurs mois, n'étant pas doué pour ce genre de jeu.

Si je poste mes impressions sur ces deux jeux -"indés"- en même temps, c'est que je trouve qu'ils sont représentatifs de deux cas cliniques. Le premier est simple et creux alors qu'il tente de se faire passer pour complexe et profond ; le second est complexe et profond car il tente d'être le plus simple possible. Nietzsche a écrit un truc là-dessus, mais ça représente à mon goût ce qui se passe sur le marché du JV indé en ce moment.
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

En 2017, mon petit défi personnel est de terminer 3 jeux sur chacune de mes plate-formes ! Autant dire qu'il y a du boulot

Silent Bomber (PS1)



Rien à voir avec Bomberman, si ce n'est les bombes. C'est un jeu d'action vu de dessus, avec un parti-pris plutôt extrême puisque le seul moyen dont dispose notre personnage d'attaquer est de poser des bombes à retardement. Les bombes normales se posent avec Carré, les bombes élémentaires avec Rond, et on fait péter avec Triangle. Si les secondes ne peuvent se poser qu'à l'endroit où l'on se trouve, les premières peuvent être posées aussi sur un ennemi ou certains éléments du décor : pour ça, il faut maintenir Carré pour faire apparaître un cône de visée devant nous. Si une cible se trouve dedans, elle est verrouillée et on peut poser des bombes sur elle. Toutes les bombes ont une zone d'effet, et il faut évidemment s'écarter avant de faire tout sauter sous peine de subir de gros dégâts nous-mêmes.
On peut aussi "superposer" les bombes, afin d'en augmenter les effets et l'aire d'explosion, mais en pleine action il faut être au taquet !

Parce que c'est ce qui me chagrine le plus avec Silent Bomber : il a un rythme frénétique qui est décalé par rapport aux possibilités du joueur. Les ennemis, eux, vont de plus en plus vite et attaquent directement avec force lasers et missiles (qui peuvent être annulés par l'explosion d'une bombe) tandis que le personnage, lui, est obligé de tout faire avec un temps de décalage, ce qui est assez bizarre. Carrément frustrant même, car la caméra de trois-quarts de dessus n'est pas toujours adaptée à l'action : entre les explosions en chaîne et les attaques en dehors du champ de vision, on se prend de gros pains sans trop savoir d'où ça venait ! Il faut la jouer fine, en jouant d'autant plus lentement que les adversaires vont vite...
Je regrette aussi que le jeu brûle tous ses atouts aussi vite. On peut augmenter le nombre de bombes simultanées, la réduction de dégâts ou la portée du cône, mais ça me paraît un peu faiblard, comme progression du personnage. Les bombes élémentaires ne sont pas utilisées avec le meilleur des soins non plus, ce qui est très dommage car elles sont pourtant très utiles (une zone d'effet persistante, un rayon multiple de paralysie, et un trou noir qui mange les attaques adverses) mais le jeu ne les explique pas et comme elles sont en nombre limité, on ne sait pas trop quand les utiliser correctement pour qu'elles soient rentables.

Après, Silent Bomber est original, bien emmené et dispose d'un mode Versus très intéressant ! Simplement, il devient de plus en plus crispant en solo, et pas tout le temps pour les bonnes raisons. Le boss du niveau 11 m'en a fait voir de toutes les couleurs, et une fois battu, mon CD (original, sur ma console faustienne) a planté sans explication Je n'ai pas trop le courage de le relancer...mais c'est une petite curiosité, surtout de la part de CyberConnect qui, à part Tail Concerto, s'est enterré depuis avec la licence Naruto.

Bust A Groove (PS1)



Ce jeu me faisait envie depuis très, très longtemps ! Il s'agit d'un jeu de combat/danse où deux danseurs s'affrontent dans un duel de style. Celui qui arrive le mieux à attirer l'attention gagne : il faut respecter les indications de directions et de boutons pour bien danser et faire monter sa jauge de style, et on peut même attaquer directement son adversaire pour lui faire perdre le rythme.
Tout le jeu se base en fait sur la 4e mesure. Vous pouvez entrer les directions indiquées dans le rythme que vous voulez avant ça, mais pour ce qui est boutons de face, vous devez absolument être en rythme avec le 4e beat. Pour cela, soit vous observez votre barre de commandes qui clignote en rythme, soit vous êtes comme moi et vous le faites à l'oreille Les attaques directes - et la défense se jouent aussi de cette façon : si vous voulez mettre une beigne, il faut remplacer Croix/Rond par Triangle...et votre adversaire peut esquiver si, lors du prochain 4e beat, il remplace Croix/Rond par Carré. Avec seulement deux attaques par combat, on fait très attention au moment propice, quand l'adversaire est trop concentrée sur des commandes complexes !
Même si il y a un mode Solo et un entraînement basique, Bust A Groove est au fond un jeu de versus, plein de style et d'originalité. Un vrai plaisir, quel dommage que les deux suites ne soient pas sortis chez nous...et pour une raison qui m'échappe, je me loupe systématiquement sur deux chansons (2Bad et I know, celles de Strike et Pinky respectivement) en essayant de les faire à l'oreille. Ça m'oblige à jouer à la vue et ça me vexe

Jurassic Park the Lost World (Megadrive)



Lui aussi, ça faisait un bout de temps que je voulais le faire. N'ayant jamais été convaincu par Rampage Edition (que je trouvais médiocre, au mieux), Lost World m'attirait beaucoup plus.
C'est un jeu d'action/exploration vu de dessus, qui a une parenté troublante avec la série des Strike. Il y a une carte, un écran qui récapitule les objectifs, les ennemis et les objets, et on a le choix quant à l'ordre et la manière de procéder. On incarne un chasseur sans nom (le jeu ne s'inscrit pas dans la chronologie des films) qui doit capturer des dinos, et empêcher d'autres chasseurs de les ramener sur le continent.
La première chose intéressante, c'est que le jeu propose une voie létale et non-létale. Vous pouvez très bien canarder sans discrimination, mais vous pouvez aussi endormir les dinos, ce qui vous octroie des médailles : au bout de 6, une caisse de secours est larguée avec plein de bonus dedans ! Vous pouvez aussi demander un largage manuellement (par le menu, ou A+B+C), mais la qualité des bonus dépendra du nombre de médailles en votre possession. Ça correspond bien à notre nature de chasseur, et ma foi les deux approches sont intéressantes.
Ensuite, il y a eu un effort pour proposer plein de phases de jeu différentes, et le résultat est splendide. Le jeu pousse la console dans ses retranchements, la MD crache de la 3D sans pression (on est en 1997) et c'est super bien rythmé ! Ici on s'échappera en radeau en esquivant piranhas, oiseaux et crocos dans un passage rappelant Space Harrier et Contra ; ou une course-poursuite en moto contre le T-Rex où il faut le blesser afin de lui éclater la tête contre la clôture électrique...il y a de la variété, et surtout beaucoup de talent.
Après, le jeu est difficile et pas toujours pour de bonnes raisons non plus...les ralentissements, passe encore. Mais certaines armes visent inexplicablement mal, certains passages sont mal foutus (on est parfois dans du die&retry bête et méchant, à l'instar de la mission T-Rex Chase), et le jeu conserve notre armement de niveau en niveau selon des règles illogiques. Mais le jeu a beaucoup de charme, il tente beaucoup de trucs et est étonnamment long, il m'a fallu plusieurs heures et quelques mots de passe pour sauvegarder ma progression. Une très, très bonne surprise !

La petite anecdote qui tue : le jeu a été crée par Appaloosa Interactive, anciennement Novotrade...Lost World est donc le lointain cousin de Ecco the Dolphin ! Bon, Ed Annunziata ne fait pas partie du casting par contre, je ne sais plus ce qu'il faisait à l'époque (Chakan ? autre chose ?)...
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Bust a Move, je l'ai retourné dans tous les sens. Il faut dire que j'avais particulièrement accroché à l'ost. A l'époque comme tu dis on enchaînait les duels. Chaque perso a aussi des manips cachées qui donnent un max de points. Tu peux considérer que c'est de la triche de les chercher sur le net, mais comme absolument rien dans le jeu n'indique ce qu'elles peuvent être...

J'ai les suites. Le 2, le principe du jeu semble avoir changé (faut il appuyer à contre temps?) car autant je suis un PGM sur le 1, le 2 je n'arrive à rien. Quand au 3, je dois avouer à ma grande honte que je l'ai juste lancé une ou deux fois pour voir si il fonctionnait... Tout ce que je peux en dire c'est qu'il y a un mode 4 joueurs.

Non mais le combat final contre Robo-Z géant dans une ville en flammes, avec Flyin' to your soul, c'est complètement génial !
Mais tu m'apprends quelque chose pour les manips cachées O_o J'ai jeté un coup d’œil, ce sont des starters pour les passages en solo qui déclenchent de nouvelles chaînes, permettant de scorer bien au-delà de la normale. Et en effet, je ne vois pas comment on pourrait les connaître, hormis feuilleter les sections "codes" des magasines de l'époque, ou sur le net !
Mais du coup, qu'est-ce qui se passe si les deux joueurs font match nul à la fin ? Draw, ou une sorte de Mort Subite ?

Ça me fait penser, j'avais lu un papier dans Joypad il y a des années, sur un jeu de danse sur PS2, avec une atmosphère très disco, où il aurait fallu apprendre les morceaux par cœur. Je ne me souviens plus du nom, et je crois qu'il n'est jamais sorti du Japon de toutes façons, mais j'aimais bien l'esthétique.

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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Pour Silent Bomber, j'ai jamais réussi à passer le niveau sur le damier d'échecs.
La difficulté de ce niveau est horripilante, avec toutes les pièces qui t'attaquent de partout sans cesse.
Tu parles du boss du niveau 11, c'est lequel déjà ?
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

(pour les plus vieux, Robo Z danse le Vogue, la très éphémère danse popularisée par Madonna... Les thèmes des boss sont les meilleurs à mon gout, j'adore les frangins Capoeira!)


Je ne me souviens pas que ce soit jamais arrivé. Ou alors je ne me souvient plus de ce qui se passait. Vu ton commentaire sur les suites, tu joues en Pal? Les musiques et les chansons sont différentes, comme remixées chez nous.


Tu m'intrigues, tu as d'autres infos? Sur ps2, à part les DDR et Dance Summit 2001, je n'ai pas grand chose en jeux musicaux.

@Florent06 :



C'est celui-là. Ses scies-laser sont ses points faibles, il faut les laisser venir, esquiver et mettre des bombes dessus, pour les faire péter quand elles réintègrent les épaules. C'est facile au début, et il y a un endroit où se mettre afin de provoquer un pattern précis. Mais à mi-barre, le boss s'énerve et fait des attaques simultanées qui rendent impossible un bon placement, ce qui provoque des patterns différents pour les scies-laser (qui font des dégâts de fou, même au bouclier Max !)...et juste après l'avoir battu, mon jeu plante

@Rugal-B :

j'ai retrouvé le nom, il s'agit de Unison : Rebels of rhythm and dance sur PS2. Apparemment, chaque mouvement correspond à un bouton du pad, et dans la version Jap d'origine, les marqueurs à l'écran disparaissaient au fur et à mesure, obligeant effectivement le joueur à apprendre la choré par cœur ! Dans la version US par contre, les marqueurs restent, ce qui n'empêche pas l'entraînement. Tu y as joué ?
(Et oui, j'ai la version Pal, il y a bien des chansons dont les paroles ont été traduites et re-chantées, comme Flyin' to your soul et Blue Knife par exemple).
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Petite recherche google et... absolument rien ne me parle sur Unison. Mais si les marqueurs disparaissent au fur et à mesure, ce n'est pas pour moi, j'ai une très mauvaise mémoire!

Vous vous souvenez de la pub de Silent Bomber ?

Tama : arf oui je vois, c'est le boss qui m'a causé le plus de problèmes, je ne me rappelle plus combien de fois je l'ai recommencé celui-là.
D'ailleurs, si mes souvenirs sont bons, il me semble que juste après ce boss, il y a le niveau d'où je suis bloqué : le niveau d'échecs (en gros, t'es sur un damier et des pièces d'échecs se déplacent comme lors d'un jeu d'échecs et t'attaquent sans cesse). Dans un sens tant mieux si ton jeu plante juste avant celui-ci parce que là c'est crises de nerfs en pagaille, quand tu te fais courser par un fou, une tour, une reine et un enfoiré de cavalier et que tu dois anticiper leurs mouvements ^^

Sinon, pas fan de Tail Concerto. C'est dommage, l'univers est choupi, le gameplay est varié, c'est vraiment un jeu que je voulais aimer, mais alors cette jouabilité infernale et ces problèmes de caméra...

nicko : arf

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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

Il me semble que jyka l'avait mise dans un des grosscreen nan ?
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Non mais j'aurais pu, effectivement.

Merci pour l'avis sur The Lost World, Tama. Il m'a toujours bien tapé dans l'oeil et c'est clair que visuellement, c'est du haut de gamme pour la console. On sent que c'est la fin de vie de la machine et qu'elle est clairement bien exploitée. En tout cas, il était passé bien inaperçu à sa sortie : l'ombre de la Saturn et de la PSone a été fatale.

L'ironie veut que Lost World sur MD ait été totalement éclipsé...par Lost World sur PS1 et Saturn, des jeux d'action-plateforme en 2,5D pas très jolis ni très intéressants !
D'ailleurs, il est compliqué de s'y retrouver parmi les différents jeux Jurassic Park sortis dans les années 90. Lost World sur MD n'est donc pas Lost World sur SNES, même si on note quelques liens de parenté (crée par Ocean en 93-94). Il n'est pas non plus Lost World sur PS1/Saturn, donc...il n'est pas Jurassic Park Rampage Edition, sorti avant lui et qui est un jeu de plateforme 2D dans lequel on incarne soit Grant, soit le Raptor. Et il n'est toujours pas Lost World sur Arcade, par Sega sorti la même année, même si je soupçonne Novotrade de s'être inspiré de quelques phases de jeu (la poursuite de la femelle T-Rex par exemple) !

Sinon, j'ai réussi à terminer Boulder Dash sur NES o/
Enfin, la Quest 1. Il y en a quatre, et à chaque fois la difficulté (diamants à récupérer, murs et ennemis en plus...) augmente. Je n'avais pas envie de refaire 18 fois encore les mêmes niveaux, la Quest 1 m'a suffi et j'ai pris mon pied.
Boulder Dash, ça ne paie pas de mine. Lors du premier monde, je pensais que ça allait être très simpliste...et le jeu m'a pris complètement à contre-pied. La difficulté est diabolique et monte en flèche sans prévenir, on peut se retrouver très facilement coincé (le jeu a même prévu une commande pour se "suicider" dans ce cas-là !) et les trésors d'inventivité qu'il faut déployer sont de plus en plus incroyables ! C'est super malin, parfois un peu foireux (les niveaux des amibes, surtout dans le Volcan...), mais il est étonnant de voir qu'un concept aussi simple que "ramasse des diamants et ne te fais pas écraser" puisse se décliner de manière aussi variée et intelligente. Je ne pensais pas accrocher comme ça, et j'ai préféré ne pas continuer sur la Quest 2 afin de ne pas ternir inutilement mon appréciation.
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Melody's Escape (PC - Steam)

La promesse de Melody's Escape est alléchante : une sorte de mélange entre Audiosurf et un jeu de plate-formes. Le jeu "lit" la musique et l'interprète comme un niveau de plate-formes à scrolling, où les mouvements de Melody correspondraient à la musique ! De plus, on peut charger la musique de notre choix via notre PC, ce qui fait qu'en théorie, on peut jouer à ce que l'on veut.
Seulement voilà, ça ne marche pas à cause de l’algorithme utilisé pour reconnaître les morceaux. Ce dernier est tellement centré sur les mesures qu'il en oublie tout le reste, sauf quand on n'entend pas ces dernières...auquel cas il fait un peu n'importe quoi, au petit bonheur la chance. J'ai fait pas mal de tests en essayant beaucoup de musiques parmi celles que j'ai en stock (en vrac, du Punish Yourself, Daft Punk, Machinae Supremacy, Chaka Khan, Whitesnake, du chipture et même du John Sykes...) et à aucun moment, je n'ai eu la sensation de jouer le morceau, d'"être" dans le morceau. Même sur ceux dont le taux de reconnaissance est censé être excellent (les morceaux embarqués, ou One More Time de Daft Punk), ça ne m'a jamais convaincu...sans compter le massacre orchestré sur T4 Song ou Dead Hills de Punish.

Bref, grosse déception que Melody's Escape. Le bon côté est qu'il m'a fait découvrir le travail de Shirobon, j'écoute Distant Reality en boucle depuis quelques jours.

Shin Megami Tensei IV (3DS)

SMT IV est un jeu qui a mis du temps à me convaincre - et même encore maintenant, il y a certains éléments qui me chiffonnent un peu. Son début est assez nul, on dirait de la vieille medfan fatiguée au système de castes à la ficelle grossière, j'avoue avoir eu très peur lors de la première heure de jeu. Et ensuite, il passe la seconde et c'est une véritable bouffée d'air frais !
C'est toujours du RPG, du Megami Tensei très strict, des combats au tour par tour où une seule petite erreur vire au drame, des négociations avec les démons aussi marrantes que frustrantes, un aspect Dr Frankenstein dans la personnalisation de son équipe, et surtout sa narration unique, qui n'appartient vraiment qu'à cette série. C'est un pur combat d'idées, abstraites mais rendues concrètes par l'urgence de la situation, combat au cœur duquel les personnages sont réduits autant que possible au rôle de vecteur, de celui qui passe un message. Il y a un minimum de caractérisation bien sûr, mais on reste dans l'idée qu'il s'agit d'une discussion sur l'avenir souhaitable pour l'humanité, non pas un récit centré autour des personnages comme c'est le cas dans 99% des RPG. C'est principalement ce qui le sépare de la masse, et ce quelque soit la série dérivée concernée (sauf Persona). Les quatre fins disponibles sont toutes très intéressantes, mais celle qui vise l'auto-détermination, encouragée dans la série, est assez tordue à emprunter (beaucoup de pré-requis !) mais elle est très belle et conclut comme il faut, sans avoir besoin de feu d'artifice ni de boss superflu.
Après, je trouve dommage qu'il entretienne, bien malgré lui, des petites vexations régulières. Si ses cartes en intérieur sont irréprochables, celle en extérieur dans Tokyo est catastrophique ! En plus, le jeu semble partir du principe que son joueur est tokyoïte, et donc connaît chaque district par cœur... peut-être est-ce vrai pour son public au Japon, mais pour les autres, allez vous repérer quand on vous dit de rejoindre Le Tokyo Dome à partir des collines de Roppongi ! Aucune indication ou presque, la carte n'indique presque rien et on ne peut pas interagir dessus. Notez que, après une utilisation intensive de Google Map, je sais beaucoup mieux me repérer, même s je n'y ai jamais foutu les pieds
Il y a aussi sa structure globale, qu'il emprunte à Etrian Odyssey. Tout se fait à partir d'un tableau de quêtes, ainsi que de reliques à cueillir sur des points de spawn qui se renouvellent régulièrement. Sachant que les combats ne rapportent pas d'argent, c'est non seulement le principal moyen de remplir sa bourse, mais aussi d'avancer dans l'histoire. Ce qui me gêne, c'est que MegaTen est une série sauvage et très iconoclaste, et la voir épouser un système aussi sage et ordonné me semble un peu contre nature. Comme si elle empruntait un smoking à quelqu'un d'autre : il est très joli mais il n'est pas taillé pour elle. Dans le jeu ça "marche", bien sûr, mais j'ai toujours l'impression lancinante que c'est un choix un peu maladroit.

Rarement un jeu m'a fait changer d'avis en cours de partie. J'étais presque horrifié au départ, rassuré mais pas très convaincu ensuite, pour être carrément emballé sur le dernier tiers. Son côté vaguement fauché n'aide pas vraiment, d'ailleurs, mais il m'a eu à l'usure. Pas mon épisode préféré, mais c'est très solide et efficace
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.