Rien ne t'empeche de jouer en suivant une FAQ en meme temps (c'est moins pratique certes, mais vu la difference d'interet entre les 2 versions, meme comme ca, ca le justifie largement).
Surtout apres les OG, tu connais les bases tant du gameplay que de l'histoire (puisque ca reprend en gros SRT 2 et 3).
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Le J (sortie sur GBA) est traduit lui aussi !

link : http://aerie.wingdreams.net/?p=154

Super bonne nouvelle ça ! Je viens de relire ce que LVD en dit dans son dossier, et il semble excellent cet épisode J.

L'article de la semaine faisant honneur au basketball ...


Sutobasu Yarou Show : 3 on 3 Basketball
(Bandai - 1994)



J'imagine que ce jeu de basket est tiré d'un manga mais il ne dispose pas de mode story entrecoupé de cut-scenes, contrairement aux jeux Slam Dunk (vus en page 35). Ici on joue à 3 contre 3 sur une moitié de terrain. On dispose de 3 boutons en attaque : passer, sauter, et tirer. En défense on peut sauter pour contre ou tenter d'intercepter. Malgré son design cartoon, le jeu ne propose pas de coups spéciaux ou autres exagérations à la NBA Jam.
Le gameplay est forcément nerveux mais, malgré le nombre réduit de joueurs sur le terrain, plutôt confus. En défense il est particulièrement difficile de voir qui on dirige et d'intercepter l'adversaire. En attaque on aurait aimé pouvoir faire des feintes, ou accélérer, car ici on manque d'options pour varier son jeu.
Ca ne doit pas être particulièrement déplaisant à pratiquer à deux, mais ce jeu pas joli du tout est tout de même loin de s'imposer au sein de la ludothèque sportive bien fournie de la Snes.
Moyen

J'ignorais totalement. Bonne nouvelle oui!
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

On continue dans le sport ...


Super Batter Up
(Namco - 1992)



Difficile de faire plus classique que ce jeu de baseball à la réalisation graphique très sommaire. Vue de derrière pour le batteur lors des lancers, vue de dessus pendant les phases de récupération, et jouabilité ultra-simple avec un bouton et une direction pour toutes les actions possibles. C'est parfaitement maniable, le CPU a un bon niveau, la vitesse de jeu est bonne et on s'amuse sans problème. Sauf que le titre de Namco est noyé dans la masse des jeux du genre sans rien qui lui permette de se distinguer. Pas de design original, très peu d'options, aucune licence. Si, il y a bien des petites animations lors des homeruns et tout un tas de musiques (issues d'air populaires) qui retentissent suivant la situation de jeu (suivant le nombre de joueurs sur des bases alors que le batteur s'apprête à frapper). Mais à part ça, RAS. Et comme la réalisation n'est pas fabuleuse, il n'atteind pas vraiment le haut du panier. Attention, le jeu ne démarre pas sous certains émulateurs.
Moyen


Super Famista
(Namco - 1992)



Bon alors ça ne saute pas aux yeux sur les screenshots mais Super Famista est exactement le même jeu que Super Batter Up. Si si. Il s'agit juste de la version japonaise, qui dispose des mêmes options et exactement du même gameplay mais avec un habillage totalement différent qui mise sur l'humour et les persos en "super deformed". On retrouve également ici les vraies équipes du championnat japonais, ainsi que des musiques et animations différentes lors des homerun. Un bel exemple de différences culturelles entre le Japon et les USA !
Alors que Super Batter Up ne connaitra pas de suite, la série Super Famista va en revanche se décliner sur pas moins de 5 épisodes !
Moyen


5 épisodes donc à découvrir dans les prochains posts ...

Super Famista 2
(Namco - 1993)



La suite de Super Famista conserve un gameplay ultra accessible et une difficulté bien équilibrée qui le rend intéressant à pratiquer que ce soit contre un autre joueur ou contre le CPU. C'est bien entendu le championnat de baseball japonais qui est mis en scène. La maniabilité est identique avec peu de boutons à utiliser en conjonction avec une direction pour réaliser toutes les actions. Le design est toujours constitué de personnages "mignons" en SD et la réalisation globale est à peine améliorée. On trouve cependant de nouveaux modes de jeu comme la possibilité de créer des joueurs en choisissant des caractéristiques et en répondant à un questionnaire (en japonais). Tout bouge vite et bien, les frappes sont précises, mais je regrette le fait qu'il soit assez difficile de jauger ou se trouve la balle lorsqu'elle est envoyée en hauteur et qu'on est en phase de défense. En fait, il faut s'aider du bruit fait par la balle pour deviner si cette dernière est en phase ascendante ou descendante et se placer en conséquence, ce qui demande un peu de pratique.
Encore une fois, cet épisode n'a pas grand chose pour se distinguer de la masse de titres du genre qui pullulent sur Snes mais il est très agréable à jouer.
Assez Bien


Super Famista 3
(Namco - 1994)



La même chose que Super Famista 2, en mieux ... mais UN PEU mieux alors ! Pas de modes de jeu en plus, ni de nouvelles options, et une réalisation équivalente. A première vue, il s'agit quasiment du même jeu. Et c'est le cas, mais la jouabilité a été tout de même un peu améliorée avec des frappes qu'on réalise plus facilement, et quelques nouveaux effets au lancer. Mais ces différences sont plus un "feeling" qu'une réelle évidence. Le jeu me semble tout de même un peu plus facile.
Assez Bien

De mémoire c'est dans un de ces Super Famista que l'on croise une pub pour la Megadrive 2 !

Nope, c'est dans la série Super Power League de Hudson, j'en parlerai plus tard

Mais il n'y avait pas déjà un jeu de baseball où on voyait Sonic en pub ? Il me semble que ça avait fait l'objet d'un Groscreen.

Décidément.
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Si si, c'est moi qui l'avait posté
Et évidemment, personne n'a trouvé. Il faut dire que une pub Sonic dans un jeu de baseball, ça fait plutôt penser à Mandragore ...

Suite et fin des Super Famista :


Super Famista 4
(Namco - 1994)



Du neuf dans cet épisode. Déjà un moteur graphique légèrement revu avec des sprites plus gros, de nouvelles animations et plus de couleur. Ensuite plein de nouvelles options avec pas moins de 10 stades différents par exemple. Il y a surtout un nouveau mode "test" constitué de 5 ou 6 mini jeux assez amusants ou il faudra courir le plus vite possible (martelage de bouton), lancer le plus loin possible, abattre des cibles ou faire un maximum de homeruns. Très sympa. Mais ce que je préfère dans ce jeu c'est de pouvoir jouer avec des équipes Namco dans un stade spécial tout à la gloire de l'éditeur ou les clins d’œils à des jeux comme Pacman, Dig Dug ou Xevious abondent, sans parler des musiques délicieusement "chip-tunes". Accessoirement ce stade est également plus petit et permet de réaliser plus facilement des homerun.
Le gameplay quand à lui n'a pas changé et est toujours aussi amusant qu'abordable. Un jeu de baseball vraiment sympathique.
Bien


Super Famista 5
(Namco - 1995)



Pour ce que j'en ai vu, Super Famista 5 est identique au 4ème épisode dans sa réalisation et son gameplay. La différence se situe dans les modes de jeu. Malheureusement le mode "test" avec les mini-jeux a disparu et on trouve à sa place une sorte de mode carrière avec quelques écrans intermédiaires et de nombreux textes en japonais. Nous autres occidentaux y perdons donc un peu au change. Le mode permettant d'éditer ses joueurs a été amélioré et on trouve enfin un mode mutlijoueur dans lequel on peut attribuer le contrôle de chaque sportif de chaque équipe à n'importe quel joueur humain (jusqu'à 4) ou au CPU.
Le jeu reste donc toujours aussi sympa et le stade Namco est de retour. C'est donc un très sympathique jeu de baseball mais j'ai une petite préférence pour l'épisode précédent et ses mini-jeux tout bêtes mais amusants.
Assez Bien

L'article de la semaine raconte les aventures d'un commandant de vaisseau spatial et de son équipage. Il était donc normal d'enchainer sur ...


Star Trek : Starfleet Academy Starship Bridge Simulator
(Interplay - 1994)



Dans ce 1er jeu Snes tiré de la célèbre saga de science fiction Star Trek, on incarne un jeune capitaine qui doit faire ses preuves, d'abord à l'aide d'un simulateur, puis en se voyant confier de nombreuses missions à bord de différents vaisseaux. L'habillage du jeu est très réussi et rappelle un peu les jeux Wing Commander : on se trouve dans une base spatiale ou il nous est possible de discuter avec les membres de son équipage entre les missions et ainsi apprendre à mieux les connaitre, ou bien de consulter divers documents à propos du monde de Star Trek, et enfin de participer aux briefings des missions (ou on peut même poser des questions). Une fois aux commandes de son vaisseau, on passe à une vue de l'espace à la première personne dans laquelle planètes, vaisseaux alliés ou ennemis, météorites et autres débris sont représentés par des objets 3D assez simplistes (les vaisseaux Klingons ou Romuliens sont certes moches mais reconnaissables ...). On peut alors accélérer avec X, ralentir avec B, et utiliser ses armes avec A et Y. En appuyant sur SELECT, on accède à un menu nous permettant d'utiliser diverses fonctions : communications, règlage du radar, réparations, carte de navigation, activation du rayon tracteur pour récupérer certains objets perdus dans l'espace ... etc ... Les missions, assez bien scénarisées, nous demandent d'explorer certains secteurs en quête d'indices, de trouver par nous même la prochaine destination, de combattre, de récupérer des objets (avec les rayon tracteur) ... etc ... En plus de ces missions qui s'enchainent et racontent une plus grande histoire, on peut accéder à des missions spéciales retraçant des batailles issues de films ou épisodes TV de la saga (on reçoit alors des ordres du capitaine Kirk !). Un affrontement purement action à 2 joueurs en écran splité est également possible.
Tout celà est bien joli et donne envie le temps de se familiariser avec les quelques premières missions. Mais rapidement, l'expérience tourne au cauchemard : les combats sont en effet indigestes. On se déplace trop lentement et on passe son temps à tourner sur nous même en espérant voir l'ennemi apparaitre devant sois. Et puis à partir d'un moment, le fait de devoir passer sans arrêt par une série de menus pour changer la portée de son radar ou accéder au rayon tracteur devient franchement pénible. Enfin, il faut souvent naviguer très longtemps dans l'espace infini ou il ne se passe rien avant d'arriver à sa destination. C'est vraiment dommage car le jeu avait de quoi plaire.
Mediocre

Star Trek Next Generation : Future's Past
(Spectrum Holobyte - 1995)



Ce jeu met en scène l'équipage du vaisseau Enterprise sous le commandement du Capitaine Jean-Luc Picard, héros de la seconde série TV Star Trek. Le but du jeu est d'accomplir plusieurs missions en envoyant l'équipage aux 4 coins de la galaxie en répondant à des ordres de sa hierarchie ou aux appels de détresse de divers aliés. Pour ce faire, on passe par 3 types d'interface. Tout d'abord, on se trouve à l'intérieur du vaisseau et on peut accéder à différents écrans permettant de répondre à des communications, se déplacer entre diverses planètes, réparer son vaisseau, faire un briefing pour savoir ou aller et quoi faire ensuite, et accéder à une impressionnante encyclopédie fourmillant d'informations sur le monde de Star Trek (malheureusement uniquement composée de textes). Naviguer dans les menus se fait très simplement et ces derniers sont illustrés par des personnages familiers des fans de la série mais malheureusement les images sont pour la plupart d'une qualité fort discutable.
Une fois sa prochaine destination choisie, le vaisseau s'y rend et il y a alors de fortes chances qu'on soit attaqué par un engin ennemi. On passe alors à une phase de shoot-them-up vu de dessus ou il faut manœuvrer péniblement pour parvenir à tirer sur l'ennemi tout en évitant ses attaques. Ici, et bien que cette phase rappelle vaguement de vieux jeux Star Trek comme celui d'arcade de 1982 par exemple, le fun n'est franchement pas au rendez-vous à cause d'une lourdeur des commandes assez épouvantable et une difficulté mal équilibrée.
Une fois débarqué sur la planète, on choisit 4 membres d'équipages ayant pour la plupart des caractéristiques ou un équipement propre (certains peuvent soigner, d'autres sont plus résistants ...) et on passe à une séquence d'action / exploration vue de dessus à la manière d'un action-RPG. On trouve quelques petites enigmes à bases d'interrupteurs à actionner et d'objets à ramasser, et beaucoup de combats qu'on règlera à l'aide d'un pistolet laser. Les graphismes sont ici corrects dans l'ensemble et la maniabilité acceptable mais ça manque encore une fois de fun et les combats sont parfois très confus.
Globalement, le jeu est à peine moyen : les différentes phases de jeu sont intéressantes mais manquent clairement de finition, surtout les combats spatiaux particulièrement indigestes. A réserver uniquement aux fans de la série ... et encore.
Moyen

Suite et fin des jeux Star Trek, décidément les fans de sont pas gâtés sur Snes ...


Star Trek Deep Space Nine : Crossroads of Time
(Novatrade / Playmates - 1995)



Comme son nom l'indique, ce jeu se déroule dans l'univers de la 3ème série TV Star Trek : Deep Space Nine. On y incarne le commandant Benjamin Sisko qui se trouve dans la station spaciale donnant son nom à la série TV. Cette dernière semble victime d'actes terroristes et Sisko devra dans un premier temps trouver des bombes posées par des ennemis et les neutraliser avant qu'elles n'explosent.
Sisko est vu de profil et dispose de d'un panel de mouvements comparable à Prince of Persia ou Flashback. Il peut courir, s'accroupir, bondir, s'accrocher et se hisser aux plate-formes. Il dispose également d'une arme lazer ainsi que d'un scanner lui permettant de trouver des objets cachés dans le décor. Il peut également discuter avec les autres personnages de la série qui se trouvent dans la station spaciale et qui lui donneront des indices, des objets ou de nouvelles missions.
Ce jeu n'est clairement pas bon. En plus d'une réalisation en tous points bien en dessous de la moyenne des jeux d'action Snes, il souffre d'une jouabilité moyenne (difficile de bien calibrer ses sauts ou de s'accrocher à une plate-forme directement au dessus de sois) et d'une conception bancale. Ainsi au début il est très difficile de savoir ou aller et l'architecture des niveaux fait que les "trous" entre les plate-formes ne se distinguent pas dans le décor. Bref, à oublier, même pour les fans de Star Trek.
Mediocre

Super Hanafuda
(Imax - 1994)



Super Hanafuda est finalement moins "Super" que "Hanafuda" tout-court (vu en page 48). Il s'agit bien entendu ici aussi d'un jeu de cartes japonais (le Hanafuda donc) mais sans fioriture et avec peu d'options. On dispute des parties libres en choisissant son adversaire ou bien on dispute un tournoi. Le graphisme des cartes manque un peu de finesse mais elles restent lisible. De petites animations aparaissent parfois en pleine partie, dans une petite fenêtre, montrant l'adversaire réflechir ou jubiler après un bon coup.


Super Hanafuda 2
(Imax - 1995)



Sorti un an plus tard, le second Super Hanafuda apporte la possibilité de joueur contre 1 seul ou 2 adversaires (on ne pouvait faire que du 1 contre 1 dans l'épisode précédent), quelques modes de jeux supplémentaires et plus de personnages à affronter. Ces nouvelles possibilités s'accompagnent de graphismes un peu plus détaillés et d'écrans de présentation animés et bien mis en scène. Des icones remplacent également les menus. Les petites animations des personnages pendant les partie sont toujours présentes.

Je profite de ton grosblog pour te souhaiter de bonne fêtes Seb

Merci Amindada.
Bonnes fêtes à toi aussi et à tous les lecteurs de Grospixels, et si vous ne savez pas à quoi (re)jouer, voici ma recommandation pour ce week-end de Noël :



Sparkster
(Konami - 1994)



Suite du formidable "Rocket Knight Adventures" sur Megadrive, Sparkster est un excellent jeu de plate forme qu'on doit aux artistes de Konami qui réalisent là, à mon avis, leur plus belle réalisation dans le genre. L'animal qu'on dirige, un opossum, doit traverser des niveaux proposant un level-design inventif qui renouvelle régulièrement le gameplay, et qui se terminent bien entendu par un boss. La particularité du héros provient de son jet-pack qui lui permet, lorsqu'on laisse appuyé le bouton de tir, de s'élancer comme une fusée, épée en avant, dans n'importe quelle direction, tout en rebondissant sur les murs ou en les détruisant parfois pour trouver des objets cachés. Celà lui permet aussi d'éliminer ses ennemis mais ce n'est pas la seule attaque dont il est capable : il peut en effet frapper avec son épée qui déchire l'air devant lui et touche les ennemis à distance, et les boutons L et R lui font effectuer une roulade très rapide idéale pour se sortir d'une situation critique ou l'on est encerclé. On peut bien entendu également sauter.
Toute l'architecture des niveaux tourne intelligemment autour des capacités du héros et le rythme très soutenu de l'action, parfois comparable à celle d'un "run and gun" à la Contra dans certaines sections, met continuellement le joueur sous pression. Les situations sont variées avec par exemple une section de niveau ou on se déplace sur un robot autruche, une phase ou on doit échapper à un torrent qui remplie les décors et menace de nous noyer, ou encore un niveau complet qui est en fait un shoot-them-up vertical.
Sparkster est varié et extrèmement jouable, bien rythmé et amusant, et il est également très bien réalisé avec un design réussi, des graphismes beaux et colorés, et une bande son culte avec cette fameuse musique qui reste dans la tête. Du très grand Konami pour petits et grands, à pratiquer sans retenue.
A noter qu'il existe une version Megadrive qui est totalement différente : autre architecture des niveaux, autres décors, autres ennemis et une jouabilité modifiée. Le jeu a également connu un remake sur consoles HD, et le résultat n'est malheureusement pas à la hauteur de l'original.
Excellent


Je ne m'étend pas plus sur ce chef d'oeuvre, allez (re)lire l'article de Bruno pour plus de détails : http://grospixels.com/site/sparkster.php

J'ai un mal fou à jouer à Sparkster, j'avais testé, mais ça va bien trop vite ! J'ai l'impression de ne rien maîtriser, un peu comme Sonic.

Faudra que je lui redonne sa chance quand même, en m'acharnant davantage... Rien que les graphismes donnent une furieuse envie de découvrir cet univers.

Encore bravo au passage pour ta constance, Seb, je suis toujours très assidûment ton excellent Groblog !

Tain j'etais persuade que Rocket Knight Adventures était aussi sorti sur SNIN
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En fait Sparkster sur Snes n'est pas la suite de Rocket Knight su Megadrive. Il en est plutôt une sorte de remake.
La vrai "suite" de Rocket Knight est le Sparkster de la Megadrive.

Personnellement, je considère Rocket Knight sur Megadrive comme le seul vrai chef d'oeuvre de la série. Le Sparkster de la snes est pas mal mais moins subtil, moins finniolé, moins aboutis. quant au Sparkster de la MD je le trouve carrément moins bon (en plus je considère qu'il y a de grosses incohérences scénaristiques).

Merci pour les précisions Nikeleos. Sparkster Snes est le 1er jeu de la série que j'ai pratiqué, c'est sans doute pour ça que je le considère aussi génial et qu'il m'a plus marqué que Rocket Knight Adventures.

La semaine dernière, c'était Star Trek, cette semaine ce sera Star Wars, afin de coller à l'actu du site qui nous propose un article "made in JPB" (gage de qualité !) sur Knights of the Old Republic.


Super Star Wars
(Sculptured Software / Lucasarts - 1992)



Tiré du premier film de la saga "La Guerre des Etoiles" (si si, on disait comme ça avant ^^), ce jeu est un titre d'action proposant de nombreux niveaux et suivant de façon très libre l'intrigue du long métrage. La plupart du temps, on dirigera Luke Skywalker vu de coté dans des phases d'action / plate-forme ou il doit avancer jusqu'au boss en tirant dans toutes les directions avec son blaster ou en taillant dans le lard de ses ennemis avec son sabre laser (pas disponible dans les premiers niveaux). Luke peut également sauter à la Super Metroid (deux types de sauts avec plus ou moins d'amplitude) et faire des glissades. Plus tard dans le jeu, ces phases seront jouables avec d'autres héros du film qui se dirigent de la même façon. Certains niveaux présentent un gameplay différent avec des phases ou on dirige un véhicule vu de derrière dans des décors animés en fausse 3D, l'un des derniers niveaux nous mettra également aux commandes d'un X-Wing avec vue subjective comme dans l'ancêtre des jeux Star Wars en arcade.
Le jeu propose une action soutenue dans ses phases principales avec des ennemis en grand nombre arrivant de tout cotés, inlassablement, et qu'on dégomme dans la bonne humeur à coup de blaster. Ce rythme effréné est la grande force du jeu car les niveaux ne proposent pas d'exploration et les phases de plate-forme souffrent de quelques défauts qui les rendent souvent pénibles : on est victime du syndrome "je passe à travers la plate-forme quand je m'approche du bord pour mieux sauter". L'autre problème du jeu, mais c'est plus subjectif, concerne le manque d'intérêt des phases en landspeeder : longues et difficiles, elles sont victimes d'un gameplay approximatif alors qu'on doit éliminer un nombre imposé d'ennemis et se diriger vers un objectif en gérant sa vie et son carburant et en étant, encore une fois, assaillis d'ennemis venant de tous cotés. Le soucis est que ces derniers sont largement moins amusants à occire que dans les phases vues de profil, et on n'a qu'une hâte : que ces niveaux mal fichus se terminent.
Malgré ces défauts, le jeu est très plaisant. Il faut dire que la licence fait beaucoup avec ses lieux connus de tous les fans (la planète des sables, l'étoile de la mort ...), ses musiques tirées du film, et ses petites cinématiques entre les niveaux. La réalisation est dans l'ensemble satisfaisante avec des sprites assez jolis et reconnaissables, et la séquence en X-Wing est impressionnante. Le jeu n'est pas d'une fidélité absolue et ajoute de nombreux ennemis inédits : monstres mutants, ou robots géants, pour le plaisir du joueur. Au final, Super Star Wars est un jeu d'action prenant et difficile (mais pas trop dans les 3/4 du jeu en "easy"). On peste contre lui en tombant dans un précipice à cause d'une maniabilité un peu approximative, mais on y revient pour canarder dans tous les sens sur la musique de John Williams.
Bien (si on est fan de la trilogie, assez bien seulement sinon)