Effectivement ce troisième jeu (auquel je n'ai jamais joué sérieusement) a l'avantage de proposer des persos comme Mlle Hinako (j'imagine qu'elle peut grandir durant le combat) qui est un personnage récurrent, mais je suis étonnée de voir la Pom Pom Girl qui n'apparait que dans une seule histoire. Tout comme le boss, Herb, dont c'est également le cas.

Par contre les décors n'ont aucune personnalité, ce n'est pourtant pas ce qui manque dans la série, d'ailleurs le deuxième épisode le démontre assez bien.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Les décors sont plutôt jolis mais totalement hors sujet dans un jeu basé sur Ranma 1/2. Sinon du point de vue de la qualité du gameplay ce dernier épisode est à des années lumière des deux autres, on a affaire à un vrai bon jeu de combat qui se justifierai même sans sa licence.

Ranma Bakuretsu Rantou Hen quant à lui est assez délirant visuellement, mais malheureusement d'une lenteur et une raideur assez pénalisante. La localisation française est une catastrophe, des fautes d'orthographe en pagaille quand ce n'est pas carrément des fautes de français. Mais au moins ça permet de se faire une idée des divers scenarii (complètement débiles) dédiés à chaque personnage.

Ces deux jeux ont en commun des voix bien dans le ton (bien qu'un peu trop grave pour Ranma dans Bakuretsu Rantou Hen), elles participent activement à poser l'ambiance déjantée des combats. Je me souvient des nombreux fou rires qui accompagnait mes parties chez un ami totalement fan de la série.

Je plussoie sur la lenteur du 2eme, qui le rend vraiment limite injouable de nos jours, meme pour un fan de Ranma.


>mais je suis étonnée de voir la Pom Pom Girl qui n'apparait que dans une seule histoire. Tout comme le boss, Herb, dont c'est également le cas.

Pour la 1ere en effet, on se demande pourquoi. Herb ca s'explique plus facilement. Le jeu est developpe par Rumik Soft, donc se base sur le manga et non l'anime (ou Herb n'apparait pas d'ailleurs). Hors, la periode de sortie du jeu doit suivre de peu celle de l'arc Herb, qui etait tres long, et qui aurait tres bien pu cloturer le manga.

En fait, le 3eme c'est le 4eme, vu que le 3eme jeu Ranma sorti est un RPG.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

C'est vrai que le mini arc Herb durait un volume. Mais si la série s'était arrêtée là, bonjour la fin en eau de boudin. Déjà que la vraie fin...
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Ranma Nibunnoichi : Akanekodan Teki Hihou
(Rumic Soft - 1993)




Toute la bande du manga Ranma 1/2 se retrouve dans un J-RPG des plus classiques qui raconte comment un ancien clan de guerriers obéissant à un chat fantôme décident d'enlever les combattants les plus forts du pays dans un but inconnu. L'histoire commence alors que Genma, le père de Ranma, un jeune pratiquant en art-martiaux dans le Japon moderne, se fait enlever. Un enlèvement qui vexe profondément Ranma, qui se dit bien plus fort que son paternel ! Il part tout de même le secourir accompagné d'abord par Akane, la fille avec qui on l'a fiancé de force et qui tente toujours de le surpasser au combat, puis d'autre personnages hauts en couleur issus du manga et du dessin animé. L'histoire abracadabrantesque est pleine d'humour et l'univers du jeu est très fidèle à celui du média d'origine, ce qui constitue le principal intérêt ici.
Le gameplay est sans surprise avec discussions et achats en équipement dans les villes et combats aléatoires au tour par tour dans les donjons. La particularité du système est d'exploiter les transformations des héros. En effet, Ranma et d'autres personnages sont frappés d'une malédiction qui les fait se transformer en animaux (ou en fille dans le cas de Ranma) au contact de l'eau froide, avant de reprendre leur apparence normale au contact de l'eau chaude. On obtient ainsi dès le début une bouilloire et un seau d'eau afin de modifier son apparence à volonté, ce qui permet d'accéder à des techniques ou des équipements différents.
Le jeu est donc très plaisant pour peu qu'on soit fan. Malheureusement, la réalisation laisse un peu à désirer à cause de graphismes assez grossiers même s'ils restent acceptables, et surtout à cause d'une effroyable lenteur dans les déplacements des personnages. A noter que le jeu est entièrement jouable en anglais grâce à un patch de traduction amateur mais attention, les plantages sont très fréquents sous Zsnes.
ASSEZ BIEN (si on aime Ranma)


Ranma Nibunnoichi : Gu Choki Ougi Jaanken
(Rumic Soft - 1995)



Les personnages de Ranma sont venus illustrer ce puzzle-game jouable en versus contre le CPU ou un second joueur. On dirige des lignes composées de 3 blocs tombant du haut de l'écran et il faut les arranger de façon à les faire disparaitre. Les blocs représentent une feuille, une pierre ou des ciseaux et, comme vous l'avez surrement deviné, il faut suivre les règles du janken-pon pour les éliminer. Ainsi une feuille placée au dessus d'une ou plusieurs pierres va toutes les faire disparaitre, et de la même manière la pierre fera disparaitre les ciseaux et les ciseaux la feuille. On peut également éliminer des blocs en tentant de réaliser des lignes complètes avec le même symbole. En réalisant des combos ou en éliminant beaucoup de blocs en un seul coup, on envoie des "parasites" chez l'adversaire. Pour éliminer ces parasites, il faut faire disparaitre les blocs qui sont en contact avec eux. Enfin, si la situation semble désespérée, on peut appuyer sur Y afin d'utiliser un seau d'eau qui fera non seulement disparaitre tous les blocs identiques à celui sur lesquel on le fera tomber, mais en plus vont transformer notre adversaire et l'empêcher de réaliser des attaques pendant quelques instants.
Le principe est bien trouvé et assez accrocheur. Mais soyez prévenu : mieux vaut y jouer à 2 le temps de bien assimiler toutes les subtilités car le CPU est redoutable, même au niveau de difficulté le plus bas, et joue très très rapidement. Je n'ai pas franchement adoré mais c'est à essayer pour les fans de puzzle-game.
ASSEZ BIEN

Je me rapelle plus trop de lui mais il me semblait
J'ai bien aimé le 2e versus en tout cas.
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Alors le RPG, c'est un peu une ma plus grosse honte videoludique... Je m'explique. Presque au debut du jeu, il y a un moment ou il faut entrer dans le bain des femmes. Par defaut, on arrive a cet endroit du jeu en Ranma garcon. On peut changer de sexe a tout moment dans les options des menus. Ben comme un con, l'idee ne m'est meme pas venue a l'esprit... Pendant une dizaine d'heures, j'ai ratisse tous les coins et recoins du jeu depuis le tout premier ecran, persuade d'avoir loupe un objet ou une conversation, mais que dalle. Resultat, du levelling a outrance involontaire. Quand ENFIN j'ai compris que c'etait tout con, j'etais tellement booste que les Boss qui ont suivi ne faisaient pas long feu...
Cela etant, je te trouve indulgent en le notant ASSEZ BIEN. Meme un gros fan de Ranma comme moi, je le trouve plutot mediocre a cause de sa realisation (en 90 ou 91 j'aurais pas dit, 93 non).

Le puzzle game par contre est tres sympa oui, meme s'il faut un temps d'adaptation. Je te rejoins sur la difficulte. Jamais reussi a le terminer en hard. J'ai du passer 2 heures sur le dernier Boss, en vain...
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Rapurasu no Ma
(Humming Bird / Vic Tokai - 1995)




Rapurasu no Ma est un J-RPG sorti également sur PC (au Japon), PC Engine et X68000 se déroulant aux Etats Unis dans les années 1930. Plusieurs années auparavant, des enfants ont été retrouvés assassinés près d'un manoir en bordure d'une petite ville près de Boston. Le mystère n'a jamais été élucidé ... Le joueur incarne un personnage dont il choisit le sexe, le nom et le métier au début du jeu. Il est possible d'incarner un détective, un journaliste ou encore un medium. Le but est de s'introduire dans le lugubre manoir et d'en découvrir tous les secrets. On dirige son personnage vu de dessus comme dans la plupart des jeux du genre. Il est possible de choisir les endroits ou se rendre en ville à partir d'une carte. Il y a un hotel, un restaurant, des magasins ... C'est là qu'on va faire ses courses pour s'équiper ou qu'on va recruter d'autres personnages pour nous accompagner. Ensuite, on peut aller s'aventurer dans le manoir : il faudra déjouer des pièges, résoudre des enigmes, mais aussi et surtout affronter des monstres lors de combats aléatoires au tour par tour représentés comme dans Dragon Quest. Il est possible de ressortir pour retourner s'équiper ou se soigner dans la ville, puis retourner dans le manoir ... etc ...
Les graphismes sont à la fois sobres et très sombres. Sprites et décors manquent de détails mais les portraits des personnages sont réussis. Des musiques angoissantes très à propos accompagnent le déroulement du jeu qui semble assez interessant dans son genre et nous change des histoires d'heroic-fantasy. Malheureusement, tout est en japonais. Un patch anglais incomplet existe mais ma version patchée plante après l'intro du jeu. Rapurasu no Ma est réputé come étant un grand classique dans son pays d'origine.

Rocketeer
(Novalogic / IGS - 1992)



Ce jeu est tiré du film Disney lui même adapté d'un comics qui relate les aventures d'un aviateur américain dans les années 30, qui trouve un jour une armure dotée d'un jetpack lui permettant de voler.
Comme pas mal d'autres adaptations de film, ce soft suit une recette éculée : proposer des niveaux dotés de gameplay différents pour reproduire des scènes clé du long métrage. C'est malin parce que comme les développeurs n'ont pas le talent pour accoucher d'un jeu complet correct, ils espèrent que leur médiocrité se verra moins à travers des mini-épreuves ultra-limitée. Et puis au moins il y a de la variété. On aura donc ici droit à des courses d'avions vus de profil sur une "piste" (toujours la même) qui fait 2 écrans, le tout avec une jouabilité horrible et un niveau de difficulté éhonté. Si vous réussissez à passer cette épreuve (ou utiisez un code ...), vous aurez droit à une phase inspirée de Cabal ou le héros vu de dos doit canarder des ennemis dans un hangar. C'est particulièrement moche avec des graphismes vaguement digitalisés honteusement pixelisés et des sprites qui ne sont qu'une bouillie de pixels. Ensuite, on subira un shoot-them-up horizontal horriblement soporifique (et looooong !) ou le héros d'une lourdeur phénoménale n'aura que son tir minable (et quelques super tirs en nombre limité) pour se défaire de quelques avions et des mines volantes qui polluent le ciel. Après la répétition de plusieurs de ces scènes mémorables, on terminera ce calvaire avec une séquence ou le héros vu de profil doit escalader un zeppelin tout en donnant des coups de poing à des adversaires minables tentant de l'empêcher d'aller secourir sa fiancée enlevée par les nazis ...
En plus de son gameplay atroce et de sa réalisation ratée (les musiques sont également minables), le soft est miné par quelques mauvaises idées qui montrent à quel point les développeurs ont expédié cette adaptation à la va-vite, comme par exemple le fait que les boutons ne sont jamais utilisés de la même façon d'une séquence à l'autre (on tire avec Y dans une séquence, et avec A dans une autre). Seul (petit) point positif : les cut-scenes illustrées par des BD très sympathiques.
MAUVAIS

Riverse Kids
(JAP - 1996)



Riverse Kids est un jeu de Reversi (ou Othello) profitant d'un habillage soigné mettant en scène une petite fille d'école maternelle qui, on ne sait trop comment, est également impliquée dans une histoire de lutte contre des forces occultes au Japon en l'année 2010. Si si, un jeu de reversi vous dis-je. On dispute les parties entre 2 scènes cinématiques en choisissant ou poser ses pions à l'aide d'un curseur. Des musiques guillerettes et de nombreuses voix digitalisées viennent rythmer le tout, et tous les menus sont en japonais. Bien que jamais publié, ce jeu semble complet et la rom disponible fonctionne normalement.

J'avais acheté un Gen 4 dans lequel ils parlaient de la version micro de Rocketeer (mais je ne sais plus de quel micro il s'agissait). C'est le même jeu ou la version SNES est spécifique ?
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

En effet Shenron, ce Rocketeer Snes est une conversion depuis le jeu PC (MS-Dos) du même nom sorti en 91, j'ai oublié de le préciser. Je n'y ai pas joué sur PC donc je ne connais pas toutes les différences entre les deux versions.

A ne pas confondre avec Rocket Ranger sur Amiga (de Cinemaware), fortement inspiré du comics Rocketeer.

Robotrek / Slapstick
(Quintet / Enix - 1994)




Robotrek est un J-RPG dans lequel on dirige un petit inventeur qui a hérité de son père la passion de fabriquer des robots. Il vit paisiblement dans son petit village jusqu'au jour ou un groupe terroriste appelé "Hackers" tente de l'enlever pour obliger son père à collaborer avec eux. Heureusement son premier robot, auquel il vient tout juste de serrer les derniers boulons, met une rouste aux villains. C'est alors qu'il apprend que des enfants sont coincés dans une caverne près de la rivière, peut-être qu'une de ses inventions pourra les tirer d'affaire ?
Robotrek suit les shemas classiques du genre avec les phases d'exploration / achats / dialogues dans les villages et combats dans les donjons. Les monstres sont visibles, à la manière de Chrono Trigger, et peuvent parfois être évités. On combat suivant un système au tour par tour avec déplacement des héros sur l'aire de combat, un peu comme Emerald Dragon vu en page 31. L'originalité du jeu vient de la présence des robots qui combattent à la place du héros. On peut en construire, puis les programmer et les améliorer. La programmation consiste en fait à répartir des points entre diverses caractéristiques ayant une influence sur l'attaque, l'esquive ... etc ... On peut également combiner des objets entre eux pour découvrir de nouveaux équipements.
Le jeu est remarquable pour son ambiance enfantine et tous ses petits détails mignons et ses dialogues amusants. Par exemple il y a un petit chien qui se promène dans le village, et il se met à suivre le héros si on lui parle : les dialogues des gens vont alors changer pour soit dire que leur chien est plus beau que celui du héros ou pour l'empêcher de rentrer chez eux avec son compagnon canin. Il y a également plein de petites animations comme cette loupe que sort le héros à chaque fois qu'il observe quelque chose. Tout cela donne pas mal de charme au titre et incite à continuer l'aventure.
C'est graphiquement réussi avec des décors colorés et détaillés tout en restant simples et sans fioritures. Les musiques sont très sympathiques quoique peu variées. C'est un titre qui m'a donné une très bonne impression, même si je ne suis pas allé très loin.
BIEN (peut-être TRES BIEN)

Je veux la même machine au centre ! ^^
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Il me semble me rapeller que le jeu avait été déchiré à l'époque. Le plus mauvais jv de tous les temps ou un truc comme ca ^^
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RHI Roller Hockey 95
(Radical Entertainment / American Soft)



Ce soft qui fut terminé mais n'a jamais été édité, est un jeu de hockey en roller. Et c'est bien de le préciser d'entrée car ni les graphismes, ni la maniabilité comportant l'habituelle inertie, ne différencient RHI Roller Hockey d'un jeu de hockey sur glace comme ceux de Electronic Arts par exemple. Ce qui est différent, c'est les règles (un joueur de moins par équipe ici et quelques différences mineures) et les effectifs puisqu'on ne retrouve pas les stars de la NHL. Le jeu propose un gameplay très arcade centré sur l'utilisation de 2 boutons uniquements. Ca rappelle les 1ers NHL Hockey de EA et c'est assez plaisant, mais le CPU fait n'importe quoi. Il ne réussit jamais ses passes, avance maladroitement vers nos buts, mais par contre il peut marquer en tirant de très loin, ce qui semble impossible pour un sportif dirigé par le joueur. Les options et modes de jeu sont très succints, mais on peut redéfinir les forces et faiblesses de chaque équipe en distribuant des points dans des caractéristiques. Pas de quoi s'attarder sur ce soft, techniquement sans grand intérêt, vu la concurrence sur Snes (voir lettre N ...)
MEDIOCRE

hmmm rassures moi, sur les screen que tu montres c'est pas de la glace ? la couleur est trompeuse. Ca serait dommage de faire du hockey en roller sur de la glace ^^
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Robotrek a l'air très mignon, on sent pas mal l'influence Zelda dans le style graphique.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Voici une présentation que j'aurais du poster le 31 Mai, journée mondiale sans tabac :



Rex Ronan
(Sculptured Software / Raya Soft - 1993)



Voici un nouveau jeu médico-éducatif de chez nos amis américains de Raya Soft. Ici nous avons droit à un jeu d'action inspiré du film "l'aventure intérieure" dans lequel nous allons passer à tabac ... le tabac. En effet Jake, le grand patron d'une société qui fabrique des cigarettes, risque de mourir d'un cancer du poumon, quelle ironie. Seul le docteur Rex Ronan peut le sauver en se miniaturisant et en allant à l'intérieur de Jake combattre les cellules cancérigènes. On controlle donc Rex qui va se frayer un chemin depuis la bouche ou se trouvent des dents noircies par le tabac, jusqu'au coeur de Jake.
La plupart des niveaux sont des "run and gun" vus de profil : Rex peut tirer sur les saloperies qui polluent le corps de Jake, peut également sauter et frapper avec de superbes coups de pied circulaires tout droit venus de Shaq Fu. Encore que l'influence est plutot à chercher du coté de Alien Storm vu l'apparence et l'arme du héros. Certaines scènes nous mettent aux commandes d'un vaisseau vu de derrière, façon Buck Rogers, et il faut tirer sur quelques malheureux ennemis en évitant des obstacles.
L'intérêt éducatif du soft se manifeste sous forme de bonus qui font apparaitre une déclaration en rapport avec le tabac : si la déclaration est juste, on ramasse le bonus, sinon on passe son chemin. L'intérêt ludique du soft a lui bien du mal à se manifester ! la faute à un level design soporifique au possible, des erreurs de conception abérrantes (bonus impossibles à attraper, armes supplémentaires moins efficaces que l'arme de base ...), à une jouabilité approximative, et surtout une réalisation pitoyable avec des graphismes affreux et un scrolling ultra saccadé.
MAUVAIS

Je trouve aussi que l'on reconnaît le style Zelda dans le screenshot à l'extérieur. Par contre, dans le screenshot avec la manette SNES, on se croirait dans un dôme du futur dans Chrono Trigger. Tout ça est très joli en tout cas.
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