Clair qu'ils ont la méga classe chez Yacht Club Games. J'ai un GROS regret: de ne pas être passé les voir à Valencia (là où est situé le studio, dans la banlieue de LA, Santa Clarita pour être précis) lorsque j'habitais à Los Angeles l'année dernière. Malgré la montagne de boulot qu'ils ont sur les bras, ils accueillent visiblement avec grand plaisir les visiteurs et curieux!
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Quelques critiques en vrac, avec pas mal d'abandons :

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Amnesia : The Dark Descent



Sur le papier, ce jeu avait de nombreux atouts pour me plaire : première personne, pas d'armes, une approche psychologique de l'horreur.
En pratique pourtant, la lassitude s'installe bien vite. L'ambiance "oulàlà ça fait peur" est trop forcée, pas assez subtile pour fonctionner : elle abuse des distorsions visuelles et des bruits inquiétants dans tous les sens, ce qui fait qu'au bout d'un moment, on n'y prête plus attention. Pire : au bout d'un moment un peu plus long, elle devient exaspérante.
En fait, il ne se passe pas grand chose pendant une bonne partie du jeu, à part des bruits et des distorsions. Je ne me suis jamais senti menacé, un comble pour un survival horror. Apparemment ça bouge un peu plus après quelques heures, mais je n'ai pas la motivation pour continuer.
Autre chose qui m'a bien embêté : l'absence de carte, avec pour conséquence l'impression de tourner en rond, qui s'ajoute à la fatigue de l'ambiance ratée.

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Noitu Love 2 : Devolution



Ce jeu d'action en pixel art propose une maniabilité intéressante, au combo clavier + souris. Une fois habitué, ça fonctionne plutôt bien.
En revanche, l'action trop frénétique à mon goût et l'impression de ne pas tout maîtriser m'a découragé d'aller jusqu'à la fin. À l'instar de titres comme Gunstar Heroes, je suis partagé entre l'envie de continuer, parce que c'est bien cool tout de même, et la fatigue que m'inspire cette perte de contrôle. C'est dommage, car il y a de bonnes idées dans ce titre.

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Dark Souls



Il m'arrive parfois d'acheter des jeux à l'opposé de mes goûts habituels, juste "pour voir", ou pour comprendre ce que les gens lui trouvent. Cela permet de sortir un peu de son cercle de préférences, et cela peut donner lieu à de grandes révélations métaphysiques, comme ce fut le cas avec Skyrim.
C'est un peu dans cet esprit que j'ai commencé Dark Souls, mais pas de révélation métaphysique cette fois.
Pourquoi j'arrête après quelques heures : le jeu ne m'a pas accroché suffisamment pour m'y investir davantage, et le côté cryptique. Les gars, c'est quoi "l'humanité" ? Merde, vous pouvez pas arrêter de cacher les règles de votre jeu ? Si je dois jouer avec Google à côté, non merci. J'ai toujours l'impression qu'un jeu qui cache ses règles artificiellement n'est pas tout à fait honnête avec moi. Peut-être que ça fait partie du concept, mais je trouve ça un peu facile.
Cela dit, je suis content de mon achat car j'ai compris l'intérêt de ce jeu. Je n'ai pas aimé hein, bien trop de choses m'ont agacé, mais j'approuve la volonté de forcer le joueur à se dépasser en permanence pour progresser. Le cliché du "ce n'est pas le personnage qui monte en niveau, c'est le joueur" n'a jamais été aussi vrai.

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Superbrothers: Sword & Sworcery EP



En parlant de jeux inutilement cryptiques, celui-là a la palme.
Visuellement et musicalement réussi, ses actions sont bien trop faussement complexes pour ne pas lasser. C'est quelque chose que j'avais reproché à Fez, il n'y a pas de raison que celui-là y échappe. On sent aussi que l'interface vient du tactile, ce qui n'aide pas. Je préfère écouter l'OST, tiens.

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Pac-Man CE DX+



Un peu troublé par les objectifs pas toujours clairs au début, j'ai été rapidement scotché par un game design extrêmement bien fait. Les styles visuel et musical sont très réussis également, ce qui ne gâche rien. Un gros stick arcade posé sur les genous, ce jeu est hypnotique et jubilatoire. J'adore, et mon fils aussi.

L'humanité n'a pas une importance capitale, en vérité. Une humanité te permet, au feu de camp, de redonner forme humaine à ton perso, qu'il ne ressemble plus à un zombie mais à un être de chair. Les conséquences sont surtout liées au multi :

- Sous forme humaine tu peux être envahi par un autre joueur. Sous forme de zombie (ou "carcasse") non, tu joues tranquille sans risquer d'être envahi.
- Sous forme humaine tu peux invoquer d'autres joueurs pour t'aider contre les boss, ou encore des NPC. Sous forme de carcasse tu ne peux pas, tu ne vois même pas les marques d'invocation au sol.
- En fait le mieux est de jouer tout le temps en carcasse sauf quand tu as besoin d'invoquer, auquel cas avant de quitter le feu de camp tu redeviens humain en consommant une humanité.
- Une fois humain, on redevient carcasse dès qu'on meurt.
- Les humanités trouvées sont stockées dans l'inventaire. Le fait de les "utiliser" les fait passer dans le compteur en haut à gauche, près de la barre de vie. Quand celui-ci affiche un nombre élevé, le loot devient meilleur par l'amélioration du taux de drop sur certains objets. Il arrive que ce fameux compteur s'incrémente tout seul lors de certaines "concommitences" (encore mal connues...) entre ce que tu fais et ce que font d'autres joueurs en ligne au même moment. Attention, en cas de mort les humanités stockées dans ce compteur peuvent être perdues (elles sont dans la flaque verte, avec les âmes).
- Accessoirement, le fait de consommer une humanité depuis l'inventaire (pas au feu de camp) redonne beaucoup de points de vie, plus que la fiole d'Estus. Mais ce sont surtout les speedrunners qui se servent de ça, il vaut mieux garder les humanités en cas de besoin d'invoquer.

Dans Demon's Souls et Dark Souls II, ne pas être humain entraîne une restriction sur ta barre de vie, mais ce n'est pas le cas dans Dark Souls.


Pas besoin de Google, non. Le Wiki suffit
http://darksouls.wikidot.com
Faut pas se braquer sur cette absence d'explications, ça fait partie du trip. De toute façon, les règles sont tellement nombreuses et complexes que je vois pas comment ils auraient pu tout inclure dans le jeu ou un manuel.
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Effectivement, c'est ce que j'en ai conclu.
C'est à mon humble avis une limite du concept, et une ligne jaune à ne pas franchir en termes de game design. Inciter le joueur à progresser, oui (le système de mort est génial), dissimuler les mécaniques de jeu sous des termes obscurs, non. Mais je savais que ce jeu n'était pas pour moi.
Merci quand même pour l'explication.

Le jeu m'a fait exactement le même effet. Le style graphique pointilliste* et la musique sont plaisants, mais les actions finalement peu intéressantes, peu valorisantes. J'ai eu l'impression de cliquer au hasard pour provoquer des interactions diverses sans but, comme j'aurais pu le faire sur une installation artistique interactive. Sauf que le jeu se présente comme ayant un but, une finalité... enrobée dans un scénario qui se regarde et s'écoute beaucoup, pour ne pas dire grand-chose au final. L'ennui a fini par pointer son nez.

* Je n'arrive pas à le considérer "retro". Ce n'est pas parce qu'on fait du pixel art que le résultat est forcément "retro".



Ce pac-man est démentiel. Un prétendant de plus au titre de meilleur jeu du monde !

Je me sens moins seul, j'avais chanté ses louanges dans le topic du XBLA mais je n'avais pas eu l'impression qu'il était beaucoup pratiqué. Je m'éclate en ce moment sur les DLC avec les niveaux supplémentaires "gros mangeur", "montagne", etc. c'est vraiment un chef-d'oeuvre.
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D'ailleurs ça tombe bien qu'on en parle, puisque Pac-Man CE DX+ est gratuit sur Steam jusqu'à lundi, et soldé à 3,39€.

Tu fais erreur car à peu près tous les Grospixeliens sur le LIVE y ont joué à fond (tout comme à l'épisode précédent, dont il est par ailleurs question dans le dossier consacré au XBLA), et nous avons été assez nombreux à en causer à droite-à gauche, pas toujours sur les bons topics ceci dit. Mais sinon oui, c'est un jeu exceptionnel qui est encore trop ignoré.
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"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

Il est excellent ce Pac-Man CE DX+.

Le seul petit reproche que je lui fais (pour dire si c'est léger), c'est que les succès (en tout cas ceux de Steam) sont tellement faciles qu'on les débloque lors de la première séance de jeu, et n'incitent pas vraiment à creuser le système de jeu (ou de scoring). Mais bon, qui a vraiment besoin des succès pour se lancer des défis dans un jeu de scoring?


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@Odysseus: ça n'a jamais été très actif même à sa sortie, et tous mes posts sur les bonus (dont certains gratuits) ont été sans aucune réponse (chose qui est assez courante, il faut dire)...

EDIT: oui, après avoir écrit mon post je me suis dit que vous deviez en avoir discuté entre abonnés Gold.
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Oui, et c'est regrettable. Mais le LIVE est conçu de telle sorte qu'il y a sans aucun doute beaucoup plus d'échanges informels sur ce réseau que sur le forum de Grospixels... D'où l'impression que l'on peut parfois avoir de discuter d'un sujet abordé ici alors qu'il en a surtout été question par micro-casques interposés.

Histoire de ne pas être venu pour rien, et pour rebondir sur le post précédent de Robert, j'ai acheté dernièrement Olli Olli, après lecture de la critique ultra élogieuse dans je ne sais plus quel numéro de Games.
A la base, je ne suis pas fan de skate, mais je garde cependant un très bon souvenir du premier Tony Hawk sur Dreamcast, de Skate et surtout de Top Skater qui m'a coûté une fortune en arcade à l'époque. Naïvement, je m'attendais à retrouver des sensations similaires, sauf que non.



De mon point de vue, le gros problème réside dans le système de réception qui oblige à appuyer puis à relâcher, puis à rappuyer sur le bouton de saut. J'ai beau creuser, je ne trouve pas d'explication logique au truc, d'autant que cela pose un gros problème en terme d'aisance dans le jeu, obligeant à faire une fixette sur les sauts et donc à délaisser les figures. Un moment, j'ai carrément cessé de prendre des risques pour tenter de scorer tant j'étais épuisé de me prendre gadin sur gadin...
Alors oui, ça donne un effet "réaliste" au truc, laissant supposer le mouvement de flexion-extension-flexion des jambes du skateur. Mais un jeu où l'on fait des sauts de 15 mètres, avec des dinosaures, des fusées spatiales et j'en passe ne peut décemment pas prétendre au réalisme. C'est comme si Crazy Taxi (tm) incluait un système de gestion de la pression des pneus. C'est hors-sujet. Bref, une belle déception.
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Fini : Bit.trip Runner 2



Encore merci à oufwid pour son don.

Je découvre la série bit.trip avec cet épisode qui, ironiquement, est celui qui met de côté son style rétro caractéristique pour aller vers de la 3D plus impersonnelle. Le cœur du gameplay n'a pas changé, par contre : il s'agit toujours d'éviter les obstacles et d'attraper les lingots, alors que le personnage court automatiquement, le tout sur une bande son synchronisée avec l'action.

Les premiers contacts ne sont pas faciles : l'aspect graphique n'a rien d'attirant, et la DA fait parfois preuve d'un mauvais goût certain. Par exemple, un des personnages est une "sirène mâle inversée", avec slip kangourou, et testicules pendants et bondissants. Bon.



Malgré tout, s'il a l'air simpliste au premier abord, le gameplay se révèle vite étrangement accrocheur. Alors que j'ai d'autres jeux en cours (et des bons), je me suis surpris à relancer Runner 2 en priorité, jusqu'à atteindre la fin.

Premièrement, la bande-son est une réussite : les nappes musicales s'ajoutent au fur et à mesure de la progression dans le niveau, ponctuée par des bruitages doux, et synchronisés à l'action. Le mélange qui en résulte est particulièrement agréable et relaxant. Ecoutez plutôt.
Ensuite, le gameplay est principalement axé sur les réflexes, et les automatismes du joueur. On a donc vite fait d'entrer dans un semi état second en jouant. J'aime bien les jeux qui font cet effet, en général : c'est parfait pour se relaxer.

Un bonne surprise au final, alors que ce n'était pas du tout gagné au départ !

Il est vraiment bon ce Bit Trip Runner 2, plus accessible que le premier (qui est un peu âpre niveau difficulté). J'ai bien aimé le style graphique, c'est du nawak mais c'est bien assumé et plutôt joli. Et étrangement plus lisible que le premier, qui malgré ses graphismes dépouillés, surchargeait parfois inutilement l'écran d'effets, rendant les obstacles plus difficiles à distinguer.

Un hic cependant: le jeu du canon à la fin d'un parcours réussi avec tous les lingots d'or est nécessaire pour "parfaire" le niveau mais n'est ni amusant, ni gratifiant. Le timing est toujours le même, sans aucune finesse, et n'apporte rien. Chiant de manquer un !+++ par un 1/8s de seconde de faiblesse...
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@oufwid :
C'est ce qui a démotivé pas mal de monde pour faire un perfect (dont Simbabbad qui en a beaucoup parlé en détail et moi).

@Odysseys :
Ton post sur Olli Olli me sauve la vie, je me suis retenu de l'acheter plusieurs fois mais je réalise en te lisant que j'ai bien fait.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

J'ai en effet "pourri" le jeu dans le topic de la série pour son aspect scoring complètement foiré, mais le jeu reste incroyablement plaisant et fun. Si on joue "pour le plaisir" et pour passer un bon moment (quasi hypnotique, comme le dit Robert) sans chercher la performance, il reste très plaisant, comme une version "casual" d'un Bit. Trip Runner bien plus "hardcore".
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Toujours à la pointe de l'actualité, je viens de finir Bionic Commando (2009).



Pour resituer le contexte : j'adore la version NES et son remake Rearmed, mais j'avais délaissé l'épisode de 2009, n'ayant pas de PC potable à l'époque. Et aussi parce que dans mes souvenirs, l'accueil de la critique avait été plutôt mitigé. Encore une fois, j'aurais dû me fier davantage aux avis postés ici, nettement positifs, car c'était vachement bien.

Bionic Commando 2009, c'est d'abord un menu, dans lequel on navigue en dirigeant une série de connexions nerveuses. La musique est une reprise minimaliste du thème principal au piano, du plus bel effet. Ce menu a beaucoup de classe en plus d'être fonctionnel, et rappelle fortement celui, inoubliable, de Metroid Prime.



Mais à part ça, pourquoi c'est bien, Bionic Commando ?
Tout simplement parce que le mécanisme du grappin est très bien retranscrit en 3D et, couplé à un level design adapté, terriblement efficace. C'est absolument jubilatoire de plonger en saut de l'ange du haut d'un immeuble ou d'une falaise, pour se rattraper in extremis à une barre, et se balancer de structure en structure sur un décor d'ambiance post-apo. Il m'est souvent arrivé, au cours du jeu, d'interrompre ma mission un moment, juste pour le plaisir de se balancer et d’expérimenter les possibilités de l'accessoire bionique. Dès lors, pas question de courir sur la terre ferme comme un vulgaire humain biologique, et heureusement, le level design ne nous y contraint quasiment jamais.

Les combats sont biens, un peu pétés, mais avec juste ce qu'il faut d'excessif pour leur donner un parfum de film d'action 90s très sympathique, sans trop en faire. Projeter une voiture dans les airs grâce au grappin avant de la balancer sur un ennemi à peine visible au loin est quand même bien cool.
Les musiques sont excellentes, avec notamment des reprises orchestrales des thèmes historiques très réussis.

Alors oui il y a des défauts, à commencer évidemment par les radiations : solution facile et injuste pour délimiter les zones de jeu, mais on lui pardonne volontiers en échange de la sensation grisante que procure le grappin.

Voilà, Bionic Commando, c'est bien car ça fait des petits guilis au ventre.

On est plusieurs ici à avoir beaucoup aimé Bionic Commando (notamment Jikka si ma mémoire est bonne), qui, à mon avis, s'est fait injustement basher par tout le monde pour des raisons qui m'échappent un peu. Je trouve qu'il manque juste d'un New Game + dans lequel on aurait tous les pouvoirs dès la début.

Rien à voir, mais je commence à découvrir le jeu sur PC, les différents réglages, et tout le toutim. Je joue à Alien sur ma télé, pour être bien dans l'ambiance, et je ne vois aucune différence entre les différentes options d'anti-aliasing. Mieux que ça, je l'ai carrément désactivé, et je ne vois toujours pas de différence.

Est-ce parce qu'à 2m, on ne voit effectivement rien, parce que je suis miro ou parce que les différences d'un mode à l'autre sont effectivement infinitésimales ? Parce que même sur des screens comparatifs, souvent je trouve les différences limite inexistantes.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ben faut dire que les résolutions sont tellement élevées maintenant que sur une télé on ne voit guère plus la différence sauf si on met le nez dessus. Déjà que sur un écran d'ordi c'est parfois subtil, alors à 2+ mètres...

Ne pas voir la différence entre deux algos d'AA, ça ne m'étonne pas, mais par contre en le désactivant tu devrais voir apparaître les effets d'escaliers tout de suite. Tu es sûre que la résolution du jeu est la même que la résolution native de ta TV ? (1920x1080 sur une full HD).

C'est peut-être déjà ce que tu fais, mais attarde-toi sur les objets avec des contours très apparents, comme un objet noir sur fond clair, ou une grille, c'est là que l'AA est le plus visible.
Après je pense que c'est normal de ne voir qu'une faible différence entre de l'antialiasing 4x et 8x par exemple.