C'est une très bonne nouvelle ça mademoiselle! Ya quoi dans ce PC gamer?

+1

Comment ça "suite à l'achat" ? J'ai acheté mon PC il y a plus de 4 ans, je n'ai pensé à l'upgrade (soit-disant facile, hein, les pc-istes) que récemment !


Non
Je sais qu'il fait tourner les derniers jeux AAA en Ultra ou pas loin, et qu'il me le vend 300€. Ça me suffit
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Non
Je sais qu'il fait tourner les derniers jeux AAA en Ultra ou pas loin, et qu'il me le vend 300€. Ça me suffit
[/quote]

Pas mal, sacrée affaire!

C'est facile tant qu'il n'y a pas à changer la carte mère. Ajouter un lecteur, de la RAM, ou changer de carte graphique sont des choses simples.

Sauf dans le cas de PCs de supermarché.

C'est bien la première fois que je vais poster ici

Bref, j'ai fini The Blackwell Epiphany, de Wadjet Eye Games, hier au soir. Non, en fait, plus qu'un jeu, c'est une aventure unique qui vient de se terminer pour moi.
Car ces deux dernières semaines, je les ai passées à faire toute la série des Blackwell - Legacy, Unbound, Convergence, Deception et Epiphany - les uns à la suite des autres. Une première pour moi qui ne suis pas du tout habitué au genre (le dernier en date était les Chevaliers de Baphomet...peut-on compter les Ace Attorney et Ghost Trick ?), et encore moins à jouer sur PC...mais le pitch me faisait envie, et les 4 premiers étaient en promo sur GoG.

Ces deux semaines, je les ai passées en compagnie de Rosangela Blackwell, médium et psychopompe malgré elle, et Joey Mallone, fantôme et guide spirituel de fortune.
Pour résumer vite fait le début du premier épisode : Rosa, 21 ans, pigiste dans une feuille de chou et critique littéraire à New York, vient tout juste d'encaisser le deuil de sa tante Lauren, et à peine a t-elle eu le temps de jeter ses cendres qu'un fantôme, Joey, fait irruption dans sa vie. Se présentant comme un guide, "l'héritage de la famille Blackwell", il lui explique que leur but, à eux deux, va être d'accompagner les âmes errantes des défunts.
Il s'agit d'une série de point'n'click tout ce qu'il y a de plus classique, à ceci près que l'accent sera mis davantage sur l'investigation que sur les énigmes. La tâche de Rosa et Joey est plus complexe que prévu, car pour pouvoir aider les dits défunts à aller dans l'autre monde, il faudra leur faire accepter leur état...et c'est là que ça coince : la plupart sont paumés, répètent leurs actes quotidiens en boucle sans s'apercevoir du changement autour d'eux. La plupart ne se souviennent même plus de leur propre nom ! Il faudra donc mener l'enquête sur eux : quelle a été leur vie, leur famille, leur travail, la raison de leur mort...il s'agit de retracer toute une partie de leur vie, afin de les faire renouer au moment déterminant, celui de leur mort.
The Blackwell, c'est une histoire à propos d'histoires, celles des gens, pas des gens exceptionnels, mais bien plus souvent des quidams qui ont tenté de vivre leur vie du mieux qu'ils pouvaient. Parfois il s'agit de jeunes filles fraîchement sorties du campus, parfois d'employés furieux d'avoir été remerciés sans un merci ni merde, parfois de prostituées qui ont voulu tout recommencer.
C'est aussi l'histoire de Rosa, cette jeune fille un brin misanthrope ; de Joey, un type des années 30 (avec le complet-veston-feutre qui va bien) qui est en complet décalage avec le NY d'aujourd'hui ; de Rosa ET Joey, ce duo tragi-comique, tendres et sarcastiques, qui mène sa barque de psychopompes improvisés qui apprennent leur métier sur le tas. C'est aussi l'histoire d'ingratitude, de joies, d'incompréhensions, de folie et d'accomplissement de soi.

La première qualité de cette série est bien sur son écriture, en tous points divine, irréprochable. Il y a un mélange d'humour (qu'il soit noir, de jeux de mots ou un comique de situation), de pragmatisme et de mélancolie qui fait mouche, les dialogues sont d'une justesse incroyable, rien n'est affecté ou forcé, tout coule de source. Les personnages comme les situations peuvent être haletantes, drôles, tristes, touchantes, mais jamais ratées ou mi-figue mi-raisin.
Ensuite, le gameplay sait faire juste ce qu'il faut pour être au diapason de la narration : jamais trop simple pour ne pas avoir l'impression que tout est écrit d'avance, ni trop compliqué pour ne pas occuper tous les spotlights.

J'ai fini Blackwell Epiphany, et j'ai fait plus que finir un jeu, une série. J'ai dit au revoir à des personnages qui sont comme des amis, que j'ai accompagnés pendant deux semaines pour moi, presque 10 ans pour eux. Dire au revoir à Rosa, Joey, Lauren et les autres est nécessaire et déchirant. Déchirant parce que c'est nécessaire, certainement ! La fin est à l'image du jeu : mélancolique comme ces thèmes jazzy qui rythment toute la série. J'aurai du mal à me défaire de cette atmosphère de film noir qui teinte la série.
Le pack Blackwell (les 4 premiers) est à 5€ sur GoG, et j'ai presque l'impression d'avoir payé trop cher. Un très, très gros coup de coeur, qui vient encore une fois de là où je l'attendais le moins.
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Ah, Tama, ton texte me ravit !

J'avais fait les deux premiers volets il y a quelques mois (les deux suivants sont prêts à être joués, je verrai ensuite pour la conclusion, Epiphany, pas encore acheté), et ce que tu décris est exactement ce que j'ai ressenti en jouant.
L'attachement aux personnages, la qualité d'écriture, ces destins croisés, brisés, cette ambiance si particulière aux relents de jazz... Tu as fort bien décrit tout cela.

Une série vraiment intelligente dans son écriture, qui mérite d'être jouée et rejouée.

Carrément ! super texte Tama !

Cette phrase est ressortie du lot pour moi :

C'est dans ce type de jeu que je trouve aujourd'hui le plus de plaisir, à l'instar de To The Moon (que je te recommande au passage car a priori ça devrait te plaire).

Malheureusement dans l’immédiat le jeu est repassé à un prix normal, mais merci quand même pour l'envie !

EDIT : par contre je n'ai pas compris cette phrase :

Tiens, maintenant que tu pointes cette phrase, moi aussi elle me parait bizarre. En quoi 5€ pour le bundle des 4 premiers serait trop cher ?
Ou alors, tu as voulu dire ?

Je pense que le sens de la phrase était "j'ai l'impression de pas avoir payé assez cher pour des jeux de cette qualité"

Exact les gens, je me suis complètement emmêlé les pinceaux Je voulais dire que j'avais l'impression d'avoir payé trop peu cher...ça m'apprendra à rédiger des pavés sans me relire derrière.
En tous cas, pour l'instant je tiens mon GOTY. Enfin, ma série GOTY.



Ça tombe bien, To the Moon fait partie des jeux que j'ai achetés via les soldes !
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Alors j’espère que tu aimeras autant que j'ai aimé, et que tu pourras nous refaire une jolie review comme celle-ci.

Par contre sois averti que l’expérience est très courte.

Et à moins que tu ne sois parfaitement bilingue, je te conseille vivement l'excellente traduc' FR, en espérant que ta version l'incorpore.

Pendant les soldes Steam, je me suis payé Unepic. Ce jeu est une vraie drogue, mais dieu qu'il est dur et impitoyable.
Les premiers écrans sont tranquilles, mais dès qu'on arrive dans le jardin, d'un coup la difficulté grimpe en flèche, surtout avec ces foutus skels bien résistants. Le pire c'est que quand on meurt, on reprend pas très loin MAIS toutes les créatures ont repop.

Sinon, un joli castlevania like bien foutu, j'aime beaucoup

Probablement un des pires jeux à licence de tous les temps.

Non non mais ne partez pas !

Pire jeu à licence de tous les temps.

http://www.twitch.tv/kidkarib/b/543849813

Ceci est le héros de Fort Bauyard Boyard :


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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Ah ouais QUAND MEME!!! Impressionnant. Passer 1h20 là dessus, moi je dis chapeau, je me serais arrêté au réceptionniste moi.

C'est vrai que ça a pas l'air extraordinaire, mais je m'attendais quand même à pire ^^ (faut dire que regarder quelqu'un d'autre jouer à ce type de jeu, c'est toujours très chiant). Par contre, Dieu que c'est mal joué !! C'est exactement à cause de ça que je n'ai jamais osé relancer certains FMV comme Phantasmagoria et autres, alors que j'ai régulièrement envie d'écrire un petit truc dessus. Que les jeux aient techniquement vieilli ne serait pas un soucis, mais si je découvre que les acteurs étaient en fait mauvais, ça va ruiner tous mes souvenirs...

Tiens, quand j'ai relancé les Phantasmagoria et autres Gabriel Knight, c'est plus les vidéos en MPEG1 qui m'a "choqué", je ne me souvenais plus de toutes ces lignes, alors que le mauvais jeux des acteurs, je m'en souvenais très bien

Allez JC, fais-toi (moi) plaisir, et relance Gabriel Kgnight 2 et Phantasmagoria.

Ha oui, cette espèce de scanline artificiel qui permettait aux vidéos d'être moins gourmandes à afficher en sucrant une ligne sur deux... Ça ne m'a jamais vraiment gêné. Je dirais même que ça fait un certain charme à ces productions : le cerveau compense les informations manquantes, et ça peut au final paraître plus beau qu'une image complète qui va montrer tous les défauts propres à la basse résolution... Par contre, l'inconvénient, c'est que ça assombrit l'image.

A noter qu'il existe des patches et autres versions corrigées de l'installer de certains jeux, qui virent les lignes noires, entre autres améliorations...
En cas de besoin, pour les jeux Sierra, on trouve beaucoup de choses ici : http://sierrahelp.com

Mon prochain jeu avec des acteurs live dedans, ce sera plutôt Under a Killing Moon , car je n'ai jamais joué à un Tex Murphy de ma vie (eh oui, j'avoue tout) et j'ai profité des récentes promos pour prendre la série sur GOG et la découvrir cet été...

Au fait si ça intéresse quelqu'un j'ai une GTX 580 à vendre que j'avais choppé à 100 EUR pour un pote qui me l'a pas prise...


En gros ça équivaut aux perfs d'une GT 660, elle est en boite, version MSI OC twin frost, fait 28cm de long et consomme dans les 250W en pleine charge...

Bref, si quelqu'un est intéressé mais seulement en main propre sur Paris/La Défense.