Clairement, les nmpp (prestalis) ont beaucoup fait pour la diffusion de la presse en France
_________________

Vu qu'il me semble qu'ils ont le monopole, forcément.

Le Parisien en est sorti c'est pour ça qu'on le trouve dans les boulangeries.
Je ne sais pas si on peut qualifier le système de mafieux, la diversité de la presse en France est une réalité, il n'y aurait pas tant de soucis si les gens continuaient à acheter des magazines et des journaux;
Quand je vois Mad Movies ou Retro Gamer Collection pleurer dans les newsletters pour reprendre un abonnement on file direct vers une base nécrosée et vieillissante. Il est important que les gens tombent sur des titres inconnus, la curiosité m'a fait acheter pas mal de mags.
Mais clairement, quand je vais chez mon machand de journaux, c'est moi le plus jeune. Et je le suis de moins en moins.

Quand j'y emmène mes enfants c'est la purge pour eux, ils font les piquets dans un coin en attendant que je furète dans les rayons, JV, cinéma, histoire, sciences, environnement... Et pourtant ils sont d'une grande culture générale, très curieux de tout et gros lecteurs. Mais hormis leurs abonnements à Spirou et à SVJ, ils n'en ont rien à carrer.
_________________

... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

De quoi la presse est en voie de disparition oO ? mais ils lisent quoi les gens ?

Je suis pas un grand fan mais quand je vais acheter mon telez je furette toujours un peu. Les lego magazine, les marvel quand y'en avait.
D'ailleurs que ces cons de panini aient arrété les marvel en marchand de journaux c'est tres tres chiants.

Apres tu jettes toujours à 2-3 trucs, genre un science et vie, un autoplus, fluide glacial ou ce genre de truc. Et oui de temps en temps je jette un oeil en haut des rayons mais bon tu peux pas faire plus explicite O_O.


Mais c'est vrai que les rares fois où je prend le metro ca me fait halluciner. Les gens sont collés à leur smartphones à regarder des fil facebook de gens qu'ils connaissent pas.
Enfin si des fois c'est des fil d'ami à eux à qui ils ne parlent plus.
Je l'ai deja raconté mais un jour un pote à moi que j'avais pas vu depuis un moment m'a dit en face "si tu veux savoir ce que je fais en ce moment, t'as qu'à aller voir sur ma page fb, je raconte tout".
Super je vais jamais sur fb, et t'es là en face de moi ....
La conversation s'est arrété là

Mais wai il ne doit plus y'avoir que moi qui lit des vrais mangas papiers dans le metro avec ma clé usb pour lire mes mp3.
_________________

C'est bien de jeter un œil aux magazines dans les kiosques. C'est encore mieux de jeter des sous dans la caisse des dits magazines pour leur permettre de survivre un peu plus longtemps

L'expérience de Niloc-Nomis est probante et je vis la même chose de mon côté : les marchands de journaux sont une espèce en voie de disparition, de même que les librairies et les bouquinistes. Il y a une rupture générationnelle sur laquelle il sera difficile, voire impossible de revenir.

Par ailleurs, le dernier bouquiniste de mon quartier (qui en avait compté jusqu'à une dizaine au début des années 90) vient de rendre l'âme, dans tous les sens du terme : je te rends hommage, Michel, toi qui t'apprêtais déjà depuis un moment à passer l'arme à gauche, "pour le meilleur et pour le pire"

bouquiniste genre les gens qui vendent des livres sans images ?

Ah nan ca j'ai jamais pu. Les vrais livres j'en lis plus depuis que c'est plus obligatoire (bac de fr). Mais bon une petie bio genre pix'n love ca va ca passe. Mais c'est mon max.

Par contre le bd-iste y'en a plus des masses non plus
_________________

Les bouquinistes, ce sont les librairies d'occasion. Il y en a qui se consacrent uniquement aux livres rares et aux éditions anciennes, mais ce n'était pas le genre du quartier. La plupart faisaient dans les romans mais aussi les magazines... et les BD. Il y en avait une, sur l'Avenue de Saint-Ouen qui, dans mon enfance et mon adolescence, était l'équivalent de la caverne d'Ali-Baba : grâce à elle, j'ai pu mettre la main sur toute la collection des Special Strange et découvrir les X-Men depuis l'époque John Byrne jusqu'à celle de Marc Silvestri (qui était le dessinateur en vogue au moment où j'ai commencé à suivre régulièrement les comics).

Ils avaient également une collection phénoménale de LDVELH qui couvrait tout un mur (c'est là que j'ai pu mettre la main sur la Couronne des Rois, l'épais volume clôturant la série Sorcellerie! et que je n'étais parvenu à trouver nulle part ailleurs, en plus d'un trillion d'autres livres-jeux) et quasiment tous les Stephen King... le tout à des prix dérisoires. Je n'étais pas amateur à l'époque de polars, de SF ou de Fantasy, mais il y aurait eu de quoi faire. Je peux te dire que j'ai bien tiré la gueule quand ils ont fermé boutique, ceux-là...

Les bouquinistes c'est plus particulier : eux ils souffrent surtout de la concurrence du Bon Coin je pense. Le problème c'est que lorsqu'on vend chez eux, ils rachètent à des tarifs dérisoires, forcément vu qu'ils vendent pas cher et il faut bien qu'ils aient leur marge. Mais en tout cas oui, ce sont des magasins assez merveilleux à visiter lorsqu'on en trouve, c'est l'équivalent des boutiques rétro pour le jv en fait.
Les libraires c'est pas la même problématique que la presse où les gens ne lisent plus les magazines. Les livres ça marche encore et ça semble pas prêt de s'arrêter alors que l'usage du numérique dans ce domaine ne prend pas du tout (en tout cas en France). Leur souci c'est la concurrence d'Amazon et des supermarchés, mais au moins la réglementation du prix unique les protège, c'est pas comme le jv où acheter son jeu dans un magasin indépendant signifie bien souvent payer 15/20 € plus cher qu'à Carrefour ou chez Amazon. Et la TVA à 5% ça aide aussi pour survivre je pense. J'ai l'impression que depuis que la TVA est passé à 5% pour la restauration, ça a accru la fermeture des petites boutiques au profit des sandwicheries & co.
Enfin bref, les libraires résistent plutôt bien aux mutations, malgré tout. Quand on compare avec les disquaires, par exemple, on peut dire qu'ils s'en sortent bien.
_________________

Mieux comprendre l'industrie du jeu vidéo et son histoire : Ludostrie.

Bonne analyse, Oscar. Au plaisir de te voir un peu plus souvent sur ce forum

Ah si on parle de ce genre de bouquiniste oui je connais alors. Y'en a un à Montpellier (Moustache et Trottinette ) qui a fusionné avec l'ex Glenat.
http://planetes-interdites.com/


J'y vais pour vendre mes mangas et comics que j'arrive pas à refourguer sur le net. Bon ils prennent pas tout et souvent c'est repris une misere, mais bon ca finance mes achats de mensuel. En plus ils ont plein de goodies.
Et effectivement y'a plein de mangas/comics et des vrais livres d'occaz, mais j'ai arrété l'empilage de bd du coup plus trop de retro.

Un peu comme les jvs aussi. Heureusement que j'ai pas un chateau sinon je croulerai sous les bds et les jeux
_________________

Ca pourrait (devrait) en intéresser beaucoup ici, le bouquin "Une Histoire du Jeu Vidéo en France" est sorti récemment chez Pix. Je l'ai reçu hier et ai jeté un rapide coup d'oeil à l'intérieur : ça a l'air bien ! Deux arguments pour vous convaincre de l'acheter :

De un, si vous pensez déjà en savoir beaucoup sur le jeu vidéo français, vous allez vous rendre compte que les auteurs sont allés chercher TRES LOIN et ont déniché des infos peu connues sur des pionniers désormais oubliés. Perso, c'est cet article d'un des auteurs, à propos de Paul Braffort, qui m'a convaincu que le taf avait été bien fait et qui m'a motivé à passer à la caisse dès la fin du confinement :
https://threadreaderapp.com/thread/1262298809197043713.html

De deux, les auteurs ont épluché d'innombrables sources pour rassembler un maximum d'infos. Et dans ces sources, on trouve bien entendu Grospixels. Dans le chapitre sur l'arcade, l'interview qu'on avait réalisé de Pierre Tel est abondamment citée, et les auteurs de l'interview sont mentionnés à chaque fois.

tu me diras je me tate à le chopper ce bouquin
_________________

Merci pour l'info!
Le thème et ton avis suffisent à me convaincre.
_________________

... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Bonjour,

Sans vouloir m'immiscer dans ce que vous dîtes ou direz ou penserez d'Une Histoire du jeu vidéo en France, et n'ayant pas l'intention ici d'en faire ma propre publicité, je voulais simplement et personnellement et publiquement (ce qui fait beaucoup de -ent) adresser ici un grand merci au travail que GrosPixels avait fourni depuis le temps, et plus particulièrement l'entretien mené par Sebinjapan, Lyle, JPB sur Jeutel qui vient d'être évoqué.

Certains articles nous ont aidé à démarrer, mais cet entretien a été vraiment utile dans la confection du récit, car il a été publié peu avant que nous ayons débuté le bouquin (même si tout a commencé à cause du Tilt à l'extraball). Et surtout, il a nous semblé suffisamment prolixe pour nous éviter un déplacement au Luxembourg et réinterroger Pierre Tel, vu qu'on a déjà eu le tour de France à faire Beaucoup de points sont intéressants, et cela nous permis de voir plusieurs lignes d'accroches peu connus jusqu'à présent (notamment sur les débuts de la contrefaçon et leur importance dans le développement d'une industrie locale).

Donc encore merci !! Sans ce genre de contributions, il serait beaucoup plus dur d'effectuer de la recherche.

Après, notre volonté, avec Alexis, est que seuls les lecteurs sontt juges de notre travail.
Si vous avez des questions, ou des points qui vous semblent obscures, n'hésitez pas

Bien cdt,

Guillaume

Cool de passer par là, merci!
Je me souviens que sur le forum, quand cet entretien s'est dessiné puis a eu lieu, c'était l'euphorie.
Merci à Seb aussi pour le partage passionnant du témoignage de Paul Braffort, passionnant.

J'ai commandé le bouquin, j'ai super hâte qu'il arrive, ces histoires de pionniers me passionnent.
_________________

... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Merci pour ton message Quetz, j'essaierai de donner un retour détaillé rapidement.

Votre boulot me tient à cœur car, si je m'étais lancé moi aussi dans l'écriture d'ouvrages sur le jeu-vidéo, il y a deux livres que j'aurais voulu produire, et quelque part plus pour mon plaisir personnel que pour répondre à une réelle demande : l'histoire des jeux vidéos français, et une anthologie des jeux de catch.

Pour le premier, j'avais déjà réuni des tonnes de sources que vous avez sûrement épluchées aussi (des interviews détaillées qu'on trouvait dans les vieux mags, avec des gens comme Laurent Weil (Loriciels), Paul Cuisset, Elile Kenan (un mec passionnant qui a lancé les 1ères machines Commodore en France, puis le ST ou la Lynx chez Atari ...)), je me suis quasiment tapé toute la production française de boites connues (Infogrames, Froggy, Ere, Cobra Soft ...) mais aussi d'éditeurs / développeurs désormais obscurs comme Sprites, Free Game Blot, Softbook, No Man's Land, Chip ou Infomedia, j'ai aussi eu la chance de rencontrer quelques personnalités qu'on ne voit pas assez citées (Pierre Tel donc, mais aussi des gens comme François Lionnet qui a entre autre créé STOS ou AMOS).

Et ce qui est fou, c'est que ces 2 bouquins que j'aurais voulu écrire surtout parce que je voulais les LIRE et qu'ils n'existaient pas, ils sortent tous deux cette année à quelques mois d'intervalle !
Une Histoire du Jeu Vidéo en France chez Pix donc, et aussi Wrestling with Pixels chez HG101.
Oubliez le virus les gars, elle est pas si pourrie que ça cette année 2020

Bienvenue à bord moussaillon, et merci à toi de répandre la bonne parole grospixelienne ici et ailleurs, vers l'infini et au delà ! (Hips !)

@ Seb : j'ai bien vu que Kurt Kutala sortait un bouquin sur les jeux de catch, mais c'est moi ou il en a profité pour retirer tout le contenu associé sur son site ? Les jeux AKI sont les rares simulations de catch que j'apprécie un tant soit peu et l'épais dossier qui leur était consacré a purement et simplement disparu

Bon, Kurt fait ce qu'il veut avec ses créations, c'est son droit le plus strict, mais je trouve quand même le procédé un brin limite... On est sur Hardcore Gaming, pas sur Gamekult !

Merci pour l'accueil

@SebinJapan : ce n'est pas exactement un travail que nous avons effectué avec Alexis. Au risque même de te surprendre, les sources de la presse spécialisées liées aux jeux vidéo (notamment celles des années 90) sont plutôt des sources que nous n'avons pas reprises le plus possible, exception notable de Tilt. Tu peux le constater en regardant les notes de bas de page. C'est un choix dû au fait :
-- Nous voulions nous rapprocher le plus possible de la source première (archives notamment) ;
-- Maintenir une distance critique. Or malheureusement, une grosse partie de cette presse que j'ai aimée plus jeune relève plus du guide d'achat, avec ses propres intérêts, et finalement assez peu d'enquête approfondis pour comprendre les entrailles du système.

Je partage ton avis, depuis le jour où j'ai découvert ces publicités de bornes d'arcades.

Marrant que tu parles d'Elie Kennan, je l'ai eu au téléphone, mais il ne se souvenait de plus grand chose.

Par contre, si tu as mené un gros travail sur ces jeux vidéo français, c'est quelque chose qui mérite d'être mis en valeur et qui pourrait être exploité d'une manière ou d'une autre

Oui j'avais entendu parler de ce livre sur les jeux de catch. Ce que je trouve assez dingue (dans le bon sens du terme) qu'on parvienne à écrire sur une chose aussi spéciale et spécialisée !

Je viens de vérifier et ... en effet
Peut-être est-ce pour le remanier et le remettre en ligne dans les news pour faire la promo du livre ? De mémoire, le dossier n'était pas du même auteur (c'était il me semble écrit par ce journaliste au nom imprononçable qui a produit les "History of Japanese Developers"), il y a peut-être eu une dispute en interne ?



Et vous avez bien fait. Étant un lecteur assidu de abandonware magazines, je partage tout à fait votre point de vue. Je vois aussi à quoi tu fais référence en plaçant Tilt comme exception, car ils avaient en effet dans leurs pages actu des interviews et articles plus en rapport avec l'envers du décors. Remarque que certains journalistes chez les concurrents le font aussi (les premières interviews de Michel Desangles dans Joystick par exemple), mais ça ne dure pas. Manifestement ce n'est pas ce qui intéressait le lectorat (plutôt jeune).

J'ai donc lu le début du livre (la préface de M Triclot, l'introduction et le premier chapitre consacré au jeu dans les labos français)

C'est très bien écrit, très pro, très sobre aussi. Ce n'est pas un reproche, au contraire. Personnellement, je préfère ce traitement à celui fait par d'autres auteurs, quand ils débordent de qualificatifs élogieux (sincères bien sur) nourris par leur nostalgie et par l'admiration qu'ils portent aux auteurs des jeux qu'ils traitent.
Ce n'est donc pas du tout le même style que D. Ichbiah par exemple, qui nous faisait vivre les aventures de P.Ulrich comme s’il était Indiana Jones au pays des jeux micro ! Ici, on s’appuie sur des témoignages précis, des chiffres, des faits, et on croise le tout pour des analyses pertinentes.
J'insiste donc sur le sérieux de l'entreprise encore une fois, j'admire la démarche neutre / objective envers les événements.
Et pour autant, le livre n'est jamais pénible à lire, au contraire ça se dévore. J'avais lu ici et là des critiques envers le bouquin de Sop / William A qui était jugé un peu trop austère (je parle de "Pong et la Mondialisation", il y a beaucoup plus d'affect' dans ses bouquins sur Miyamoto) : qu'on se rassure, il n'y a pas de murs de chiffres dans le présent ouvrage, et la qualité d'écriture (sans remettre en question celle de William bien entendu !) est vraiment au top de ce qu'on peut attendre dans ce type d'ouvrage.

Ah, et tant que j'y pense, en plus de la qualité d'écriture, j'ai apprécié aussi la qualité de la relecture ! Punaise, y'a du mieux chez Pix ! Ou sont passés les festivals de coquilles, et d'erreurs grammaticales qui pullulaient dans les premiers bouquins (les Bibles, La Saga des Jeux Vidéo ...) ? (et je parle pas d'Omake ...)
Ou peut-être n'y avait-il rien à corriger ici ? En tout cas, c'est très propre.

Bref, voilà pour la forme.
Concernant le fonds :

Dommage que ça s’arrête en 91. Pas assez de recul pour la suite ? Ou 2ème tome en prévision ? A partir des années 90, nous avons les Investissements colossaux dans les boites françaises, le virage vers les consoles, la bulle internet, les éditeurs français qui bouffent les autres éditeurs européens, voir américains, pour le meilleur et pour le pire … enfin généralement pour le pire quand même, à part chez Ubi. Il y a encore tellement à dire.

Le premier chapitre est donc fantastique. Je m'en était spoilé une grosse partie avec l'article sur Paul Braffort, mais il y a tellement d'autres choses !
Je ne voudrais pas trop spoiler, mais l'anecdote en page 49 à propos du clone de Blockade est vraiment délicieuse. L’explication donnée pour justifier l’existence du jeu me parait bien "bullshit". Les gars auraient programmé un clone fonctionnel, jouable à deux, reproduisant bien les règles (pas de contact avec les murs ou l’autre joueur) JUSTE pour faire un test hardware ? « La société était sérieuse et nous n’avions pas l’habitude de faire ce genre d’écarts » nous dit le scientifique interrogé en 2014. J’ai envie de lui dire : « C’est bon mec, y’a prescription, personne ne va venir te disputer parce que tu t’es amusé avec un jeu vidéo, tu ne brûleras pas en enfer pour ce péché ». Le jeu vidéo : ce plaisir honteux chez les élites françaises ! (sauf si on l'utilise pour faire de la littérature ! Ah, non, j'arrête, je spoile encore : allez le lire !)

Dans ce premier chapitre toujours, j'ai été étonné de ne pas voir cité le livre "Préhistoire du Jeu Vidéo" de Damien Djaouti. Bon après, j'ai été le rechercher dans ma bibliothèque et je me suis rendu compte que son chapitre sur le 1er jeu français était assez succinct. Ceci dit, il parle un peu plus en détails de ce jeu de morpion sur CAB500 qui dans votre livre est à peine évoqué. Une note en bas de page nous dit juste que "le morpion de la CAB500 a été créé en 1961". Mais une personne interrogée dans le livre de Damien D évoque la possibilité qu'il soit plus ancien et en attribue la paternité à un certain Paul Gloess.
Vous aviez ces infos au moment de la rédaction du livre ? La piste Paul Gloess n'a pas pu être explorée ?

Enfin, je relève un petite erreur qui, je l'espère, sera corrigée dans une future ré-édition : page 37, le nom original du go-bang en japonais est gomoku et pas go-maku (pas de raison de mettre un tiret, et donc moku, pas maku). Pour être complet (et chiant ?) gomoku est lui-même une abréviation, de gomokunarabe (ごもくならべ).

J'espère avoir du temps dans les jours à venir pour lire la suite !

Bon, ben c'est gagné : vous avez fait une vente de plus

Ah oui, je viens de vérifier (j'avais fait une SVG du dossier sous forme de jpg, je n'aurais pas cru que serait utile à ce point ) et le dossier était signé Audun Sorlie. Il semblerait que son travail ait été intégré à l'ouvrage, c'est du moins ce que suggère la page kickstarter consacrée à Wrestling with Pixels.

Je te préviens, mon Seb, s'il te venait un jour la même idée avec la série des Fire Pro Wrestling, j'ai enfermé le précieux dossier dans un coffre-fort haute sécurité, non mais !