Je n'ai pas du tout aimé Rayman. Je n'ai pas accroché à l'univers que j'ai trouvé plutôt fade et sans personnalité. Désolé...

Très beau jeu, mais loin d'un Mario parce que d'une lenteur cadavérique.

On dirait que votre perso vient de se réveiller tellement il est lourd et prend son temps.

Y a pas photo comparé à un Sonic ou un Donkey Kong Country : au moins là y a de la vitesse.

A

j'aime pas le perso ni l'univers.. rien me plait dans Rayman.. pourtant je l'ai essayé sur PC et sur Saturn... alors que j'aime beaucoup ce genre de jeux...

SuperFrog a la grande époque de Team17 sur Amiga et bien meilleurs a mon avis.. ainsi que pleins d'autres sur d'autres standars ) mais je sais pas pourquoi c'est SuperFrog qui me viens a l'esprit ce soir..

Méheu on peut pas comparer l'univers de Rayman et celui de Sonic. Et puis un peu plus loin dans le jeu Rayman apprend à courir. C'est un jeu long et progressif qui se déguste petit à petit...

Pour ma part, je l'avais sur PC, et malgré la relative instabilité de cette version et la difficulté démentielle, j'ai bien aimé. J'ai trouvé l'univers agréable et les musiques superbes, et grâce aux code pour les 99 vies, je suis parvenu assez loin dans le jeu.
Ensuite, il est clair que c'est un jeu complètement différent de Mario et Sonic, à la fois au niveau de la jouabilité et de l'ambiance. On peut aimer ou pas, c'est en fonction de nos goûts...
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Petit par la taille
Grand par la magie

Génnial ! J'adore le monde chromatique !
Yaqu'un truc à lui reprocher : la fin ! Je m'attendais à une fin plusspectaculaire !

déterrage de topic pour signaler un excellent reportage sur les coulisses de la fabrication du jeu avec notamment une interview de Michel Ancel dans cette vidéo de Micro Kid's :

http://www.abandonware-videos.org/affiche_vid.php?vid=6&num=91&infos=oui

Je vais faire une comparaison avec le second épisode, si ça ne vous dérange pas trop (je n'avais pas vu le topic avant). J'ai le premier sur Saturn, et c'est un excellent jeu. Les graphismes et l'animation sont absolument magnifiques, la musique, dans l'ensemble, assez jazzy est de bon goût. Le personnage est très sympa (et arrêtons de dire qu'il est lent, il apprend à courir très rapidement !), l'ambiance est absolument féérique. Bref, c'est un jeu de très grande qualité, il est clairement supérieur à Astal, sur la même machine. Son seul défaut est le niveau de difficulté qui augmente bien trop vite à mon goût. Arrivé au pays des portées de notes, le jeu est déjà difficile (les plates-formes sont glissantes, il faut en plus éviter les tirs ennemis ainsi que les pièges, tout en faisant attention à ne pas tomber dans le vide... Arghlll !!). Après bien des tentatives, j'ai finalement réussi à le passer, mais ce qui suivait était encore plus effroyable. Bref, vous l'aurez compris, je n'ai jamais pu le finir, puisqu'après moultes essais infructueux, ça a fini par m'énerver... Ca reste un très grand jeu quand même, d'ailleurs, je ne l'ai même pas revendu.
Lorsque sa suite est sortie, j'ai eu une grosse appréhension : la difficulté du premier était dantesque, alors si en plus le jeu passe en 3D (alors que je préférais la 2D), ça risque de m'énerver encore plus vite. Eh bien je ne regrette pas de l'avoir acheté, ce Rayman 2, car il est bien plus accessible, et ne souffre pas de problèmes de caméra souvent vus dans les jeux en 3D, que demander de plus ? Une ambiance féérique, un gameplay étudié aux petits oignons et des niveaux tous aussi bien conçus les uns que les autres ? Eh bien tout ça, vous l'avez aussi mon bon monsieur ! Bref, Rayman 2 est une perle, le meilleur jeu de plates-formes sur Dreamcast, à mon avis...
Bref, Rayman premier du nom est un jeu succulent et un bijou de 2D, mais à déconseiller aux joueurs, ne seraient-ce que moyens, car la difficulté va vite les décourager.
Rayman 2 est un jeu tout aussi fabuleux en full 3D, mais il est accessible à la plupart des joueurs, lui. Tous ceux qui apprécient la plate-forme peuvent donc l'acheter les yeux fermés !

Merci pour la vidéo Metaluna, ça fait plaisir !

Je profite du déterrage de ce topic pour parler de Rayman 3, qui semble avoir été un peu oublié. Personnellement, j'y ai joué sur GBA et l'ai trouvé très bon. Il est beau, varié, il a une ambiance bien à lui... et surtout sa difficulté est parfaitement dosée; il n'est pas trop facile (contrairement à la majorité des jeux de plate-forme GBA que je connais) mais n'est pas non plus frustrant, au contraire du premier épisode. En bref, il reste l'un des meilleurs jeux de plate-forme auxquels j'ai joué

Je confirme aussi ton opinion. Je trouve Rayman 3 GBA (contrairement aux versions consoles de salon) très bon !
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.: Toi aussi, épate tes amis en venant sur Zeronews et Cinefix :.

Pas joué à astal. Mais sur saturn, moi j'ai préféré earthworm JIM 2 à ce petit rayman qui m'a vite bassiné.
Par contre ma petite soeur à vraiment aimé, elle l'avait même acheté sur gbc.



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HIGH DEFINITION GRAPHICS - STEREO SOUND
ALLER AU CINEMA
Et mater ce blog!

Bon, ben ça y est, je viens de le terminer. Oui, je sais, j'y ai joué comme un taré pour le terminer aussi rapidement en moins d'une semaine, mais c'était tellement bon que je ne pouvais plus m'arrêter!
Alors, comment qualifier ce jeu? Graphismes de très hautes volées, couleurs pétantes, esthétique remarquable, animation splendide, musiques sublimes, gameplay formidable se réinventant sans cesse, excellente durée de vie, level design de génie... Pas de doutes, Rayman est le Yoshi's Island occidental! Oui, carrément!

Je suis littéralement soufflé par ce coup d'éclat incroyable: comment un tel miracle ludique a-t-il pu se produire? Je n'en reviens toujours pas!

Avant d'insister davantage sur les innombrables qualités, je voudrais tout de même souligner ce qui constitue à mes yeux le seul défaut du jeu: la fin. Je ne parle pas des derniers niveaux (toujours aussi formidables), ni du combat final (assez prenant), mais vraiment de ce qui suit. On nous ressert le même dessin que dans l'intro, mais avec des feux d'artifice. Jusque là, ce n'est pas *trop* grave, mais j'aurais quand même voulu entendre autre chose que "Tu as réussi! Le monde est sauvé!". Une petite photo de fête, écran noir, puis le générique de fin, illustré de quelques dessins assez jolis. Pas plus de vingt-trente secondes entre la "cinématique" de fin et le début du générique. Même pas de petite conclusion sur le méchant de l'histoire et le Grand Protoon. Oh, les gars, vous auriez pu faire un p'tit effort! Je sais que c'est un jeu de plate-forme, mais vous n'étiez quand même pas obligés de faire plus court que Mario!
Enfin, ce n'est vraiment pas grave car tout le reste est excellent, y compris les derniers niveaux. Je dois même dire que cette fin m'a presque (j'ai bien dit "presque") fait rire car elle faisait un peu office de gag: j'ai bien fait de me méfier.

Mis à part ce tout petit détail de rien du tout, seuls les superlatifs s'échappent de mes lèvres. Ce Rayman est un des plus beaux jeux 2D que je connaisse, graphiquement et esthétiquement parlant, avec des couleurs pétantes toujours choisies judicieusement pour ne pas agresser les yeux. Il y a également un travail remarquable sur l'arrière-plan, comme dans les cavernes de Skops.
Les musiques, quant à elles, sont magnifiques, et surtout très diversifiées. Il n'y a pas mal de morceaux jazzy, mais aussi quelques musiques "electro" de bon goût (dans les montagnes bleues), des instruments à vent (comme les flûtes dans les cavernes de Skops) ou encore des airs de pianos (le monde des crayons et des gommes). Mais c'est dans le Ciel Chromatique que les développeurs se sont permis quelques délires, n'hésitant pas à mélanger musiques jazzy orchestrales, d'autres un peu expérimentales, et allant même jusqu'à nous proposer carrément des morceaux d'inspiration bouddhistes dans certains niveaux délirants comportant des statues de moines (fallait oser). Un vrai festival auditif!

Contrairement à ce que j'ai pu lire, je n'ai pas trouvé le jeu très difficile. Enfin, je suis d'accord pour dire que la difficulté est soutenue, mais elle est très loin d'être insurmontable car elle est parfaitement modulée en fonction des progrès que fait le joueur au fur et à mesure. La difficulté augmente toujours de façon intelligente en tenant des compte des progrès: elle n'est pas du tout en dent de scie, et c'est très important de le souligner.

La jouabilité est, comment dire... parfaite! Oui, le personnage est peut-être un peu lent et ça surprend au début, mais c'est cette même lenteur qui constitue le fondement du gameplay. Comme ce personnage n'a aucune inertie (sauf bien sûr sur les plates-formes glissantes ), on a un contrôle total du personnage, à tel point qu'on peut se permettre de faire des choses qui n'auraient pas été possibles avec un personnage plus rapide et/ou avec de l'inertie. C'est en avançant peu à peu dans le jeu qu'on s'en rend compte. Dans les premiers niveaux, on exécute des mouvements et des sauts qui nous semblaient au départ délicats à réaliser. Mais ce n'est rien comparé à ce que nous réserve la suite du jeu. Pourtant, même si la difficulté augmente, le joueur progresse et se met à trouver les premiers mondes d'une facilité déconcertante car il gagne beaucoup en assurance et en confiance. Passé un certain stade, il est capable d'exécuter des sauts d'une extrême précision: c'est carrément millimétré! A plusieurs endroits le jouer doit se tenir à l'extrême bord d'une plate-forme pour éviter une aiguille , quitte à la frôler! Et le pire, c'est qu'il y arrive sans problème! Et je ne parle même pas des fois où il faut sauter et planer entre deux aiguilles serrées, ou encore les moments où on se tient sur des plates-formes mobiles où il faut sauter et se baisser pour éviter des obstacles, et ce avec un timing assez serré (avec peu de marge d'erreur). Au début, on se dit: "Non, je ne passe pas, là, ce n'est pas possible?!?". Et si, on y arrive sans trop de problèmes avec un minimum d'habileté. C'est là que le joueur se rend compte qu'il a progressé et qu'il progresse toujours, l'incitant encore plus à continuer le jeu coûte que coûte jusqu'à la fin. La marge de progression est énorme!

Mais là où le jeu se montre très intelligent, c'est qu'il ne nous exige jamais des choses impossibles, du moins pas avant qu'on ait atteint un certain degré de progression. Et quand ça nous semble vraiment impossible, c'est que ça l'est vraiment, donc qu'il y a une autre manière de procéder, parfois très simple, et on se rend compte qu'on s'est cassé la tête pour rien. A un moment donné, dans le monde des crayons, je n'arrivais pas à sauter entre deux lignes de crayons: je perdais une vie systématiquement. Je me suis donc dit: "Jusqu'à maintenant, rien n'a été impossible et le jeu a toujours été logique avec lui-même. Si je ne passe pas, inutile de m'entêter: je ne passerai pas. Cherchons un autre moyen". En fait, c'était tout simple: il suffisait juste de dévaler la pente gilssante et de rebondir sur le tremplin, SANS TOUCHER au bouton de saut. ll fallait juste maintenir appuyé la croix directionnelle vers la droite pour se laisser emporter par son élan. C'était tellement bête qu'il fallait y penser, et pourtant terriblement logique.

Je tiens absolument à insister sur l'architecture des niveaux et la progression: ça tient du génie. Très rares sont les niveaux se résumant à aller de la gauche vers la droite: on emprunte toujours des chemins tortueux et labyrinthiques. Au début on se laisse facilement surprendre par l'apparition d'ennemis ou de pièges après accomplissement d'une action spécifique, comme se tenir à tel endroit ou ramasser tel objet. Ces vagues d'ennemis surprennent, mais on peut quand même les voir à l'avance, nous donnant juste le temps d'anticiper leurs attaques. On se fera toujours un peu surprendre par ces apparitions furtives, mais moins souvent car le joueur apprend à être méfiant et attentif. Il se met même à soupçonner qu'à tel endroit, des ennemis (voire des objets ou des éléments du décor) vont apparaître s'il se tient ici ou s'il va là-bas: c'est très intelligemment conçu. Il se met également à comprendre comment procéder pour faire apparaître les cages invisibles, en appliquant ce que je viens de dire. De plus, le jeu ne nous tend jamais des pièges vicieux qui tapent sur les nerfs: on les voit généralement à l'avance, souvent in extremis, mais nous laissant malgré tout le temps de réagir sans apprendre par coeur le parcours. Le jeu nous suggère en plus des passages secrets invisibles au premier coup-d'oeil, en nous faisant comprendre que si, par exemple, on aperçoit une petite boule bleue en bas, elle n'est pas ici pour rien puisqu'en réalité elle cache juste en dessous une plate-forme ou une grotte, et non pas du vide ou un trou: il n'y a pas de pièges. Ainsi, la recherche de toutes les cages s'en retrouve facilitée et plus courte que ce qu'on imaginait au départ.

Le personnage apprend peu à peu de nouveaux mouvements, ce qui fait que les niveaux évoluent afin d'intégrer toutes les nouveautés du gameplay. Tous les mouvements permanents qu'on apprend ne tiennent pas du gadget: ils sont sans cesse sollicités et utilises. Rayman apprend à lancer son poing, à s'accrocher, à utiliser son poing grappin sur des anneaux, à courir... Tout cela est parfaitement assimilé. Plus fort encore: on se rend peu à peu compte que les niveaux précédants intégraient déjà toutes ces nouveautés avant qu'on ne les découvre plus tard: Rayman n'est pas un jeu linéaire. On sera amenés à revisiter les anciens niveaux de fond en comble et à utiliser pleinement nos nouvelles capacités pour trouver des cages inaccessibles auparavant.
Par ailleurs, on apprend des mouvements spéciaux utilisables que dans des niveaux spécifiques, et pourtant très bien utilisés, notamment l'hélicoptère nous permettant de voler et slalomer entre les obstacles dans des niveaux spécialement conçus pour.

Ainsi, les niveaux se réinventent sans cesse, nous proposent de nouveaux types d'architectures, et font preuve de beaucoup d'inventivité. Même les plates-formes glissantes ne m'ont posé aucun problème car, comme je l'ai précisé plus haut, le personnage à merveille et c'est très bien conçu. Et là où c'est prodigieux, c'est qu'on n'observe aucun essoufflement, pas même à la fin. Les derniers niveaux n'ont rien à envier au reste, avec la descente à dos de cuillère sur la crème chantilly, le niveau où les contrôles sont inversés, très réussi malgré ce concept foireux, moi qui m'affole généralement pour un rien quand ce genre de chose m'arrive (cf Beyond Good and Evil, argh!), et surtout la poursuite du dark Rayman qui exécute exactement les mêmes mouvements que moi. Je cours à tel endroit, ce dernier court au même endroit après moi, je rampe ici, il rampe de même ,je saute, il saute juste après moi, je m'accroche ici, il s'accroche au même rebord juste après moi... Il va toujours aux mêmes endroits que moi, avec un temps de retard. Au moindre contact contre le faux Rayman, on meurt. Argh, je me sentais complètement impuissant. La seule chose à faire, c'était ne pas rester immobile au même endroit pour ne pas se faire rattraper, et ne pas recouper sa trajectoire si par exemple je devais faire demi-tour. Rarement une poursuite ne m'a autant stressé, mais c'était remarquable.

Enfin, pour terminer, tout ce que je viens de dire au-dessus sur les niveaux est valable pour les boss. Les combats font preuve d'originalité et requièrent la plupart du temps une grande précision dans nos actions pour éviter des projectiles par exemple. Mention spéciale à Space Mama, deux combats démentiels se passant sur une scène de théâtre et où on évite des projectiles au millimètre près avec un timing serré, sans rien nous demander d'impossible par miracle! Le combat final n'était pas très dur (je n'ai perdu *que* dix vies sur les quarante que je possédais au départ ).


Voilà en gros tout ce que j'ai éprouvé en jouant à ce jeu fabuleux. C'est de la plate-forme majeure, et je comprend désormais en quoi il a marqué son temps. Ca me donne presque envie d'écrire un article là-dessus (et aussi sur Rayman 2 tant qu'on y est). Mis à part la cinématique de fin, je n'ai rien, mais alors ABSOLUMENT RIEN à reprocher à ce jeu: c'en est insolent! Le summum de la plate-forme 2D, AVEC Yoshi's Island bien sûr (sorti à peu près la même année).

Quel post passionné Rudolf!!!

Et encore un article potentiel qui va sombrer dans les profondeurs du forum...

Moi perso j'adore ce jeu mais il faut bien avouer qu'au delà du ciel chromatique il s'approche de l'inhumain.
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Attends, la crique aux crayon elle est pas mal non plus avec les plateformes trampoline partout.
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Bravo à Rudolf pour avoir terminé ce jeu magnifique, en tous cas (moi qui suis une quille, ça fait longtemps que j'ai abandonné, tout en sachant qu'il était fabuleux, ce jeu). Je suis ravi qu'il t'ai plu !
Si tu veux faire un article de ce jeu, n'hésite pas, ton post en fait déjà office !

Houlà, tu t'emballes vite ! Personnellement, j'ai trouvé le premier Rayman très bon, toutefois sa difficulté pas progressive pour un sou a empêché plus d'un d'en voir la fin, tandis que Yoshi's Island garantit un minimum de progrès à chaque nouvelle partie.

Pour le reste, je suis d'accord avec toi : graphismes somptueux, musique splendide et gameplay abouti me font hurler COCORICOOOO !!! ^^
L'apprentissage des nouveaux mouvements reste la meilleure idée du jeu, à mon humble avis...

Bon !

Puisque le topic est là je vais y aller de mon pitit commentaire.


Par contre ce n'est pas moi qui posterai 3 paragraphes pour louer les qualités du jeu étant donné que celui-ci me laisse totalement froid.
Pendant des mois j'ai fantasmé ce jeu et bavé sur les screen magnifiques, puis j'y ai joué :
et oui c'est magnifique et l'ambiance générale du titre est entrainante et tout et tout ... mais je n'ai jamais réussi à y prendre le moindre plaisir.

Lorsque je joue à Rayman je comprend soudain ce que ressent quelqu'un qui n'aime pas les jeux video : ça ne m'amuse pas (dommage pour un jeu) et j'ai le sentiment de perdre mon temps.

Je comprend pas ce qu'il lui (me?) manque mais j'adhère pas !


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Ouahou, il va finir par y avoir autant de réactions que si j'avais écrit un article sur ce jeu!

@Sodom: Je ne suis pas d'accord car j'ai réellement senti une progression dans ce jeu. La difficulté monte petit à petit, tandis que le joueur devient de plus en plus fort, donc ça reste parfaitement équilibré, de sorte que le jeu n'est jamais frustrant. La difficulté de Rayman est sans doute plus élevée qu'un Yoshi's Island (même si certains niveaux secrets étaient assez corsés dans ce dernier), mais j'y ai retrouvé la même progression. La difficulté du jeu au début est minimale, puis elle monte petit à petit, et jamais d'un seul coup pour ensuite diminuer subitement et réaugmenter de suite. Elle n'est pas du tout en dent de scie: ça reste parfaitement régulier et progressif, donc intelligent. Certains niveaux comme le pic de Mr Stone, La Crique aux Crayons, ou encore Mangez chez Joe m'ont posé problème au début, mais je n'ai jamais perdu trop de vies pour autant. Ce qui est bien aussi dans ce jeu, c'est qu'il ne nous demande pas d'apprendre par coeur car on nous laisse un miminum de temps pour réagir. On se fait surprendre, mais beaucoup moins par la suite. Et quand je devais reparcourir les niveaux à la recherche de toutes les cages, j'avais un sentiment d'appréhension car je devais également refaire les niveaux qui m'avaient posé problème. Et ô surprise, je n'ai plus rencontré de difficulté dans ces mêmes niveaux, alors que j'avais un peu oublié les pièges qu'ils me réservaient. Conclusion: j'ai bel et bien progressé avec la difficulté qui s'adapte toujours à mon niveau. Même les niveaux finaux, un peu durs, restent parfaitement accessibles.
Après, peut-être que je me sous-estime grandement, mais je ne considère pas comme un hardcore-gamer. La preuve: je n'ai jamais pu dépasser le deuxième monde de Super Mario Bros 2: The Lost Levels. Ca c'est du jeu inhumain, contrairement à Rayman!

@Dzeuss: Bah, c'est des choses qui arrivent. Ta déception, je l'ai connue très récemment avec Jak & Daxter . Ce jeu me faisait super envie, et j'ai été grandement déçu par ce gameplay que je trouvais paresseux, et cette jouabilité raide qui m'horripilait. C'est comme ça, ça ne s'explique pas.

Bon, à la demande générale, je vais très certainement écrire un article sur Rayman quand j'aurai terminé celui qui est en cours (ce n'est pas pour de suite): je me sens très inspiré!
Tiens, tant qu'on y est, j'aimerais bien me procurer une autre version de Rayman 2 (possédant déjà la version N64), mais j'hésite entre les deux meilleures: Dreamcast et PS2. Laquelle vous semble la meilleure, que ce soit sur un plan graphique ou contenu? Attention, soyez honnêtes, hein!

La version DC est en 16/9, mais à mon avis il ne doit pas y avoir beaucoup de différence entre les deux.

Quoique le jeu m'a enchanté sur DC par l'élégance et la finesse de son affichage, à mon avis c'est différent sur PS2...
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!