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Vakoran
Pixel imposant
De la part d'un gars qui tient un Grosblog sur le romset complet de la Snes, je prends ton compliment sur la persévérance très à coeur, Seb !

De mon côté, jusqu'au bout j'ai pensé qu'on finirait par avoir des explications plus précises sur le scénario. Comme tu dis, une ambiance onirique n'empêche pas un scénario précis et clair, et effectivement Chrono Trigger en est un excellent exemple (il réussit même l'exploit de conserver une excellente clarté malgré des déroulements souvent très alambiqués à base de voyages dans le temps !).

Après, Terranigma reste un jeu qu'il faut à mon sens avoir fait au moins une fois, ne serait-ce que pour le gameplay et les phases donjon très efficaces et pleines de bonnes idées.

Maintenant pour changer de registre, je crois que je vais me lancer dans Metal Warriors !

Sebinjapan
Camarade grospixelien
Bravo pour ta persévérence et merci de ne pas avoir abandonné en route pour nous emmener jusqu'à la fin de l'histoire.
Le coté "fumeux" du scénario, je le sentais venir dès le départ vu le thème très onirique (résurection des continents, de la nature ...), mais j'espérais quand même une narration moins décousue même si les réponses ne sont pas données.
Mon intérêt dans l'histoire du jeu a pour moi aussi basculé du mauvais coté après l'apparition des hommes (avec un sursaut quand on retrouve le village du début dans la forêt).

Ca reste un très bon jeu, mais j'aimerais bien parfois que les développeurs de RPG japonais aient la main moins lourde sur les trips "new age". On peut préserver un ambiance mystérieuse tout en ayant une histoire très structurée (comme dans Chrono Trigger par exemple ... j'ai bien dit TRIGGER hein ) []

Vakoran
Pixel imposant
27 octobre 2010 : Enfin la fin

Pestant un peu de devoir me retaper la forêt pour retrouver la carte du monde, j'émerge enfin et me dirige au plus direct vers la Sibérie. Impossible de rater mon objectif : la tour de Yvan est parfaitement visible. A l'intérieur d'icelle, je retrouve de vieilles connaissances, et tous ensemble, nous avançons dans ce nouveau donjon. Une fois encore, la partie action du jeu est une réussite : le labo présente des décors très jolis, une musique entraînante, et une manière assez originale de présenter notre intrusion puisque mes camarades de galère, au lieu de m'accompagner, se trouvent à divers moments ici où là sur mon chemin. L'aide qu'ils apportent à Ark est toujours bien mise en scène et fait appel à leurs capacités les plus intéressantes. Bref, c'est un plaisir un peu trop court de parcourir ce niveau s'achèvant par une infiltration dans l'avion du savant fou, qui cherche à s'échapper.



Muni de bombes à retardement, je dois alors explorer le vaisseau tout en me méfiant de ses multiples gardiens, afin de trouver les ordinateurs où poser mes explosifs. Même s'il n'est pas évident de se repérer, c'est toujours plaisant de jouer les saboteurs et d'explorer un nouveau donjon plutôt bien conçu, présentant une certaine logique quant à sa conception en forme d'avion. Ma mission terminée, je retrouve Dheni et Kalou, qui m'ont accompagné sur le bâtiment, et nous nous confrontons à Yvan. Ce dernier, loin de se montrer impressionné, nous informe que les ceintures à réaction dont nous comptions nous servir pour tomber en douceur de l'avion ne fonctionneront pas une fois ce dernier détruit. Nous avons donc causé notre propre perte ! Mais le savant est bien attrapé à son tour, puisqu'il se retrouve accidentellement happé par l'une des hélices de son appareil, et y laisse la vie.



Mes deux camarades décident de me laisser m'échapper seul de l'avion, et dans un fracas de tonnerre, ce dernier s'écrase en Amérique du sud... Coïncidence ? Certainement pas : étant près de la fin, je me doute que mon prochain objectif doit être le portail par où je suis arrivé dans le monde de la surface. Et pour une fois, j'ai tout bon ! Me voici donc de retour à Crysta, dans le monde souterrain. Les habitants ne sont pas très loquaces et se transforment en lumières bleutées dès que je leur adresse la parole. Je vais voir l'ancien à qui j'ai deux mots à dire depuis la scène de tentative de meurtre de Ark alors qu'il était bébé. Mais ce dernier ne s'émeut pas et m'invite simplement à le suivre. N'ayant pas vraiment le choix...



Me voici donc dans le sanctuaire de Dark Gaia, véritable identité de Agar. Après un monologue à la limite de l'intelligibilité (sentiment amplifié par les dernières scènes que j'ai vécues et qui m'ont, je l'avoue, découragé de faire beaucoup d'efforts), je me retrouve donc face au boss de fin. Sa première partie n'est pas bien compliquée une fois qu'on a compris comment éviter ses attaques. Mais il ne suffit évidemment pas de le défaire une fois, et il revient plus fort encore pour me mettre une raclée incroyable. Car cette deuxième forme est selon moi à la limite de l'abus. Le boss, non content de pouvoir se tenir hors de portée de ma lance 90% du temps, peut attaquer par des boules d'énergie rapides, un rayon terriblement difficile à esquiver tant il balaye l'écran rapidement, et surtout, par une attaque inévitable qui recouvre la totalité de l'aire de combat et fait fondre mes points de vie par wagons entiers. Je ne découvre qu'assez tard que parer avec la lance permet de réduire les pertes lors de cette attaque, mais le combat reste vraiment difficile. Sans doute manquè-je pour une fois d'expérience, car je ne suis que niveau 30. Il me faudra bien des essais à pester contre ce boss infâme pour parvenir enfin à m'en débarrasser.



Et voici donc la fin du jeu, qui pourrait (devrait ?) éclairer enfin le scénario. Hélas et comme redouté, il n'en sera rien. Tout juste apprendra-t-on quelques éléments intéressants mais relevant du détail, comme la nature exacte de Yomi. A noter tout de même que le Ark de la surface s'adresse à celui du monde souterrain que j'incarne depuis le début. Lui et Light Gaïa tentent de m'expliquer la nature du monde et de mon rôle en son sein. A présent que Dark Gaïa est détruit, l'équilibre va pouvoir revenir et Crysta va disparaître. J'avoue mal comprendre pourquoi l'équilibre doit passer par la disparition totale des ténèbres, et j'ai plutôt l'impression que je n'ai fait que remplacer un déséquilibre par un autre, mais soit. Je bénéficie donc d'un sursis et peux aller discuter avec les habitants de mon village natal, bien qu'ils n'aient pas grand-chose de fondamental à me raconter. Je finis par mettre Ark au lit...



Là, notre héros fait son dernier rêve, qui donnera lieu au générique de fin. On y comprend que les hommes vont continuer à avancer sur la voie de la technologie. Mais rien ne dit pourquoi et comment le monde a réellement péri, pourquoi et comment les hommes parviennent à avancer si vite dans la technologie, où ils ont été enfermés pendant le temps où le monde est resté mort, etc. J'avoue que tout ce scénario me fatigue, je n'essaierai donc pas d'en savoir plus. On comprend à la toute fin que Ark, sous forme d'oiseau onirique, rend visite à la Célina de la surface. Et c'est la fin.

Que dire, sinon que je partage totalement l'avis de Yedo. Ce jeu est superbement réalisé, a des musiques de folie, un scénario dont la base autoriserait des développements vertigineux, un gameplay très dynamique lors des phases d'action... mais il lui manque une âme. A s'éparpiller dans tous les sens, le scénario diffuse sa qualité comme une lampe éclaire de moins en moins un mur à mesure qu'on l'en éloigne. A nous confronter à des personnages multiples sans développer leur psychologie, le jeu leur enlève toute saveur et importance. Je regrette en fait vraiment l'apparition de l'homme dans le jeu car avant ce passage, la résurrection du monde était vraiment palpitante, on explorait des territoires vierges en train de se régénérer lentement, on avait l'impression de réellement construire quelque chose. Mais comment s'intéresser au destin de petites villes sans grand intérêt et dont les habitants n'ont ni grand-chose à dire, ni beaucoup à nous offrir ? Et le caractère fouillis et terriblement imprécis du scénario principal finit par ôter toute envie d'en savoir plus. Personnellement, j'ai hélas été pressé d'en finir. Peut-être attendais-je autre chose de ce jeu ? Sans doute ne suis-je pas fait pour ce genre d'histoire morcelée au point de devenir très difficile à suivre ? En tout cas je garderai le souvenir d'un jeu souvent sympathique à jouer, mais où le meilleur côtoie hélas le pire, au point qu'il m'aura souvent fallu me faire violence pour continuer à l'explorer.

yedo
Pixel imposant
Je suis rassuré de voir que je ne suis pas le seul à avoir été largué par le passage des cinq pierres et la scène qui s'ensuit. C'est vraiment le point où j'ai cessé de m'intéresser à l'histoire et de comprendre le pourquoi du comment. Et c'est dommage car j'ai finalement eu l'impression que l'histoire racontée par le jeu ne menait à rien, les motivations des personnages sont, pour moi, incompréhensibles, ce qui finit par les rendre impersonnels. Je reste dubitatif sur ce genre de pirouettes scénaristiques obscures (la mort, la résurrection sous forme de bébé, les doubles maléfiques) et alambiquées qui n'expliquent rien et sortent de nulle part, comme si les concepteurs ne savaient pas quoi faire de leur scénario et de leurs personnages et qu'ils balançaient ainsi une scène ésotérique pour laisser le joueur chercher un sens qu'ils n'avaient eux-même pas trouvé (et surtout pas fait l'effort de réfléchir pour l'amener proprement). Du coup on n'ose pas trop dire que c'est du grand n'importe quoi insensé car si le propos est tellement abscons et illogique c'est qu'il y a forcément une vérité implacable à déchiffrer que l'on n'a pas eu l'intelligence de saisir... Et si c'est vrai, comme le dit Sebinjapan, que l'on retrouve souvent cela dans les RPG japonais, Terranigma fait partie des jeux que je connais qui abusent le plus du "flou scénaristique". En fin de compte, ce que je retiendrais surtout du jeu ce sont ses phases d'action qui sont bien fichues, riches en coups et dynamiques. J'aime bien ta phrase, Vakoran, qui résume cela : "je retrouve cet écart de qualité entre la partie "recherche" et la partie "action" du jeu".

Vakoran
Pixel imposant
-> Seb : traduction amateur car je crois avoir une rom patchée pour la traduction, donc pas une trad officielle. Mais je peux me tromper. Cela dit, si c'est une traduction officielle, je la trouve assez obscure par moments, c'est difficile à définir, mais j'ai l'impression qu'elle est un peu subjective et que le traducteur n'a pas pu s'empêcher d'ajouter quelques délires ou qu'il a commis plusieurs maladresses en tentant de retranscrire le texte.

Cela dit, c'est vrai que l'histoire n'en est pas moins intéressante, ne serait-ce que parce qu'elle donne envie d'en savoir plus et de comprendre davantage ce monde et son histoire.

-> Erhynn : J'avais pas compris cette scène comme ça, mais effectivement, ça paraît assez logique ! Du coup ça éclaire un peu ma lanterne.

Bon, la conclusion, c'est que je suis fait pour les histoires simples... Quand ça devient un peu trop obscur, je n'arrive que très difficilement à suivre. Ca me rappelle un peu FF7, après y avoir joué, j'avais pigé quelques grandes lignes du scénario, mais j'ai eu besoin de consulter des forums sur Internet pour bien comprendre de quoi il s'agissait vraiment (et encore... je n'ai pas trouvé ça évident).

Erhynn Megid
Pixel planétaire
Je crois me souvenir que Ark se fait en réalité tuer par celui qu'il réveille après avoir réuni les cinq pierres. C'est ainsi qu'il renaît, comme la scène avec les deux Célina le montre. []

Sebinjapan
Camarade grospixelien
Je trouve toute cette histoire interessante. Incompréhensible, mais interessante ! Elle a un coté à la fois fumeux et envoutant qu'on retrouve dans pas mal de RPG japonais (Chrono Cross par exemple ...). Je suppose que ça ne sera pas plus clair à la fin et que chaque fan ayant terminé le jeu aura sa propre théorie sur tous ces événements ainsi que leur portée symbolique.

Au fait, pourquoi parles-tu de traduction "amateur" ? Terranigma était bien sorti en langue anglaise + française à l'époque, non ? []

Vakoran
Pixel imposant
20 octobre 2010 : Pierres Célestes et flou artistique

Je reconnais facilement le lieu de mon réveil : me revoici chez Kavar, qui m'explique par quelques obscures paroles que je dois trouver des Pierres Célestes pour éveiller un enfant. Je n'ai pas tout compris, mais au moins mon prochain objectif est clair cette fois. Ce qui l'est moins toutefois, ce sont les indications du grand-père auprès duquel je me suis réveillé, qui tente de m'indiquer grossièrement les emplacements des fameuses pierres. Une fois encore, j'utilise une soluce avec des scrupules de plus en plus muets. Il faut dire aussi que les indices du vieil homme sont sujets à plusieurs interprétations, comme lorsqu'il me dit de chercher dans une ville morte et que je pense en premier lieu à la ville fantôme près du désert de Gobi. Eh bien raté : il s'agit de Neotokio, la ville qui a subi la lumière mortelle après la résurrection de Yvan. Encore fallait-il réussir à l'identifier... Et je ne parle pas des autres indices, terriblement imprécis et ne guidant que très peu les pas du héros.



Les quelques aventures à mener pour mettre la main sur les pierres sont toutefois fort sympathiques, et une fois encore, je retrouve cet écart de qualité entre la partie "recherche" et la partie "action" du jeu. La balade dans les égouts de Neotokio est par exemple très sympathique, quoique stressante avec ces monstres capables de nous condamner à brève échéance d'un simple coup. J'y trouve également une petite fille, seuls survivante de la catastrophe, poursuivie par un lion en qui Ark reconnaît le lionceau qu'il a sauvé au temps où les hommes n'étaient pas encore revenus sur la terre... Séquence émotion ! Citons également ce passage très étrange où l'on boit le contenu d'un gobelet nous emportant dans un monde onirique où Célina prend le visage du mal et semble pousser notre héros au suicide. Bizarre, bizarre !



Finalement équipé des 5 Pierres Célestes, je rejoins le point où je dois les utiliser (encore une fois merci à la soluce) et active alors un dialogue avec une étrange voix qui ressemble à celle du héros. Comme d'autres personnages, Ark semble avoir une identité des abysses et une autre propre à la surface. Mais nous n'en saurons pas vraiment plus, car il sombre de nouveau dans l'inconscience.



La scène qui suit me paraît incompréhensible. Je ne sais pas si c'est le fait de la traduction amateur peut-être approximative ou de mon incapacité à recoller les morceaux d'un puzzle que je n'ai pas vraiment compris, mais me voici à contempler le réveil d'un Ark bébé couvé par l'une des deux Célina. Son avatar mauvais apparaît après une brève absence de la première pour venir tuer l'enfant, mais elle ne peut pas vraiment s'y résoudre, et se contente de m'emmener dans une grotte semblable à celle où j'ai ouvert la boîte de Pandore, au début du jeu. Là, tous les principaux protagonistes de la résurrection du monde de la surface me font comprendre qu'ils attendent mon éveil pour que je puisse sauver le monde. Ark devient alors adulte en un clin d'oeil, et découvre que Yomi, ce brave Yomi qui nous accompagne depuis le début, veut sa mort sur ordre d'Agar et exhorte Célina à exécuter le héros.

La "mauvaise" Célina disparaît alors avec le "mauvais" Yomi, puis je me retrouve avec la "gentille" Célina, près d'une nouvelle boîte qui contient un "gentil" Yomi. Puis on me donne de nouvelles armes, celles du héros de la légende, qui furent enterrées dans ce village et gardées depuis longtemps. Ainsi, je sais enfin ce que cherchait le roi de France dans ce village du nord... Mais c'est bien la seule chose qui s'éclaircira lors de cette cinématique, qui me semble obscurcir encore le scénario. Même l'évocation de la 13ème heure, qui reprend une image de l'intro, est si incompréhensible que je ne saurais retranscrire ce qu'elle tente de dire...



A la sortie du village, un oiseau envoyé par Kavar m'informe qu'une expédition vers le labo de Yvan est en marche, avec des personnages que je connais bien. Il est temps de les rejoindre et, j'espère, de vivre un donjon intéressant.

yedo
Pixel imposant
Je pense exactement comme vous concernant les phases d'infiltration. J'aime rarement ces passages qui me paraissent frustrants. Dans Terranigma cela ne m'a pas trop gêné (d'ailleurs sans ce topic je ne me serais pas rappelé de ce passage) par contre je trouve, au contraire, que les phases d'infiltration dans Metroid Zero Mission sont horribles. J'ai quasi détesté ce moment là, en plus ça sent le rajout pour justifier le remake alors que c'est la négation même du principe et du gameplay de la série. Certes, on peut penser que c'est bien d'apporter une nouveauté mais pour le coup j'ai trouvé que ça n'en valait pas du tout la peine car c'était juste chiant à jouer.

Pour revenir sur Terranigma j'ai également été frustré par le flou de la progression et je me suis servi d'une soluce pour avancer à certains moments. Maintenant que tu approches de la fin, Vakoran, je peux dire que l'histoire m'a ennuyé, elle part dans tous les sens et s'éparpille, sans grande cohérence à mon goût. Tout va trop vite et on n'a pas vraiment le temps de s'attacher au monde qui évolue rapidement ni aux personnages.

Vakoran
Pixel imposant
C'est aussi ma crainte, Seb : vu qu'il semble que je me rapproche doucement de la fin, soit il va y avoir de grosses révélations en quantité d'un seul coup, soit on va devoir rester avec des questions en suspens... J'avoue que je préfèrerais la première solution.

Pour les phases d'infiltration, je suis tout à fait d'accord, c'est une mode que peu de jeux ont su mettre en place de manière logique. Les seuls bons exemples qui me viennent à l'esprit à l'aune de mon expérience vidéoludique assez limitée, c'est Goldeneye et Metroid Zero Mission. Et encore dans ce dernier, je ne peux pas dire que j'aie trouvé la phase marrante à jouer...




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