Ouah, dans le genre mauvaise foi, le soviet est encore allé chercher le meilleur :
« La différence entre les années 80 et maintenant est le choix de la clientèle cible. Jetez un oeil au rayon jeu vidéo de votre supermarché favori. On trouve deux groupes de personnes : les garçons âgés de 14 à 17 ans, qui achètent les hits les plus récents ; et les garçons de moins de 14 ans, qui achètent les jeux de l'année dernière à prix réduit. Où sont les mères, les pères, les soeurs, les grands-mères ? Dans les années 80, nous concevions des jeux pour tous les âges. » (David Crane)

Les jeux des années 80 étaient encore plus orientés jeunes garçons que maintenant, il suffit de voir la DS pour s'en convaincre.
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Dans la vie, il y a 3 catégorie des personnes : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas compter. (Anonyme)

La phrase de la semaine est excellente, elle colle parfaitement à l'article de Julenstein! Bien vu! « Ikaruga est, à mon avis, meilleur que Radiant Silvergun. Il transcende le jeu vidéo, et devient une véritable ½uvre d’art lorsqu’il est joué par un pro. » (Gordon Houghton, écrivain et ancien journaliste au magazine Zzap ! 64)
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Le gars qui a dit ça n'a manifestement jamais vu un grand superplay de Radiant. C'est du même niveau... en 5 fois plus long, créatif et varié.

« C’est parce que nous devions gagner de l’argent que nous nous sommes tournés vers la religion et avons renommé notre société ‘Wisdom Tree’. Le premier jeu Nintendo que nous avons mis sur le marché sous ce logo a été ‘Bible Adventures’. On y incarne un Noé dont les capacités de saut surhumaines lui permettent d’amener singes et vaches à son arche. Il y a même eu un jeu Super Nintendo qu’on a appelé ‘Super 3D Noah’s Ark’ ! Cette cartouche était en fait basée sur le moteur graphique de Wolfenstein 3D, sauf qu’au lieu de tuer des Nazis, on y utilisait un lance-pierres pour nourrir des animaux révolutionnaires totalement déchaînés. Le côté religieux de nos jeux était juste là pour vendre ; nous n’avons jamais été croyants. » (Jon Valesh, ancien développeur chez Color Dreams / Wisdom Tree)

Hé bé, ça c'est du journalisme total comme dirait FactorNews (salut CBL! )! Pour une nouvelle! Où avez-vous trouvé cela, c'est fou quand même, une telle légende qui s'écroule.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Color_Dreams

http://www.classicgaming.com/rotw/bibleadv.shtml






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D'ailleurs, est ce qu'un tel jeu serait distribué aujourd'hui?
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Oui.
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https://twitter.com/MaxNoelBass
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Ahhh Wisdom Tree... J'aimerais bien qu'ils fassent un come-back.

La phrase de la semaine : « Il y a une différence très nette entre regarder un film et jouer à un jeu. Metal Gear Solid 2 ne semble pas faire cette distinction. Le premier MGS était tolérable, parce que malgré ses interminables cutscenes -souvent inintéressantes-, on trouvait ça et là d’excellentes idées de gameplay. La suite ? C’est là que l’ego semble avoir pris le dessus. « Regardez ce qu’on sait faire, » ont peut-être pensé les programmeurs. « On a toujours voulu faire un film ; et c’est ce qu’on va faire, en y intercalant des petits morceaux de jeu ». (Jon Foster, journaliste au magazine Retrogamer)

S'il fallait une preuve que la passion a quitté ce forum, c'est l'absence absolue de réaction à ce pavé jeté au visage de la masse d'abrutis qui préfèrent regarder un film réalisé avec un moteur de jeu vidéo qu'y jouer!... Heu, je m'emporte Je n'ai malheureusement rien contre les MGS, j'ai joué au premier qui m'a beaucoup amusé.

Il n'empêche, où sont les cailloux pour la lapidation et les anathèmes déchaînés?
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Je comprends que certains pestent contre la trop grande présence de cut-scène dans mgs2.
On peut leur donner raison, chacun ses affinités.
Moi au contraire ça ne fait que renforcer le charisme des personnages et renforcer le scénario - et donc mon attachement au jeu -.
C'est devenu indissociable de ce que je crois être l'identité Metal Gear Solid.
( en plus du 1 au 3, l'intérêt des cinématiques n'a fait que s'accroître, dans le 1 certaines pouvaient être lourdes )

Je suis toutefois bien d'accord avec cette phrase, comme je l'ai déjà dit. J'ai terminé MGS 2 plusieurs fois, mais plus je recommence, et plus le compteur d'heure diminue affreusement à force de zapper les cinématiques. Avec un peu de chance, il doit y avoir 5 heures de jeu pour le triple de dialogues et cinématiques.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Cracher sur MGS2 juste parce qu'il y a trop de cinématiques, c'est quand même très très con. Autant The Bouncer j'aurais compris, autant là ça me paraît plus l'effet d'un mouvement hype (aujourd'hui sur le Net, il est de bon ton de dire du mal de MGS2) qu'une position réellement défendable.

Parce qu'entre les cinématiques (et c'est vrai qu'il y en a trop), il y a quand même un jeu qui, à sa sortie, a pris tout ce qui existait en matière d'infiltration, l'a retourné et l'a bouffé. Des bonnes idées à la pelle, un souci du détail qu'on n'a jamais retrouvé, pas même dans MGS3 (même s'il est supérieur au 2 dans bien d'autres aspects), une liberté d'action et d'improvisation tout à fait remarquable...

Il y a plus de choses rien que sur le tanker que dans beaucoup de jeux complets. On parle de Metal Gear Solid 2, là. Un jeu où on peut faire des tractions pour améliorer son endurance. Où l'on s'infiltre dans une salle dans laquelle une cinquantaine de marines écoutent un discours pour prendre des photos. Où l'interface essaie de nous faire croire qu'on s'est pris un game over alors qu'on continue de jouer dans la vignette.

Et puisqu'on parle de cinématiques, pièce à conviction numéro 1: le micro parabolique. La scène où Raiden doit écouter à travers un mur Ocelot exposer la suite de son plan à Solidus Snake. N'importe quel autre game designer aurait mis une cinématique.
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J'ai fini et aimé MGS 2 bicause les cinématique et parceque j'ai plutôt bien apprécié ce "film".

Je n'ai jamais rejoué à MGS 2 bicause j'ai déjà vu le "film" une fois et que ce qu'il reste de jeu ne suffit pas à me motiver...


.

Un gagnant n'est pas toi, le premier Splinter Cell offre également une scène similaire où Sam Fisher doit écouter avec son micro la discussion entre deux des grosses têtes du côté des méchants, discussion où ils expliquent la suite de leur plan pour conquérir le monde, tout ça tandis qu'ils gravissent les étages d'un immeuble dans un ascenceur externe et que Sam s'apprête à échapper aux lasers, au éclairages et aux gardes qui débarquent dans la cour où il se trouve.

Je sais bien que je viens de balancer un second pavé dans la mare qui déborde déjà pas mal mais, quitte à en rajouter un troisième, je dirait que le gros reproche que je fais à MGS 2, c'est son gameplay, tout son gameplay, que je considère comme quasiment inexistant et dont le peu qu'il y a est terriblement mal fichu.

Vous pouvez me lapider.
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"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

Ben c'est bizzare, moi j'ai toujours pensé le contraire.
( je précise que j'ai terminé les trois premiers SC sur xbox )
J'ai toujours trouvé SC vachement linéaire, assez lourd dans le maniement, très aléatoire ( que ce soit l'IA des enemis ou simplement cette sensation d'être perdu dans la map ).
En gros en jouant à SC j'ai le même malaise qu'en jouant à un Rainbow Six : difficile de viser comme on souhaite, difficile à prendre en main, difficile à gérer.
Ca ne vient pas d'un maniement prétenduement plus "simulation" qu'un mgs mais d'un gameplay moins friendly que mgs.
Un exemple concret, se faufiler derrière un garde lui briser la nuque est je dirai sans accroc dans un mgs alors que dans SC c'est nettement plus laborieux, dès fois on se fait repérer on ne sait même pas pourquoi.
C'est le genre de jeu où l'on save à tout bout de champ, l'issue de chaque attaque étant tellement aléatoire, on prend ses précautions.
Au final j'accroche terriblement moins au gp de SC que celui d'un MGS.
Dans MGS c'est rapide et limpide, et jamais figé avec juste ce qu'il faut de challenge.
Puis bon les cinématiques ennuyeuses de début de mission de SC valent bien toutes les cinématiques de mgs

C'est bizarre, mais je n'ai jamais été ennuyé par les cinématiques de Metal Gear Solid 2 (et pareil pour Final Fantasy X, ça ne m'a jamais gêné).

En tout cas, je garde un chouette souvenir de ce jeu, contrairement au premier. La scène du discours sur le bateau (et tout ce qui s'ensuit) est mémorable. L'histoire du pace-maker et du micro, c'est génial! Il y a aussi le passage crispant sous l'eau, assez intense sur le plan de l'émotion. Et l'horrible dénouement de la séquence de sniping, d'une tristesse infinie: j'en avais presque les larmes aux yeux tellement j'étais révolté par ce qui s'y est produit!
Et puis le scénario (limite paranoïaque) est plein d'audace, avec cette mise en abyme du joueur. C'était peut-être un peu maladroit sur la forme, mais... ça reste très marquant! Le "Fission Mailed", je ne suis pas près de l'oublier!

Ah ?!! Pourtant...
Personnellement, je ne dirais pas que ça m'a ennuyé mais fortement motivé à remettre le dvd dans son boitier au bout de 10 minutes d'essai (dont 9 minutes de tuto / cinématiques).
Depuis, il est là mais je ne le revends pas c'est un cadeau. Un beau cadeau caca mais bon...
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Ben, je ne sais pas. Pour ceux qui ne le savent pas, je fais partie des gens qui ont découvert Metal Gear Solid 2 sur le tard, après avoir lu maintes et maintes fois que les cinématiques étaient interminables, qu'elles prenaient le pas sur le gameplay et qu'on était souvent coupé en plein combat. Eh bien, ce n'était pas du tout le cas à mes yeux.

Ces cinématiques étaient au service d'une histoire, histoire qui n'a, à mes yeux, jamais pris le pas sur le gameplay. C'était tout le contraire, même: j'avais l'impression que les cinématiques servaient le gameplay. Je n'ai jamais trouvé qu'elles étaient "en trop", sans doute parce qu'elles suivaient des phases de gameplay pur. Je n'ai jamais eu l'impression que MGS2 "oubliait" d'être un jeu vidéo. Au contraire, plus on s'approche de la fin, et plus on se rend compte que le jeu vidéo y est la principale préoccupation de Kojima.

Alors, c'est sûr, elles sont parfois un peu longues, ce n'est pas aussi harmonieux qu'un Panzer Dragoon Saga pour ne citer que lui, mais ça ne m'a jamais dérangé car ces cinématiques étaient vraiment au service de quelque chose... d'assez fort. On peut peut-être lui reprocher certaines phases de Codec un peu niaises, mais en même temps lesdites conversations en Codec prennent tout leur sens vers la fin, où ils se mettent à user/abuser du Codec, où les "intervenants" se mettent carrément à débloquer et à raconter n'importe quoi, au point que la "machine" (pour ne pas trop spoiler) commence peu à peu à se détraquer. La fin est un véritable pied de nez à la majeure partie des phases de Codec auxquelles on a pu assister durant tout le long du jeu.

Bref, les cinématiques de MGS2 servent une cause, tout le contraire des cinématiques de MGS: the Twin Snakes (je parle de la version Gamecube donc). Là, en revanche, on a eu droit à des cinématiques tape à l'oeil qui m'ont *complètement* pourri le jeu tant elles étaient indigestes. C'était, mais, absolument n'importe quoi. On voyait Snake faire des choses absolument... incroyables, en constant décalage par rapport au gameplay. Il y avait des scènes d'action spectaculaires à la Matrix, avec des ralentis, de véritables chorégraphies. Les confrontations avec le ninja étaient assez spectaculaires dans le genre. Mais alors, quand on reprenait la main, ouille, ça faisait mal: c'était tout mou, d'une lenteur abominable comparé à ce que nous offraient ces cinématiques. Le pire, c'est au moment où Snake se met à sauter assez haut pour dévier du pied un missile tiré par l'hélicoptère de Liquid: trop fort le mec! "Un truc de ouf", me suis-je dit. Mais bon, le gameplay du combat était beaucoup moins spectaculaire juste avant.

Les cinématiques de MGS: TTS, donc, n'avaient qu'un but tape à l'oeil, se foutant éperdumment de la gueule du pauvre joueur qui se tapait de misérables phases de gameplay à côté. Mais vraiment, c'était du foutage du gueule intégral, et une véritable insulte au gameplay originel de l'épisode PSOne (enfin, j'imagine, je n'y ai pas encore joué). Tout le contraire des cinématiques de MGS2 qui servaient quelque chose, qui ne sont jamais tombées dans ce travers (que j'espère sera évité dans le 4, ce que la scène d'action avec le ninja détruisant une armée de robots ne me rassure guère) et qui ne constituaient pas un énorme décalage avec le gameplay: ça restait "humain" dans l'ensemble.

PS: Gros HS. Tant que j'y suis, quelqu'un pourrait me dire quelle version de MGS3 vaut le coup pour quelqu'un comme moi qui n'y a pas joué: la version "normale", ou la version "Subsistence"?

Ce sont les même jeux sauf que par contre Subsistence a quand même une caméra orientable avec le stick droit, ce qui n'était pas le cas sur la première version ( y'a d'autres bonus comme le jeu en ligne - qui ne fonctionne plus aux usa et ne fonctionnera bientôt plus en Europe -, des nouvelles missions Ape Escape ect ).

oZZy > je suppose qu'on doit pas avoir les même attentes pour un jeu.
Objectivement elles sont quand même bien foutues ces cinématiques ;(

Exact, mais Splinter Cell (2002) est sorti après MGS2 (2001).



Avant de te lapider, on aimerait bien savoir quand même ce qui te fait dire ça. Surtout si tu mets en comparaison Splinter Cell, dont le gameplay (surtout sur les 2 premiers épisodes) est constitué de 3 gimmicks et 5 grands classiques, sur des rails.

Tu aurais dit Hitman, j'aurais compris que la liberté d'action et les dizaines de façons d'accomplir le travail de l'agent 47 te manquent, mais là j'ai vraiment du mal.
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