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Index du Forum » » Jeux » » Anodyne et Anodyne 2
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Auteur Anodyne et Anodyne 2
Laurent
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Joue à Super Mario Bros. Wonder

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Posté le: 2022-01-20 15:58
Voilà un jeu assez ancien (2013) mais la version Switch à laquelle j'ai joué n'a que deux ans et elle est apparemment proposée à 99 centimes assez régulièrement (sachant que le prix du jeu hors-soldes est plutôt de 9€).



Anodyne est normalement un terme utilisé pour désigner des médicaments anti-douleurs. Et le studio qui est derrière le jeu (en réalité deux personnes, très jeunes au moment des faits) s'appelle Analgesic Productions. Il y a sûrement derrière cela un message plus complexe que simplement "notre jeu va vous faire du bien", mais il faudra sans doute se contenter de ça car ce qu'il raconte est resté (une fois de plus...) totalement cryptique pour tout le monde. A tel point d'ailleurs qu'un des deux développeurs a reconnu (dans ce post-mortem) qu'Anodyne était pénalisé par son "hard-to-grasp narrative backbone" et que la prochaine fois il tâcherait de mieux définir les personnages, les environnements et le scénario pour que le joueur se sentent davantage impliqué. Depuis, Analgesic a sorti deux autres jeux, Even The Ocean et Anodyne 2, qui ont été plutôt bien reçus, mais comme le premier Anodyne l'avait déjà été, je ne sais pas s'ils sont réellement meilleurs ou du moins plus compréhensibles.

Anodyne se présente comme un Zelda-like (je dis bien "se présente comme" et pas "est") avec des graphismes qu'on pourrait situer entre la Game Boy Color et la GBA, et une bande sonore faite de pistes audio qui utilisent peu d'instruments et des sonorités typées Amiga ou SNES. Il n'y a pas de scrolling (on passe d'écran en écran), le framerate est assez bas, les collisions sont ultra rétro, bref on est loin même du confort d'un jeu 16-bit. Heureusement, le personnage se déplace dans toutes les directions assez souplement et il peut sauter (et même changer de direction pendant un saut).

Le joueur incarne un certain Young à qui, au début de l'histoire, on explique qu'il doit sauver le monde d'un mal terrible. Son aventure le promènera dans des environnements très divers, sans cohérence aucune : une prairie en bord de mer, une forêt inquiétante, une autre plus féérique, un monde futuriste, un hôtel, une autoroute en construction, un labyrinthe, un lotissement, une montagne rocheuse... Bref c'est n'importe quoi et les multiples personnages rencontrés proposent des dialogues bien écrits, fournis et drôles, mais qui n'éclairent pas particulièrement sur le sens qu'il faut donner à tout ça. On aura simplement compris que le monde dans lequel le héros évolue est celui de ses propres rêves (ou de son subconscient) et qu'il est embarqué dans une quête initiatique visant à le rendre plus... mûr ? pragmatique ? Quelque chose dans le genre, on ne sait pas trop.

Là où le jeu diffère radicalement d'un Zelda 8 ou 16-bits, c'est dans l'arme utilisée par le héros : un balai. Un balai et puis c'est tout. Il fera l'objet de seulement trois améliorations dont une ne sert à rien et une autre est déterminante mais ne s'obtient qu'en toute fin de jeu, pour en débloquer les derniers secrets. Ce balai s'utilise pour frapper les ennemis et ramasser un amas de poussières qu'on peut déposer sur l'eau pour en faire un radeau. C'est à peu près tout. Quand à la progression, elle se fait simplement en collectant des cartes à l'effigie des personnages et ennemis croisés. Trouvées dans des coffres, ces cartes n'interviennent pas dans le gameplay, il faut simplement les accumuler dans l'inventaire pour ouvrir diverses portes. Le jeu contient 48 cartes et il en faut 36 pour accéder au boss final. Les 12 dernières ne pourront être glanées que dans des salles secrètes, pendant le "post-game", en utilisant l'ultime upgrade du balai (qui est la possibilité d'inverser des blocs de décor, donc de supprimer des obstacles inamovibles, franchir des vides et même sortir de l'écran).

Donc, si on aborde Anodyne comme un Zelda-like, la déception est au rendez-vous. Et pourtant beaucoup de gens ont aimé ce jeu et l'ont dit sur les forums (Steam notamment). Et je suis de leur côté. Pourquoi ? Parce qu'Anodyne est un jeu d'exploration remarquable qui propose une ambiance merveilleuse, en partie grâce à sa bande son mais pas que, et qu'en conséquence on y passe quelques heures (18 en ce qui me concerne) agréables et très relaxantes malgré quelques moments narratifs très déstabilisants.

Dans ce jeu, on passe l'essentiel de son temps à arpenter d'immenses maps labyrinthiques interconnectées en cherchant comment faire pour aller partout, et où se trouve la suite. Bien sûr il y a aussi pas mal de donjons dans lesquels la navigation requiert de résoudre de nombreuses petites énigmes dont les mécanismes s'enrichissent tout au long du jeu (qui reste donc "intéressant" malgré tout) et intègrent une petit dose d'action. Il y a des ennemis tout le temps, mais jamais en surnombre et la difficulté des combats est très modérée, les checkpoints fréquents. D'autre part, chaque zone possède un portail qui envoie vers un "Nexus" où tous sont regroupés, ce qui évite de redondantes séances de marche et d'avoir à mémoriser la map globale du jeu. Enfin, une petite carte rudimentaire apparaît, en haut de l'écran, qui indique comment le réseau de salles qu'on est en train de visiter est configuré.

J'ai tout de même quelques reproches à faire :
- Les boss rencontrés dans les donjons sont tous très faciles, trop même, mais celui de la fin est bien récalcitrant si on n'est pas un minimum briefé par une vidéo ou un guide (alors que tout le reste du jeu se fait sans soluce en n'étant pas trop pressé).
- Je n'ai pas aimé le post-game et les trucs meta qu'on est censé faire avec le balai pour dénicher les dernières cartes. Ça occasionne trop de glitches et de blocages pour qu'on sache si on fait fausse route ou si on est sur la bonne voie.
- Le jeu comporte dans l'inventaire une option pour être téléporté au Nexus ou à l'entrée du donjon. Du coup les développeurs n'ont pas cru bon de s'assurer qu'on ne serait jamais bloqué dans une salle pour ne pas avoir fait toutes les actions dans le bon ordre. Cela dit je crois que c'est aussi comme ça dans les Zelda en 2d.
- Parmi tous les trucs qui se passent dans le scénario auxquels les gens n'ont rien compris, il en est un qui méritait vraiment d'être mieux expliqué, car très dérangeant : ça se passe dans le niveau du lotissement : un type nous demande, pour nous laisser entrer dans une maison, de massacrer tous les habitants qui marchent dans la rue, parmi lesquels il y a des enfants... et ça marche, c'est bien ça qu'il faut faire ! On ne met pas un passage pareil dans un jeu sans dire clairement pourquoi.
- Ils ont mis juste avant la dernière zone un puzzle qui peut se résoudre par force brute en 5mn (il y a peu de paramètres) mais qui est tordu et implique de revisiter plusieurs zones du jeu si on essaie d'utiliser les nombreux indices. Et justement, comme il y a beaucoup d'indices, j'ai essayé de faire comme ça et j'ai perdu une heure pour pas grand chose.

Ces points mis à part, j'ai beaucoup apprécié ce jeu. Il m'a renvoyé à des sensations ressenties il y a bien des années en jouant à Young Merlin ou Equinox, à ces jeux un peu décalés, pas totalement aboutis, loin des ambitions ludiques et du niveau de finition d'un Nintendo, mais qui avaient su m'embarquer par leur atmosphère unique, planante, empreinte d'une sorte de naïveté psychédélique que j'ai du mal à définir mais qui compte beaucoup dans mon parcours. C'est très subjectif, bien sûr, et encore une fois c'est en grande partie une histoire d'OST. Mais je suis très content d'être tombé sur ce jeu, au détour des soldes de l'EShop.

Les musiques de Anodyne peuvent être écoutées ici :
https://htch.bandcamp.com/album/anodyne

Ecoutez le titre "Fields", piste 9. Si cette musique vous touche, jouez à ce jeu, vraiment. Il vous fera le même effet.

Je ne sais pas encore si je vais jouer à la suite, Anodyne 2. Si quelqu'un l'a essayé, je suis très curieux de savoir ce qu'il en a pensé.
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Posté le: 2022-01-20 17:50   [ Edité le: 2022-01-20 17:51 ]
Anodyne a été très bien critiqué par Hardcore Gaming (dans le sens où l'article est bon), ainsi que sa suite. L'article sur le premier jeu est très proche de ce que tu dis, donc tu devrais pouvoir te fier au second:

http://www.hardcoregaming101.net/anodyne/

Pour ma part, j'avais pris le jeu lors de soldes groupées sur Steam il y a deux ans, et je m'étais fait rembourser à cause de la technique, si ma mémoire est exacte. Après les soldes, je teste tous les jeux achetés en vitesse pour profiter de la possibilité de se faire rembourser sur Steam, et là, j'avais trouvé le jeu désagréable à manipuler, comme s'il ramait constamment - mais c'était il y a deux ans et je l'ai testé quelques minutes, donc ça ne veut pas dire grand-chose.

C'est dommage, parce que l'article de Hardcore Gaming et ce que tu dis donnent très envie, ça me rappelle un peu les Princess Remedy dans le sens où la simplicité n'est pas rébarbative (les Princess Remedy sont apparemment beaucoup plus légers, par contre).

Il tourne peut-être mieux sur Switch.
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Posté le: 2022-02-04 14:58
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Après Anodyne, j'ai donc enchaîné sur Anodyne 2: Return to Dust (2019), que j'ai terminé également en une vingtaine d'heures. Cette fois le sentiment est mitigé. Ce fut un moment agréable et l'envie de continuer était présente tout le long, mais le jeu ne me restera pas en mémoire comme le premier, et j'ai peur qu'il ne m'ait pas assez secoué le cerveau pour qu'il en sorte grand-chose d'intéressant à dire.

Pour faire plaisir à Rainmaker, voici le trailer :
https://www.youtube.com/watch?v=yT6yQm3JM3E
(grâce à notre technologie exclusive "grolink" qui a demandé des années de recherche, vous êtes libres de regarder ou pas ce trailer)

Cette fois on incarne un personnage féminin chargé de sauver le monde qui l'entoure. Les graphismes alternent, selon les phases de jeu, une 3d niveau PS1/Saturn et une 2d façon 16-bit avec des animations fluides. Deux jeux en un, en quelque sorte, mais la formule est plus facile à comprendre qu'à expliquer.



On démarre dans un open-world en 3d constitué de zones assez vastes dont l'accès se débloque au fil de la progression. Le monde de Anodyne 2 est envahi par une poussière impénétrable dont au départ seule la ville centrale est préservée. Pour faire disparaître cette poussière, tout le monde compte sur l'héroïne, très inexpérimentée (je crois même que le début du jeu marque sa naissance). Elle sera coachée par un duo d'adultes qui la guideront dans sa tâche : collecter de petites quantités de poussière à l'aide d'un aspirateur, puis les transférer dans une immense machine pour en augmenter la puissance. Cette machine sera alors capable de dissiper les nuages de poussière les plus imposants et dégager de nouvelles zones 3d à explorer, et ainsi de suite jusqu'à ce que tout l'open-world soit dépoussiéré.



L'héroïne utilise non plus un balai mais un aspirateur. Elle ne peut pas s'attaquer directement aux gros nuages de poussière dans les zones en 3d mais possède -à la manière du héros de Psychonauts- la faculté de se rendre microscopique et pénétrer les esprits des habitants pour en aspirer les recoins et libérer du même coup leur conscience, les débarrasser de différents sentiments négatifs, les rendre plus heureux. C'est lors de ces incursions dans le mental de certains NPC que le jeu passe en 2d et retrouve vaguement le gameplay du premier Anodyne, sauf que cette fois on a affaire à des niveaux très courts (et très faciles pour la plupart), détachés les uns des autres, et proposant chacun une thématique qui introduit de nouvelles formes de gameplay (sans tutos encombrants, il faut le noter). Il n'y a que vers la fin que l'on aura affaire à deux niveaux 2d plus étendus et complexes constituant chacun un mini jeu d'aventure.

Encore une fois, la progression globale se fait en amassant des cartes qu'on doit aussi rapporter à la machine centrale anti-poussière pour l'upgrader. On obtient ces cartes en terminant des niveaux 2d mais il y en a aussi de cachées dans l'open-world 3d, qu'on passe donc un temps important à explorer en tâchant de dompter les commandes et la caméra, volontairement calibrés comme dans un jeu de 1995. Ces zones étant très étendues et en grande partie vides (plates, aussi, sauf vers la fin, oui le jeu s'améliore beaucoup sur la fin...), l'héroïne possède la capacité de se transformer en voiture pour se déplacer plus vite. Lorsqu'on utilise cette fonction le jeu se met à ressembler à POD, d'Ubi Soft, qui avait fait vendre des palettes de cartes 3DFX à son époque.

Dans la seconde moitié de l'aventure, toujours dans les zones 3d, une autre mécanique se met en place : des pièces de monnaie apparaissent un peu partout. En les amassant, on peut acheter des outils qui aident à terminer le jeu, notamment un détecteur très utile qui indique où on peut encore gagner des cartes. D'autre part ces pièces sont disposées de manière à ce qu'en tentant de les atteindre, le joueur visite tous les endroits où il y a un personnage à rencontrer (donc un niveau 2d à faire) ou quelque chose d'intéressant à explorer, que ce soit d'un point de vue ludique, visuel ou narratif. Cette collecte transforme Anodyne 2 en un jeu de plate-forme 3d d'exploration assez rudimentaire mais pas inintéressant. Elle pousse surtout à s'attarder sur le jeu et s'imprégner de son ambiance très particulière, assez new-age (je dirais), soutenue par des musiques moins envoûtantes que celles du premier Anodyne mais tout de même réussies.



L'un des deux développeurs avait annoncé dans l'article cité plus haut qu'à l'avenir il fournirait plus de lignes de dialogues à ses personnages afin que le joueur comprenne mieux le sens de ce qu'il fait. Il a tenu parole : Anodyne 2 est un véritable océan verbal. La dernière fois que j'ai vu un jeu aussi bavard, c'était Mario and Luigi: Dream Team Bros, que j'avais fini par lâcher à cause de ça. Heureusement, Anodyne 2 est bien écrit, plein de bienveillance (c'est même là son thème central) et il parvient à se montrer touchant, à faire exister des personnages qui, pourtant, ne ressemblent pas à grand chose tant ils comportent peu de polygones. Une grande partie des dialogues restent, comme dans le premier Anodyne, surréalistes et assez perchés, mais il y a une commande pour *vraiment* accélérer leur défilement, et le déroulement du jeu étant assez simple, on peut très bien s'abstenir de les lire.

Le jeu ne cherche pas à se faire passer pour plus long qu'il est : assez tôt, le NPC guide annonce des choses comme "tu peux maintenant explorer toutes les zones" ou "quand tu auras entièrement upgradé la machine ton aventure s'achèvera", ce qui effectivement se produit sans avoir à se coltiner un boss final. Il n'y a que 24 cartes à trouver pour tout boucler, pas de "post-game", et pas beaucoup de secrets. Il y a tout de même une seconde fin à partir d'un embranchement (je ne l'ai pas faite, peut-être qu'elle contient un boss ?), et la partie 3d du jeu ménage deux ou trois énigmes un peu tirées par le cheveux, mais dans l'ensemble la difficulté est très modérée et on n'a pas le temps de s'ennuyer.

J'ai bien aimé la partie 3d du jeu, globalement. Divertissante, bien construite et gagnant en qualité à mesure qu'on débloque de nouvelles zones, elle conduit à se demander si on est, ou pas, nostalgique des jeux 32-bits (le débat fait rage depuis 20 ans dans les milieux autorisés ). En revanche sur les visites des esprits de NPC, autrement dit les niveaux 2d, j'ai été assez déçu et c'est bien dommage car j'en attendais beaucoup. Pendant une large partie du jeu, les développeurs y ont privilégié l'abondance de surprises, de références et d'humour décalé (sans spoiler, le jeu se permet des trucs assez dingues), négligeant ce qui faisait la force du premier Anodyne, à savoir sa cohérence, son sens du mystère et, tout simplement, son intérêt ludique supérieur. Ces qualités ne reviennent que dans le deux longs niveaux dont je parlais plus haut, et elles le font en force, ce qui pousse à regretter que le jeu se soit autant dispersé auparavant.

Malgré ce bilan réservé, j'encourage à s'intéresser à ce que proposera par la suite Analgesic Productions. Leur prochain jeu s'appelle Sephonie et devrait sortir sous peu sur Steam. Il s'agit de nouveau d'un jeu de plate-forme et d'aventure en 3d avec des textures et modélisations rétro (niveau PS2, à vue de nez), et une certaine ambition narrative. Une démo est déjà disponible.
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Kaede
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Posté le: 2022-02-04 20:41
Merci pour ces comptes-rendus d'expérience Laurent !

La piste que tu as linkée (Bandcamp), m'a bien plu aussi, ça donne envie d'y jouer.

RainMakeR
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Posté le: 2022-02-04 20:56
Je lirai ca à tete reposée parce que le trailer que tu as mis est pas mal
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Florent06
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Posté le: 2022-12-10 19:20   [ Edité le: 2022-12-10 19:21 ]
J'aurais du lire ton sujet avant d'acheter Anodyne, Laurent.
En effet, j'ai cru que c'était un jeu à la Zelda. Mince erreur de ma part. Du coup, je me ballade dans des écrans où il n'y a pas grand chose à faire. Je peux comprendre les gens qui l'ont aimé (le dépaysement et surtout cette BO dingue), mais c'est pas ce que je recherche dans un jeu vidéo avant tout.

Là j'ai récupéré les 4 clés, il me manque 1 upgrade de balai, je dois avoir 21 ou 22 cartes. Le dernier boss que j'ai battu, c'est celui au sous-sol d'un immeuble de 4 étages.

Par contre, vu que je ne me fais jamais rembourser mes jeux sur Steam (si j'ai pas aimé, c'est pas la faute du jeu, c'était à moi de me renseigner d'abord sur le jeu), je vais quand même essayer de le finir.
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