Bon, je ne pense pas pouvoir finir mon jeu en cours avant demain soir (il s'agit de Mystaria sur Saturn, j'en parlerai un peu l'année prochaine, mais il est très bon !), alors je peux tirer mon bilan

Une année 2018 assez riche malgré un temps de jeu réduit, peu de réelles déceptions, et comme toujours une trajectoire personnelle guidée par mes instincts.
C'est aussi une année où j'ai été bien moins présent sur ce forum et sur le site, en témoignent le Groblog qui attend la suite de mes aventures sur King's Field IV, mes articles sur cette même série ainsi que sur Megami Tensei qui ont aussi pris du retard. Non pas que Grospixels m'intéresse moins qu'avant, mais j'ai ressenti le besoin de jouer pour moi. Jouer à un jeu dans le but avoué de publier un article ou un long post, c'est à minima colorer son expérience de jeu d'une certaine façon ; j'avais besoin de me recentrer, de ressentir à nouveau ce que c'est que de jouer pour jouer, tout simplement.
Dans l'ensemble, ma pratique se retrouve dans le texte de Daniel Pennac, Les droits imprescriptibles du lecteur, que je vandalise aussi sec pour l'appeler Les droits imprescriptibles du joueur de jeu vidéo. Voici, donc nos dix droits :

1- Le droit de ne pas jouer.
2- Le droit de sauter des passages entiers.
3- Le droit de ne pas finir un jeu.
4- Le droit de refaire un jeu.
5- Le droit de jouer à n'importe quoi.
6- Le droit au bovarisme vidéoludique.
7- Le droit de jouer n'importe où, n'importe quand.
8- Le droit de picorer à droite et à gauche.
9- Le droit de s'exprimer sur un jeu.
10- Le droit de ne pas parler d'un jeu qu'on vient de finir.

Bref, assez d'atermoiements, voici mon bilan de 2018, par ordre chronologique !

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JANVIER

Retro Game Challenge - intéressant

Un jeu-souvenir, qui vaut moins pour son gameplay que pour le discours, le témoignage qu'il livre autour. J'ai fini par le trouver lassant au bout d'un moment, mais c'est une expérience intéressante.

Metroïd - très bon

Je rattrape un de mes nombreux retards en matière de classique avec ce tout premer épisode, que j'ai beaucoup aimé. Pas du tout vieillot, on voit tout de suite en quoi il a pu inspirer tant de jeux. Le combat de fin m'a prodigieusement agacé, mais bon, je ne lui en tiens pas rigueur.

Shin Megami Tensei IV Apocalypse - pas trop mal

Sur SMT IV, mon impression était parti de très bas, pour remonter assez vite ; ce Apocalypse fait l'exact contraire. Ce qu'il raconte n'est pas très intéressant et sent le déjà vu au bout du compte, et se vautre dans des clichés d'anime que je ne supporte pas de voir sur la licence "racine" (on a Persona pour ça). Ca n'en reste pas moins un "jeu" très solide, même si il tire sur la corde sur la fin.

Sonic - mouais

Alors je dois faire un aveu : je n'ai jamais beaucoup aimé le premier épisode de Sonic sur MD. En fait, je crois que c'est son rythme non pas lent, mais souffreteux que je n'aime pas. Je l'ai relancé pour tâcher d'identifier pourquoi il m'inspirait un peu d'agacement...mais j'aime beaucoup le combat final !

Sonic 2 - excellent

Mes bons souvenirs de Sonic 2 se sont confirmés, j'adore le rythme, le level-design, les musiques et l'esthétique. Il faut dire qu'il tient un petit peu de la madeleine, puisque c'est le Sonic auquel j'ai le plus joué dans mon enfance.

Furi - GOTY

F-U-R-I. Rien que de taper ces quatre lettres, il me revient une tonne de sensations. La noblesse de Edge, la rage aveugle de Strap, la rancune poisseuse de Scale, la chasse perverse de Burst...Je n'ai eu de cesse de me répéter cette maxime : "l'excellence n'est pas un art, c'est une habitude", tant elle convient à mon expérience du pur point de vue du jeu. On finit fatalement par être très bon à ce que l'on pratique chaque jour, que cette activité soit bonne ou non. La morale ou le talent n'ont rien à faire là-dedans.
Et pourtant dieu sait que Furi est un jeu bourré de talent ! Énorme coup de cœur qui vient se ficher dans mon top 3 des meilleurs jeux indés auxquels j'ai pu avoir l'honneur de jouer.

Metroïd 2 Return of Samus - GOTY

J'ai beaucoup aimé le premier Metroïd, mais j'ai été soufflé par l'audace de ce deuxième épisode sur portable, qui ose apporter de nouvelles choses plutôt que de se vautrer dans la fainéantise. Quatre heures de bonheur.

Ruiner - pas mal du tout

J'ai pris beaucoup de plaisir sur Ruiner, et j'ai même, quelque part, admiré son humilité et sa lucidité : il est limité et il le sait, il ne va donc pas jouer la montre et s'étaler inutilement. Mais d'un autre côté, il y avait matière à faire tellement plus ! C'est assez contradictoire, mais j'aurais aimé qu'il dure plus longtemps, et qu'il dépasse les limites formelles qu'il s'est fixé...mais c'est un tout premier jeu, et je ne peux pas en vouloir aux développeurs.

FEVRIER

Dragon Ball Fighter Z - mouais

Jipé et Shenron ont déjà tout dit, et je me joins à leurs avis : pas mauvais, très fidèle à l'esprit DBZ, mais les combats se ressemblent trop pour m'intéresser sur le long terme. Il n'y a pas eu assez de recherche de fond pour faire du jeu quelque chose de vraiment passionnant. Arc System avait fait montre de bien plus de soin avec Persona 4 Arena, en comparaison.

Blue's Journey - bof

J'étais bien parti, j'aime beaucoup l'esthétique et le côté un peu écolo...et puis il m'a vite énervé. Je l'ai fini, mais sans grand plaisir.

Defenders of the Oasis - très bien

Lancé suite à l'article de J sur le site, j'ai beaucoup aimé ce jeu très formel, mais plein de charme. Dommage que ma save ait été corrompu suite à un faux contact de ma Game Gear - j'ai du reprendre avec une autre save, tout à la fin...

Tales of Monkey Island - excellent

Là aussi, rattrapage de classique, et j'ai bien fait ! Joué sur sa version Steam, j'ai mis le jeu en mode Classique à la fois parce que je voulais le faire dans des conditions proches de l'original, et parce que je ne supportais pas l'esthétique moderne. Vraiment très bon et surtout très, très drôle, je ne regrette que des allers-retours trop prononcés.

MARS

Fallout - très bien

Là aussi, un gros classique que je trouve très, très bon. C'est juste que le post-apo, ce n'est pas trop ma tasse de thé, et le début est assez raide, mais une fois lancé, le jeu reste étonnant.

Tomb Raider Underworld -déçu

Pourtant ça partait bien, c'est déjà mieux que le très fade Legends, on renouait un peu avec l'ambiance des premiers...et puis en fait non. Je crois que, pour moi, Tomb Raider reste attaché au savoir-faire de Core Design. Je me demande si je vais réussir à casser ce point de vue en jouant au reboot de 2013...

Deux EX Human Revolution Director's Cut - c'est bien

DXHR est un bon jeu, avec un excellent traitement des thématiques et des approches multiples qui fonctionnent. Mais il ne se renouvelle pas assez et son histoire est vraiment plan-plan...et cette version Director's Cut oblige le joueur à faire le DLC, qui est super fade. N'en reste pas moins un goût de déjà vu, déjà fait.

Les DLC de Borderlands 2 - ça dépend lequel !

Je trouve que BL2, dans l'ensemble, est très bien mais tant gonflé en contenu, en maps, en dialogues, en...tout, qu'il en devient indigeste et franchement pénible par moments. Ses DLC, quant à eux, vont du décevant (Hammerlock) au très bien (Scarlett), le tordant (Torgue) et un des meilleurs DLC jamais crées pour un jeu (Tiny Tina).

The Firemen - très bien

Un jeu très intelligent qui mélange shmup et énigmes soft. C'est court mais intense au setting original, avec des dialogues nuls que j'ai skippés tout du long !

MAI (oui, on saute avril...)

Gain Ground - très bien

Une très belle découverte que ce Gain Ground, un jeu assez moche mais très malin, qui utilise les codes et l'esthétique de Ikari Warriors pour proposer... un jeu de puzzle ! Le boss final est tout pété, mais à part ça j'ai beaucoup aimé, au point que je l'ai fini deux fois, à deux jours d'intervalle.

Guardian Legend - très bien

Hypé par Simbabaad, j'ai lancé Guardian Legend et il m'a pris de court au début par sa vitesse et sa brutalité. C'est en effet très bourrin et j'ai trouvé la difficulté bizarrement réglée, mais c'est vraiment original et audacieux : là aussi, une très belle découverte !

Mutation Nation - pas mal

Fini en duo avec DoubleC à l'occasion de la Retro Game Alpes (hey, je ne pouvais pas faire QUE gagner le tournoi de Windjammers ! ), c'est un beat à l'ancienne qui fait le job, dirons-nous. Mention acceptable.

JUILLET (oui, là aussi on saute un mois)

Breath of Fire 3 - arrêté

Oui, arrêté alors que ça s'annonce pas mauvais du tout...mais cette traduction FR, non je ne peux pas, ça me gâche toute l'immersion. Peut-être que des fans ont fait un meilleur travail, mais je n'ai pas encore cherché.

One Finger Death Punch - très bien

Le topic de RobertGlucose, et les impressions d'Odysseus et MTF m'ont fait craquer pour ce drôle de bestiau. Difficile de croire qu'un studio au passif aussi médiocre puisse pondre un jeu aussi bien pensé et addictif ! Un des rois incontestés du "allez, une dernière et j'arrête...ah mince il est 3h du mat' !"

AOÛT

Mother Russia Bleeds - GOTY

Un beat plus qu'excellent, qui allie une profondeur certaine, une sensation de frappe parfaite et une ambiance poisseuse à couper au couteau rouillé. L'usage des différentes drogues lui apporte encore plus de possibilités, à condition que l'on accepte de se taper les arènes assez nazes...mais ça vaut le coup, vraiment.

Hyper Light Drifter - ???

HLD est un jeu qui me met dans l'embarras. C'est un très, très bon jeu, je n'ai eu aucun mal à m'en rendre compte...mais il m'a laissé parfaitement indifférent. J'ai fait le jeu en auto-pilote, en ne me sentant pas intéressé le moins du monde à ce qu'il me racontait. J'ai vraiment l'impression que le problème venait de moi, sans arriver à cerner ce qui s'est passé. C'est un des axiomes de ma vie de joueur qui s'est cristallisé : jouer à un jeu vidéo, c'est forger une relation. Une relation est quelque chose de complexe où les deux parties sont tout autant concernés par les réussites que par les échecs...et parfois, une relation échoue parce qu'il n'y a pas d'atomes crochus, un point c'est tout. Et j'ai beau avoir ce constat froid et lucide en tête, je n'en suis pas moins gêné...

SEPTEMBRE

Monster Hunter World - pas mal

J'aime bien MHW, mais je n'y ai pas retrouvé le frisson de la chasse des anciens MH : là, j'ai plus l'impression de partir en safari dans une zone protégée. C'est vrai que l'interface est bien meilleure, nombre de choses ont été corrigées, et le chasseur est bien plus maniable et fluide qu'avant. Le truc, c'est que les monstres, eux, n'ont pas évolué au même rythme, ils sont presque toujours aussi lents et prévisibles, et leur comportement mécanique se voit d'autant plus que le reste a gagné en naturel. Bref, ça ne me convient pas. J'ai joué un peu plus de 60 heures (soit très peu de temps, dans le jargon de la série !) mais je n'ai pas très envie d'y revenir parce que je m'y ennuie. Peut-être retrouverai-je le mojo plus tard...

OCTOBRE

Legend of Heroes : Trails in the Sky - GOTY

Une structure classique parfaitement maîtrisée, un world-building juste bluffant qui viennent relever un système de jeu très correct. Il m'a bluffé tout du long. Il me tarde de faire toute la série ! Et c'est aussi la preuve que je n'aime pas que les jeux bancals.

Jackie Chan's Action Kung-fu - pas mal du tout

Un très bon jeu d'action-plate-formes, un peu gâché par une section de fin qui traîne trop en longueur.

Transistor - bof

Il est splendide, la B.O est superbe, l'histoire est très intéressante...mais qu'est-ce que j'ai pu m'ennuyer ! Je n'ai trouvé aucun plaisir de jeu, au point de penser que les développeurs s'étaient trompés de genre. Je vais éviter désormais les productions de ce studio.

Shenmue, le remake - c'est Shenmue !

Oui, parce que Shenmue n'est pas qu'un jeu, c'est aussi un avis à part entière !

Fight'n Rage - très bien

Un beat très technique et bourré de contenu, il vaut vraiment le détour. Je lui ai préféré Mother Russia Bleeds, mais c'est plus une affaire de ressenti viscéral.


NOVEMBRE

Vampire the Masquerade : Bloodlines - GOTY

Un jeu aussi génial que bancal, qui m'a dévoré de toutes ses dents pointues et laissé exsangue après trois runs consécutifs. Je comprends à 200% le culte autour de lui, c'est un jeu aussi fascinant qu'un Ventrue qui vous inflige sa Domination...

DECEMBRE

Armed & Dangerous - très bien

Ultra bourrin et super marrant, c'est pile ce que je recherchais. Je l'ai fait d'une traite et je ne l'ai pas regretté.

Les Royaumes Oubliés - pas mal

Un petit jeu sympa mais brouillon, avec beaucoup d'idées sous-exploitées. On était vraiment dans la période "coup d'essai" de From Software !

Dragon Crystal - déçu

Là aussi ça partait très bien, mon premier essai s'est révélé très amusant...jusqu'à ce que je réalise que tout est random, vraiment trop pour que je m'amuse. Je suis arrivé au 28e étage, soit à deux étages de la fin, mais je n'ai pas eu le coeur d'aller au bout tant une seule partie m'énervait.

Sakura Wars So Long My Love - déçu

Les trois quarts du jeu sont un VN écrit à la truelle, truffé de clichés d'animes traités sans aucune intelligence. Le reste est du combat tactique très sympa, mais je n'avais pas envie de les attendre en me coltinant des dialogues et des scènes dignes d'un harem manga bas de gamme.

Wizard of Legend - pas mal

une expérience plutôt curieuse : un beat déguisé en rogue-like ! La partie baston est très agréable, mais il y a trop peu de tactiques de combat et d'exploration, la faute à des ennemis bêtes à manger du foin, et je n'ai pas eu la sensation que la partie aléatoire apportait quelque chose de constructif. C'est là aussi un premier essai, mais assez intéressant.

Death's Gambit - très bien

Un Souls en 2D croisé à du plate-former, pour lequel j'ai eu exactement le même parcours émotionnel qu'avec Dark Souls : je l'ai détesté, désinstallé, une petite voix intérieure m'a conseillé de le refaire, ce que j'ai fait à contre-cœur, puis j'ai reroll un nouveau perso, et après je l'ai beaucoup aimé. Autant dire que mon impression fut sinusoïdale ! Il est buggé ras la truffe, traduit à moitié, mal équilibré, mais les combats fonctionnent très bien, l'esthétique et l'ambiance sont très réussies, il troque l'exploration contre une mise en scène bourré d'imagination, et des boss fights mémorables. Un coup d'essai pas tout à fait transformé, mais très plaisant et prometteur.

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Je me rends compte, au moment où je mets tout ça en page, que l'année a commencé par un jeu qui revient sur le passé (Retro Game Challenge), et finit par un jeu qui traite de la mort (Death's Gambit). Je trouve la symbolique très forte

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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Bon ayez fini ffxii.

Alors pour tout vous dire, je l'ai lancé histoire d'avoir fini tous mes jeux ps2 Bon visiblement le jeu est assez chiant car j'ai pas pu le passer sur mon disque dur. Pas grave j'avais acheté une pstwo au cas où ^^

Bon au final j'ai passé 155h dessus depuis cet été ,j'ai fait quasi que ca.
J'avais laché les ff à cause des combats aléatoire, la longueur des jeux, et aussi parce que ca me gavait de leveler. AU final vu que ca fait longtemps que j'en ai pas fait un, j'ai pas eu de souci à m'y remettre

Y'a pas la 3d de la ps2 était ptet moche mais y'avait un certain charme. Le style graphique est un peu le même d'un jeu à l'autre et j'ai toujours l'impression que jouer à un ff8-resident evil etc.... ^^

En plus c'est mon 1er FF où ca parle. Ca fait super bizarre au debut, mais au final y'a beaucoup moins de cinématique que d'hab, ca aussi ca fait bizarre. Surtout qu'au final l'histoire est assez courte, pas de twist, et j'ai passé les 3/4 de mon temps à faire des trucs à coté que de faire l'histoire.

D'ailleurs c'est dingue mais j'ai confondu la démo de ff13 je pense avec ce ff12. Le gameplay est un peu compliqué au début, mais un vrai regal sur la fin. Mon boss qui m'a duré 3h, bah j'ai quasi pas joué en fait. Hop on prépare des gambits, on pose la manette et zou on attend que ca passe.
C'est vraiment on bonheur de plus se faire chier à fouiller les menus pour guerir tel ou tel état. Bon après par contre c'est chiant parce qu'on peut pas aller aussi loin qu'on veut.
Mais bon en réglant bien le merdier on peu se concentrer sur le jeu.
Voir les monstres, en plus y'en a beaucoup moins, ca permet une autre approche, quand y'a combat c'est qu'on le veut.
Mais par contre je suis decu. Attaquer un monstre par derriere ne fait rien, idem si on se déplace, pas moyen d'eviter un sort. A partir du moment où on est ciblé c'est mort.
Dommage j'aurai bien aimé pouvoir faire des positions différentes de mes personnages pour entourer des ennemis.
D'ailleurs ca fait bizarre de rejouer à un ff, je suis tellement habitué au save state, que quand je meurs après m'etre fait chier pendant 1h à traverser une zone, bah ca frustre....
Heureusement maintenant les points de sauvegarde servent à se soigner, et même à se téléporter pour certains.

Le jeu est très très riche et est une sorte d'open world en fait. J'en ai même regretté de pas pouvoir définir des points d'interet histoire de pas se perdre. Parce que bon les cartes sont pas toujours super claires, et certains endroits n'en ont pas.
Ce putain de cristal est un enfer..... j'ai galéré pour m'y retrouver, même avec une carte trouvée sur le net.
Et putain ce jeu a inventé les récompenses aléatoires. Alors non seulement y'a pleins d'armes rares, mais en plus après avoir fait tout un tas de trucs pour les avoirs, bah pour certaines y'a 1 chance sur 100 de la trouver dans le coffre prévu... un vrai truc de malade mentaux. J'ai essayé au debut mais ca m'a vite saoulé. Heureusement j'ai eu de la chance et j'ai fini par trouver excalibur à l'endroit prévu (le cristal) au bout de la 3e tentative.

C'est ce que je reprocherai au jeu en fait, il est extrement riche. Y'a des tonnes de quetes annexes, je les ai pas toutes faites, mais elles sont pas clairement idéntifiée comme un open world récent. Des fois on en active sans le savoir. Et des fois on en accomplit une avant de l'avoir declenchée, et du coup quand on a le declencheur, et bah la quete est morte

Ya un chouette systeme de chasse, qui permet de chopper du bon matos et de l'xp, mais le niveau est super tendu.
D'ailleurs c'est ce que je reprocherai au jeu. La difficulté est trop fluctuante. Par moment tu vas debloquer une zone où ca va c'est jouable, mais si tu t'ecartes du chemin prévu (l'histoire ne te dis pas de passer là), tu vas te faire defoncer par le 1er monstre venu.
Car l'autre souci du jeu c'est qu'il demande enormement de pognon !
Pour des soins, pour des armes, pour des magies etc... tout se paye cash, et le pognon bah t'en a pas beaucoup sur si tu farmes comme un porc.... surtout qu'au bout d'un moment j'avais le max du matos dispo et qu'après pour avoir mieux c'est du legendaire aléatoire....

Alors oui je suis pas obligé de tout faire, je l'ai d'ailleurs pas fait, mais le jeu est trop riche et pas assez dirigiste par moment. Comme j'ai dit, pouvoir se reperer facilement, avoir un marqueur de quete etc.... ca aurait été plus simple, même pour l'epoque

Apres je pourrai en parler longtemps de ce jeu, mais dans l'ensemble j'ai bien aimé. L'histoire est plutot faible par rapport aux anciens ff, surtout j'ai du passer facile un moins entre 2 moment clé, et comme l'histoire est pas mémorable, bah j'ai zappé
Mais bon à force de faire les chasses principales, mon equipe est devenues super balaise, et du coup j'ai defoncé facilement les boss.
D'ailleurs j'en ai pas parlé mais putain ca fait plaisir d'avoir enfin leur barre de vie affichée !

Par contre au bout d'un moment tout ce qui est invocation, eons et même les magies, ca ne sert plus à rien. Tatanage à l'epée et c'est tout ce qui est efficace.
D'ailleurs c'est pareil pour les persos. Tu gagnes des points de permis pour tout le monde, mais à la moitié du jeu j'avais tout débloqué pour la moitié des persos !
Ce qui est con parce qu'au final je voulais faire des gros bourrins, mais comme j'avais plein de points, mes bourrins sont devenus des magos, et les magos des bourrins... Et comme j'avais plus d'armes bourrines dispos pour chaque catégorie de persos, bah au final tout le monde s'est retrouvé avec des haches : paladins, voleurs, magos, archer etc....
C'est dommage j'aurai vraiment aimé que les personnages continuent d'avoir leur propre classe. Quitté à avoir des classes doubles.
Le casting est moyen. On est dans un ff, du coup à part dans le 8, les heros c'est 0 charisme. Et y'a toujours l'espece de bad boy qui les supplante
Là en fait je me suis forcé à jouer avec les autres persos pour monter de niveau, mais une fois ma team monté (bash-vaan-fran) dure de jouer avec les autres....

D'ailleurs un autre truc que j'ai decouvert tardivement dans le jeu et qui m'aurait facilité la vie. Une fois tous les personnages de votre team morts, vous pouvez faire rentrer ceux qui restent. Et bah je savais pas qu'avec les persos en cours, on peut ressuciter ceux qui sont en reserve !
Idem j'avais pas trouvé comment balancer des sorts positifs au mechants et vice versa
En fait ils ont beaucoup bossé le gameplay, et y'a vraiment des tonnes d'idées dans ce ff ! Sauf que forcément y'a quelques bugs. Genre on peut pas sortir quelqu'un de la team s'il est visé ou s'il vise quelqu'un. Et des fois on sait pas pourquoi on peut pas le sortir tout court
Idem des fois en approchant trop pres d'un objet on peut plus interargir, ou alors le gambit se declenche tout seul... je compte plus le nombre de fois où je suis mort en essayant d'ouvrir une porte...

Dans le monde du jeu y'a des transports aeriens. J'ai pas compris l'interet vu qu'on peut se teleporter et que ca va plus vite. Si y'a une quete à un moment mais c'est tout....


Enfin tout ca pour vous dire que j'ai vraiment bien aimé ce jeu, cette patte ps2, ce gameplay etc.... mon fait passé un bon moment. 150h c'est beaucoup, mais plus remplit que mes 200 sur zelda où j'ai l'impression d'avoir rien fait.
Bref un bon ff, je serai presque tenter d'en rechopper un recent pour voir
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J'hésite à en faire ma signature tellement c'est beau.

En 2018 j'ai repris les jeux vidéos

Donc pour bilan perso:

SNES MINI

- Kirby : MA découverte 2018, un jeu magnifique, léché, agréable à jouer, et parfait pour introniser le jeu vidéo auprès des enfants (même mieux qu'un mario en fait).
- Yoshi Island : le second jeu auquel j'ai beaucoup joué cette année sur SNES, je le trouve toujours aussi magique.

En flop par contre je mettrai Hackchi et globalement l'émulation en 2018. Je faisais 1500 fois mieux en 2006 avec une Xbox pucée.


NES MINI

beaucoup plus un objet de collection nostalgique qu'un vrai moyen de jouer, même si j'ai eu un trip agréable en rejouant à Punch Out


PC

Gear Of War 4 : j'ai commencé ce jeu à sa sortie, et je dois être à peu près aux 2/3. Je ne sais pas si c'est le type de jeu qui a vieilli ou l'éxécution qui est faiblarde, mais j'accroche moyen

Légo World : le jeu qui a le plus tourné sur mon PC en 2018. Mes enfants en sont fous, et le monde ouvert est vraiment bien fichu. Ma fille se ballade en licorne en étant déguisée en princesse, et mon fils creuse des grottes qui sont toujours là à la partie suivante. Un must have

Lego, le reveil de la force : Un SUPER jeu star wars, impressionnant, rigolo, fin

Sonic Mania : un trip rétro correct, que j'ai d'ailleurs racheté sur switch


XBOX360

Burnout revenge : depuis hier je suis à nouveau dans un trip agréable avec ce jeu, et c'est toujours aussi fendart, j'ai même créé un topic


SWITCH

- Mario Kart, le premier mario kart auquel je joue sérieusement depuis la version snes. J'avoue être un peu perturbé. Autant les versions DS avaient un feeling très SNES, autant celui là a de prime abord un feeling différent, où ce n'est plus un jeu de pilotage avec des carapaces, mais un shoot ou on peut piloter. Avis à affiner néanmoins

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Tu as fait ma journée!
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Le Blog de Batbad - Simbabbad sur Steam - Compte Twitter

J'ai peut-être oublié quelques jeux que j'ai faits cette année, mais je vais quand même faire un petit classement personnel des jeux que j'ai préférés.

1 : Hollow Knight. Lui c'est clairement mon jeu de l'année. Le meilleur Metroidvania de tous les temps. Un contenu incroyable, une DA magnifique, un super level-design, un gameplay excellent avec de très bons boss, un bon background, bonnes musiques. Un chef-d'oeuvre.

2 : The Messenger. Une énorme surprise pour moi. Deux jeux en un, la première partie étant un Shinobi/Ninja Gaiden classique (en plus facile), et la seconde... je n'en dis pas plus car ce serait vraiment gâcher la surprise, mais elle fonctionne très bien. Le jeu tire aussi son épingle du jeu pour son scénario assez malin, de très bons dialogues (le marchand est ultime ! ). En tout cas, le gameplay est génial, là aussi le jeu est assez généreux dans son contenu.

3 : Xenoblade 2 Torna : la préquelle du fantastique Xenoblade 2. C'est un plaisir de retrouver la plupart des personnages du jeu de base, mais approfondis, d'en savoir plus sur ce qui s'est passé avant. Le système de combat un peu revu fonctionne du tonnerre. Bref, les Xenoblade, c'est LA série de RPG majeure de ces dix dernières années.

4 : Monster Boy and the Cursed Kingdom : un super jeu, digne de la série Monster World. Plein de références aux anciens épisodes bien sûr, on a à la fois le côté aventure du III et les transformations de Dragon's Trap, pour une aventure de longue haleine, plein de secrets à découvrir, très beau jeu. J'ai adoré.

5 : Octopath Traveler : un très bon RPG avec un bon système de combat au tour par tour, une grande maturité dans ses personnages et son écriture, d'excellentes musiques, une superbe DA Pixel Art en hommage aux RPG 16 bits, une bonne durée de vie également.

6 : Gris : un magnifique jeu, dans la même veine que Journey, mais en 2D. L'un des plus beaux jeux 2D jamais créés. L'expérience est courte, mais très prenante, grisante, onirique, avec des petites énigmes plus intelligentes que ce qu'on pense au départ et qui font évoluer le gameplay et la jouabilité. Et puis il y a toute une petite histoire cachée à découvrir sur l'héroïne.

7 : The End is Nigh : un excellent jeu de plate-forme/puzzle bien hardcore. Très bon gameplay, bon level-design, un peu d'exploration, chouette DA, bons remixes de musiques classiques. Je crois que je l'ai préféré à Super Meat Boy.

8 : Celeste : encore un très bon jeu de plate-forme/puzzle bien hardcore, avec un bon level-design, un scénario intéressant tournant autour de la dépression de l'héroïne. Juste le post-jeu qui m'a un peu saoulé.

9 : A Hat in Time : un sympathique jeu de plate-forme/3D de la même veine que ce qu'on pouvait trouver sur N64. Il manque quand même un peu d'originalité, il est assez inégal dans ses chapitres. Je lui ai préféré Yooka-Laylee (même si lui aussi a ses problèmes). Le monde en DLC est sympa quand même.

Je mets aussi les remasters de Shenmue 1 et 2, mais comme il s'agit de jeux que j'avais déjà faits, je ne les mets pas dans mon "top découverte". En tout cas, j'ai adoré rejouer à ces deux jeux cultes, et en français cette fois ! Ils n'ont rien perdu de leur intérêt.

Mes déceptions :

1 : Megaman 11 : Complètement naze, une insulte aux fans et à la série. Très moche, musiques insipides, level-design inintéressant. Juste un ou deux boss sympas, mais c'est tout.

2 : Red Dead Redemption 2 : je reconnais le soin incroyable apporté aux décors, plein de détails assez fous. Le scénario est sympathique, mais pas non plus transcendant. Mais sinon, le gameplay m'a vraiment saoulé, c'est trop désagréable à jouer.

3 : Kirby Star Allies : je trouve que c'est le Kirby de trop dans la série classique, après un très bon Planet Robobot. Heureusement, la nouvelle arène ultime est géniale, ça fait un peu passer la pilule. Mais maintenant, il serait temps qu'ils changent la formule des Kirby classiques.

4 : Dead Cells : un jeu qui aurait pu être excellent, mais j'en suis ressorti avec la désagréable impression de jouer à une "démo" ou une "version beta", comme si le jeu était "inachevé". J'aurais préféré qu'il ne soit pas un Rogue-like

Comme a peu près tout ce que je dis en fait

Ca m'a rapelle shenmue et windwalker par moment, tu laisses le truc rouler et tu fais autre chose en meme temps
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Ayant fini assez peu de jeux cette année, j’agrandis un peu ma liste avec des titres non-terminés à ce jour, mais que j’ai suffisamment pratiqués.

Uncharted : The Lost Legacy (PS4 / Naughty Dog / 2017) – Terminé

Un épisode dans le prolongement du précédent, mais en plus ramassé, plus dense, mieux rythmé, et qui confirme le mouvement global opéré par la série depuis ses origines. Cette fois, ça y est : le joueur est devenu un vrai touriste. Du moins jusqu’à la mémorable séquence de fin, qui offre un impeccable medley de tout ce qu’UC propose de meilleur niveau action pure et dure. J’ai aussi beaucoup apprécié la longue quête optionnelle accessible vers le milieu du jeu, qui plus est dans un cadre inhabituellement ouvert. Voilà un registre dans lequel la série a un énorme potentiel. Je sais ND bien trop intelligents pour se contenter de céder aux sirènes de l’open world. Cette piste, je suis sûr qu’ils peuvent en faire autre chose. En attendant, j’aimerais beaucoup un autre épisode au même format, le moteur d’UC4 étant encore loin d’être amorti.

Lifeless Planet (PS4 / Serenity Forge / 2014, 2016) – Terminé

Le postulat de départ m’était séduisant : un mélange de plate-forme et d’aventure, avec une narration introduite au compte-goutte, un cadre intéressant (une terre martienne anciennement colonisée par les Soviétiques), une physique reposante et un certain sens de l’épure. Malheureusement, le jeu est loin de tenir toutes ses promesses. Et surtout, c’est un jeu fauché : les bugs sont nombreux, les puzzles cheap, le LD devient illisible au pire moment, l’histoire retient ses mystères pour finalement nous laisser en plan. Finalement, il ne valait au mieux qu’une moitié des 8-10 heures que j’ai passées dessus. Avec plus de moyens et de vision, il était tout de même possible d'en faire quelque chose de plus mémorable.

Lumo (PS4 / Triple Eh ? / 2016) – Un peu pratiqué

Je l’aurais sans doute terminé si ma version n’entraînait pas un freeze systématique, dans une épreuve de labyrinthe inspirée de Pac-Man. Rien de bien nouveau à dire par rapport à ce que j’ai pu lire sur le forum : c’est très sympa même si ce n’est pas de la « vraie » action / aventure iso façon micros 8-bits européens. Surtout parce qu’il y a finalement peu d’exploration. La progression est globalement linéaire, on ne revient qu’occasionnellement sur ses pas, et seulement d’une façon prévue par le LD. Mais les puzzles sont plaisants, très variés, plein de clins d’œil aussi malicieux que gratuits. Tout comme les mini-épreuves optionnelles. J’ai aussi apprécié l’esthétique, ainsi que la bande son électro, plutôt classe et très relaxante. J’y reviendrai probablement, cette fois sur une version qui fonctionne correctement.

Xain’d Sleena (arcade / Technos / 1986) – Un peu pratiqué, notamment via un HIGH SCORE sur GP

Un des pionniers du run’n gun, témoin d’une époque où l’arcade commence à avoir les moyens de valoriser l’expérience de jeu « par les assets », à la faveur de hardware suffisamment performants. Pas totalement, d’ailleurs : le jeu crache régulièrement ses tripes (en tout cas sous MAME, mais ça doit sûrement être pareil en original). Je reste très impressionné par la façon dont Xain’d Sleena tient à personnaliser chacun de ses niveaux, à y mettre tout plein d’éléments uniques. J’ai désormais assez de recul pour constater qu’en 1986, à peu près aucun titre arcade n’était capable d’un tel renouvellement. Après, je ne suis pas sûr qu’il faille vraiment rechercher le 1cc. Son ranking mesquin et ses passages totalement injustes / aléatoires risqueraient à terme de me rendre le jeu détestable, alors qu’il m’est pour l’instant si attachant.

Rise of the Tomb Raider (PS4 / Crystal Dinamics / 2016) – Terminé

Sur le moment, je fus scotché par mon run : c’est le TR2013 en plus long et en plus développé, avec bien plus de choses à faire entre les missions principales, de l’explo nettement plus intéressante, des tombeaux bien plus travaillés et mémorables. Une fois l’enthousiasme du moment retombé, j’ai commencé à en voir les aspects moins positifs : les gunfights sont moins ouverts, il y a toujours une bonne partie d’esbroufe et vacuité dans la couche RPG, et même si les derniers chapitres comportent leur lot de séquences sympas, il y a quand même pas mal de copier / coller avec la fin du 2013. Reste que je regrette pas du tout mes 20 heures passées sur cet épisode, et je ferai probablement le dernier volet en date. Crystal Dinamics a quand même sacrément progressé depuis Legends.

Shadow of the Colossus (PS4 / Blue Points Games / 2018) – Terminé

Celui-là je l’attendais pas du tout, et comme à peu près tout le monde je me demandais quel était l’intérêt d’un tel remake après l’impeccable remaster de 2011. En fin de compte, j’ai pris ma plus grande claque de 2018, mais pour des raisons très personnelles : j’ai vu dans l’esthétique de cet overworld un prototype de celui qu’il y aurait dans mon jeu vidéo idéal (qui ne pourra jamais être autre chose qu’un Zelda-like). J’ai ainsi complété un run dans lequel j’ai passé 90% du temps, soit bien 10-12 heures, à seulement me promener et à regarder autour de moi, oubliant presque complètement les combats contre les colosses (dont le relifting, étrangement, a beaucoup moins retenu mon attention). Si un jour on avait un titre comme BotW, avec la même possibilité d’aller absolument partout (j’aurais donné n’importe quoi pour pouvoir explorer toutes ces cascades et ces rivières en contrebas, qui donnent de somptueux vistas mais qui resteront à jamais inaccessibles) ET avec une technique et un cadre comme ceux-là, je m’en remettrais jamais.

Red Dead Redemption (Xbox 360 / Rockstar Games San Diego / 2010) – Un peu pratiqué

Une petite heure de jeu il y a quelques années m’avait laissé une très forte impression. J’ai décidé de m’y mettre en 2018, l’arrivée du second volet me procurant une motivation supplémentaire. Et après 5-6 heures de jeu, je dois dire que j’étais très loin de m’attendre à une telle douche froide. Comme si mon esprit avait malgré moi décidé de se fixer exclusivement sur le négatif : les mécaniques de cover qui déconnent à plein régime, les gunfights qui font le grand écart (pénibles à cheval, sans intérêt avec le deadeye), la physique bancale lorsqu’on se déplace à pied hors des ville (OK, on est censé être à cheval, là c’est ma faute), le mission design tellement convenu et prévisible, comme si Rockstar n’avait déjà plus rien à me dire dans ce domaine après GTAV et Bully. Mais le pire, c’est ce cynisme à deux balles présent dans quasiment chaque ligne de dialogue, qui passait dans GTA mais que je ne supporte plus ici. Je sais qu’il y a forcément du bon dans ce titre, que je serais parvenu à entrer dans le jeu si j’avais continué, que le meilleur est sûrement plus loin dans le run, mais aujourd’hui je me demande tout de même si ça vaut vraiment le coup d’insister, ayant tellement d’autres titres à faire avant celui-là.

The Order : 1886 (PS4 / Ready at Dawn Studio / SCE Santa Monica / 2015) – Terminé

Je voulais une variante d’UC, un titre au même format. Dans l’ensemble, j’en conserverai un bon souvenir : le cadre, l’ambiance et l’esthétique sont réussis, et font même oublier que les auteurs ont bouffé à tous les râteliers niveau inspiration, certains PNJ sont vraiment attachants, l’histoire se suit avec intérêt et sa façon de prendre très au sérieux le thème de la loyauté m’a agréablement surpris. On en aurait presque oublié qu’il est encore possible de proposer un univers sombre, dur, déprimant ET porteur de quelques valeurs. The Order aurait le potentiel pour devenir une bonne série (hypothèse purement théorique, dans les faits ça semble assez mal barré), mais il y aurait encore du boulot pour lui donner une vraie consistance : j'ai tout juste toléré les gunfights, et l’utilisation des QTE, en particulier lors des quelques phases d’infiltration, a quelque chose de profondément régressif, comme si les concepteurs avaient soudainement oublié la façon dont le medium a évolué ces 15 dernières années.

Jamestown + (PS4 / Final Form Games / 2015) – Un peu pratiqué

Jamestown prouve que, comme les autres « écoles » de shoot’em up, le manic peut lui aussi proposer une difficulté clémente (en tout cas au départ) et une expérience aussi motivante qu’accrocheuse. En fait, j’avais déjà trouvé 2-3 doujins qui faisaient la même démonstration, mais ça n’était « que » des doujins. Avec Jamestown, on a en plus une grosse production value, du très joli pixel art, des bonnes musiques et une ambiance très réussie. La mécanique de progression est très ouverte, peut-être même un peu trop pour habitué du genre comme moi. On peut refaire chacun des niveaux dans l’ordre que l’on veut, en augmentant leur difficulté à son propre rythme. On délocke peu à peu des équipements, des niveaux supplémentaires. Cela donne une expérience globale un peu dispersée à mon goût, mais c’est quand même très bon. A recommander à tout ceux à qui Cave ou Raizing ont donné des complexes pendant des années.

Kid Icarus : Uprising (3DS / Project Sora / 2012) – Beaucoup pratiqué, pas encore terminé

J’y ai bien passé une quinzaine d’heures (bloqué à un boss apparemment corsé). Pour un mélange de rail shooter et de TPS au format portable, ça aurait dû être suffisant pour en voir la fin. Mais Uprising est ambitieux, au point de faire défiler à mi-parcours un « faux » générique de fin. Il y a des choses brillantes : l’ambiance, le cadre et le background, qui seraient largement assez riches et intéressants pour que Nintendo fasse de Kid Icarus une licence de premier plan, de très bonnes phases de rail shooter qui n’ont rien à envier au meilleur de Panzer Dragoon ou de Starfox, un système de jeu élaboré, des boss fights à skills, très dynamiques, un principe de risk / reward plutôt bien vu… Je suis plus réservé sur les phases de TPS, parfois répétitives et inutilement longues comparées à celles de rail shooter, qui font du coup office de simple introduction aux niveaux. Comme beaucoup, j’ai aussi trouvé la maniabilité à pied un peu problématique, surtout pour faire pivoter le perso (aucun problème pendant le rail shooter). Globalement, Kid Icarus Uprising est quand même un titre plein de bonnes intentions, qui mériterait une meilleure place dans l’œuvre de Nintendo ainsi qu’une version remaster sur Switch, avec des contrôles utilisant efficacement les Joycons.

The Dragon’s Trap (Switch / Lizardcube / 2017) – Terminé

En tant que fan de la série, je n’étais pas forcément enthousiaste à l’idée d’un remake. Après tout, l’original se suffit à lui-même, son ambiance et son esthétique sont si attachantes qu’elles n’ont pas en soi besoin d’être « upgradées ». Mais Lizardcube a fait preuve d’un tel talent et d’une telle application qu’il est difficile de résister à un tel relooking, qui plus est respectueux de l’original au point de superposer les deux versions. Sans le vouloir, la démarche des développeurs m’a « rapetissé » The Dragon’s Trap : le travail graphique et sonore est si minutieux qu’il jure avec la taille aujourd’hui très réduite du jeu. Cette production value est celle d’un Metroidvania actuel, beaucoup plus ample et complexe, pas d’un titre âgé de 30 ans. Mais cette réflexion, jamais je ne me la serais faite en jouant à l’original. En tout cas, j’espère qu’on verra d’autres remakes de ce calibre. Il y a encore tellement à faire dans ce registre.

Maldita Castilla EX (PS4 / Locomalito / 2016) – Un peu pratiqué

Lors de ma dernière session, je me suis contenté de le credit feeder afin de voir les niveaux supplémentaires. Il ne semble pas y avoir de changement fondamental par rapport à la version originale, mais comme sidescroller arcade « by the book », c’est toujours aussi excellent. Et je suis pas sûr que beaucoup de dèvs indés seraient capables d’émuler aussi fidèlement les codes du genre. J’imagine qu’il faut énormément de travail « invisible » pour faire en sorte que chaque portion de chaque niveau devienne familier au joueur, à la fois pour qu’il en mémorise les difficultés, qu’il apprenne les bons patterns et les bons timing, et aussi pour qu’il s’attache à l’univers, qu’il en garde quelque chose. Dans un titre que l’on recommence du début à chaque fois, un seul niveau oubliable et terne peut très vite devenir une corvée. Comme une chanson qui doit savoir rester agréable à l’oreille après 200 écoutes, ça doit pas être facile à composer.

Super Hydorah (PS4 / Locomalito / 2018) – Pas mal pratiqué

Locomalito n’aurait pas pu mettre à jour l’original d’une meilleure façon : le jeu à deux, la difficulté un peu plus clémente (avant tout grâce au bouclier bien plus fréquent) mais qui garde intacte la même pression efficace, une progression bien plus harmonieuse, les 2-3 baisses de rythme étant remplacées par des phases bien plus intéressantes (le boss roulant…) et le seul pique de difficulté absurde (la fosse aux murènes) devenant nettement plus abordable, un système de score et de rank qui récompensent le jeu en un seul continu... Je l’ai pas encore terminé pourtant, le boss à la fin du niveau « No mercy » me posant le même problème que dans la version originale. Un des meilleurs horis « late 80s / early 90s », même s’il est sorti 30 ans plus tard.

Pulstar (Switch / Aicom / 1995, 2017) – Un peu pratiqué

Ca me fait mal de dire ça, mais ce jeu a quelque chose mal fichu. Les deux premiers niveaux sont corsés, mais avec une bonne dose de mémorisation, on s’habitue aux checkpoints espacés et on progresse … jusqu’à ce qu’on arrive au deuxième boss. Je joue à Pulstar depuis la fin des années 90, et je n’ai pas une seule fois réussi à franchir ce pique de difficulté complètement aberrant. La deuxième transformation de cette tortue géante est à s’arracher les cheveux. C’est dur à dire, car pour le reste, ce titre a vraiment tout pour me plaire. C’est un clone de R-Type avec du pre-render très fouillé (je sais que le style est loin de faire l’unanimité, perso j’aime plutôt bien), une très bonne ambiance d’anime SF, d’excellentes musiques, des niveaux bien développés et un très bel effort de variété interne. J’ai profité de sa disponibilité sur Switch pour pouvoir le pratiquer plus régulièrement et enfin en profiter. Pour le moment, ça n’a pas vraiment marché. Rien à dire par contre sur le port lui-même, c’est du très bon boulot et ça me fera sûrement acheter d’autres titres Neo Geo sur le même support.

Enslaved (Xbox 360 / Ninja Theory / 2010) – Terminé

Un essai d’une demi-heure il y a quelques années m’avait bien plu. J’ai profité de mes congés d’été pour le faire en entier. Il faut se rendre à l’évidence : ça a pas mal vieilli, plus que je m’y attendais, que ce soit au niveau des caméras, du frame rate, des bugs divers ou du manque de « fluidité » des contrôles (ça reste tout de même jouable, et très assisté lors des phases d’escalade). Le jeu fait par ailleurs de bonnes propositions et se laisse terminer, d’autant qu’il n’est pas très long. Les mécaniques de co-op et d’escorte fonctionnent bien, le gameplay trouve un équilibre assez unique entre beat’em all (très accessible) et cover shooter. Le monde post-apo végétal est agréable, et ses couleurs tranchent avec le gris / marron qu’on voit habituellement dans le même registre. La grande machine de guerre finale est impressionnante. Par contre, le jeu se finit de façon assez abrupte. Je sais pas quel souvenir il laisse aux connaisseurs de la 360, mais il a quand même fait acheter Hellblade, du même développeur, que j’ai d’ailleurs pas encore essayé.

Ninja Emaki (arcade / Nichibutsu / 1986) – Un peu pratiqué

Mon hidden gem de l’année, découvert lors d’une exploration complète de l’année 1986 en arcade. Je ne suis pas le seul à l’avoir remarqué d’ailleurs, HCG101 lui ayant consacré un article complet il y a pas très longtemps. Il s’agit d’un shoot’em up pédestre se déroulant dans un Japon médiéval fantastique. Ca se joue assez différemment des Nichibutsu plus connus et c’est vraiment bien. Le game feel rend chaque seconde de jeu accrocheuse, les armes sont riches et efficaces, à plus forte raison pour un titre de 86, les niveaux très variés (avec des phases de shoot pur), et l’ambiance et l’esthétique nous éloignent des séries japonaises kitch des années 70-80, dont Nichibutsu s’inspirait très souvent. Pour un titre arcade, la difficulté est raisonnable malgré 2-3 piques très soudains lors de mes dernières parties. En fait, Ninja Emaki est probablement l’un des meilleurs shoots pédestres de son époque. Il fait malheureusement partie de ces nombreux bons titres d’arcade à jamais condamné à l’oubli car convertis nulle part.

Ikaruga (Switch / Treasure / 2001, 2018) – Un peu pratiqué

Je fus très content de retrouver Ikaruga, n’ayant pas de Dreamcast chez moi actuellement, mais je crois qu’au début des années 2000, la hype démesurée dont il faisait l’objet m’empêchait de réaliser à quel point ce titre m'était exotique. Aujourd’hui, je n’arrive même plus à le voir comme un « vrai » shoot’em up, ce qui bien entendu n’enlève rien à ces innombrables qualités. Je le lance de temps à autre, mais j'ai toujours beaucoup de mal à trouver un bon équilibre entre la pratique « en dilettante », en jouant seulement la survie et en essayant seulement d’aller le plus loin possible en un crédit, et la pratique sérieuse, où l’on cherche à optimiser chaque vague d’ennemis pour continuer ses chains. Là encore, port de très bonne qualité, avec même un mode TATE. J’espère la même chose avec Radiant un jour.

Monster Boy and the Kingdom Curse (Switch / Atelier Games / 2018) – Run en cours

D’après le jeu, j’en suis à 50% de complétude. Je développerai bientôt sur le thread dédié, mais en attendant je peux poster un premier avis. C’est à peu près tout ce qu’un fan de la série pouvait attendre. Pourtant, je trouve l’ambiance et l’esthétique en sont finalement assez éloignées, tout en conservant énormément de charme. Pour tout le reste, les développeurs ont fait honneur à la série, et en ont même amélioré pas mal d’aspects : la maniabilité, les puzzles, la revisite des zones déjà connues, les boss fights, la richesse générale du jeu… Objectivement, c’est de loin le meilleur Monster World. Je ne sais pas ce que vaut Monster Boy par rapport aux meilleurs Metroidvania indés sortis ces dernières années, j’ai encore un gros retard à rattraper dans ce domaine, mais ce qui est sûr c’est que Game Atelier ne s’est pas tourné les pouces ces 5 dernières années.

Je termine avec les deux titres que j’ai le plus pratiqués cette année, et de loin : BotW et DS Remaster sont de véritables gouffres qui ont trusté une grosse partie de mon temps de jeu, et ils sont bien partis pour garder la même place en 2019.

Breath of the Wild (Switch / Nintendo / 2017) – Deuxième run en cours

Même si BotW est tout de suite devenu pour moi un titre majeur, j’avais terminé mon premier avec l’impression de ne pas vraiment avoir compris le jeu. Je me suis donc lancé dans un second run complétiste, avec l’espoir de m’accorder pleinement avec les intentions des développeurs. Et j’y suis parvenu. J’arrive enfin à apprécier BotW uniquement pour ses propositions. Après 250 heures de jeu, je n'en ai même pas marre, et je compte bien trouver les plus de 300 korok nuts toujours dans la nature. A présent, je vois avant tout cet épisde comme une étape nécessaire dans l’évolution de la série. Je sais bien qu’il y a tout plein de choses géniales que Zelda faisaient avant et ne fait plus ici, mais de mon point de vue ça n’est pas du tout un problème. Ce qui compte, c’est ce qui est construit par Nintendo au fil des épisodes. BotW est une étude, une batterie de tests par lesquels Zelda devait absolument passer. A présent, la série a enfin l’ampleur qu’elle méritait d’avoir, et un moteur physique digne des meilleurs immersive sims. Ce sont deux fondations et deux savoir faire qui devaient absolument être maîtrisés et à partir desquels les concepteurs vont maintenant pouvoir réaliser de très grandes choses, du moins si vraiment ils en ont la volonté. Et même si ça se fait pas - historiquement, Nintendo n’a pas toujours bien assumé ses chefs-d’œuvre- ça n’est pas si grave à partir du moment où d’autres développeurs utiliseront ces mêmes fondations pour perpétuer l’idée Zelda.

Dark Souls Remasters (PS4 / From Software / 2018) – Run en cours

Mon commentaire initial était trop long pour un bilan, je vais plutôt le copier et le développer dans le thread dédié. Pour résumer : je dois probablement être encore assez loin de la fin, je sais que je vais continuer à en baver, surtout que je me refuse toujours à consulter la moindre soluce ou le moindre faq, je sais que j’en ai encore pour des mois au minimum et que ce run interminable va continuer à prendre la place d’autres titres que j’aimerais aussi terminer, mais globalement j’adore ce jeu, je suis déjà convaincu qu’il me laissera énormément de choses, le flow des combats ne me lassera jamais et la perspective d’avoir encore 3 autres titres de la même série qui m’attendent après celui-là, plus Bloodborne, me procure un délicieux vertige. Vivement la sortie de la trilogie, en espérant qu’ils upgradent au moins le deuxième épisode en 60fps.

2018 pour moi, c’est aussi deux découvertes importantes dont je devais absolument parler :

Le Rasperry Pi : La plate-forme d’émulation « de salon » quasiment idéale. Tout ce qui me manquait sur mon ancienne plate-forme, une Wii hackée, est possible ici, avec un choix de supports, de titres, de périphériques, d’options et de filtres graphiques infiniment supérieur. A présent, à peu près tous les anciens titres qui comptent pour moi sont accessibles de la même façon que le current gen. J’aime beaucoup cette idée de pouvoir vivre tout le jeu vidéo de la même façon, quelque soit la génération d’où il provient.

Silence, on joue ! : En bon carabinier d’Offenbach, j’ai découvert cette émission seulement cette année alors qu’elle va sur ses 12 ans (même si j’en avais déjà entendu parler plusieurs fois). Ca faisait longtemps que je cherchais un podcast dédié qui me correspond vraiment. L’émission d’Erwan Cario remplit à merveille cette fonction, et j’écoute chaque numéro avec la même assiduité que certains programmes de Radio France. La qualité des émissions vient essentiellement des chroniqueurs, tous très bons : ils ne semblent experts dans aucun genre ou domaine en particulier et ne cherchent pas à faire semblant de l’être, mais on peut être sûr qu’après chaque critique, on aura cerné assez le jeu pour savoir si cela vaut le coup de se pencher dessus. Et même si on fait l’impasse (ce qui est souvent mon cas), faute de motivation ou d’intérêt pour le genre ou le thème concerné, on est satisfait d’avoir entendu les intervenants en parler, et on en retiendra quelque chose.

Le plus remarquable, c’est qu’on trouve dans ces échanges la richesse et la profondeur de point de vue, le rythme aussi, mais sans le côté branchouille / « je comprends tout mieux que le monde et j’ai raison » qui malheureusement va souvent avec. Le plus souvent, tout est si pertinent qu'on a spontanément envie de donner la réplique à Erwan Cario, Patrick Helio ou Corentin Benoit-Gonin, pour ne citer que les plus réguliers. Il y a forcément des choix éditoriaux, des affinités, mais d’une façon générale les participants sont des joueurs curieux et enthousiastes, et l’émission couvre un large panel de genres, avec un très bon équilibre entre le AAA et l’indé. Bref, longue vie à cette endurante et excellente émission, qui fait à présent partie de mon quotidien et que je regrette seulement de ne pas avoir connue plus tôt. A présent que j’ai pris mes habitudes, j’espère seulement qu’Erwan Cario ne décidera pas du jour au lendemain de passer à autre chose (il en aurait le droit, après 12 ans de service).

Lyle, merci pour ce post plein de passion.

merci aussi d'admettre qu'Ikaruga était overhypé
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Bon, nous sommes le 31 et il est temps de faire le bilan de l'année 2018, qui a été riche en jeu, surtout rétro :

Nouveau :

Farcry 5 : Puisque Dan a fait ses adieux à la chaine Extra Credits (ou presque), j'ai du chercher un autre influenceur que j'ai trouvé en la personne de BohicaIce (et qui a le mérite de faire des vidéos drôles). Et puisque ce dernier a l'habitude de faire les Farcry (plus pour les innombrables bugs que regorge surtout le multijoueur) ... bah je me suis mis moi aussi.

Farcry 5 a eu des retours mitigés, voire négatifs, principalement parce que c'est une redite des précédents. Mais évidemment comme c'est mon premier Farcry ... Le début de la partie fut très bonne : le jeu propose un monde ouvert des plus convainquant avec une bonne partie exploration et surtout les caches de survivalistes qui offrent les meilleurs moments du jeu. Et aussi, les gunfights sont très convaincants.

Malheureusement, le jeu m'a vite saoulé en grande partie à cause du nombre effréné de rencontres aléatoires : c'est juste débile ! On est sans cesse harcelé soit par des ennemis, soit des animaux. Ça vire à l'Assassain's Creed Unity à ce niveau parce que non seulement on a pas un moment de répit mais ça rend le jeu vraiment artificiel et on épuise les munitions pour rien. En plus, une grande partie du jeu est redondante et je vous parle pas des passages forcés dès qu'on a mis un peu le bazar où on se fait obligatoirement capturer.

Donc ouais, mon expérience de Farcry 5 a été mitigé et je me suis vite lassé du jeu. dommage parce que certains points étaient sympas. Mais bon, c'est un jeu Ubisoft ...

Deep Rock Galactic : Autre découverte de BohicaIce (je n'ai pas choisi le terme d'influenceur pour rien), Deep Rock Galactic est un jeu d'exploration dans lequel vous crapahutez sous terre à la recherche de minerais pour qui sont soit votre objectif, soit vous aident à vous approvisionner, soit vous sera indispensable pour améliorer votre équipement.

La particularité de ce jeu est que les mineurs chargés de cette missions sont ... des nains, avec tous les clichés qui les accompagnent : barbus, alcooliques, bagarreurs, bourrins ... Sauf que ça n'est pas typé heroic fantasy mais sci-fi avec des minicanons, des fusils d'assauts, grenades et tout le toutim. Bizarrement, ce point détail fait que ça devient moins générique ... surtout que des nains, ça sera pas de trop pour le danger que aurez à faire face : des hordes insectoïdes qui veulent votre peau et des dangers venant d'en bas comme d'en haut.

Le jeu est très plaisant à jouer : le minage comme les gunfights sont sympas. Malgré que les niveaux sont procéduraux, ils sont variés, agréables à parcourir et avec septs mondes différents avec ses propres dangers mais aussi ses propres récompenses. Le jeu est taillé pour le multi en coop, vu que les nains sont organisés en classes avec points forts et faibles mais le jeu solo est possible avec un drone qui vous sera un précieux allié.

Bref, un très bon jeu que je vous recommande, surtout si vous avez des amis.

The Forest : Encore un jeu soufflé par Bohica, cette fois-ci sur sa chaine twitch. The Forest est survival avec une bonne touche d'horreur. Vous êtes un survivaliste qui était en voyage en avion quand celui-ci est mystérieusement abattu. Vous et votre fils sont les seuls survivants du crash ... sauf que ce dernier est kidnappé sous vos yeux par un mystérieux homme rouge.

Une grande partie du jeu consistera à du crafting voire à la construction de structures et même votre propre maison personnalisé afin de pouvoir survivre dans ce monde hostile. Car il y a des cannibales qui rodent ici et ils ne sont pas très pacifiques. Il vous faudra construite un abri pour vous réchauffer et ne pas mourir de froid mais aussi vous nourrir et boire.

Le jeu a l'air sympa et complet mais je suis vite passé à autre chose en effleurant son contenu. Faudrait que j'explore un peu plus le jeu.

Subnautica : Décidément, Bo fait grossir ma liste de jeux ! Subnautica est aussi un survival mais cette fois-ci se déroulant sur une planète quasi-océanique. Le but est aussi le même que dans The Forest : vous êtes le seul survivant d'un crash d'un transporteur galactique et il vous faudra récupérer tout un tas d'éléments pour survire afin de ne pas mourir de faim ... ni de soif (ah le bon vieux paradoxe du marin).

Subnautica est incroyablement beau et nous immerge clairement dans une plongé des profondeurs très prenante. Il faut dire que le jeu est conçu pour de la VR. La map est très grande, surtout qu'elle est construite en hauteur ... euh, profondeur et regorge de gorges à explorer.

Mais encore une fois de plus, je suis passé à autre chose. Mais c'est clairement l'étoffe d'un bon jeu si vous avez le besoin de vous dépayser et que vous avez un casque VR.

Retro :

The Hybrid Front : L'année dernière, j'ai participé à un concours de SEGA-Mag avec un lot à gagner en trouvant des musiques de jeux SEGA ... et je l'ai remporté ! Mais pour cela, j'ai du télécharger la quasi totalité de la ludothèque Megadrive. Et puisque j'avais une bonne partie des Roms, je me suis mis à explorer certains dont ce jeu dont je n'ai pas arrêté d'entendre les musiques dans des hacks Sonic.

Hybrid Front est un jeu de de stratégie tour par tour dont le but est d'accomplir un objectif : capturer une position ou détruire tous les ennemis. Le jeu est assez classique puisque vous selectionnez où vont vos unités et qui elles attaquent. Il y a trois camps qui peuvent avoir deux groupes de la même couleur ... parfois pas toujours alliés.

Le jeu est juste excellant à jouer : non seulement, ses mécaniques de wargame sont très solides mais le jeu propose des unités variés pour des stratégies de jeu qui le sont tout autant. En plus, le jeu est assez beau pour un wargame avec ses scènes de combat très dynamiques et surtout la musique ! (En même temps, c'est du Naofumi Hataya).

Bref, c'est clairement l'un des meilleurs jeux que j'ai joué cette année. Et pourtant ... le jeu n'a pas franchi les frontières de l'archipel et est entièrement en japonais (même pour sa resortie sur la Virtual Console). Mais c'est clairement un qui mérite une localisation occidentale.

Advanced Daisenryaku : Joué après Hybrid Front alors que ce dernier est clairement basé sur son moteur, Advanced Daisenryaku fait partie de la série des Daisenryaku, qui est totalement inconnu est occident (mis à part quelques épisodes ça et là qui ont atteint nos contrés (ou plutôt celles d'Oncle Sam)). Et pourtant, la série est assez monstrueuse au japon puisqu'elle est à l'origine de Nintendo Wars et Nectaris (et donc de Battle Isle par riccochet). Évidemment, avec les deux principaux concurrents qui ont leur propre wargame, pas étonnant que SEGA ait conclu un accord avec System Soft (auteur des Daisenryaku) pour faire un épisode inédit sur Megadrive.

Advanced Daisenryaku est donc un wargame et autant dire toute de suite : c'est littéralement Panzer Generals version nippono-megadrive ! En effet, vous incarnez les forces allemandes lors de la seconde guerre mondiale dans différents scénarios clairement inspirés de batailles très célèbres de la seconde guerre mondiale. Le truc qui frappe est clairement la représentation des unités : c'est ahurissant : le jeu dispose d'unités qui seront obscur même à un amateur de la seconde guerre mondiale. J'ai cru comprendre que le designer des unités a carrément acheté des maquettes et les a monté pour pouvoir les mettre en jeu.

Le jeu est quelque peu austère graphiquement et il vaut être un connaisseur de la seconde guerre mondiale pour savoir utiliser certaines unités mais Advanced Daisenryaku est un excellent wargame ... surtout qu'il a été traduit par un certain Nebelwurfer ... hum ...

Super Daisenryaku : Bien avant de faire Advanced Daisenryaku, SEGA avait obtenu les droits pour porter le second épisode de la série sur Megadrive. Le jeu est finalement sorti en 1989, ce qui en fait l'un des premiers jeux de la machine. Encore une fois de plus, c'est après avoir fait Advanced Daisenryaku que je me suis panché sur cet épisode.

Et bien, c'est similaire au deux autres, mis à part que les unités sont modernes (pour 1988) et que je n'ai pas du tout compris comment on fait pour réparer les unités. Sinon, ça reste sympa pour les curieux. Ah, évitez d'acheter le jeu et de lancer sur votre Megadrive : il n'est pas zoné mais ça ne marchera pas à cause d'un truc.

IL2 Battle of Stalingrad : J'avais oublié dans le bilan de 2017 mais j'avais testé Rise of Flight, une simulation de combat aérien se passant durant la première guerre mondiale, dont on dit du bien. Et en effet, Rise of Flight est un excellent SCA, digne descendant de Red Baron et Flying Corps. En revanche, le jeu dispose d'un modèle économique qui ferait passer EA pour un généreux éditeur auprès de ses joueurs. Actuellement, le jeu est gratuit ... mais avant, il fallait payer 40 balles ... pour avoir deux avions (Spad XIII et Albatros D5). Tout le reste est à acheter séparément et à l'unité, soit ... 235€ ! Oui, le prix actuel d'un Panzer Dragoon Saga ! Autant dire que c'était la plus grosse arnaque du JV que Skylanders a battu depuis.

Mais quel rapport avec le jeu qui nous intéresse ? Bah, en 2011, après l'échec de IL2 Cliffs of Dover (bizarrement surnommé CloDo) qui a failli tuer la série et a liquidé le studio Maddox Games, 1C Company, qui détient la licence IL2 Sturmovik, contacte 777 Studio (qui n'est autre que le développeur de Rise of Flight) pour faire le prochain IL2 qu'est Battle of Stalingrad ... qui est quasiment Rise of Flight niveau sensations de vols. Autant dire de la bonne qualité. Malheureusement,malgré que je suis fan de IL2, j'ai été au courant de la politique de prix du studio et je n'ai jamais voulu acheter le jeu ... jusqu'à une solde Steam.

En revanche, comptez 60 € à 70€ pour 10 avions et quatre maps de taille moyenne. C'est vachement moins de contenu que le premier IL2. Mais ça ne s'arrête pas là : leurs extensions coutent aussi 60/70€ et il y en a trois ... et vous n'avez même pas accès à tous les appareils qu'ils faut acheter individuellement, plus les campagnes. On dépasse largement les 350e !!!! Bravo, les gars ! Heureusement que 1C et 777 font des promos sur leur site et sur Steam.

Ce jeu me confirme clairement que la simulation de combat aérien est bel et bien morte depuis 2006 et devenu un genre pour riches.

Nights into Dreams : Ça doit faire plus de six ans que j'ai la version Saturn de Nights into Dreams qui traine avec mes autres jeux Saturn ainsi que la version Steam qui traine juste depuis deux ans. Malheureusement, je ne suis jamais intéressé au jeu ... jusqu'à je décide de faire un Twenty Minutes With dessus alors que je n'y ai jamais joué.

Le truc, c'est que j'y ai déjà joué ... grâce à Sonic Robo Blast 2. En effet, ce fan game avait introduit à je ne sais plus quelle mise à jour un mode Nights ... qu'ils ont utilisé pour remplacer les vieux Special Stages. Vu que cette version était plutôt fidèle à l'original, je connaissais déjà le jeu et me trouvais en terrain familier.

Et du coup, les deux niveaux que j'ai parcourus ont été sympathiques mais je n'ai pas aimé la version Saturn à cause du pad analogique (ça doit être le calibrage). Je l'ai laissé de côté mais promis j'y reviendrais le finir.

The House of the Dead Overkill : Lui aussi, ça fait longtemps que j'ai la version Typing sur Steam, que je n'ai jamais touché et lui aussi, j'ai attendu de faire un Twenty Minutes With dessus pour m'y pencher (j'avais fait les deux premiers donc bon ...).

Overkill est toujours ce bon vieux défouloir à défourailler du zombis à la pelle à coups de balles de pistolet. Sauf que le studio de développement a décidé de carrément assumer le côté nanar de la série en donnant un cachet film de série B au jeu ... et un débit de gros mots à la minute digne d'une mitrailleuse.

Bref, du bon jeu de tir, dont je n'ai pas pu approfondir mais que j'y reviendrais surement.

Stronghold HD : Ce jeu là, je l'ai acheté y a deux ans mais je n'y ai pas joué tout de suite. J'ai du attendre le début de cette année avant de m'y mettre. Et autant dire que je regrette de ne pas y avoir joué plus tôt car ce jeu est juste un excellent simulateur de château/ville médiéval où il faudra gérer plusieurs ressources pour maintenir votre population en vie, tourner votre économie et engager des soldats pour vous défendre car vous allez en avoir besoin pour vous défendre contre les sièges.

En plus, ce remake est vraiment bien réalisé, même si la localisation de l'époque pique les yeux ... et surtout les oreilles. Bref, un excellent choix.

Klonoa Door to Phantomile : Il y a deux ans, j'ai pu voir sur la chaine "Ces dessins animés là qui méritent qu'on s'en souviennent" une série de vidéos sur un jeu vidéo, qu'ils font en fin d'année, et j'ai maté celle de 2015 (ouais, c'est sensé être trois ans mais j'ai découvert la chaine en 2016). Je suis tombé amoureux du jeu qui, à l'écran, était un petit bijou ... mais beaucoup moins quand je suis allé sur la Bay pour voir le prix de 80 à 100 balles l'exemplaire.

Mais heureusement pour moi et surtout mon compte, Namco a eu la présence d'esprit de faire un remake sur Wii ... beaucoup moins côté (30€). Le petit soucis est que la Wii est peu disponible (c'est celle de mes parents) et j'ai prévu un Twenty Minutes With dessus. Du coup, bah ... j'ai joué à la version Playstation ... sur émulateur.

Et manette en main ... bah, c'est aussi bien que dans la vidéo. Le jeu est charmant, les contrôles sont excellents, malgré que je galère à mort et level design est inventif. Et maintenant que j'ai ma propre Wii, je vais pouvoir m'y atteler sérieusement ... dès que j'aurais des piles pour ma Wiimote.

Wolfenstein 3D : Celui-là, c'est comme Doom. J'y ai déjà joué grâce à un site abandonware. Mais comme le jeu n'était plus considéré comme abandonware ... et qu'il y avait une promotion sur GOG, hop, dans ma bibliothèque !

Malgré ses 27 ans, W3D reste toujours un jeu aussi fun mais j'ai vite repéré un truc en jeu (et surtout dans TV Tropes) : y a un hitscan à chaque tir, ce qui fait que les dégâts sont totalement aléatoires. On perdre un comme la moitié de ses points de vie. Et combiné avec la lourdeurs des déplacements, ça devient vite lassant de mourir à la longue.

The Settlers : Pour je ne sais plus quelle raison, j'ai acheté Settlers 2,3 et 4 sur GOG ... alors que j'ai les exemplaires de mon père à ma disposition (surement pour avoir les miens). Petit problème typique de GOG : ils sont tous en anglais, un peu déroutant quand on est habitué à la version française.

Sinon, bah, ça reste les très bons jeux de gestion de colonies. Le deux est évidemment le meilleur mais le quatre se défend pas mal.

Close Combat : En Septembre, j'ai eu une furieuse envie de Close Combat. Du coup, j'en ai profiter pour acheter tous les quatre (seuls le 2,3,4 et 5 sont disponibles. Le 1 s'obtient en achetant n'importe quel Close Combat) sur GOG. J'ai surtout joué au 2 qui a été ma première porte avec la fameuse démo et c'est celui auquel j'ai le plus retourné, le trois dont j'ai volontairement joué à la versio anglaise (parce que Atomic Games a codé les voix anglaises pour qu'elles soit les seules disponibles pour les camps anglo-américaine ... ce qui fait qu'on se tape des anglo-américains qui parlent français en VF (mais ça s'est avéré très utile pour les modeurs pour un avoir un pack de voix de qualité)) ... ce qui était inutile vu qu'il n'y a que les russes et allemands dans le jeu et le quatre, le seul dont je possède un exemplaire mais que je considère comme le plus faible du lot.

Sinon, bah, ça reste d'excellents STR avec leur gestion des soldats et des possiblités de stratégie poussées. En revanche, combat de chars : 0/10 et l'IA a du mal à partir du 3. J'ai pu essayer le 1 mais c'est clairement une ébauche du jeu et en plus, malgré que ça soit une version pour Windows 7, le taux de rafraichissement d'image est vraiment naze avec parfois des freezes complets.

Men of War Red Tide : Ce spin off de Men of War, c'est encore mieux niveau "découverte radine" : j'ai téléchargé une version piraté. Bon, pas très glorieux mais après avoir joué à un mod d'Assault Squad 2 qui propose les missions du jeu, j'ai finalement acheté une vraie copie du jeu (quand on vous dit que les copies piratés mènent à un achat).

Ce Men of War propose un campagne centre sur les actions de l'Infanterie de Marine de la Flotte de la Mer Noire (ouf !) et c'est clairement taillé pour ceux qui ont déjà retourné le Men of War original car le jeu exploite bien plus en profondeur les mécaniques du jeu. En plus d'être plus difficile, y a plus de missions et on ne peut les débloquer qu'en finissant la précédente.

Bref, un jeu sympa mais réservé à ceux qui ont terminé Men of War.

1944 Campagne des Ardennes : Enfin, après des années à ne pas pouvoir lancer le jeu à cause de ce p..... de système de protection, j'ai pu y jouer sur mon Windows 7 ... grâce à un hack (si vous voulez une preuve que les sytèmes de protections sont nazes ...).

1944 est en fait le troisième épisode d'une série de STR fait par Monte Cristo Games. Comme son nom l'indique, le jeu se déroule durant la bataille des Ardennes (Battle of the bulge en VO. D'ailleurs, anecdote à ce sujet : à cause du nom différant de la bataille en anglais, j'ai eu un mal fou à trouver le patch no cd nécessaire pour faire fonctionner le jeu) mais aussi les derniers jours de la bataille de Normandie, la percée en Belgique et l'après bataille des Ardennes.

Beaucoup ont considéré ce jeu basant sur le moteur d'Afrika Korps vs Desert Rats comme obsolète et chiant. Pour moi, pas vraiment. Certes, le jeu souffre d’un pathfinding atroce où le moindre arbre/bâtiment fait que l'unité galère à mort pour trouver son chemin (sur des maps plein d'arbres et de villes ...) mais ça reste plaisant ... surtout quand on utilise le combo éclaireur/sniper pour faire le ménage.

Afrika Korps vs Desert Rats : Ce jeu est en fait le premier de la série du jeu auquel j'ai parlé au dessus. Et mauvaise surprise : y a aussi un système de protection qui empêche le jeu de tourner. Encore une fois de plus, j'ai du utiliser un hack pour faire tourner le jeu. Ça promet pour D-Day et Mockba to Berlin !

Comme son nom l'indique, l'action se déroule pendant la campagne d'Afrique du Nord où on peut incarner aussi bien allemands comme britanniques. Comme c'est le premier jeu de la série de Monte Cristo, c'est très identique à 1944 mais la structure des missions fait qu'elles n'affichent pas une redondance avec le 3 (oui, je compare le 1 avec le 3. Mais j'ai joué au 3 avant) et combiné au fait qu'on peut choisir son propre pool d'unités, chaque mission peut se dérouler différemment (surtout qu'on garde les unités survivantes après la bataille).

Bref, un jeu très sympa, bien plus long que son successeur et légèrement plus agréable à jouer que 1944. En revanche, toutes les voix sont en anglais, mêmes allemandes. Heureusement, ça n’atteint pas le niveau de nanardise de Soldiers : Heroes of World War II.

Shivers : Ça fait longtemps que j'ai joué à ce jeu puisque mon père dispose d'un exemplaire. Toutefois, j'ai pu en profiter grâce à LTF ... ce qui est la seule façon d'y jouer vu que l'installateur est en 16 bits et mon Windows 64 bits.

Shivers est clairement une copie de Myst, ne serait ce comment sont codés les déplacements de tableaux. Mais la particularité de Shivers est que le jeu a une légère touche d'horreur. Mais, comment dire ... vu que le jeu utilise quasiment des jump scares pour faire peur et que les monstres à affronter sont d'un design cartoonesque, le jeu se rapproche d'un Scooby-Doo que d'un Resident Evil niveau horreur.

En revanche, la partie Myst like est juste excellente avec des énigmes passionnantes (sauf deux qui énervantes à faire), une ambiance sonore du feu de dieu et un côté exploration qui marche très bien, même après avoir fait le jeu. Bref, encore un classique du point & click de Sierra.

Cyclone/Shivers 2 : Pour ceux qui ne savent pas, il y a une suite à Shivers ... qui de chez nous s'appelle Cyclone : Cité des ames perdus ... alors qu'en VO, c'est bel et bien Shivers 2 : Harvest of Souls. Apparemment, la localisation française s'est rendue compte qu'à part trois caméos, l'interface et l'ambiance du jeu, bah, le jeu n'a pas grand rapport à Shivers. Alors qu'on voit très bien qu'il s'agit d'une suite.

Et dans ce second épisode, les gars de Sierra ont décidé de pousser le concept de Myst like très loin : en effet, cette fois ci, on enquête dans une ville sur la disparition d'un groupe, groupe qui laissé des indices ... dans ses clips. De vrais clips, professionnels selon les standard de l'époque. Autant dire que ça en jette.

Sinon, bah c'est du même ordre que le premier avec des énigmes à résoudre. Le scénario est légèrement plus développé et deux nouveautés changent le gameplay du jeu : Cyclone permet une rotation à 360° avec possibilité de regarder en haut comme en bas et un inventaire, ce qui permet d'ajouter de la variété dans les défis, surtout quand l'aperçu de l'objet ne sert pas à regarder l'objet.

Malgré cela, je suis incapable de dire s'il est meilleur ou pire que le premier. Mais ce que je sais, c'est que c'est un très bon Point & Click.

Hearts of Iron 4 : Ce jeu là, je l'ai acheté uniquement parce que BohicaIce jouait, sur Twitch, à un mod spécial qui permettait de jouer durant les années 2000. Parce que le jeu de base se déroule durant la seconde guerre mondiale et vu la pelletée de STR se déroulant sur la période, il faut un minimum d'originalité (bon ok, c'est même pas les développeurs qui l'ont fait, cette originalité) pour attiser ma curiosité.

Donc, du coup, j'ai joué à une version modé du jeu ... qui est Civilization rencontrant Risk (je ne serais pas étonné que le premier jeu soit basé d'un jeu de plateau). Il y a un énorme côté stratégique avec la production, les ressources, les armées, la diplomatie ... et le jeu se déroule sur le monde entier.

Mais encore une fois de plus, je me suis lassé du jeu. Une habitude chez moi.

Spintires Mudrunners : Spitires est encore une découverte signé BohicaIce (Youtube, cette fois). Le jeu est une simulation de camion de transport dont le but est transporter des rondins de bois à la scierie du coin. Le premier jeu était une véritable démo technique sur la déformation de terrain en temps réel et offrait pas mal de gameplay. Une boite a repris le jeu (qui était codé par une personne) et fait une mise à jour nommé Mudrunners. Beaucoup de gens ont crié à l'arnaque car ça n'apportait pas grand chose à l'original ... mais comme je n'ai pas l'original ...

Dans Spintires, vous sélectionnez une map, un ou plusieurs véhicules et roulez jeunesse. Comme vu au dessus, le but est transporter des rondins mais en réalité, vous êtes libre d'explorer la map. Les deux particularités du jeu étant que la physique de conduite est extrêmement réaliste, ce qui fait que le véhicule réagit au terrain et il faut le manier en conséquence. La seconde étant que les maps (sauf deux en DLC) sont toutes inspirés de la Russie ... avec tous les clichés de l'état des routes : une seule est goudronné et les autres sont extrêmement boueuses, au point qu'il vous faudra utiliser le treuil pour sortir de certaines situations.

Spintire est clairement un jeu fun non pas à cause du contenu mais clairement grâce au chemin qu'on parcourt en se fixant un point à atteindre. En effet, chaque chemin emprunté peut être une petite épreuve qui fait que le jeu vire en road trip et moments de courage, surtout en multijoueur où il faudra souvent s'entraider. Bref, un jeu très plaisant à jouer.

Red Orchestra Ost Front : Je ne sais plus pour quelle raison j'ai acheté ce jeu, à part que j'avais une furieuse envie de de FPS de la seconde guerre mondiale. Et en effet, Red Orchestra comble mes attentes ... mais le problème étant que ce jeu est fait ce que j'appelle un "FPS MMO" donc clairement orienté multijoueurs ... et je n'aime pas ça, surtout dans un FPS où le niveau des joueurs est d'une inégalité ...

Et pour ne rien arranger, les bots ont l'air d'être moins bons que dans Battlefield 42 (surtout en char), ce qui fait que malgré des parties que j'ai bien aimé grâce aux mécaniques de tirs, je me suis vite lassé à affronter des idiots, surtout en char où l'IA les gèrent n'importe comment.

Red Orchestra 2 : Quand même j'ai moyennement apprécié le premier, j'ai acheté le second bien plus tard car je me suis plutôt bien amusé. Et ce second épisode pousse le côté FPS plus loin pusiqu'il offre des utilisations tactiques des armes (sélecteur de vitesse, possibilité pour les snipers de tirer sans la lunette ...) et une meilleure utilisation des chars.

Mais le mode 1 joueur est encore plus caché et ... meh. Moins intéressant que le premier

L'Amerzone : J'avais cet épisode sur Playstation mais comme il y a avait la version pc à pas cher et surtout jouer à un point & click sur console ... voilà, j'ai donc acheté la version PC du jeu et me suis replongé dans un jeu que je n'ai du toucher depuis 15 ans.

Pour tout dire, j'avoue avoir été bluffé par la version PC où le jeu brille par son côté technique : un jeu avec vue à 360° dans toutes les directions ! Certes, il est sorti en 1999 et le point & click a fait du chemin je reste bluffé par cette liberté de mouvements, combiné au graphismes du jeu. En revanche, il ne brille pas par son gameplay ou sa difficulté parce que, même si c'est inspiré de Myst, y a quasiment pas d'enigme et la difficulté se résume à obtenir le bon objet et à l'utiliser au bon endroit.

Mais je m'en fiche : L'Amerzone est un jeu extrêmement plaisant à parcourir et empli de poésie, même si on le termine en ligne droite et que le jeu dure une heure. On aimerait plus de jeux comme cela.

Les Cochons de guerre : En novembre, j'ai pu effectuer la plus grosse Razzia de jeux vidéos à Paris pour pas trop cher. Parmi les jeux que j'ai ramené, il y a un jeu d'artillerie dont le fan de Worms comme moi avait entendu parler de nom. Et comme il était disponible dans dans l'un des magasin, me voilà donc avec un exemplaire des Cochons de Guerre.

Les Cochons de Guerre est un jeu d'Artillerie, tout en 3D et sorti 3 ans avant Worms 3D. On y incarne des cochons (duh) qui doivent se mettre sur la gueule à l'aide d'armes assez réalistes mais à l'apparence très cartoonesque. Il y a plusieurs équipes qui sont les Anglais, les Américains, les Français, les Russes, les Japonais et les Allemands.

Le jeu est à la base une production du studio anglais d'Infogrammes mais Canal + Interactive participe à l'édition du jeu ... et aussi à sa localisation puisque la totalité des voix sont faites par ... Yves Lecoq, l'homme aux 100 voix de feu les Guignols de l'Info. En revanche, le jeu se veut irrévérencieux et c'est bof. Les voix manquent bien de percutant comparés à celles de Worms.

En revanche, le côté jeu d'artillerie est très solide puisqu'on retrouve les mécaniques de coups improbables avec des armes aussi avariés que loufoques. Un petit bijoux ! Dommage que les missions deviennent vite difficiles.

Panzer Elite : Vu que War Thunder m'a finalement bien lassé (et ça ne s'est pas arrangé avec les nerfs des diffrents patchs au fil des mois), je me suis mis en quête d'un VRAI simulateur de combat de chars. Et finalement, j'ai pu trouver mon bonheur sur site de fans de wargames de la seconde guerre mondiale qui listait de tels jeux. Et parmi eux, il y avait Panzer Elite. Ça tombe bien, le jeu est disponible sur GOG. Un achat et un téléchargement plus tard me voilà en train de jouer à ce vénérable jeu.

Panzer Elite permet d'incarner un équipage de char allemand ou américain durant la seconde guerre mondiale. Le but est d'accomplir des objectifs indiqués en début de mission qui peuvent être de défendre/attaquer une zone, détruire des unités adverses. Les missions sont très variés avec trois environnements, chacune ayant leur propre map.

Panzer Elite est assez brutal pour les nouveaux venus : pas de camp d'entrainement et quasiment tout se fait au clavier avec le fameux manuel des touches qui faut avoir sur soi pour s'en sortir (sauf quand le dit manuel est un PDF ...). En plus, la souris n'est vraiment très bien géré. Oh, truc qui saute aux yeux : il y a un sacré problème de clipping à cause du trop d'ambition du jeu de vouloir être beau et favoriser les tirs longues distances.

Mais une fois les commandes apprises et les touches mémorisés, c'est un vrai bonheur de faire ces missions très variés qui fait que chaque carte ne sera pas la même et où on peut établir une stratégie pour accomplir ses objectifs. Bref, un excellent jeu que voilà.

Steel Fury Kharkov 1942 : J'ai donc continué ma quête d'un bon simulateur de char, alors que Panzer Elite m'avait donné satisfaction. J'ai découvert une autre nom : Steel Fury. Celui a été en revanche galère à obtenir : aucune localisation française, ni GOG, ni Steam ne le vend et les seules éditions CD coutent la peau des fesses.

Fort heureusement, j'ai pu trouver le jeu dans une obscure plateforme de téléchargement (Gamesplanet) et ai pu télécharger le jeu pour 7€. Malheureusement, j'étais loin d'être sorti d’affaire parce que Bit Defender (qui ne m'a pas arrêté de me faire chier tout le long de l'année. Vivement que je le désinstalle ! ) a décidé de verrouiller tout tentative de téléchargement. Une désactivation temporaire de l'antivirus et plusieurs tentatives plus tard, Steel Fury était enfin installé.

Sauf que mes ennuis ne se sont pas arrêté là car le jeu est évidemmment en QWERTY (version anglaise oblige) mais j'ai eu la surprise de constater que le jeu supportait à moitié le 16:9. Cela me bouffait 50 pixels vers le haut, ce qui était génant pour suivre les messages du tutoriel mais décalait aussi certains boutons ... ce qui fait que je ne pouvais plus les cliquer.

Sinon, le jeu en lui même ? Bah, il est pas mal. Bon, le nombre de chars est chiche (trois) mais on a près d'une trentaine de missions à disposition ... sauf qu'il y a que 6/7 maps à tout casser dans le jeu. Mais elles sont très sympa à jouer. Sauf que le jeu a un feeling un peu bizarre comparé à Panzer Elite qui fait que Steel Fury est inférieur à ce dernier.

Panzer Front : Vers Décembre, j'ai repris ma quête de trouver un simulateur de combat de chars que j'avais abandonné vu que Panzer Elite et Steel Fury me donnait satisfaction, lorrsque j'ai vu une vidéo présentant des SCC et ce jeu m'a tapé dans l'oeil. Panzer Front n'est ni une création occidentale, ni Russe mais Japonaise, produite par ASCII Coporation (aujourd'hui Enterbrain) ... les gars qui détiennent Famitsu.

Le jeu, contrairement aux précédents, est console uniquement. Il est sorti sur Playstation et Dreamcast. Si la version PS est sorti partout (avec deux ans de décalage), tel n'est pas le cas de la version DC, qui, je soupçonne, à soufert de l'annonce de l'abanddon de la console avant d'être sorti.

Si vous attendez à un truc arcade, vous allez être déçu car Panzer Front n'a rien à envier au deux du dessus niveau simulation. Le jeu reproduit assez fidèlement le controle et la physique d'un char. D'ailleurs, pour avancer, il faut utiliser les bouton de tranche : L commande les chenilles gauches et R droites. Il suffit d'appuyer sur L2 R2 pour avancer et L1 R1 pour reculer. On peut faire R1 L2/L1 R2 pour pivoter.

Le jeu contient un bon nombre de missions qui sont toutes disponibles. Leut difficulté est variable et dispose d'une grande variété par rapport ddes unes aux autres. On incarne tour à tour les américains, soviètiques et allemands dans une varièté de chars plutôt pas mal.

Bref, Panzer Front est pour moi une excellante découverte. Évidemment, la version DC est supérieure avec des graphismes améliorés mais lire des kanjis ... Ah, dernière chose, si vous vous ennuyez du mode de base, vous avez accès à des chars fantaisistes pour vous défouler dans un match à mort contre l'ordi.

World of Tanks : Puisque Panzer Front m'a remis sur les jeux de chars, je suis allé voir LE jeu qui a lancé la mode des jeux de char ces dernières années, surtout avec son concurrent
War Thunder, qui me commençait à me gonfler (surtout avec l'attitude arrogante des joueurs français. Les anglais, c'est un peu mieux).

Et bah, finalement, c'est bien. Bon, y a des chars premiums qui roulent sur tout le monde et on a parfois une équipe qui défonse l'autre sans trop de perte mais ça reste sympa et surtout, contrairement à War Thunder, j'ai l'impression de contribuer à la victoire et d'arrêter les ennemis en cas de défaite. Sans compter que Wargamming assume le côté arcade de son jeu, ce qui n'est pas le cas de Gaijin dont son réalisme est à la carte.

Bref, il va être mon jeu de chevet pour les prochains mois.

Sonic Land :

SRB2 Kart : Vu que je n'ai joué à aucun nouveau Sonic cette année et que TSR est décalé carrément en Mai 2019 (pas de Sonic pour cette année fiscale ?!), je suis carrément obligé, pour ne pas avoir cette case de vide, de piocher dans les fan games ... ou plutôt les hacks de fan games pour être plus précis.

Car SRB2 Kart est en fait une modification du vénérable fan game Sonic Robo Blast 2 (aka SRB2). Quoi, vous ne connaissez pas SRB2 ? Vous étiez sous un roc parce que ça fait 20 ans que le jeu est dev et les sites de jv ont fait des vidéos de présentation, y a pas si longtemps. Bon, pour expliquer, SRB2 est une version modifié d'une version modifié de Doom, qui faisait suite au premier, qui était au dessus de la production de l'époque (et autant dire que le niveau était bien bas). Au début, c'est un wad de Doom 2 (toujours diponible et même remasterisé par l'auteur) qui a vité tourné en projet à part entière avec son propre moteur afin de recréer un Sonic 2D et 3D avec tout les éléments que cela comporte.

Et SRB2 Kart, dans tout ça ? J'y viens ! J'y viens ! Au fil des mises à jour, SRB2 s'est enrichi et est vite devenu un jeu modable, au point que des jeux n'ayant plus de rapport avec la plateforme ait été développé. Au début, c'était une version SRB2 de Sonic Riders puis c'est devenu un Mario Kart like qui est finalement sorti il y a quelques mois.

Et donc SRB2 Kart ? Bah, c'est clairement un Mario Kart like, surtout de Super Mario Kart. Outre de trouver des circuits de ce dernier, la plupart du gameplay est calqué sur celui-ci. Toutefois, les nombreux niveaux sont inspirés plutôt de jeux Sonic, de fan games Sonic (SRB2 évidemment) voire de jeux SEGA.

Sinon, le jeu est extrèmement fun à jouer. Bon, il est quasi exclusivement multijoueur et le seul moyen de jouer en solo est le time attack mais en rassemblant plusieurs amis, vous allez bien vous amuser dessus.

Beta Testing :

IL2 Tank Crew : Dans ma recherche de simulation de chars, j'ai appris que 777 Studios faisait leur propre jeu de char basé sur leur moteur de Battle of Stalingrad. Malgré ma déception de ce jeu, j'ai précommandé ce jeu ... parce qu'en réalité, les chars était disponibles avant l'annonce du jeu et j'avais bien aimé cette partie.

Tank Crew est un jeu de char dont le mot d'ordre est réalisme. Et il se débrouille plutôt bien dans ce domaine : les chars ont une vitesse si on fait du route ou tout terrain et on a une grande varièté de cibles. Le pilotage des chars est convainquant et le domaine du et repérage l'est tout autant.

Sinon, dans les défauts : les controles sont impossibles à régler car le jeu est fait un add-on de la partie avion et utilise les mêmes controles. Pas moyen de savoir quelle fait telle action dans un char. Aussi, 777 et 1C compte vendre le jeu à 80€ !!!! En revanche, contrairement aux avions, tout est inclus.

Du coup, bah ... j'ai du mal à le recommender car le futur prix de 80€ va être hautement dissuasif. La précommande fait baisser le prix du jeu de 10€ mais pour l'instant, y apas grand chose. Dommage, car il y a un potentiel de faire un grand simulateur de combat de chars.
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La maturité, c'est être capable de jouer à un jeu mettant en scène des lapins roses sans avoir l'impression de mettre en jeu son identité personnelle. (Petitevieille)

Mon bilan à moi, un peu en vrac, comme ça vient, sans prétention.

Je ne me souviens plus trop de ce à quoi j'ai joué durant la première moitié de l'année. Mais à partir d'août, j'ai tout noté consciencieusement chaque jour.

Resident Evil 7

J’ai entamé 2018 avec Resident Evil 7 (pas en VR). J’ai beaucoup aimé la première partie, dans la maison, qui renoue avec l’esprit du 1, et file de vrais moments de frousse, mais ai moins apprécié par la suite, quand le jeu semble lorgner du côté de Revelations (avec le bateau). Il arrive néanmoins à se placer largement au-dessus des épisodes 5 et 6.

GTA V

Le premier GTA que je ne lâche pas au bout de 2 heures de jeu. Bien que très réticent quant au fait de jouer de vrais « méchants », voire un psychopathe, et n’ayant pas pour habitude de m’intéresser au scénario, j’ai été happé par celui-ci du début à la fin, et me suis franchement marré devant le personnage de Trevor, au point de ne jamais sauter les cinématiques, alors que c’est quelque chose dont j’ai horreur. J’ai eu beaucoup de plaisir également à parcourir la ville en écouter Los Santos Rock Radio. Mon avis un peu plus détaillé ici.

Dark Souls 1, 2 et 3

Bon ben j’ai replongé d’abord dans Dark Souls 3, je crois, auquel je rejoue très régulièrement, n’arrivant pas à m’en lasser, en attendant la ressortie de la version Remastered de DS1, sur laquelle je me suis précipité. J’ai fait un run de celui-ci, étonné de réussir à battre mes deux copains Smough et Ornstein sans trop de difficulté, mais ne suis pas allé au bout du deuxième, à cause de ces saloperies de 4 rois. Et comme je n’arrive plus à trouver de joueurs à invoquer… Mais je crois bien que sous peu, je vais me prendre la version Switch. Je suis un grand malade, d’autant que si je joue beaucoup à la série, je suis loin d'être une brute à ce jeu.
Là, je viens de finir Dark Souls 2 SoFS. J’avais déjà fait un run il y a trois ans, mais n’avais pas réussi à en faire un deuxième. Là, je crois que je ne vais même pas tenter le deuxième run. J’ai de toutes façons les DLC à faire. Je viens de passer un temps fou sur Crown of the Old Iron King et ne suis pas foutu de battre un boss pour l’instant. Curieusement, je n’ai pas eu trop de difficultés à passer des zones qui auparavant m’avait donné bien du fil à retordre (la forteresse de fer, le dépotoir, le sanctuaire d’Amana…) mais la difficulté de ce jeu est clairement abusée, surtout quand il faut gérer trois ou quatre ennemis à la fois. Et je suis au niveau 144 quand même…

Okami

J’avais tenté l’aventure sur Wii il y a dix ans et au profité de la sortie sur Steam pour me relancer dedans. J’ai laissé un peu tomber au bout de 15 heures de jeu. Je devrais accrocher pourtant, mais la lassitude me gagne, sans que je ne sache trop pourquoi. Il est peu probable que je continue ma partie, pas dans l’immédiat en tout cas.




The Legend of Zelda : A Link between Worlds

Trois ans après y avoir joué, je me suis refait une partie, et ce fut un grand bonheur du début à la fin. Voilà le genre de jeu à refaire tous les trois ou quatre ans, quand on n’a plus les énigmes en tête. Un jeu qui ne vieillira pas, à l’instar de A Link to the Past.

Little Nightmares

J’ai refait une partie cet été, et viens de me prendre les trois DLC. Le jeu distille toujours cette atmosphère bien poisseuse et cauchemardesque (forcément), avec ces « humains » grotesques et ogresques, dommage que la jouabilité ne soit pas aussi précise qu’elle devrait l’être.

Assassin’s Creed II

Puisque l’on devait partir pour Florence, et que l’un de mes fils venait de faire le programme en Histoire, je l’ai lancé (et moi aussi par la même occasion), sur AC2, que j’avais déjà fait il y a bien longtemps. J’ai pris autant de plaisir que la première fois, cela reste sans conteste pour moi le meilleur épisode de la série. Et ce fut un ravissement de découvrir sur place ce que j’avais parcouru virtuellement.


Donkey Kong Tropical Freeze (Wii U)

Je n’ai pas fini le jeu. Je pense que je le préfère à celui sorti sur Wii, mais la difficulté est un chouïa trop élevée, notamment contre certains boss. Et puis je n’ai plus l’habitude de jouer sur mon canapé devant ma télé, ou alors des sessions assez courtes, et c’est le genre de jeu où il faut être assez persévérant.

The Legend of Zelda : Majora’s Mask

J’ai enfin terminé ce jeu. En 17 ans, j’ai lancé des parties sur émulateur, sur la vraie cartouche N64, sur les deux compilations Gamecube, et sur 3DS quand il est ressorti. C’est là-dessus que j’étais allé le plus loin, mais j’avais été bloqué dans le dernier palais et n’avais pas terminé le jeu. Cette fois, je suis allé jusqu’au bout. Malgré sa difficulté, cela reste un très grand Zelda, et son atmosphère est toujours aussi envoûtante. La conversion 3DS, avec les facilités qu’elle apporte, permet de (re)découvrir le jeu dans de très bonnes conditions.

Shenmue 1 & 2

J’avais déjà fait une partie de Shenmue 1 il y a 9 ou 10 ans. J’ai rencontré le même plaisir qu’à l’époque, et n’ai même pas été dérangé par les journées de travail sur le port. Dommage cependant que celui-ci soit si vide, c’est un lieu qui aurait gagné à être aussi riche que Dobuita.
Shenmue 2, en revanche, je sens que je vais avoir du mal à le finir. J’avais déjà commencé à y jouer après avoir fini le 1er, sur Xbox, et avais dû faire presque toute la partie avant Kowloon, puis avais laissé tomber, je ne sais pas trop pourquoi. Là, j’ai pris plus de plaisir qu’à l’époque à arpenter Hong-Kong, mais arrivé à Kowloon, cela devient pénible et redondant. Cette impression d’être baladé d’un endroit à un autre sans trop savoir pourquoi me lasse profondément à la longue. Si encore les environnements étaient aussi riches qu’à Hong-Kong…Mais des immeubles sans âme, merci, mais non. Il faudra quand même que je le finisse avant la sortie du 3.

Hollow Knight

J’ai passé du temps sur ce jeu. J’ai plutôt passé de bons moments, mais je n’ai pas été transcendé comme certains. Certes, la direction artistique est magnifique, mais je n’ai pas forcément l’intention de reposer mes mains dessus, la persévérance et l’investissement qu’il demande étant quand même assez importants (dixit celui qui a près de 500 heures sur les Souls). Je ne vois pas trop quoi lui reprocher sur quelque plan que ce soit, et même si je ne l’ai pas si facilement lâché que cela, j’en garde juste le souvenir d’un Metroidvania qui remplit son rôle.

Earth Defense Force 4.1

Simbabbad en parle bien mieux que moi. Je suis assez fan de la série, et celui-ci est particulièrement réussi. Il est assez ressemblant aux autres épisodes, et peu de nouvelles créatures font leur apparition (mais se retrouver face à un kaiju est une expérience qu’il faut vivre une fois dans sa vie). Je ne l’ai pas terminé car il est assez généreux en niveaux, et devoir en recommencer un après avoir passé 20 minutes à essayer de zigouiller toute une horde de dragons peut se révéler décourageant. Néanmoins, cette sensation de se trouver dans un mix de La guerre des mondes et de Starship Troopers est particulièrement jouissif. Peut-être qu’il parle plus à ceux dont le fantasme est de détruire des villes entières à coups de missiles.

The Goonies II

Bon, là, c’est mon trip de Noël habituel. Je me suis fait une partie entière juste avant les fêtes, histoire de célébrer les 30 ans de ma Nes et de ce jeu (Noël 1988, snif…). J’aime toujours autant ce jeu, qui est clairement ma madeleine de Proust, et suis toujours autant perdu à un moment ou à un autre, alors que quand même, au bout de 30 ans de pratique... Les speedrunners le torchent en 15 minutes. Je ne suis pas près de les égaler avec mon heure et demie.

Super Mario Odyssey

Je viens d’avoir la Switch, et c’est le premier jeu que j’ai acheté avec. Pour le moment, je le trouve particulièrement délicieux. Il me rappelle l’exploration qui me plaisait dans Sunshine, et le plaisir de jeu de Galaxy. Si un monde me fait du gringue, je prends plaisir à l’explorer pour y chercher les lunes, sinon, pas grave, je passe à la suite et y reviendrai plus tard. J’étais assez circonspect à l’annonce du jeu, et les rares parties que j’avais pu faire jusque-là (dans le désert généralement), me faisaient trouver le jeu sympathique, mais sans plus. Là, y jouer pleinement, dans mon salon, pendant les vacances de Noël, cela apporte une toute autre dimension.

En vrac, des jeux que j’ai plus picorés qu’autre-chose

Call of Duty Modern Warfare 2 et 3

Quand vient l’automne, qu’on a besoin de se défouler, rien de tel qu’un petit solo de Call of. Un trip de grand 8 de 6 heures, et on passe à autre-chose.

Luigi’s Mansion 2

Avant de me refaire le 1 sur 3DS, je suis reparti sur celui-ci. Les missions sont parfois trop longues, ce qui handicape celui qui ne veut que faire une petite session assez courte de temps à autre. En stand-by pour l’instant.

Counter-Strike : GO

Je n’ai pas digéré le fait qu’ils aient supprimé deux de mes cartes favorites, à savoir Dust et Militia. Néanmoins, j’aime bien me faire une petite session de temps à autre, en écoutant des émissions-documentaires de France Culture en fond, mêmes si je suis un joueur très moyen. Depuis mes premières parties au début des années 2000, j’ai pu voir le public évoluer. Au début, on rencontrait beaucoup de Scandinaves et d’Allemands. Maintenant, c’est plutôt des Turcs et des Russes, dont l’insulte favorite est « gay ! ». Ambiance…

Civilization VI

Je préfèrerai toujours le 2. Trop de trucs à gérer, au bout d’un moment, mon cerveau capitule. Et la difficulté a encore été relevée d’un cran il me semble. Et l’attente entre chaque tour est de plus en plus grande.


Cette année, il faudrait que je me force à coucher sur le papier mes impressions sitôt le jeu terminé (ou abandonné), cela donnerait des posts un peu plus construits.

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J'ai pas beaucoup joué cette année.

Mon top :


Mother 3

La meilleure découverte de l'année pour ma part.
C'est la première fois que je joue à un jeu de cette saga (si on occulte Earthbound que j'ai testouillé quelques minutes il y a des années en ému).
Il y a peut-être des gens qui vont vouloir le faire donc je ne vais pas trop spoiler, mais j'ai été très surpris dans le bon sens du terme de ce RPG atypique, intelligent, et j'avoue que j'ai failli verser une larme à la fin. Le seul défaut pour ma part serait sa linéarité, mais le jeu regorge tellement de bonnes idées qu'on lui passe outre.


Très bon aussi :


The Enchanted Cave 2

Un donjon-RPG mixé avec du rogue-like. Assez impitoyable lors des premières parties (bah comme tous les rogue-like quoi), du coup la montée en puissance, à force de jouer, de notre avatar est assez jouissive. Beaucoup de niveaux, beaucoup de secrets, des modes de jeux différents, un gameplay beaucoup plus stratégique qu'il n'en a l'air, le jeu est vraiment très très complet. Peut-être le jeu auquel j'ai le plus joué cette année, je vous le recommande, d'autant plus si vous êtes fan de l'Ancient Cave de Lufia II (jamais joué à ce dernier mais on m'a dit que ça y ressemblait pas mal).



Borderlands

Très bon jeu, le seul problème c'est que j'ai découvert la saga avec le 2ème épisode, qui est une sorte de Borderlands 1.5 avec + de tout. Par contre, et j'avoue que ça m'a ravi, le 1er épisode est plus difficile que le second : la jauge de vie ne se recharge pas automatiquement au bout de x secondes d'inactivité. C'était le principal défaut de Borderlands 2, son manque total de difficulté.



Meteor 60 Seconds !

Une météorite va frapper la terre et annihiler ses habitants dans 60 secondes. Vous pouvez donc faire tout ce que vous voulez durant les 60 secondes qu'il vous reste à vivre. Devenir psychopathe ? Pervers ? Bon samaritain ?
Un jeu gratuit totalement fou sur Steam qui ne paye pas de mine au premier abord mais qui se révèle être très fun et rigolo, avec un humour portnawak très prononcé. Il y a 9 fins multiples à découvrir (j'en ai découvert un peu plus de la moitié, il y en au une autre je pense avoir compris comment l'obtenir mais le timing est vraiment chaud si c'est ça).


Sympa :


Cally's Caves IV

Peu de changements dans la formule, on est toujours dans un action plates-formes avec des armes évolutives. Pas prise de tête, et bien défoulant.



Pas pu beaucoup testé :
Gonner (j'avoue que j'ai pas compris grand chose mais je n'y ai pas beaucoup joué), King Lucas (sympa mais trop répétitif), Venusian Vengeance (à la Commando, bon mais difficile), Axiom Verge (ben disons que le peu que j'ai joué, ça ressemblait vraiment trop à Metroid effectivement).



EDIT : J'allais mettre Odallus, mais je ne l'ai pas fini. Mais si le jeu se déroule toujours comme ça, il rentre sans problèmes dans mon top 3.

Du 5 ? il est génial le 5, dans les meilleurs. Tu vas loin chatoune



Bizarre que t'es tenu 15h. Le jeu est pas particulierement long. Mais effectivement au bout d'un moment les especes de gemissements de la puce sont super chiant. Et le jeu assez chiant sur la fin.
Du coup il est plus jouable sur wii et pc ? parce qu'a la manette sur ps2 c'etait un enfer pour les caracteres ;(



Je suis dessus en ce moment et je suis mitigé. Il est bien mais la caméra est toujours chiante. Bon sang qu'on remette celle de sunshine ! en plus y'a quelques clins d'oeil qui sont fait au jeu.
Mais pour le moment j'ai pas compris l'interet de coller des lunes tous les 3m... je sais pas à quoi ca sert au final.
Les pieces pour les fringues ok, mais les lunes ??? surtout que y'en a trop. Tu fais tout et n'imp et paf une lune oO.
Je sais pas s'ils ont essayé de faire des succès à leur sauce, mais je suis dubitatif pour le moment. Mais en tout cas moi et ma fille on aime bien le jeu pour le moment
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( Bon, le voici enfin : Le Bilan ! )


***2018 : "Carpe Diem... A 200 %" ***



Pas trop de "grand jeux" pour moi, cette année, et pas mal de petits trucs piochés ça et là.
Bref, ce ne fût pas très facile de choisir sans risquer des oublis possible, pour ce bilan 2018...


**Je commencerais-donc par "Les "Etoiles Filantes", et autres "Bonnes Surprises" :

- Aggelos : Ai-je dit que ce ne serait pas mon Jeu de l'Année ? - Et bien je ne suis pas loin de m'être trompée là-dessus... A part si l'on compte Hollow Knight comme un jeu de 2018, alors que c'était déjà mon GOTY 2017.

"...Au moins, un jeu qui ne se prends pas pour un clône."

Bref, un parfait pastiche "comme là-bas", mais tout de même modernisé juste ce qu'il faut.
( Ceux qui avait à se plaindre de la fidélité du gameplay "lourdaud sur glace" de Dragon's Trap devrait être ravis, ici. )



Et puis tiens, c'est même une honte qu'il soit passé aussi discrétement, sur cette année 2018 plutôt calme.


- Candleman, The complete Journey :

Ou peut-être la preuve vivante que l'on peut très bien allier 3d, scénarisation et gameplay prenant. ( ...à part un couac, sur un certain niveau. ^^' )

"...même s'il aurait plus la durée de vie d'une chandelle vacillante que d'un Starbound."



Un appel à l'Aventure, très attachant.


- Finding Paradise :

La suite tant attendue du duo de choc de la saga de Freebird games, avec quelques twists à la clef, et qui complète très bien l'ensemble de ce "roman visuel".

( Par contre maintenant, j'aurais bien du mal à conseiller s'il vaux mieux faire A Bird Story avant ou après cet épisode... )


- Puyo-Puyo Tetris :

Agréable surprise que de voir ce titre fétiche arriver sur Pc.
( Mais maintenant, une fois le mode scenar-tutoriel bien éclusé, je cherche encore du monde avec qui jouer.
^^' Je vais peut-être solliciter un peu de ma famille à s'y essayer, comme au "bon vieux temps", tout compte fait. )

- Moonlighter : Heu- Je n'arrive toujours pas à comprendre comment j'ai pu être aussi captivée par un gameplay pourtant plus que répétitif, et même assez ingrats côté simulation de magasin ? - Au point de me lancer même dans un new game+...


Une idée là dessus ?

[Edit-Finch] Pour l'instant, j'irais soupçonner la D.A., ainsi que la bande-son, assez efficaces... mais je doute que cette appréciation positive personnelle soit juste pour une simple raison d'esthétisme. ( Oui, parce que sinon, "Pankapu"... )

( Ce titre ne serait pas sans rappeler la série spin-off de Dragon Quest, Torneko No Daibôken, par ailleurs. )


** "Vous reprendrez bien un peu de 2017 ?" :

- Hollow Knight :

De même, j'en ai parlée encore sur le sujet dédié cette année, et la mise à jour majeure (ainsi que sa sortie sur console) de cette année fût l'occasion d'y revenir avec délice.
Sujet dédié.

- A Hat in Time :

Un autre chouchou de cette année. Certes assumé assez foutraque dans l'ensemble, mais je me suis bien amusée.
Sujet exclusif dédié.

En attendant le prochain Dlc ? En tout cas, j'ai pu voir qu'il y avait eu un système de vote intégré au workshop pour élire certains mods candidats à une
intégration officielle en jeu.



** Les déceptions des "Rendez-vous manqués de l'été", mais ce n'est pas leur faute :


J'aurais pu m'investir tout autant à fond dans ces nouveautés, mais le sort en a décidé autrement...
( Et la saison, départ en séjour de randonnée oblige. Mais ça aussi, c'était important. )

- Sonic Mania + : L'expectation de cette update fut l'occasion d'enfin boucler la "vraie fin" au moins sur un run.
Ce fut aussi l'occasion pour moi de revenir accessoirement sur sonic cd, version pc.

Bref, J'avais tout préparée...


...Pas de chance, je n'aie pas eue le courage de relancer encore une fois un run complet, malgré la Grosse Bonne Idée Principale de cet ajout :

"Donner une véritable utilité à toute cette ménagerie." - Comme dirait Dr Who.

( Bref, à charge de revanche, qui sait s'il n'y aura pas d'autre mini-surprises ? Mais j'avoue que si ça avait été
possible, ou pensé, cette feature aurait surement mieux gagnée à être incluse dès la sortie de ce jeu, l'année précédente,
quitte à donner la possibilité d'ajouter de nouveaux sets de personnages par la suite. Ou ouvrir un Workshop. )


- Shenmue I & II : Encore une bonne surprise, Sega n'a pas chômé, cette année !

Le mode "Pc", ça n'est pas très confortable pour pouvoir apprécier ce grand classique à sa juste valeur...
( A charge de Revanche, ici aussi. Mais de préférence avant la sortie du 3e opus auquel j'ai pu souscrire. )


- Ah, et le mode multi de Stardew Valley est très sympa, mais là, c'est de bras dont j'ai manquée...



** Trucs en vrac, pour ne pas les oublier ( ..."Oh tiens ? Si j'essayais." ) *** :

- Snail Trek : Un hommage en 4 épisodes (très) court aux classiques des point'n click de chez Sierra. - avec des escargots.
( Parfait, il m'aura au moins aidée à surmonter ma semaine de grippe, où je n'était plus capable de grand chose.)



Pour ceux qui voudrais s'y risquer, je recommanderais plutôt de prendre la version bundlée sur steam, et lors de soldes, les épisodes étant étrangement proposés séparément, et indépendant les uns des autres plutôt que sous forme de dlc.


- Q-YO Blaster : "Mon cochon d'inde fait un trip Sh'mup entre Apidya et Parodius ?"
( Encore une victime des bundles-poubelles IndieGala qui mériterait pourtant davantage à se faire connaître, à l'instar du Blobcat, ci-dessous... C'est trop injuste. )


- BlobCat : Puyo-puyo, Shenmue... Et Chuchu Rocket ?
En attendant une hypothétique ressortie officielle de ce classique, j'ai pu découvrir ce Blobcat, dans la même veine assumée.A ceci près qu'il y a souvent plus de chats que de souris, et que certaines mécaniques de puzzle ont été ajoutées.
Très sympa malgré une promo plus que discrète - et trop vite bundlé. Je recommande.


- Cardlife: Creative Survival : un Minecraft en carton... Quel avenir ?



Difficulté très mal calibré en mode "survie", Mais j'aime bien le concept autour du matériau cartonné, en lieu et place des classiques blocs, ainsi que la possibilité de designer sois-même son perso et certains éléments en découpant à la souris.
Le petit bruit de carton crevé lorsque l'on pioche, fauche ou coupe ajoute aussi un certain charme.


* "Trucs en Vracs" spécial "aussi pour le jeune public" :

- Yono & The Celestial Elephants : Si Link était un éléphant bavare ?



...En tout cas, ça marche ! Un jeu plein d'entrain, tout comme la musique de titre qui restera longtemps en tête.

- Deiland : "Petit-Prince, le jeu".
Ambiance et concept très sympa, et ce sera toujours 100 fois mieux que la série télé, même si l'on se retrouve assez vite limité par le contenu proposé, et un "final" en queue de poisson.



Mon avis reste mitigé, même si j'ai plutôt bien appréciée dans l'ensemble.

(Il me semble qu'il existe une version android gratuite, un peu simplifiée, pour ceux qui voudrais essayer de voir de quoi il en retourne.)

- Chuchel : Un grand sourire, une course-poursuite à la cerise et des chatouilles.



Peut-être pas le meilleur point'n click de chez Amanita Design, mais j'ai passée un bon moment devant cet héritier des Shadoks.



* Pas de chance pour...

- Chuchel :

...Est passé sans crier gare à l'orange, en Décembre. Ce qui a fait bien jazzer sur certains lieux de la toile.
La version 1.0 en DRM free sera bientôt collector.

- Staxel : "Minecrafter, c'est chouette ! Farmer c'est ch... "



Mais au moins l'on peux jouer des vilains tours aux pnj, c'est déjà ça de gagné.
J'ai eue aussi l'idée de recomposer un hommage à la série "Le Prisonnier" à cause de certains point communs pourtant surement involontaires.
Un jeu sur lequel je me suis quand même surtout amusée à bâtir. Mais l'étiquette de jeu fermier est un leurre.

- Pankapu : Parfait, surtout si vous aimez les punitions ? Hélas, Un des rares jeux de ce bilan sur lequel j'ai pu porter vraiment un avis négatif :



Personnages et univers attachants et concepts de métamorphoses sympa, bref, ça irait si le gameplay n'était pas aussi rigide.

( Je pourrais tout de même laisser un exemplaire bundlé en double en giveaway, pour ceux qui voudrait se faire leur propre avis. )


- Graveyard Keeper : Super jeu du même studio que Punch Club ... Mauvaise période. - Mauvais Karma ?- Un jeu que j'aurais vraiment aimé souhaiter conseiller en temps "normal".



( Un jeu fermier où l'on incarne un croque-mort devant gérer la tenue d'un cimetière et tout ce qui tourne autour, ce n'est certes pas commun.
De plus, l'univers médiéval est assez bien développé et tout.
Non, c'est juste que certaines thématiques sous couvert d'humour noir peuvent se révèler parfois assez sensibles... )


- Yonder, the Cloud Catcher Chronicles :
On me l'a déconseillée, Parce que malgré ses atouts (Parmis lesquels le meilleurs système de pêche ever, à côté de tout ce que j'ai pu voir dans ce domaine.) et son côté "Breath of the Wild pacifique", ce jeu restera non-fini.



- Je l'ai acheté sur cet avis. A mon tour de vous le déconseiller

( En vrai, j'ai tout de même passée un bon moment dessus, en alternance avec Cardlife, mais une fois le tour d'horizon à peu près bouclé, je n'aie plus trop eue la motivation d'y revenir. )



*Bonus : "Compagnons de route"/"Auront encore leur mot à dire" :

Au même titre qu'un Starbound, ce sont certains titres sur lesquels j'ai pu revenir
régulièrement cette année, et sur lesquels je reviendrais peut-être encore au moins cette année.

- Cattails : A fait son petit bonhomme de chemin ronronnant, mine de rien, et s'est même un peu étoffé au fil de l'année, au point d'avoir eu carte blanche sur Switch.
( Toujours pas de mode multi en vue, cependant. )
ça reste tout de même un bon petit jeu anti-stress, sur lequel je reviens encore régulièrement pour de courtes sessions.

- Glass Masquerade : Parfait petit passe-temps compulsif pour de courtes sessions.
Les puzzles ne sont pas spécialement difficiles, mais restent satisfaisant.
Et si j'en parle ici, c'est tout simplement parce que la galerie est régulièrement étoffée par de nouveaux vitraux brisés à recomposer.
( "Vivement un Workshop II" ? )

- Empires of the Undergrowth : Mon jeu de transition de fin d'année, au même titre que Cattails, mais la ressemblance s'arrète à ce choix, puisqu'il s'agit d'un jeu de stratégie/gestion autour d'une fourmilière, avec un gameplay assez "nerveux".
( Etant aussi en court de développement, je l'ai pour l'instant laché un peu, une fois ma colonie devenue bien costaude, mais j'avoue que je suis
restée scotchée dessus durant quelques jours. Vivement la suite ! )


- Bravely Default (3DS) : Un des rares titres non-steam, non-pc abordé cette année, et encore en cours de partie, étant rendue au "fameux" chapitre 6,
pour ceux qui savent... ( Je vais surement y rester quelques temps à grinder, avant de continuer le scénario, en passant. )

Mais bon, si je continue jusque là, c'est que j'apprécie. Et particulièrement la mise en scène un peu "marionnettes" des personnages, qui tranche
avec le côté parfois dramatique de certaines situation.

L'Ost fait partie de mes playlist, rien à dire de plus. ( ah, si... Octopath Travelers, quand j'aurais une Switch. )



*Bonus II : Retro-découverte Panzer Dragoon ( I & un peu Zwei ) : Parce qu'il fallait bien que j'y joue un jour, crénom de nom !

( Et en attendant les remakes possibles ? )

Complément de mes jeux finis en décembre:

* JEUX QUE J'AI ADORÉS (1)
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Bloodstained: Curse of the Moon (évaluation Steam)



Je n'aime pas tellement les Castlevania, mais j'ai donné sa chance à ce jeu grâce à une promotion, et je ne l'ai pas regretté, j'ai passé un moment fantastique dessus. Le jeu reste extrêmement fidèle à Castlevania, à son côté old school et à tous ses tics, mais il gomme tout ce qui rendait (pour moi) les jeux originaux rigides et frustrants. Une très bonne surprise.



* JEUX BOF (3)
******************************************************************


Opus Magnum (évaluation Steam)



J'adore les jeux de puzzles, donc je pensais que j'aimerais Opus Magnum, mais je me suis ennuyé comme un rat mort. Il n'y a aucune sorte de structure au défi, c'est un simple sandbox sans contrainte et sans aucun guide de performance (il y a une sorte d'évaluation globale, mais qui repose sur trois critères, donc à moins de chercher à en maximiser un seul, on n'est pas bien avancé). L'histoire est encombrante et cliché, tous les problème se résolvent facilement, il suffit d'y passer du temps... beurk. Je l'ai désinstallé.


Castle In The Darkness (évaluation Steam)



Castle in the Darkness commence bien et finit mal: le jeu est intermédiaire entre Castlevania, Monster Land et un hardcore platformer, et est extrêmement plaisant dans toute sa première moitié, mais petit à petit, il vire au kaizo platformer qui nous trolle avec des piques mortelles en un coup qui sortent de nulle part. Vers la fin, c'est un véritable calvaire sans aucun fun, et on se demande ce qu'on a bien pu faire au développeur pour mériter ça. Un sabordage.


Oniken (évaluation Steam)



Oniken cherche à ressembler exactement à un jeu NES, et c'est réussi, on jurerait un jeu Natsume oublié.
Sauf qu'il a exactement tous les défauts d'un jeu Natsume de l'époque et rien qui aille au-delà de ces jeux, et du coup on se demande bien ce qu'il apporte. J'ai commencé Odallus du même auteur, et c'est un jeu bien plus intéressant.
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Le Blog de Batbad - Simbabbad sur Steam - Compte Twitter

Décidément, cette manie de coller à la palette de couleurs de la NES fait des ravages. C'est laid, putain…

Quand il y aura un revival PS2, ce sera quoi ? De l'aliasing dégueulasse sur du composite flou ?

Et bien regarde, Petitevieille... il y a surement déjà moyen de trouver ça en boutique :



https://store.steampowered.com/app/868570/Prototype_Mansion__Used_No_Cover/


( Menfin... Là, ça tiendrais un peu plus de la ps1 et de la parodie qu'autre chose. )

Bon, pour le reste, la sélection de Simbabbad est au moins quand même très bien assortie dans l'ensemble, je trouve.
( [Edit] Et c'est pourtant quelqu'un qui n'a jamais été super fan de la palette automnale de la Nes, qui dit ça. )

( Au passage, il y a déjà eu un mini débat pour savoir si la palette de couleur utilisée dans Aggelos tenait plus de la Nes que de la Master System ...voir ni l'une ni l'autre, mais plutôt de la Pcengine. ^^' )

Moi ce que je constate c'est que vous etes tous passés sur les jeux "amateurs" tout ca. C'est dingue ca, j'arrive déjà pas à accrocher aux jeux des editeurs historiques. Alors des bricolés par des gens que je connais ni d'eve ni d'adam ....
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Pour mieux apprécier Curse of the Moon, j'ai un peu rejoué à Castlevania et Castlevania III sur NES, et en fait les palettes choisies sont très différentes: les Castlevania sur NES ont des couleurs très "réalistes" en gris/marron, alors que Curse of the Moon est beaucoup plus psychédélique, et au final je trouve ça bien plus lisible et avec plus de charme. Pour tout dire, Curse of the Moon m'a un peu rappelé le ZX Spectrum, en mouvement ça passe vraiment très bien. Je n'ai pas grandi avec une NES mais ça ne me choque pas du tout.

Oniken en fait un peu des tonnes dans les couleurs criardes, plus que les vrais jeux NES, mais là aussi ça lui donne un style.

Après, j'ai grandi avec un ordi 8-bit, ça influence probablement mon jugement.


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Le Blog de Batbad - Simbabbad sur Steam - Compte Twitter

Sur PC, les jeux indés ont une meilleur visibilité en plus de ne pas coûter grand-chose (moins encore grâce aux bundles). Les moyens de créer et distribuer un jeu ont évolué, c'est tout.

Ensuite, ce n'est pas parce qu'un jeu est "amateur", comme tu dis, qu'il sera mal fini ou "bricolé". Les "jeux poubelle" existent bien sûr, il y en a même plein, mais entre les screenshots, trailers et reviews utilisateurs, c'est pas très difficile d'éviter les arnaques.