J'annonce tout de suite que la plate-forme n'est pas du tout mon genre de prédilection

...

Si j'ai bien poncé Towerfall Ascension en multi comme en solo : minimaliste, précis, rapide et nerveux. Je surkiffe Celeste !

Le chara design est attachant, l'ambiance musicale hallucinante, le challenge relevé et addictif... merci au level design et au gameplay pour ça.
Tout est fait pour vous poussez à tenter des trucs qu'on pense infaisable. Et plus on échoue et moins on a envie de lâcher l'affaire. C'est fou.

Les pièges et défis qu'ils représentent sont super bien pensés, c'est un vrai régal. J'avais pas accroché Meat Boy pour ça : les tronçonneuses créaient une atmosphère très cruelle alors que dans Celeste, l'environnement est tout aussi dangereux mais plus naturel et donc plus accueillant.
Ce qui fait que le challenge n'est pas le seul moteur de la progression mais aussi la découverte des environnements tous aussi poétiques les uns que les autres, ce qui est la base d'un plateformer classique.
Le mélange "défi-narration" fonctionne donc très bien

Bref, c'est une superbe réussite sur tous les points et j'ai hâte de connaître les raisons du voyage de Madeline. Je viens juste de sortir du téléphérique (très bon passage d'ailleurs) et j'attaque un superbe temple abandonné.

Donc ouais, si vous n'aimez pas Celeste, je crois que vous n'aimerez aucun jeu de plate-forme

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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Dans ma wishlist depuis sa sortie et les reviews de folie qu'il a eues.
Non, je ne craquerai pas, mon backlog me l'interdit.

Pour le plaisir des oreilles :



L'OST mélange (très) efficacement instrumental et chiptune.

Je suis très curieux de voir ce que donne cette histoire et comment elle est racontée. Aussi simple serait-elle, c'est rare de voir une histoire pas complètement inutile dans un platformer (se résumant à intro, outro et c'est tout)

Le jeu semble assez long si on se lance dans une totale complétion.
Quand je veux faire un niveau et ratisser tout ce que je peux en un run, il faut entre une heure et deux.
Le jeu est assez vaste et il demande de refaire les niveaux pour tout récupérer (et certaines fraises sont bien cachées).



"18. Reach the summit" intervient à la fin du jeu, apparemment elle a un gros impact émotionnel in-game...
J'ai acheté le jeu juste après l'avoir écouté pour vérifier ça

Arrêtez-vous avant si vous voulez vivre le truc à plein ^^
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

@JiPé :
J'aime beaucoup les illustrations qui surviennent à la fin de chaque chapitre, avec la musique de fin qui ajoute une petite touche.

J'ai hâte de le re-terminer pour me lancer dans les Faces C (mais déjà de finir les Faces B !).

Tu es à quel chapitre ?

@Kaede :
Il y a aussi l'album "Faces B" qui contient les versions remixées des niveaux justement "Face B" de chaque chapitre, qui s'écoute tout aussi bien mais qui ont un ton bien différent, vu que la Face B est bien plus dure que le chapitre normal (mais on y apprend parfois des astuces comme dans celle du Chapitre 2 quand on booste à travers la matière étoilée).
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Oui, c'est une très bonne pioche, Céleste... du moins les faces A, parce que là, je trouve que les faces B et C, ça devient vraiment de la purge, ça finit par gâcher le jeu si on s'acharne trop sur ces niveaux que je ne referai jamais tellement ils sont désagréables à jouer.

Mais sinon, les faces A, c'est vraiment excellent, avec un gameplay jouissif, pas mal d'idées qui évoluent, et une bonne petite narration à la fois simple et efficace.

Je suis arrivé(e) au sommet

'me suis couché tard du coup mais je ne pouvais pas me résoudre à reporter l'ultime ascension, 3300 morts au total, le chiffre va exploser quand j'attaquerai les face B.
Plein de trucs encore à débloquer entre les coeurs et les gemmes (j'en ai chopé une au pif - c'était chaud ) puis l'épilogue à faire.

J'ai adoré debout en bout, les niveaux les dialogues et tout... la mise en scène est super maîtrisée, c'est fou ! Trois dessins et deux bouts de pixels (j'exagère, les décors sont magnifiques) et ça suffit à emballer une belle histoire. C'est plein de petites trouvailles pour pousser à avancer (j'ai adoré les balises du dernier parcours) et Madeline(s) reste(nt) une sacrée réussite, très beau personnage.

Chef d'oeuvre, must have, GOTY, tout ça...


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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Je ne peux pas trop développer car je n'ai accès au net que depuis mon téléphone en ce moment.
Mais j'adore ce jeu. Ambiance de folie, challenge atroce mais absolument associatif, et pour ne rien gâcher l'écriture est très sympa. Hier soir j'ai bouclé le niveau de l'hôtel et la fin quand on atteint la chambre présidentielle m'a réellement serré la gorge. Alors qu'on est dans un porn platformer !
Dommage que l'hôtelier devienne un boss par la suite d'ailleurs, ils pouvaient laisser le joueur avec son malaise.

Bref c'est excellent !
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Ayet je suis au sommet. Tout comme Jipé, les plateformers ne sont pas du tout ma tasse de thé. J'ai attaqué le jeu suite à vos commentaires élogieux et aussi parce que je suis fan de Matt Thorson depuis 2007 (Untitled Story).

Déjà le simple fait que je sois allé au bout suffit à montrer à quel point le jeu est attirant. Matt est devenu le maitre incontesté des plateformers. A chaque nouveau jeu on retrouve cette même maniabilité irréprochable combinée avec un level design d'une ingéniosité et d'une créativité incroyables. Pour ce qui est du chemin principal, la difficulté est parfaitement dosée de bout en bout. Il arrive qu'on butte sur certains passages, soit parce qu'ils sont plus techniques, soit parce qu'on essaye de passer en force là où il faudrait cogiter un peu, mais on ne reste jamais bloqué. Pour ce qui est d'aller récupérer les fraises et autres items optionnels je ne m'exprime pas car j'ai tout zappé, mais il est clair qu'on monte de plusieurs crans en terme de difficulté. Peut-être que j'y retournerai mais là j'avais pas la patience, et surtout j'étais pressé de connaître l'histoire de Madeline.

Ceci m'amène à l'aspect narratif du jeu. C'est quelque chose de complétement nouveau chez Matt Thorson, et je dois dire que sa façon d’intégrer une histoire à un jeu de plateforme m'a sidéré. Matt est un GRAND Game Designer, capable de porter pratiquement toutes les casquettes du métiers (au passage même s'il a travaillé en équipe sur Celeste, il sait aussi dessiner et composer). Je n'avais plus vu autant de talents chez un même développeur depuis Eric Chahi. Vraiment bravo.
Au final je reste un peu sur ma faim car l'histoire n'est pas si développée que ça à la fin. Peut-être en saurais-je plus en faisant l'épilogue mais si j'ai bien compris il faut trouver 4 items dispersés dans l'immensité des niveaux pour le débloquer, et je n'en ai trouvé qu'un. Pas grave, l'essentiel est que la narration m'ait assez tenu en haleine pour me tirer vers le sommet. Et puis si vraiment ça me manque j'irai voir un let's play.

Je n'ai qu'un seul regret : Celeste n'est pas un Metroidvania, et moi ça fait 10 ans que j'attends que Matt Thorson refasse un Metroidvania.

Dernière chose. Maintenant j'ai hâte de voir Celeste aux AGDQ, parce qu'il est évident que le jeu à un potentiel de folie en terme de speedrun.
Ah et encore un truc : le jeu démarre en 5 secondes, les menus sont fluides et intuitifs, je n'ai rencontré aucun bug de tout mon run. Du travail très soigné, un vrai bijou.

Signe des temps qui changent, Celeste a droit à un article dans la rubrique culture du dernier magazine Famille et Education (magazine de l'APEL, plus grande association de parents d’élèves en France, à tendance Catho)

J'ai atteint et fini le coeur de la montagne... YEAAAH !!!

Déjà, choper quatre coeurs c'est chaud vu la difficulté des faces B mais c'est rien à côté de ce dernier niveau. Cela-dit, il faut le faire pour le challenge qu'il représente car il n'est pas aussi émouvant que la montée finale et ses 30 balises.
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

J'ai moi-même profité de la pause estivale pour terminer Celeste chez un ami - j'ai atteint le sommet de la montagne, sans chercher à trouver fraises et autres secrets - et... je suis passé à côté :/ Peut-être n'avais-je pas vraiment la tête à ça, je ne sais pas : mais il y a comme un blocage dans ma cervelle, et quand bien même aimerais-je ses qualités techniques et esthétiques (je suis grand fan du pixel art et de la musique, moins, je dois dire, des dessins), je n'ai pas su me passionner ni pour l'ambiance, ni pour l'histoire. C'est simple : arrivé au Temple des Miroirs, je faisais systématiquement "Skip Cutscene" pour me concentrer exclusivement sur le gameplay, excellent au demeurant.

Excellent certes, mais non sans défaut je trouve : déjà, j'ai regretté comme il a été dit plus haut que le jeu ne soit pas un "Metroidvania" tant il en a le potentiel. Même sans ça, j'ai regretté souvent qu'il n'y ait pas une option "carte" se débloquant progressivement, ou davantage de crânes nous montrant les alentours, car je me suis souvent perdu, ne sachant trop où aller et que faire, et je trouve la lisibilité de certaines zones problématiques. On pourra me dire que cela participe au plaisir du jeu, mais au contraire de Super Meat Boy qui savait être toujours clair dans le chemin à arpenter, j'ai parfois trouvé Celeste brouillon dans son approche du genre.

Mais soyons honnête : si ces scories m'ont personnellement empêché d'être fanatique absolue du jeu, je ne peux rien ôter à l'ingéniosité des mécanismes, à l'excellence de la maniabilité, à la roublardise de ses idées. Qui sait ? Peut-être y reviendrais-je dans quelques années, et le redécouvrirai alors avec un œil nouveau.

Je suis revenu, sans m'en rendre compte, à Celeste pour tâter un peu du "post-game" : trouver les fraises, les B-Sides, les cœurs... et le jeu a gagné alors pour moi une nouvelle dimension. Je m'amuse comme un petit fou ! Je fais des parties brèves, car cela finit toujours par m'alasser, mais je suis bien plus investi. Vraiment, mon jeu de l'été tout compte fait !

Un peu énervé vendredi soir pour diverses raisons j'ai empoigné ma Switch et suis arrivé en haut du mont Céleste, après une session marathon de près de trois heures.

Il m'aura donc fallu en tout 12 heures de jeu harassantes... et 4069 morts.
J'ai beaucoup aimé. La narration pour laquelle je n'attendais rien m'a captivé, en particulier le choix de voix à la Starfox, mais où chaque intonation a été travaillée comme une langue propre. C'est une parfaite image du soin maniaque porté à chaque détail du jeu. C'est pareil pour le level design, je n'imagine pas 1 mm² de l'écran qui n'ait été pensé, dessiné, testé durant un nombre d'heures impensable. Connaissant l'étendue du jeu "de base", je suis incroyablement admiratif.

Ceci dit, la fin m'a un peu déçu. Le jeu montant très haut dans les tours dès le départ je ne savais plus au bout de plusieurs heures si je m'approchais de la fin ou pas vu que le pic de difficulté est une constante du jeu. De même pour la musique, sublime tout au long des pérégrinations de Madeline avec souvent le même schéma d'un belle mélodie aérienne qui évolue vers un climax libérateur, elle reste étonnamment constante sur la dernière phase du jeu. Je sais que Madeline trouve alors l'apaisement, c'est le sentiment inverse pour le joueur qui croise les panneaux indiquant enfin le sommet.

Bref j'ai vraiment beaucoup aimé, mais je ne comprends pas ce qui m'a pris de boucler ce jeu alors que j'ai plutôt tendance à laisser sur le bord du chemin la plupart des titres auxquels je m'attelle.

Sûrement parceque le jeu m'a pris et ne m'a jamais lâché, même pendant les mois complets où je n'y ai pas touché.
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Hello,

juste un petit mot pour dire que le jeu est offert en ce moment sur le stode d'Epic (ainsi que Inside).

Je viens de le lancer pour quelques minutes, et ça m'a l'air excellent
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Je l'ai récupéré et commencé à cette occasion, j'en suis au 4eme monde je crois (je viens de finir l'Hôtel).
C'est assez minimaliste dans le gameplay comme jeu (des airs de Super Meat Boy, mais un écran par niveau), tout à fait mon genre. J'aime bien la narration pas trop invasive et les personnages.
Comme prévu (je l'avais déjà écoutée en long et en large) la bande originale est magnifique.

Pour info un DLC (gratuit !) a été annoncé il y a un bail, il ne devrait plus trop tarder.

Je viens de finir un premier run.
5h30 de jeu, 109 fraises, 932 morts. J'ai pas réussi à chopper de coeur bleu Il y avait celui de "Mario" mais j'avais rien compris donc raté. Et celui vers la fin du jeu, mais après l'avoir localisé, je suis finalement passé à côté. Ce sera pour plus tard. Par contre j'ai choppé une espèce de pièce jaune (?), je ne sais pas ce que c'est. Je vais éviter de me spoiler trop vite, je consulterai des guides quand je commencerai à trop tourner en rond.


C'était génial de bout en bout !

Voila.


Plus qu'à attaquer le post game !

932 morts???
Mais qu'est ce que je suis mauvais!

Félicitations en tout cas, je pense que nombreux sont ceux qui on abandonné en cours de route.
Le téléphérique et l'hôtel resteront dans ma mémoire comme de sacrés beaux moments.
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Bof, les platformers, c'est mon genre de prédilection de toujours. L'expérience, ça paye !

J'ai bien aimé le mini-jeu lors du téléphérique, une idée simple et très bien amenée, une parmi tant d'autres. Les jeux utilisant des QTE à tire-larigot ou de mauvais mini-jeux peuvent en prendre, de la graine.

Sinon, j'ai attaqué les B-sides et là ça se corse méchamment, avec une marge de manoeuvre souvent infime. Du Super Meat Boy, en somme.

Pour info je joue à Celeste en ce moment, ayant profité de sa gratuité sur l'Epic Game Store. Je viens de terminer le 5e chapitre. Je ferai un compte-rendu quand je l'aurai terminé si j'y arrive, soit ici soit dans le topic du bilan 2019.

Pour l'instant j'aime beaucoup et la seule chose qui m'a gêné côté difficulté, ce sont les rebonds sur les nuages roses. Je trouve le timing bien trop serré. Mais sinon c'est vraiment bien.
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Celeste correspond à l'image que je me fais d'un jeu parfait, dans lequel fond et forme sont tellement peaufinés et si parfaitement imbriqués que l'on en ressort avec l'impression d'avoir vécu un moment de jeu vidéo rare.

Cela n'arrive pas si souvent.

Je n'ai pas touché au chapitre additionnel, sorti il y a peu - aucune idée de ce qu'il vaut. Mais alors le reste, pfiouuu...