Il peut arriver que l'Alien descende d'un conduit d'aération sous ton nez, mais c'est ultra rare. En plus, lorsqu'il s'y planque, de la bave en coule.

95% des fois, ses apparitions sont scriptées (avec un timing, un endroit, et une mise en scène déterminées) ou provoquées par le bruit que tu fais (ou que font les PNJ). L'Alien qui apparaît de façon aléatoire, c'est pas de bol, mais ça n'arrive presque jamais. Perso, les quelques fois où ça m'est arrivé, il me tournait toujours le dos, et partait sans se retourner dans la direction opposée à la mienne (et une fois à littéralement 50cm de moi. Je vous raconte pas dans quel état j'étais).


En même temps, si le déplacement de l'Alien devait être vraiment aléatoire, on se ferait un peu chier, non ?


Ah, l'hôpital est sûrement la partie la plus difficile du jeu, car il y est très difficile d'éviter l'Alien. J'ai vraiment hâte que tu avances encore dans le jeu ^^
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ouaip, j'espère parce que là je suis à 2 doigts de le désinstaller ce jeu. Passer 20 minutes (sans sauvegarde) à me planquer de placard en placard parce que la bestiole se téléporte au petit bonheur la chance (un coup elle disparait du scope du détecteur par la droite, la seconde d'après elle est détectée complètement à gauche à 3m de toi), en ne te laissant que 5 secondes à chaque fois pour tenter - juste TENTER ! - d'explorer plus d'un quart de pièce avant qu'elle refasse ça ronde, et là forcément au moment où tu veux sortir de la pièce BINGO ! Qui voilà ? Ooooh ! Ca faisait bien 6 secondes que je ne l'avais pas vue, elle commençait à me manquer ! Bon ben <*scrountch*>, alors.
Ca ne fait même plus peur. Ca devient mécanique. C'est comme si on devait stresser à chaque fois qu'on lance un dé - "pourvu que je ne fasse pas 6, pourvu que je ne fasse pas 6 - SIX ! Hé bé voilà, tout à recommencer". Pour savoir si tu atteindras le point de sauvegarde suivant, lance 5 dés. Si aucun ne fait 6, tu y arriveras sans encombre. Et tu recommences jusqu'au point de sauvegarde suivant.
Même à Peggle j'ai plus l'impression d'avoir une influence sur le cours du jeu !

J'imagine la discussion entre deux vétérans de ce jeu : "Tu te souviens de ton meilleur moment ? Moi, c'est quand j'étais prostré 10 minutes dans le placard. - Ah, moi c'est quand j'étais coincé dans l'armoire, avec la bestiole qui patrouillait la seule porte de sortie ! <*En choeur*> Bon, et au final on s'est fait bouffés, ah ah ah ! Qu'est-ce que c'était bien !"

Mais tu joues en quelle difficulté ?
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Juste intermédiaire. Et là, cette 6è mission, elle m'enquiquine un peu, c'est vraiment la foire à l'arbitraire au point d'en être presque à rechercher un God mode.

Je viens de regarder une soluce, et effectivement, pour moi aussi, ce chapitre a été le plus retors pour ma part, j'ai du mourir une quinzaine de fois en intermédiaire, et je suis resté bloqué dessus au moins 2 heures. Ça doit être un des rares passages où à force de mourir, on finit par faire du par coeur et progresser petit à petit, en ne refaisant pas les mêmes erreurs. C'est aussi ce chapitre ou l'imprudence est le plus punitif.

Courage Al-Kashi, c'est juste un mauvais moment à passer (je te raconte pas la délivrance ressentie à la fin de ce chapitre!)
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C'est "marrant" que tu y trouves de l'aléatoire comme si l'apparition de l'alien devait obligatoirement se conclure par la mort d'Amanda. Dans toute ma partie, je dois compter deux ou trois fois où il me faisait face derrière une porte à peine ouverte... en général, je prépare un chemin avec des tables ou caisses pour me cacher de son regard. Si un couloir ne me permet aucune couverture, j'essaie de l'attirer dans une direction opposée (fusée, bruit). Tous mes autres décès sont dû exclusivement à de l'empressement et à une mauvaise lecture du terrain.
Les placards sont une fausse bonne idée, c'est l'ultime recours... il faut toujours être mobile pour ne pas se retrouver dans son champ de vision. Reste accroupi et avance de dessous de table en dessous de table (sinon, derrière les caisses).

Et le fait que l'alien se déplace aussi vite de zones en zones n'est pas aussi improbable que ça puisqu'on se tape un loading qui fait office d'ellipse
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Bon, alors je suis obligée :




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Ouais, ben en attendant, une fois la 6è mission passée, la 7è c'est du gnagnan. J'ai dû voir l'Alien 2 fois (dont une quand elle a bouffé tous les ennemis - merci !), je ne suis pas mort, y'a juste une ou deux énigmes bateaux, des points de sauvegarde tous les 3m et pouf ! mission terminée. Bon sang ce que c'était agréable ! L'antithèse totale de ce qu'on venait de vivre. Un tel déséquilibre est étonnant, mais je ne m'en plaindrai pas.

Les moments calmes sont typiques des survival horror (encore une preuve qu'Alien Isolation en est bien un). On donne la possibilité au joueur de souffler s'il effectue une longue session de jeu et surtout on le remet dans une ambiance confortable avant de le replonger plus profondément dans "l'horreur".

Alien Isolation fait ça très bien, de manière coherente en plus. J'adore ça dans les survival horror, alors qu'il s'agirait d'une faute de conception dans un jeu d'action. Au risque de me tromper, Resident Evil 4 monte en régime tout du long, ce qui l'apparente à un jeu d'action.
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Alien Isolation terminé, en 31h, difficulté normale.

Je m'attendais à une séquence post-credits :
En principe, Amanda Ripley est supposée être morte à 75 ans ou quelque chose comme ça, donc quelqu'un a dû la recueillir.

Sinon j'ai adoré, j'ai été scotché de bout en bout, je n'ai rien fait d'autre de mon temps libre ces derniers jours. C'est un jeu relativement difficile, très tendu, immersif comme j'en ai rarement vu. Et question réalisation c'est du très grand art. Les ambiances sonores mériteraient un oscar (je ne plaisante pas), les éclairages sont fabuleux, le travail abattu est monstrueux.

La litanie de portes à ouvrir et de générateurs à réactiver ne m'a pas gêné, au contraire, c'est une très bonne recette pour forcer l'exploration et rendre le jeu aussi intéressant que tendu. Même le crafting finit par tirer son épingle du jeu (quel joie de buter enfin ces foutus androïdes !), et l'acquisition du lance-flamme à mi-chemin donne un petit droit à l'erreur qui empêche la frustration de s'installer. Donc pour moi les développeurs ont fait les bon choix, et les critiques négatives que j'ai pu lire -minoritaires certes- ne tiennent pas la route. Le jeu se tient très bien avec une parfaite gestion des hausses et des baisses de rythme, et je ne l'ai pas trouvé trop long.

Il m'est quand même arrivé, de temps en temps, de pester contre le manque d'indications. J'ai même consulté une solution, deux fois : pour trouver le bouton qui ouvre la salle d'exposition des androïdes (j'ai ragé quand j'ai su où il était) et quand l'objectif est "prendre le transit privé vers Apollo" (le point vert sur la carte ne menait nulle part). Il faut dire aussi que j'ai mis longtemps à comprendre que le capteur de mouvement pouvait donner la direction à prendre… Peut-être que l'info est donnée à un moment, j'ai dû passer au travers.

Côté scénar rien de folichon, mais on s'attache aux persos grâce au doublage français très solide. Les twists sont cousus de fil blanc mais compte-tenu du taux de fan-service ambiant, le jeu n'avait pas beaucoup de marge de manœuvre. L'univers est respecté et on serre les miches, c'est déjà beaucoup.

Je suis extrêmement satisfait de ce jeu, et je regrette de ne pas l'avoir acheté plus tôt. Je me rattraperai sûrement ces prochains jours en prenant les DLC.

PS : j'ai eu quelques plantages avec retour au bureau, et sur deux ou trois points de sauvegardes le chargement durait super-longtemps en cas de mort (et comme par hasard ça s'est passé à des moments où je crevais en boucle). Il paraît que ça vient des drivers Nvidia et qu'il faut les downgrader, mais j'ai eu la flemme de le faire.
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Je me suis octroyé deux heures de jeu vidéo aujourd'hui. J'ai donc déballé mon exemplaire de Alien Isolation.
Déjà, mise à jour + installation, j'étais ravi. Presque une heure avant de lancer le jeu. Youpi.

Enfin ça commence.

La fidélité aux décors du flim est remarquable, et l'atmosphère reproduit à merveille celle du Nostromo. C'est délicieux.

J'ai à peine progressé, juste fait connaissance avec la prise en mains, et la vue subjective n'est pas ce que je préfère… ça va demander un effort. On verra si je parviens à prolonger.
Pour l'instant j'ai vu revenir le vaisseau, mon prochain objectif est de reprendre contact.

Excellente impression donc, à suivre…

C'est madame qui te tire la bride petitevieille ou c'est tes obligations, temps disponible restant sur tes passions qui te fixe ces limites ?

Un peu de tout ça à la fois.

Je vous épargne les détails, en gros ma maison est un chantier permanent qui peut m'occuper pour 10 ans, vu que je fais tout seul et que je n'ai strictement aucune compétence au départ, j'apprends tout au fur et à mesure. Un peu comme la maintenance les bornes d'arcade.
Ajoutons deux enfants en bas âge, et vous aurez cerné le tableau.

Bref, pour jouer je dois m'octroyer du temps, d'autorité - au risque de m'attirer les foudres de la maîtresse de maison - et j'ai commencé à le faire (le temps ET les foudres).

D'ailleurs jouer à Alien Isolation m'inquiète un peu, car finalement, devoir circuler sans bruit et espérer qu'un autre humain reste bien silencieux et ne fasse aucune bêtise, sous peine de réveiller le monstre ben… c'est un peu mon quotidien.

j'avoue petitevieille que je vois bien où tu veux en venir, j'en suis même à l'excès inverse, avec le virus de la bricole. Pour le coup c'est madame qui me pousse à jouer de temps en temps pour profiter de tout mon bazar.

Pas plus tard que la semaine dernière, j'ai branché la borne avec battle bakraid pour montrer mon système de rangement de pcb et puis j'ai vu les pixels, l'écran et je me suis dit bordel pourquoi j'y joue pas là tout de suite pendant que la borne est allumé, et hop partie d'une demi heure

Ok... la version switch donc.

C'est une réussite qui se voit dès les premières minutes. C'est stable et propre, plus beau que les versions PS360 et je ne ressens pas de pertes graphiques spectaculaires par rapport à la version PC.
L'ajout du gyroscope est bien fait, sans être envahissant.

C'est tout le contraire du portage de Doom

Deux petits défauts :
- les cinématiques sont sans doute trop compressées (m'en fous).
- visiblement pas de remapping de touches possible (m'en fous aussi, les boutons sont déjà bien placés).

Je vais surtout faire les DLC (qui justifient à eux seuls l'achat) et j'ai l'impression que l'IA de l'alien a été retouché un peu... il est plus présent mais parfois moins réactif lors de face à face.
Je n'y ai joué que 40 minutes donc à voir sur la durée.

Si vous ne les avez jamais faites, les missions DLC n'ont pas de paramètre de difficulté, ne fournissent pas de carte des lieux visités, n'ont pas de scripts scénaristiques et ne conservent que l'indicateur pour vous orienter vers l'objectif principal. C'est LE survival à la rejouabilité infinie.
Certains environnement demandent du temps d'exploration et il est possible de les enchaîner tous dans un seul marathon... bon courage


'fin bon, must have tout ça... Encore bravo à l'équipe de Feral Interactive et Creative Assembly

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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Ben je vais peut-être me décider à le commencer pour de vrai alors.

Vous avez eveillez ma curiosite pour le coup, mais c'es tun metroidvania ou pas ?
Sur le net on parle de survival horror et je suis en manque en ce moment.

Par contre je le trouve pas en cartouche sur switch, il est que en demat ?
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C'est simple d'après DigitalFoundry c'est non seulement le meilleur portage switch, mais sur certains points cette version est meilleure que la version PS4.

https://youtu.be/u8kvSGUwAyc

( Voilà... C'est ce qui me ferait regretter qu'une formule à la GOG Connect Steam/Switch soit impensable. )

Bonne nouvelle en tout cas : Moi qui m'interrogeais justement sur les portages de jeux "gourmands", en format Switch. ( ...Pour l'avenir. )

Rah.