Concernant Action 52, c'est en effet une cartouche non-officielle dans le sens ou elle n'est pas approuvée par SEGA mais elle a réellement été commercialisée dans le circuit "normal" aux Etats-Unis.
Ce qui m'a frappé en testant ces jeux (et je ne me suis pas tapé les 52 non plus, pas fou !), c'est leurs similitudes, dans la frugalité et la médiocrité, avec les jeux qu'on trouve dans les consoles low-cost telles que les machines de la marque PDC.
(voir ce thread : http://www.grospixels.com/phpBB/viewtopic.php?topic=13352&forum=3)
Je pensais que c'était réalisé par des chinois dans une cave, ou par des étudiants qui font leurs premières armes pendant un stage, mais finalement il semblerait que ce soit le fruit du travail de vrais professionnels qui nous balancent ces horreurs sans aucun état d'âme ...

A une époque j'avais une Famicom pirate, avec une cartouche de ce genre. La différence, c'est qu'il y avait des doublons, et que la plupart des jeux étaient buggés, d'ailleurs c'est le cas de la version NES de 52-in-1, testée par l'AVGN. Ici, les jeux sont tout pourris, mais au moins ils sont "jouables" et à peu près finis (si tant est qu'ils ont été commencés).

Ceci dit on ne peut pas dire que Active Entreprises soit connu pour la qualité de ses jeux. Les Backyard Football, par exemple, sont médiocres. Il y a une forme de constance dans le je-m'en-foutisme de ce studio...
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Effectivement et je me suis dit qu'ils n'oseraient certainement pas afficher ce jeu dans leur biographie. Non, un con ça n'a honte de rien : http://www.farsightstudios.com/games/action_52/index.htm
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Dans la vie, il y a 3 catégorie des personnes : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas compter. (Anonyme)

Le plus drôle dans tout ça, c'est que Action 52 était vendu en magasins à l'époque pour la modique somme de 200 dollars (en tout cas sur Nes). Avec en gros sur la boîte l'argument publicitaire massue : moins de 4 dollars le jeu! Ben voyons...

C'est le même que sur SNIN au fait ou y'a des differences comme à l'époque ? j'ai bien aimé le jeu mais c'est vrai que Gomez a tendance à avoir encore plus d'inertie qu'u mario
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C'est le même que sur SNIN, et oui, Gomez glisse comme une savonnette, mais comme je l'ai écrit, c'est un coup à prendre, et on le prend assez vite.

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Faute de frappe, il fallait lire "moins de 4 dollars de développement par jeu"
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J'aime énormément le Addams Family. J'y ai beaucoup joué sur Snes. J'adorais la façon dont chaque partie du jeu avait son propre nom, ça me faisait rire

Aujourd'hui, petite entorse à l'ordre alphabétique, je commence par un jeu en S.

Super Daisenryaku
(System Soft / Sega) - 1989



Daisenryaku est une série de wargames qui a débuté sur Famicom, avant d'être portée sur MD, tout d'abord avec Super Daisenryaku, puis Advanced Daisenryaku. Elle a ensuite continué sa carrière sur Super Famicom, Saturn (avec entre autres Iron Storm, qui est sorti en occident) et Playstation, GBA, PS2, Dreamcast, Xbox, DS et PSP !
Les premiers épisodes prennent place pendant la deuxième guerre mondiale, et permettent de choisir son camp, entre les Alliés et l'Axe.

Malheureusement je ne peux pas vous dire grand chose de Super Daisenryaku, car le jeu est entièrement en japonais. Je peux juste deviner une certaine complexité, étant donné le nombre d'actions possibles et la taille de la carte à gérer dès la première mission.

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Advanced Daisenryaku
(System Soft - Sega) - 1991




Par contre je peux vous parler de son petit frère, qui a fait l'objet d'une traduction amateur partielle, mais suffisante pour se débrouiller sur le champ de bataille.

Lors de chaque tour, le joueur peut choisir quelles unités utiliser dans l'ordre de son choix, parmi plusieurs types de troupes : chars d'assaut, cavalerie, ou encore infanterie, chaque type ayant une aire de déplacement qui lui est propre. Il faut en particulier prendre possession des villes, uniquement avec l'infanterie, car il s'agit de points stratégiques : elles permettent de se réapprovisionner en fuel et en munitions, qui sont consommés à chaque action, ainsi que d'acheter de nouvelles unités. Lorsqu'une unité en attaque une autre, la vue bascule sur le champ de bataille, et on assiste en direct au combat, et à ses conséquences : troupes détruites, munitions consommées, expérience gagnée. En effet, il semble que chaque unité puisse gagner de l'XP et ainsi disposer de nouveaux types de munitions. Si une unité est mal en point, elle peut recevoir l'aide d'une autre située sur la case voisine afin de recevoir du fuel ou des munitions, voire fusionner avec elle si ses rangs sont trop clairsemés.

Enfin, Advanced Daisenryaku fait partie des quelques jeux qui bénéficiaient d'un mode multijoueurs online, via le réseau Seganet.

Le jeu est basique techniquement, mais reste relativement agréable, tout comme sa musique. Bien que je n'ai pas saisi toutes les subtilités du jeu, le gameplay semble solide, dommage qu'il n'ait pas fait l'objet d'une localisation.

BIEN (potentiellement très bien)

Je viens de jouer à Golden Axe III et... mon dieu quelle purge ! Même pour obtenir le succès (sur la compile Mega Drive), ce fut insupportable. Comment Sega a-t-il pu produire un truc pareil ?!? Outre le viol d'une licence-phare, un tel amoncellement de mauvais goût et d'ho/erreur/s technique(s) laisse pantois. Comment peut-on réaliser une suite à ce point inférieur en tous points à l'original ? Certes la Mega Drive n'avait sans doute pas les capacités de reproduire la merveille qu'était Golden Axe : Revenge of Death Adder (que l'on attend toujours dans une version dématérialisée) mais là...

Même sur les reine des 16-bits (hé ouais...), tu vas souffrir Shenron.
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Faut dire que même les deux premiers sur md ne sont pas terribles

Si, le 2 est franchement meilleur que le 1er, et je le trouve personnellement très bon

Il me semble qu'en fait, c'est pas les même équipe qui ont réalisé le 2 et le 3. Le 2 a été réalisé uniquement pour la mégadrive tandis qu'une autre équipe bossé sur le 3 qui était destiné à l'arcade puis porté sur megadrive.
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C'est pas bientôt ces discussions hors sujet ? On reparlera de Golden Axe l'an prochain (en gros) !!!

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Adventures of Batman & Robin
(Clockwork Tortoise / Sega) - 1994




Développé par des anciens de chez Malibu Interactive qui ont en eu marre de bosser sur des navets, Adventures of Batman Robin est un run & gun basé sur la série TV du même nom, créée par Bruce Timm. Dans le jeu, M. Freeze a décidé de réfrigéer Gotham pour de bon, et a libéré le Joker, Double Face et le Chapelier Fou pour tenir Batman occupé.

Le joueur peut contrôler au chix Batman ou Robin, qui disposent des mêmes coups : au corps à corps, une pression sur A ou C déclenche au choix un coup de poing, de pied ou de boule, et à distance un lancer de batarang. Il est possible de lancer des batarangs en sautant ou, avec une deuxième pression sur le bouton de saut, décocher un coup de pied tout droit ou vers le bas. Il est également possible d'upgrader son batarang afin de le rendre plus puissant, ou d'avoir un tir multidirectionnel, la puissance globale du tir étant gérée par une barre qui se remplir lorsqu'on arrête de tirer.

Et ça n'arrête pas souvent, car les ennemis arrivent par paquets de douze, en lançant quasiment tous des projectiles. Contrairement à un Metal Slug où la progression est quasiment constante, dans ce Batman le scrolling s'interrompt souvent pour laisser les ennemis débarquer par vagues successives, ce qui a un peu tendance à rallonger la durée des stages de façon exagérée (surtout une phase de shoot qui n'en finit pas), d'autant que le jeu est extrêmement difficile (pour le coup, bien plus que n'importe quel Metal Slug !). Ça n'arrête jamais, et même si on récupère souvent de l'énergie, il y a vraiment de quoi péter un câble !

Par contre, le jeu est visuellement splendide, probablement un des jeux les plus beaux et les mieux animés de la MD, et il regorge d'effets spéciaux (transparences, parallaxes multiples, effet 3D simulé) et de détails ahurissants : par exemple, dans un stage se déroulant de camions en camions, la cape de Batman flotte toujours vers l'arrière, quelque soit le sens dans lequel le sprite est tourné. La charte graphique de la série est parfaitement respectée, et les musiques sont également excellentes, bien que soûlantes (mais surtout parce que les niveaux sont trop longs).

Bref, c'est très bien, mais c'est vraiment, vraiment trop difficile.

BIEN
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Adventures of Batman & Robin (Mega-CD)
(Clockwork Tortoise / Sega) - 1994



(Le DA n'est pas tout à fait en plein écran en vrai, hein, pas de panique).

Cette version Mega-CD est tirée de la même série, mais n'a rien à voir avec la version MD au niveau du gameplay.

Il consiste en une série de courses poursuites dans les rues de Gotham au volant de la Batmobile, durant lesquelles il faut rattrapper les vilains les plus connus (Poison Ivy, le Joker, etc) sans trop taper dans les véhicules des civils, sous peine d'être arrêté par la police, puis détruire leur voiture en leur lançant des missiles.

Encore une fois le jeu est techniquement irréprochable, d'autant plus que les phases jouables sont entrecoupées de séquences animées, réalisées pour l'occasion, et qui n'ont pas à rougir devant la série originelle pour la bonne raison que la même équipe s'en est chargée (c'est d'ailleurs aussi le cas pour les doubleurs).

Las, les phases de gameplay ne sont ni très intéressantes, ni très jouables, ces débiles de civils se mettant systématiquement en travers de notre route et la conduite de la Batmobile n'étant pas des plus souples. Bref, un jeu qui n'est pas excessivement déplaisant, mais bof quoi.

MEDIOCRE

J'avais un peu tâté de la version Super Nintendo de Batman and Robin, mais je ne connaissais pas du tout la version Megadrive, que je viens donc de tester suite à la lecture de ton post, Shenron.
Mazette, quelle claque ! Je ne savais même pas que la Megadrive était capable de ça. L'intro est renversante, le jeu l'est tout autant, du moins le premier niveau, puisque je n'ai pas vu les autres.
C'est fluide, c'est beau, c'est maniable. Les bruitages m'ont en revanche paru un peu discrets mais la musique de son côté distille une ambiance sombre à souhait.
Maintenant, attention, je n'ai goûté qu'au premier niveau, mais si tout est du même tonneau et qu'en plus, le mode deux joueurs tient le choc en termes de fluidité de l'animation, c'est juste exceptionnel. Et je confirme que le challenge a l'air en effet relevé à souhait pour ce qui est de la difficulté.
Une très belle découverte, merci Shenron !

De rien, c'est le but !

Je n'ai pas testé le mode deux joueurs, mais ça m'étonnerait qu'il fasse ramer le jeu, la MD est fortiche de ce côté là. Possible aussi qu'à deux, le challenge soit plus abordable, dans ce cas la note passerait à TRES BIEN.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

J'ai essayé aussi le 1er niveau de ce Batman (j'ai perdu ma dernière vie face au tank qui sert de boss). Effectivement : intro ultra classieuse et réalisation d'enfer ! Mais par contre, n'ayant pas les réflexes cablés niveau 3 de "Bionic" J, qu'est-ce que je trouve le jeu dur et énervant ! En fait, tout va bien jusqu'à l'apparition des gars avec les mitrailleuses. Ils tirent dès qu'ils apparaissent, laissant rarement le temps de réagir. Quand on saute derrière eux, ils ont le temps de se retourner et de tirer avant qu'on touche le sol. Et leurs tirs balancent plusieurs projectiles en même temps qui couvrent une portion non négligeable de l'écran. Je les déteste !

Concernant le jeu sur Mega-CD (dont j'apprends l'existence ici), je suis surpris de voir qu'il dispose de scènes animées inédites réalisées par l'équipe du DA. Ca me donne quand même une grosse envie de l'essayer.

AERO BLASTERS (AIR BUSTER)
(Kaneko / Kaneko) - 1990




Aero Blasters (Air Busters aux USA) est un shoot horizontal classique, sorti d'abord en arcade, puis sur PC Engine, et enfin porté tel quel sur MD. Tellement classique que je ne sais même pas trop quoi en dire : on dirige un vaisseau qui peut ramasser des modules, augmenter la puissance de son tir de base et des modules en ramassant des bonus, et charger son tir afin de faire une sorte de Smart Bomb qui ne ressemble pas à grand chose (un simple flash de l'écran). Techniquement on n'a pas l'impression du tout d'être sur MD, mis à part quelques jolis parallaxes et la musique typique et plutôt sympa. Mais à côté de ça, c'est morne plaine à tous les étages.

On note même des défauts qu'on pensait ne plus voir, même à l'époque, comme des ennemis qui ne clignotent pas quand on les touche, ou le fait de mourir quand un de nos modules se fait toucher. Le jeu est de difficulté modérée, mais rien ne pousse vraiment à avancer. Cela dit on reste dans le domaine du potable.

MOYEN
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AEROBIZ - (AIR MANAGEMENT)
(Koei / Koei) - 1992




Aerobiz n'est rien de moins qu'une simulation de compagnie aérienne. Le début du jeu propose de choisir son époque (1963 - 1995 et 1983 - 2015)'implantation de son siège, puis le nom de sa compagnie. Par exemple, comme j'ai basé mes bureaux à Paris, on m'a propose "Le Air", que j'ai gardé .

Un objectif est ensuite fixé en termes de nombre de liaisons aériennes, de profit et de nombre de passages annuels. Ensuite vient l'écran de gestion. J'en profite pour signaler que le jeu est particulièrement didactique, puisque j'ai réussi à lancer pas mal d'opérations sans problème.

Il faut donc commencer par ouvrir des lignes avec d'autres villes; Certains sont déjà prêtes à accueillir vos appareils, mais pour d'autres il faut ouvrir des négociations. Ensuite, une fois une ligne créée, il faut décider quels modèles d'avions leur assigner, le nombre de vols hebdomadaires et leur prix. Il faut également acheter des avions (sachant que pendant la guerre froide, on ne peut pas acheter d'avions à un pays du bloc ennemi), assigner un budget à la maintenance des appareils, au service à bord et à la pub, choisir l'objet des campagnes de pub, ou encore investir dans de nouveaux bureaux ou des hôtels. Heureusement, votre conseil d'administration est là pour vous aiguiller sur les décisions à prendre pour garder votre compagnie à flot.

Pour plus de challenge, le jeu nous oppose à 4 compagnies concurrentes, dirigées soit par la console, soit par des joueurs humains (dans ce cas il fallait une sacrée patience !).

J'en suis la première surprise, mais Aerobiz a l'air vraiment pas mal. Il semble riche et simple d'accès à la fois, propose des idées sympa, comme le fait de gérer les grèves ou de bénéficier des JO pour améliorer ses affaires, et avec une technique un peu plus poussée et des commandes un peu plus réactives je pense qu'on pourrait avoir affaire à un très bon jeu. D'autant plus qu'il propose les véritables licences des constructeurs, et on peut même s'offrir des Concorde !

BIEN (oui, je prends des risques)

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AEROBIZ SUPERSONIC
(Koei / Koei) - 1994





Et ben voila.

TRES BIEN

Aero Blaster ne paye certes pas de mine, mais il reste trés sympa à prendre à l'apéritif.
Pas de prise de tête, ça se joue à deux, c'est facile d'accés, ça ressemble à moult autre shmup, ou peut être que ce sont les autres qui lui ressemble.

Je l'avait à l'époque et je dois dire que son mode 2 joueurs faisait qu'on insérait volontier la cartouche dans la MD histoire de lever la tête 2 minutes aprés avoir passé 1h à bourrer du pif à Bare Knuckle.

AERO THE ACRO-BAT
(Iguana Software - Sunsoft) - 1993



Aero the Acro-bat nous met dans la peau d'une chauve-souris, qui travaille dans un cirque et qui doit, euh, ben on ne sait pas, mais c'est probablement expliqué dans le manuel. Toujours est-il que, dans le premier stage, il faut marcher sur 7 plateformes avec des étoiles.

Et là, je tique. Qu'est ce que c'est que cet objectif ? Et encore, il ne faut pas seulement marcher dessus, mais sauter dessus jusqu'à ce qu'elles disparaissent. Alors on rebondit sur des trampolines, on grimpe à l'échelle, tout en évitant ou éliminant les ennemis qui se présentent, soit en leur balançant des étoiles (à ramasser), soit en en se jetant sur eux, une attaque assez capilotractée et pas bien précise. On est amené à se jeter dans le vide sans savoir où on va, et on atterrit souvent sur des pics qui tuent en un coup, on ramasse des bonus juste pour augmenter son score, bref, on se demande un peu ce qu'on fiche là.
Le jeu est plutôt joli, mais la musique est horripilante, et rien ne m'a poussé à aller au delà du deuxième stage.

Big up à celui qui a eu la bonne idée de mettre des pics dès le début du jeu, alors qu'on ne sait même pas encore maîtriser son attaque planée.

MEDIOCRE
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AERO THE ACRO-BAT 2
(Iguana Software - Sunsoft) - 1994



Dans cette suite, on doit apparemment battre le même méchant que dans le premier, car il a réussi à s'enfuir au dernier moment, le fourbe !

Plus de cirque ici, on commence dans une vieille maison, mais les commandes sont les mêmes. Par contre, plus d'objectif débile, maintenant il faut juste atteindre la fin du stage, tout en ramassant un max d'items et en tuant un max d'ennemis. Le jeu est plus agréable à parcourir, grâce à un level qui, s'il n'est pas brillant, est correct et fonctionnel. Les musiques sont plus agréables, par contre je trouve que les décors et l'habillage manquent méchamment de personnalité : j'ai eu l'impression de jouer à Daze before Christmas tout le long ! Bref, le jeu a l'air honnête, mais pas de quoi me donner envie de poursuivre.

CORRECT
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).