je ne suis pas fou o/
Ta box décédée c'est la 1?
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J'avoue que j'étais aussi assez excitée en découvrant le titre du jeu

Rain : je sais pas pour ma box, mais c'est temporaire, ça me le fait souvent après avoir joué à Gears 3.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Allez, deux bons jeux pour ce Week End !

Battle Mania (US : Trouble Shooter)
(Vic Tokai - 1991)



Battle Mania est shoot horizontal bien sympathique, dans lequel on incarne Mania et Maria, qui doivent sauver le monde de menaces diverses et variées auxquelles je n’ai pas tout compris, car j’ai joué à la version japonaise du jeu. Mais tout cela n’a pas l’air bien sérieux, étant donné le style SD des deux héroïnes lors de certaines scènes.

On dirige donc Maria, euh, Mania, enfin, la Blonde, quoi, qui est la seule susceptible de subir des dégâts. Sa copine Mania, euh, Maria, enfin, la Brune, quoi, suit le mouvement mais peut tirer soit vers l’avant, soit vers l’arrière, on alterne avec le bouton C. Toutes deux peuvent voir leur arme être upgradée, mais pas changer de style pour autant. Par contre on peut récupérer un module et surtout, avant chaque niveau on choisit une arme secondaire parmi 4 afin d’avoir une smart bomb ou encore un bouclier protecteur. Ses munitions sont infinies, mais son temps de charge est très long.

Le principe du jeu est déjà assez original, et ce n’est pas fini : les deux nanas sont généralement solidaires, mais les obstacles peuvent les séparer, et handicaper la progression. De plus, si les ennemis ne représentent pas franchement une menace, le décor, lui, pose parfois de vrais problèmes, comme lors du deuxième stage, au défilement vertical et dont les parois sont piégées par des scies circulaires mobiles.

Le jeu est mignon comme tout sans être formidable, et bénéficie surtout de petites touches d’humour, tant au niveau du design des ennemis que du comportement des boss. L’action est toujours lisible, le plus dur étant de rester focaliser sur la blonde et pas sur la brune. Mais le jeu ne semble pas bien difficile une fois les niveaux mémorisés, même si on ne dispose d’aucun continue (mais de 3 à 5 vies quand même).

BIEN
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Battle Mania Daiginjo
(Vic Tokai - 1993)




Cette suite de Battle Mania n’a pas quitté le Japon, et c’est bien dommage ! Le principe est toujours le même, puisqu’on dirige Maria et Mania, que seule l’une d’entre elles est vulnérable et qu’on peut choisir le type de module qu’on embarque avec nous. Mais il y a quand même quelques différences.

Déjà, le jeu est biiiiienn plus beau. Les sprites sont plus gros, plus détaillés, et comportent plus de couleurs. Il y a eu aussi un gros effort au niveau des décors, qui ont plus de personnalité, même s’ils bouffent à tous les râteliers niveau influences : il suffit de voir le 4è niveau et ses aliens qui crachent de l’acide pour s’en convaincre. On traversera aussi un temple rempli de Yokai. Le décor a toujours autant d’importance, et on retrouve les scies circulaires du premier épisode, mais le titre exploite surtout mieux les deux protagonistes en multipliant les ennemis très mobiles, dotés d’un seul point faible, ou les éléments de décor susceptibles de nous séparer. La mise en scène est aussi plus ambitieuse : le premier stage, qui nous voit remonter le long d’un building dans lequel se reflète la pleine lune, est vraiment chouette de ce point de vue. Le jeu répond toujours aussi bien, mais il est peut être un poil plus facile que son prédécesseurs, car il rechigne bien moins à distribuer les bonus de vie.

Surtout, si le mode de contrôle par défaut est celui du premier, on peut aussi choisir de pouvoir tirer dans 3 ou 8 directions, et on dispose également dans les options de 3 patterns de mouvements différents pour le module. Dommage cependant que le choix se fasse au début du jeu et pas entre deux niveaux.

Battle Mania Daiginjo est une bonne surprise. Pas un chef d’oœuvre, mais tout de même bien sympathique et pêchu !


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Rooh t'as oublié le meilleur:



(il parait qu'il y a un remarquable petit papier sur le jeu sur un certain site d'émulation )

Excellent, je ne connaissais ni ces jeux, ni cette intro délirante.

Personne ne saurait où la trouver en gif ou en simple image ?

(Grr, je ne retrouve plus le site qui compilait différentes intros avec le logo Sega différents)
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Celui-ci ? http://whipassgaming.com/genesisreviews/segalogofun.html

Juste pour le fun, un comparatif des jaquettes Jap/occidental

J'allais dire du bien des Battle Mania, mais j'ai vu le post de Kimuji et je me suis ravisé
Je ne dirai donc pas que ce sont 2 shmup super jouables, dont la difficulté modulable est adaptée à tous types de joueurs, dont l'humour présent partout fait mouche, dont les graphismes sont très beaux, et dont les patterns d'ennemis sont intéressants. Non je ne dirai rien de tout ça. Et ne comptez pas sur moi pour souligner la façon dont les différents modes de contrôle du second épisode varient le gameplay, surtout le dernier qui nous plonge dans un trip à la Forgotten Worlds.

Etrange que ces 2 jeux ne soient pas plus connus : on les voit rarement cités dans les topics ou les fanboys Megadrive laissent éclater leur mauvaise foi pour prétendre que la MD enterre la Snes niveau shmup. Quel est le "problème" de ces jeux si toutefois il y en a un ? Trop faciles ? Vic Tokai qui n'a pas la même aura qu'un Technosoft ou un Treasure ?

Vi, voilà. Sauf qu'il y a pas cette intro secrète, saperlipopette. Mais merci quand même.
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

http://www.guardiana.net/Ressources/SEGA-Logos/
avec le son mais sans la snes

Avant de le relancer pour les besoins de ce Grosblog, j'avais totalement oublié l'existence de Battle Mania 2. Je pense qu'il est peu connu car sorti uniquement au Japon et en Corée, et que des shoots mémorables ont eux eu droit à une sortie occidentale.

Quant au premier, c'est un peu le cas aussi, même si je me souviens qu'il avait été testé dans la presse à l'époque. Je ne sais pas pourquoi, mais il me rappelait surtout Silhouette Mirage.
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Le 2 cote super cher (genre 15000 yen), je suppose donc qu'il est assez rare a la base.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Ah oui, au fait : vous l'aurez remarqué, c'est la trêve des confiseurs sur mon Grosblog. Je vais profiter des vacances pour prendre un peu d'avance dans mes tests, parce que jusqu'à présent c'était quasiment au jour le jour et c'était un peu compliqué à gérer.
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Reprise du grosblog, avec un jeu Amiga !

Battle Squadron
(Cope-Com/EA - 1990)




(Pour une fois je mets l'écran titre parce qu'il est chouette, et des fois que ça parle à quelqu'un).

Sorti à l’origine sur Amiga, Battle Squadron est un shoot vertical dans lequel il faut partir à la rescousse de Lori Bergin et Barry Mayers, capturés par la flotte Barrax sur la planete Terrainia. Je ne sais pas qui a pu bien se dire qu’un seul pilote se débrouillerait mieux que deux, mais bref.

Le jeu bénéficie d’un chouette habillage, avec une intro classieuse et un écran-titre typiquement Amiga. Les sprites sont très gros, bien détaillés, et leur design est assez intéressant, comme celui de ces vaisseaux qui se camouflent à la Predator. Les musiques ne sont pas en reste, bien au contraire.

Le gameplay est des plus classiques : on démarre avec un tir de base tout pourri, et 3 smart bombs. En détruisant certains vaisseaux ennemis, on peut changer de type de tir pour un 3-Way, un laser et autres tirs obligatoires dans ce genre de jeux. Le contact avec un tir ou un vaisseau ennemi nous tue direct, mais heureusement on réapparait dans la foulée et en conservant notre arme.

Le souci, c’est que le jeu est ù£*$& de difficile. Les gros sprites, c’est joli, mais quand le masque de collision est gros aussi, ça pose des soucis. Les ennemis balancent en plus beaucoup de boulettes par défaut, et ça fuse vite dans tous les sens. En plus de ça, bien qu’on garde notre arme quand on meurt, on ne peut pas dire qu’on trouve fréquemment des upgrades. Résultat, je n’ai pas réussi à passer le deuxième stage, même en diminuant dans les options le nombre de projectiles maximum et leur vitesse au minimum. Je suis un peu mitigée, mais je ne peux pas dire que le titre soit désagréable ou mal fichu. Il faut juste aimer se faire mal.

J’ajoute que le jeu est jouable à deux simultanément, et que je conseille grandement d’y jouer avec un stick si c’est possible, étant donné l’absence d’autofire.

PAS MAL
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Battle Squadron et sa bande son si particulière.
J'ai toujours trouvé que les sons des impacts sonnaient bizarement. Mais ça fait partit du charactère du titre.

Je vous avais déja raconté que lorsque javais 14-15 ans, je voulais offrir ce jeu pour l'aniversaire d'un ami ?
Et ne me souvenant ni du nom , ni de la jaquette, j'avais alors acheté par erreur Herzog Zwei ....

Les screens au dos de la boite ???
Ah, hé, heu, je devais être dans un état second du à l'excitation et à la joie d'acheter ce jeux qui ce jouait à deux pour sauver la galaxie.

Herzog nous tous marqué à jamais, au dela de mon erreur.
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Battle Tech
(Tiburon Entertainment/Activision - 1995)



Tiré de la licence Battletech, ce shoot en 3D isométrique à la Desert Strike nous met aux commandes d’un mecha qui ressemble énormément à l’ED-209 de Robocop. Pour accomplir chaque mission, il faut détruire un certain nombre d’objectifs, parfois dans un temps limité : radars, usines de production d’armement, centrales énergétiques, etc.

Notre robot dispose de 3 armes, attribuées chacune à une touche du pad : une mitrailleuse légère, une arme de longue portée et une arme de courte portée (en gros). On choisit chacune d’elles parmi trois avant le début des missions. Contrairement à la version SNIN, on ne peut pas diriger indépendamment les jambes du robot et son torse, du moins pas quand on joue seul, il faut donc se dépatouiller pour tirer dans la direction souhaitée tout en abattant les ennemis, mais ce n’est pas trop compliqué à gérer, même si on gâche pas mal de munitions. Heureusement on en trouve dans les ruines des dépôts et autres tourelles qu’on aura détruits.

Le mecha peut encaisser deux types de dégâts : les permanents, symbolisés par une barre rouge, et les temporaires, représentés par une barre jaune, qui décroit au fil du temps, mais la plupart des ennemis infligent des dégâts permanents, qu’on peut quand même réparer en ramassant du liquide de refroidissement. En mettant la pause on a accès à un plan de la zone à nettoyer, avec l’emplacement des ennemis et objectifs.

Le jeu est plutôt joli, et notre mecha, comme les ennemis, bénéficient d’un design réussi. Dommage par contre qu’il n’y ait pas de musiques durant les missions, mais c’est compensé en partie par des voix digits de qualité. Le gros souci du jeu, c’est surtout sa difficulté frustrante, due en grande partie à la taille imposante du robot, qui rend les esquives difficiles. La difficulté à orienter son tir exactement où on veut n’aide pas beaucoup. SI vous voulez tenter le coup, je vous conseille d’utiliser un code Game Genie pour devenir invincible, car le jeu est malgré tout sympa à parcourir sans pression.

ASSEZ BIEN
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La barre jaune n'est elle pas plutôt la jauge de chaleur ?

Habituellement cette licence est articulé autour du concept d'emission de chaleur qui devient vite pénalisante et embêche de mouvoir le mech si il se trouve en surchauffe.

Le modèle du Mech que l'on dirige n'est hélas pas un Maraudeur

(issue de Macross par un savoureux plagiat de la part de Fasa Corp) mais un MadCat.
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En fait c'est un peu les deux à la fois. Il s'agit bien, en théorie, d'une jauge de chaleur (la rouge comme la jaune), puisqu'on peut ramasser du liquide de refroidissement pour la faire descendre, mais elle se comporte tout à fait comme une jauge de dégâts, puisque le mecha augmente quand elle est pleine. Le concept de chaleur est juste plus réaliste, et justifie la possibilité de "réparer" son mecha en pleine bataille.
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"Le mecha augmente quand elle est pleine"

C'est à dire ?
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C'est à dire que j'ai fait n'importe quoi avec ma phrase

Je voulais dire "le mecha explose quand elle est pleine", ça va bien au delà d'une simple immobilisation. Bref, les deux jauges sont des jauges de chaleur, mais qui augmentent en fonction des dégâts subis.
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