Le 2009-06-02 22:14, Jika a écrit :
Y a pas à dire, la rivalité PS3/X360, les deux machines étant au coude à coude, c'est ce qui est arrivé de mieux aux joueurs depuis le duel féroce entre Megadrive et Super NES.

Le 2009-06-03 12:03, gregoire01 a écrit :

Quand même un défault de cette conf, l'absence de date précise et fixe. C'est une habitude de Sony et ça a tendance a se retourné contre eux entre les jeux retardé ad eternam et les exclu qui finisse par sauter.

Imaginez une manette Xbox 360, gardez tous ses boutons (notamment le plateau ABXY et les gâchettes analogiques), coupez-la en deux (avec un système permettant de réunir les deux moitiés en un pad classique) , mettez-lui des capteurs de mouvements de chaque côté, un pointeur pour les FPS, et vous aurez une manette possédant les avantages d'une Wiimote sans les inconvénients dûs à son extrême simplicité. Une Wiimote pour les joueurs "traditionnels" en quelque sorte.

Le 2009-06-03 11:27, Laurent a écrit :
Concernant les nouveaux modes de contrôle de MS et Sony, ça ne m'attire pas plus que la Wii-mote, pour moi le problème reste le même dans tous les cas : je n'ai pas envie de changer, point.

Augmentation de près de 50% par rapport à la révision actuelle, les 249 euros annoncés au dernier E3 surprennent les analystes. Sony France, interrogé par Overgame, souligne cependant la richesse de son offre jeu, différence numéro un par rapport à l'iPhone d'Apple.
Dans une note destinée aux investisseurs et envoyée hier, Michael Pachter s'est ainsi dit "surpris" du prix de la PSP Go annoncé la semaine dernière durant l'E3. La machine, dont la sortie est programmée pour le 1er octobre en Europe et aux Etats-Unis (le Japon doit lui attendre jusqu'au 1er novembre), sera en effet vendue 250 euros ou 250 dollars selon le territoire, soit le prix de la PSP originale à son lancement en 2004/2005. La PSP-3000, dernière révision en date de la plateforme, est elle étiquetée à 170 euros et 170 dollars respectivement. Pour l'analyste, la différence de prix entre les deux consoles est d'autant plus étonnante vu les économies permises par la disparition du lecteur UMD, lequel doit "certainement" revenir plus cher que l'ajout des 16 Go de mémoire flash. "D'après moi, Sony essaie de positionner la machine face à l'iPod Touch, estime-t-il. Mais sans écran tactile et sans AppStore, ça va tomber à plat. Passée la ruée initiale des fanboys, les ventes de l'appareil vont probablement plafonner".

Dans une interview à paraître prochainement sur le magazine Overgame, Georges Fornay, président de Sony Computer Entertainment France, justifie l'absence d'écran tactile en invoquant la nécessité de se concentrer sur le cœur de cible Playstation : les joueurs "expérimentés". "C'est important parce que les pads et boutons habituels sont tout de même plus confortables et plus précis qu'un écran tactile, explique-t-il. Apple fait un très bon travail mais plutôt sur le segment casual. Je pense que notre force, aujourd'hui, c'est tout de même notre expérience du jeu vidéo, et il ne faut pas que l'on perde ça."

Sur la question du prix, le responsable se montre confiant dans la fameuse proposition de valeur offerte par la PSP Go, en particulier côté logiciel. "C'est toujours trop cher, rétorque-t-il, mais il faut voir de quel produit on parle : vous avez 16 Go de mémoire flash, c'est une nouvelle machine, assez sophistiquée… Je pense que le contenu était ce dont avait surtout besoin la PSP [plus que d'une baisse de prix]. Je pense que nous avions un peu faibli de ce côté-là, et la grande leçon de ce salon est que la qualité est de retour : Metal Gear Solid Peace Walker, Gran Turismo, Assassin's Creed… C'est ce type de titres, destinés aux joueurs, qui nous manquait. Et je pense que ça va bien aider les ventes de consoles".

D'après Wired, Sony aurait confirmé que les détaillants profiteront d'une marge plus importante sur les ventes de PSP Go. Le magazine spécule qu'il pourrait s'agir d'une concession destinée à convaincre les distributeurs de stocker la console puisque celle-ci les court-circuite désormais sur les ventes de jeux, traditionnellement plus rentables que le marché hardware. Quoi qu'il en soit, d'autres analystes se sont montrés plus optimistes. Billy Pidgeon, interrogé par Kotaku, pense ainsi que la machine devrait connaître un certain succès et qu'elle annonce d'ores et déjà un "appareil tout-numérique de prochaine génération" Sony doté d'écran tactile et de téléphonie intégrée. Il n'est pas le seul ; David Perry, ex-fondateur de Shiny et co-initiateur des premières rumeurs de PSP 2 il y a quelques mois, confie à Develop que la "suite logique" pour le constructeur passe désormais par une collaboration avec sa division Sony Ericsson.