Alors, les jeux drôles ou m'ayant occasionné un rire complice :

- Les deux premiers Broken Sword, en VF s'il vous plaît. Une écriture ciselée et le décalage linguistique de Georges, dans les Chevaliers de Baphomet , avec nos compatriotes franchouillards, est tout simplement irrésistible.
- Le petit elfe dans Secret of Mana, qui arnaque les deux autres héros lors de leur première rencontre. Dans le même jeu, Chacha le marchand qui arrive toujours à point nommé, avec sa camelote vendue à des tarifs exhorbitants, mais le joueur est quand même bien content de le voir, cet enf...
- L'Asterix de Konami en arcade : lors de mes parties, je suis partagé entre émerveillement devant la qualité de l'adaptation et l'humour des situations, notamment Obelix balançant son menhir sur les romains ou les aplatissant exactement comme dans la BD
- Escape Kids, dans la catégorie bête et méchant, mais j'en redemande : les concurrents battus sont emportés dans les canalisations de WC
- Le tout premier Mario Party : des barres de rire devant les mini-jeux, tour à tour débiles ou vachards, et la nuit blanche ultime passée sur un jeu vidéo en ce qui me concerne (22h-8h du mat' je sais, c'est petit joueur comparé à certains ^^)
- Donkey Kong 94 : un mario pour une fois immortel dont les mimiques n'en sont pas moins savoureuses
- Landstalker : bienvenue chez Mme Rose, là où tous les mâles cherchent à se rendre... pour faire ce que vous savez ^^°
- Final Fight : ce bad guy dont on défonce la voiture dans un bonus stage et qui arrive après en versant de grosses larmes... tout simplement irrésistible.
- Stunt Car Racer sur Atari ST: le délire des cascades, le fun des courses, j'en ai ri de plaisir et de jubilation
- Le premier Road Rash, pour les mêmes raisons que Stunt Car Racer.
- Super Mario Kart : aujourd'hui encore, probablement le jeu multi le plus cher à mon coeur, où l'on pouvait aussi bien s'amuser avec les potes que se surprendre à améliorer son skill, encore et encore... sans toutefois avoir la prétention de devenir le nouveau Mario86 ^^
- Yoshi Island : comment ne pas rire devant un jeu où Yoshi expulse ses adversaires par le fondement ? Et, bien sûr, l'île Cotonou et son trip "je suis trop défoncé, oah, je plâne et le décor fait des vagues"
- Vendetta : un monument de rigolade en arcade, pas de très bon goût je vous l'accorde, mais au début des 90's nous n'en n'étions pas à ce genre de considérations.
- Les jeux de catch AKI sortis sur N64 : entre les possibilités de customisation des persos et le fun des combats, j'ai retrouvé là tout ce que j'aimais dans le catch, sans être un gros fan de la discipline.
- Enfin, je ne compte plus les nombreux rires sur des jeux multi, que ce soit pour un exploit inattendu, une crasse de première classe effectuée... ou reçue : Worms, Bomberman, Micromania (surtout le V3), SF2 et la série des ISS / PES dont je conserve malgré tout des bons souvenirs (si seulement ces jeux n'avaient pas pris à ce point le devant de la scène durant les soirées entre potes...)

Puis les jeux m'ayant fait rire à leurs dépends :

- L'accent marseillais de Sun Jian dans Dynasty Warriors 3 (allez savoir, c'était peut-être un trip assumé, façon doublage de Ken le Survivant)
- La médiocrité merveilleuse de Rainbow Six sur Playstation (déjà évoqué dans le top flops)
- L'intro et les dialogues du premier Resident Evil, un grand moment ^^° (No ! Don't Goooo !!!)
- ET the Extraterrestrial : gros fou rire nerveux lors d'une partie où j'étais incapable de me sortir de l'un de ces fameux gouffres. Ceux qui, à l'époque, ont douillé pour se le procurer n'ont pas dû se marrer en revanche.
- Metal Gear Solid 2 : outre les tunnes de dialogues qui m'ont occasionné quelques rires jaunes, j'ai été à deux doigts de me faire dessus, lors de la scène censément être la plus dramatique du jeu, lorsque Otacon se lamente après le décès de sa demi-soeur. C'était bien la peine de se moquer de la VF du premier Metal Gear Solid, quand on voit à quel point la VO est à ce point mal écrite et mal jouée ! Le fameux "Fais-moi sentir vivant" de MGS, à côté, ce n'est que de la gnognotte !

Je suis sûr d'en avoir oublié dans les deux catégories...
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Récemment par exemple, j'ai curieusement bien rigolé avec Alien: Isolation, où l'Alien me surprenait, ou qu'il faisait demi tour alors qu'il était en train de sortir de la pièce où je me planquais
ou encore dans Rage 2, avec les phases de shoot fantastiques

Pas si curieux : le rire est une réaction courante face à un spectacle horrifique, comme un mécanisme de défense. Je connais tout plein de gens qui se sont marrés comme des baleines devant les scènes les plus éprouvantes de The Thing
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Je rie :
- dans Mario Kart quand c'est l'apocalypse
- dans les Dark Souls après être mort d'un piège aussi vicieux qu'astucieux (ah la forteresse de Sen !)
- en jouant à Kero Kero King Super DX à chaque mimique du "Magloire"
- lors des parties multi de (Saturn) Bomberman
- durant les petits dessins animés débilou-kawaii de Puzzle Bobble 2
- dans Civilization quand mes chars soviétique libèrent les dernières peuplades impérialistes rééduquées à coup de missiles nucléaires pour établir le communisme à l'échelle de la planète
- en jouant à Apocalypse Cow
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"[...] non ! cet ours est mon guide sprituel !"

Les trois jeux où j'ai bien ri sont :
- Overkill pour ses dialogues et son univers complètement pété : "conver-fucking-sation ?!"
- God Hand pour ses bosses aux entrées et sorties complètement ridicules.

- Et le fou rire inattendu et incontrôlable accompagné d'un sentiment de jubilation quasi enfantine s'est produit lors du coup final sur le dernier boss épique de Wonderful 101... C'est tout con, ça tape juste et on lui en met plein la gueule



Un jeu SEGA et deux jeux Platinum... forcément
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Ça m'arrive souvent, oui. Quand il y a un bug amusant notamment ou même quand je réalise un massacre dans un jeu et que le résultat me surprend moi-même ^^.

Ou quand j'écoute l'introduction française du remaster d'Operation Winback sur PS2 :

Pour vous mettre en bouche :
La guerre, toujours la guerre. La fin du doublage s'est déroulée plus ou moins comme nous l'avions prévu : trop de monde, pas assez de voix. Les détails sont triviaux et inutiles... Ah, je vois que tu as une sauvegarde de Metal Gear Solid, tu aimes les jeux d'espionnage, mon petit Nicolas Sarcozie !

(ça commence à 1:45)


Détail encore plus nanar sur cette ahurissante VF de Winback : la version N64 n'était pas doublée faute de stockage sur la cartouche, mais le pays fictif énoncé dans l'introduction était la ZAROZCIE, et non la SARCOZIE comme sur la version PS2 !

C'est à se demander ce que les responsables du doublage ont fumé ce jour là avec Philippe Monnet.


Image d'un habitant de la Sarcozie qui semble en savoir long sur le sujet (en fait non, c'est tiré de l'épouvantable nanar "The Monster X Attacks the G8 Summit", faites une recherche sur Youtube)
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Turrican Maniac (©️ nicko).

Je dois etre un psychopathe, j'ai jamais ris devant un jeu. PLeurer du sang devant un jeu SEGA oui (Shenmue si tu nous regardes....) mais rire nan....

Sourire par contre plus souvent oui.

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Est ce que vous riez devant un jeu?

NON


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Ce genre de feu, il est très difficile de l’éteindre. Les tendres rameaux de l’innocence brûlent les premiers. Puis le vent se lève, et toute bonté est alors en péril

Ratatata: Nikeleos vous êtes vraiment étrange dans vos réactions

Parfois le rire sert d'échappatoire au désespoir face à un jeu sadique.

Exemple.

Perso, surement autant d'occasion que listé ici de rire au dépend ou avec un jeu.

...Et puis hier soir, on m'a offert ceci :




( Ok, un jeu qui essaye de rire du joueur - ou bien avec ? )