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Auteur | Groblog Sebinjapan : exploration du Romset Snes |
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Joue à Zelda TOTK Inscrit : Jul 18, 2002 Messages : 8851 De : Ooita, avec mer, montagnes et forets Hors ligne | Posté le: 2009-10-21 01:12 J'ai un peu joue a l'Inspecteur Gadget il y a quelques annees mais j'ai vite abandonne, l'ayant trouve trop dur. Sur cette licence, y a un jeu de type Mario Kart sur GBA aussi.
Inazuma Serve da!! Super Beach Volley (Virgin - 1995) C'est la date qui me fait le plus tiquer. Le jeu est certes graphiquement immonde, mais a la limite, s'il etait sorti en tout debut de vie de la machine, il aurait ete "seulement" laid. Mais bon sang, 1995, c'est l'annee de Seiken Densetsu 3, le plus beau jeu de la SFC... _________________ The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him |
Sebinjapan Camarade grospixelien Joue à Disgaea (PSP) Inscrit : May 02, 2007 Messages : 7781 De : Thionville Hors ligne | Posté le: 2009-10-21 20:20 Ippatsu Gyakuten : Keiba Keirin Kyotei
(Eleca / POW - 1996) Ce jeu nous permet de parier de l'argent sur des courses de chevaux, de vélo ou de bateaux, et ce soit en choisissant l'épreuve voulue dans un menu (mode libre) soit en parcourant le mode story dans lequel on doit surveiller le calendrier pour savoir ou les courses ont lieu, s'y rendre à condition d'avoir l'argent nécessaire pour se déplacer, et faire des petits boulots pour gagner de l'argent. Comme dans d'autres softs du genre, on est simplement spectateur des épreuves auxquelles on ne prend pas du tout part. Les graphismes des courses sont très corrects, contrairement hélas à ceux affichés dans les fenêtres minuscules du mode aventure. Ce dernier semble avoir un semblant de scénario puisqu'on voit dans une intro le héros se faire casser la tronche par un type en costard. Je doute cependant qu'il soit suffisament interessant pour nous permettre de surmonter l'ennui suscité par ce type de jeux. Tout est en japonais bien sur. Itadaki Street 2 : Neon Sign wa Bara Iro ni (Tomcat / Ascii / Enix - 1994) La série des Itadaki Street est assez populaire au japon. Il s'agit de jeux de plateaux dans lesquels on lance un dé pour se déplacer de cases en cases et on peut acheter les bâtiments qui se trouvent sur les cases sur lesquelles on tombe. Si ensuite un autre joueur arrive sur la même case il doit nous donner de l'argent. Le vainqueur est celui qui atteind une certaine somme. Monopoly sans la licence ? Euh oui, c'est un peu l'impression que ça donne. Certaines cases spéciales permettent de gagner des cartes ayant une utilité que seuls ceux lisant le japonais courrament pourront comprendre, tandis que d'autres nous envoie au casino ou il est possible de jouer au bandit-manchot. Pour les amateurs du genre, notons que cet épisode est jouable à 4 et dispose de 15 plateaux de jeu, certains se déroulant dans des mondes bien connus comme celui de Dragon Quest. Graphiquement c'est assez mignon et les musiques sont sympathiques. |
Sebinjapan Camarade grospixelien Joue à Disgaea (PSP) Inscrit : May 02, 2007 Messages : 7781 De : Thionville Hors ligne | Posté le: 2009-10-22 21:50 Et voici pour finir mes 2 jeux préférés parmis les "i" :
Indiana Jones' Greatest Adventures (Factor 5 / Lucasarts - 1994) Les grandes scènes des 3 premiers films d'Indiana Jones sont retranscrites dans ce jeu d'action/plate-forme au gameplay varié. Si dans la plupart des niveaux on dirigera le célèbre héros bi-classé archéologue/aventurier vu de profil et devant atteindre la fin du stage, d'autres séquences nous mettront aux commandes d'un véhicule vu de derrière dans des niveaux utilisant le fameux mode 7 de la console. Ce sera le cas lors de la descente en canot pneumatique tirée du début du "Temple of Doom", de la course en wagonets issue du même film ou du combat aérien ou Indy et son père pilotent un bi-plan dans "Last Crusade". Et même lors des phases au gameplay de plate-forme, la variété sera au rendez vous. Ainsi le tout premier niveau nous fait traverser les cavernes menant à l'idole sacrée, le suivant retranscrit la célèbrissime scène ou Indy court pour échapper à un rocher géant qui manque de l'écraser, ensuite on est dans les neiges du népal pour se rendre chez Marion, et le niveau d'après met en scène l'auberge en flamme dont il faut s'échapper avant d'être pris au piège par l'incendie. Voilà qui démontre les 2 grandes forces du jeu : son gameplay varié et sa fidélité aux films. La jouabilité est bonne et Indy peut accomplir pas mal d'actions : sauter, donner des coups de poing, utiliser son fouet pour attaquer ou s'accrocher à des endroits détermniés, faire des roulades, lancer des grenades et tirer au pistolet. Le tout s'exécute sans le moindre problème. La réalisation est bonne graphiquement avec des sprites assez jolis quoi que pas toujours bien animés, de bon décors et des scène intermédiaires utilisant des photos digitalisées venues des films. C'est moins bon au niveau son avec des bruitages moyens et des musiques qui, si elles reprennent bien les célèbres thêmes, sont parfois de qualité moyenne et bouclent de façon abrupte. Le problème de ce jeu est qu'à vouloir en faire trop, il y a forcément du déchêt. Toutes les phases ne sont pas passionantes et la difficulté est mal dosée. Ainsi le 2ème niveau vous fera perdre pas mal de vies jusqu'à ce que vous mémorisiez le parcours que Indy doit faire pour échapper au rocher géant, le niveau suivant étant pour sa part d'une grande facilité. De même on déplorera quelques petits problèmes de game-design ici et là. Donc Indy n'est pas un chef d'oeuvre du genre mais tout de même un bon jeu d'action qui plaira énormément aux fans des films. 3.5/5 Illusion of Gaia / Gaia Gensouki / Illusion of Time (Quintet / Enix - 1994) Will est un jeune garçon dont le père, un explorateur, a disparu au cours d'une expédition. Il vit désormais dans un petit village chez ses grand-parents. Un jour, après avoir rencontré par hasard la princesse du chateau d'à coté, Will reçoit une lettre du roi qui lui demande de lui apporter un artefact ayant appartenu à son père. Ne sachant pas de quoi il s'agit, Will se rend au chateau pour en savoir plus ... et se fait jeter aux cachots pour n'avoir pas satisfait immédiatement les demandes du roi. Au fonds de sa cellule, il entend la voix de son père lui demandant de s'échapper et de partir en quête d'anciens artefacts ... Tel est le départ de l'histoire de cet action-RPG beaucoup plus scénarisé et linéaire qu'un Zelda ou un Mana. Dès le départ, on rencontre de nombreux personnages qui interragissent avec le héros lors de dialogues assez amusants (certains permettent de faire des choix mais c'est assez rare). Il y a clairement 2 phases distinctes : les villages ou on cherche des objets et ou on parle avec les habitants, et les donjons ou l'on combat et résoud des énigmes (simples). Will peut frapper avec un baton, courir, utiliser des objets et quelques pouvoir magiques (le 1er permettant d'attirer certains objets à distance). Dès le 1er donjon, on obtient la possibilité (à certains endroits) de se transformer en un redoutable guerrier armé d'une grande épée. Ce dernier peut se mettre en garde et dispose de ses propres habilités. Il faudra choisir le bon personnage pour passer les épreuves qui se présenteront à nous dans les donjons. Illusion of Gaia est le 2ème épisode de la pseudo trilogie Quintet sur Snes (les histoires ne se suivent pas mais il y a des liens) avec Soulblazer et Terranigma. Il est le plus scénarisé des 3 mais et, en contrepartie, celui qui offre le moins de liberté et d'exploration. Il est toutefois un très bon jeu proposant une aventure longue et interessante. Coté réalisation c'est très bon avec des musiques excellentes, de petites animations sympathiques et des graphismes corrects. Le manabilité est efficace, le level-design des donjons tout à fait correct et on s'amuse beaucoup. 4/5 |
Amindada Pixel monstrueux Score au grosquiz
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Inscrit : Feb 02, 2006 Messages : 2388 Hors ligne | Posté le: 2009-10-22 22:15 le "Indy" est un peu comme la trilogie des "super star wars",nan?
Sinon je sais pas moi,j'ai jamais accroché totalement à Illusion of time,je trouve ce jeu fade et aseptisé,on a un peu l'impression d'être devant "le action-rpg japonais en 10 leçons,cas d'école". Ca sent trop le savon et pas assez la foufoune (10 points pour qui retrouve l'auteur de cette belle phrase) |
Panda Gros pixel Score au grosquiz
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Joue à C'est compliqué Inscrit : Jan 27, 2004 Messages : 1431 De : Paris Hors ligne | Posté le: 2009-10-22 22:18 André Manoukian ?
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Amindada Pixel monstrueux Score au grosquiz
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Inscrit : Feb 02, 2006 Messages : 2388 Hors ligne | Posté le: 2009-10-22 22:20 Citation :
Le 2009-10-22 22:18, Panda a écrit :
André Manoukian ? Bravo! Sinon Seb,à la fin du thread tu fera ton palmarès par genre sur la machine? |
Sebinjapan Camarade grospixelien Joue à Disgaea (PSP) Inscrit : May 02, 2007 Messages : 7781 De : Thionville Hors ligne | Posté le: 2009-10-23 16:59 Oui, Indy suit le même modèle que les jeux Star Wars du même développeur. On retrouve les mêmes caractéristiques (gameplay varié, même maniabilité, difficulté parfois mal dosée, réalisation soignée ...).
C'est vrai qu'il est très académique ce Illusion of Time : bien carré avec une histoire limpide et un enchainement d'événements qui te dit clairement ou aller et quoi faire. Il manque un peu de poésie c'est sur. Mais à coté de ça, c'est un produit bien fini, au gameplay bien équilibré, avec un bon rapport entre énigmes et combats. Efficace quoi. On en parlait il y a pas longtemps chez Rainmaker ici : http://www.grospixels.com/phpBB/viewtopic.php?mode=viewtopic&topic=12838&forum=15&start=120 A la fin du thread, ce serait bien que chacun donne son top par genre en fait, on se refera les Tilt d' Or En attendant voici ma sélection pour la lettre "i" : Catégorie "Premiers de la classe" : Illusion of Time ISS Deluxe Catégorie "Ont fourni un travail exemplaire tout au long de l'année" : Indiana Jones Greatest Adventures Irem Skins Game Iron Commando Catégorie : "Peut mieux faire" : Inspector Gadget Izzy's Quest Catégorie : "Si il redresse pas la barre, on le fout dans le privé !" : Imperium |
yedo Pixel imposant Score au grosquiz
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Inscrit : Mar 25, 2007 Messages : 606 Hors ligne | Posté le: 2009-10-23 19:35 Illusion Of Time a en effet un petit côté lisse et simple (mais pas simpliste) qui l'empêche d'être un véritable chef-d'oeuvre, à mon goût. Mais, tout comme Seb, je trouve que ce jeu fait les choses bien et de mannière efficace. Le gameplay est très plaisant et la progression coule de source. En gros on ne se prend pas la tête et c'est très agréable. D'ailleurs ce que j'adore dans ce jeu c'est le fait que les monstres ne réapparaissent pas une fois qu'on les a éliminé (concept déjà existant dans Soulblazer). C'est vraiment bon, et en plus on a un droit à un power up quand on a éliminé tous les monstres présents dans une salle, de quoi vouloir débusquer tous les ennemis. Et puis comme l'ambiance est excellente, avec de très bonnes musiques (j'approuve les dires de Seb sur ce point), passer du temps dans les donjons n'est pas vraiment ressenti comme une corvée. Dommage donc que le jeu soit un peu trop linéaire et court. L'histoire est sympathique et contient quelques passages narratifs intéressants (je pense notamment au radeau et le coup du jeu avec les verres à boire dans la ville flotante) mais elle manque de souffle...
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Lyle Camarade grospixelien Inscrit : Mar 12, 2002 Messages : 3722 Hors ligne | Posté le: 2009-10-23 21:54 Ben mince, t'as réussi à passer la séquence au rocher dans Indiana Jones ? Je pensais que c'était possible qu'avec un code d'invulnérabilité... ou alors t'as utilisé les saves states. J'ai été impressionné par la réal de cette trilogie. Ils étaient vraiment bons chez Factor 5. Par contre, côté équilibrage de difficulté, ils ont fait un peu n'importe quoi.
J'ajouterais une catégorie spéciale pour Incantation : "devrait penser un peu à travailler son level design au lieu de passer le plus clair du cours à griffonner de jolis dessins..." On en trouvais beaucoup sur Amiga des comme lui. |
Sebinjapan Camarade grospixelien Joue à Disgaea (PSP) Inscrit : May 02, 2007 Messages : 7781 De : Thionville Hors ligne | Posté le: 2009-10-27 18:46 La lettre J sera placée sous le signe du sport, entre-autre du football nippon avec les jeux disposant de la licence J League, c'est-à-dire le championnat japonais.
J League Excite Stage 94 / Capcom Soccer Shootout / Soccer Shootout (Epoch - 1994) La série des Excite Stage met au placard l'aspect simulation du football et, même si on n'y trouve pas de coups spéciaux, on a un gameplay très rapide beaucoup plus proche de Football Champ (Hat Trick Hero) que ISS. C'est donc de l'arcade à gogo avec quasiment jamais de fautes sifflées, des reprises de volée qui sortent facilement et qui propulsent la balle comme un boulet de canon ... etc ... Les boutons de la manette servent à effectuer passes et tirs (pas de bouton pour courir) tandis que les boutons L et R servent à donner de l'effet (super exagéré soit dit en passant !). Un mode entrainement propose de passer quelques petites épreuves avec un high score à la clé. La version japonaise met en scène les équipes de la J League tandis que les versions occidentales distribuées par Capcom nous offrent des équipes nationales. Dans les 2 cas, toutes les équipes ont le même niveau, donc pas la peine de se jeter sur le Brésil. Déjà très amusant en mode "normal", le jeu devient frénétique dans son mode "foot en salle" ou les murs font rebondir la balle et l'action ne cesse jamais. Les graphismes sont malheureusement moyens et l'IA du jeu prévisible fait qu'on s'en lasse vite, mais en multi (possibilité de jouer à 4), le jeu est vraiment très très fun ... 2.5/5 J League Excite Stage 95 (Epoch - 1995) J League Excite Stage 96 (Epoch - 1996) Dans les épisodes suivants, on trouve un peu plus de modes de jeu (tournois, championnats ...) bien que malheureusement seules les quelques équipes japonaises de la J League soient disponibles, et surtout un menu d'options bizarrement absent du précédent jeu et qui permet différents réglage étrangement différents d'un jeu à l'autre. Ainsi seul l'épisode 95 permettra de régler le niveau de difficulté tandis que le 96 disposera d'un règlage de la sévérité de l'arbitre et des conditions climatiques. Techniquement, les graphismes n'ont quasiment pas été améliorés mais on trouve quelques petites animations en plus pour les joueurs. Le gameplay est 100% identique et toujours aussi fun (les effets avec L et R sont encore plus exagérés ^^ ). C'est aussi un peu moins fouilli (l'arbitre siffle enfin des fautes et donne des cartons, quoique ça reste très rare) et l'IA des adversaires a été améliorée. Oh ce n'est pas génial non plus puisque toutes les équipes jouent à peu près de la même façon mais elles sont moins prévisibles et adoptent parfois des changements de stratégie en plein match (enfin je l'ai surtout remarqué sur l'épisode 96). Le jouissif mode en salle est bien évidemment toujours présent et constitue le principal attrait de la série face à la concurrence. Donc à priori, et à moins que les quelques menus en japonais vous rebutent, vous devriez plutot adopter l'épisode 96 pour vous essayer à cette très sympathique série de jeux de foot, certes pas au niveau de ISS mais très amusante tout de même. 3/5 |
Tonton Ben Pixel monstrueux Joue à HearthStone, Overwatch, Diablo III ROS, Retropie Inscrit : Dec 05, 2003 Messages : 4257 De : Lille (le pays de la bière) Hors ligne | Posté le: 2009-10-28 15:33 Citation :
Le 2009-10-23 21:54, Lyle a écrit :
Ben mince, t'as réussi à passer la séquence au rocher dans Indiana Jones ? Je pensais que c'était possible qu'avec un code d'invulnérabilité... ou alors t'as utilisé les saves states. J'ai été impressionné par la réal de cette trilogie. Ils étaient vraiment bons chez Factor 5. Par contre, côté équilibrage de difficulté, ils ont fait un peu n'importe quoi. J'ajouterais une catégorie spéciale pour Incantation : "devrait penser un peu à travailler son level design au lieu de passer le plus clair du cours à griffonner de jolis dessins..." On en trouvais beaucoup sur Amiga des comme lui. Ah mais c'est pas vrai, tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ! Vous avez fini de pourrir l'Amiga Rroognntuudjuuu ! Pour Indy, tout pareil. La difficulté est immonde, le jeu est réputé pour. _________________ |
Sebinjapan Camarade grospixelien Joue à Disgaea (PSP) Inscrit : May 02, 2007 Messages : 7781 De : Thionville Hors ligne | Posté le: 2009-10-28 15:41 La phase avec la boule dans Indy est quand même largement moins horrible que d'autres phases similaires à scrolling forcé dans d'autres jeux. Le niveau 1-4 de Hagane est pire, tout comme la phase de l'autruche dans Lion King qui survient pourtant dès le 2ème niveau (on en reparlera bientot de celui là).
Dans sa globalité, Indy n'est pas *si* dur que ça, la difficulté est juste mal répartie sur l'ensemble des niveaux et survient souvent là ou on ne l'attend pas. Tonton, revient lire le groblog ce soir, on parlera de l'Amiga en bien, promis |
Tonton Ben Pixel monstrueux Joue à HearthStone, Overwatch, Diablo III ROS, Retropie Inscrit : Dec 05, 2003 Messages : 4257 De : Lille (le pays de la bière) Hors ligne | Posté le: 2009-10-28 16:08 Toi, je te vois venir avec ton J !
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Lyle Camarade grospixelien Inscrit : Mar 12, 2002 Messages : 3722 Hors ligne | Posté le: 2009-10-28 19:39 Citation :
Le 2009-10-28 15:33, Tonton Ben a écrit :
Citation :
Le 2009-10-23 21:54, Lyle a écrit :
Ben mince, t'as réussi à passer la séquence au rocher dans Indiana Jones ? Je pensais que c'était possible qu'avec un code d'invulnérabilité... ou alors t'as utilisé les saves states. J'ai été impressionné par la réal de cette trilogie. Ils étaient vraiment bons chez Factor 5. Par contre, côté équilibrage de difficulté, ils ont fait un peu n'importe quoi. J'ajouterais une catégorie spéciale pour Incantation : "devrait penser un peu à travailler son level design au lieu de passer le plus clair du cours à griffonner de jolis dessins..." On en trouvais beaucoup sur Amiga des comme lui. Ah mais c'est pas vrai, tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ! Vous avez fini de pourrir l'Amiga Rroognntuudjuuu ! Pour Indy, tout pareil. La difficulté est immonde, le jeu est réputé pour. Je suis le premier à le regretter, mais c'est un fait : beaucoup de jeux de plates-formes sur Amiga sont gâchés par un level design totalement inintéressant, ou presque. On peut étudier ça en détails (sur un autre thread) s'il y a matière à polémique. Je le regrette, parce que dans ces jeux il y a plein d'esthétiques super intéressantes, souvent plus riches que ce qu'on faisait sur consoles à la même époque. |
Sebinjapan Camarade grospixelien Joue à Disgaea (PSP) Inscrit : May 02, 2007 Messages : 7781 De : Thionville Hors ligne | Posté le: 2009-10-28 21:51 Super James Pond 2
(Vectordean / Millenium / Ocean - 1993) Sous prétexte de coller un "Super" devant son titre, ce jeu se retrouve affublé d'un nom tout à fait absurde, tout comme Super Castlevania 4. En effet, il n'y a aucun jeu nommé Super James Pond dont ce jeu pourrait être la suite, et de plus l'épisode suivant laisse tomber le "Super" dans son titre, ce qui aurait d'ailleurs été de la publicité mensongère comme on va le voir un peu plus loin. Les Américains sont plus censés que les Européens et les Japonais sur ce coup là puisque chez eux le jeu se nomme Super James Pond "tout court". Nous allons donc faire mine d'ignorer ce "super" afin de présenter les 2 jeux James Pond adaptés sur Snes ensemble ... Egalement connu sous le nom de "Robocod", ce jeu de plate-forme met en scène James Pond, un poisson agent-secret qui doit délivrer des penguins retenus dans l'usine du père Noel dont les jouets sont devenus fous. Dans chaques niveaux se trouvent ainsi plusieurs penguins qu'il faudra trouver avant de rallier la sortie. Rapidement, on se retrouve à explorer des stages très vastes se dévelopant autant en largeur qu'en hauteur puisqu'il sera possible d'atteindre des endroits haut perchés, soit par l'intermédiaire de véhicules volants trouvés en chemin, soit en utilisant la capacité du héros à étendre son corps à l'infini pour s'accrocher à des plate-formes en hauteur. Pour se débarasser des ennemis, on leur saute dessus comme un vulgaire plombier, mais pour bien les écrabouiller, il faut penser à incliner la croix du joypad vers la bas afin de les écraser de tout son poids. Les sauts sont très amples et contribuent à la très bonne jouabilité du jeu. Le niveau de difficulté est assez faible, surtout dans les premiers niveaux, rendant le titre très accessible à tous types de joueurs malgré l'inertie du héros. Enorme hit sur Amiga, puis décliné avec plus ou moins de succès sur de nombreuses plate-formes, ce jeu est toujours agréable à jouer et est un digne représentant de ce que "l'école micro" de la plate-forme à produit de mieux. On ne peut même pas lui reprocher, contrairement à d'autres titres occidentaux de l'époque, de sacrifier le game-design au nom de l'esbrouffe technique. Parlons justement de la réalisation : cette version Snes reprend la version Amiga 1200 qui, par rapport à la version Amiga de base, propose un peu plus de couleurs et des décors de fonds plus travaillés là ou on ne trouvait avant que des dégradés de couleur plus ou moins psychédéliques. Alors mon avis sur la chose est peut-être emprunt de nostalgie et pas très objectif, mais je préfère la sobriété de la version Amiga 500. Pas que ici on ait des problèmes de lisibilité, ce n'est pas le cas, mais cette dernière faisait mieux ressortir les sprites très soignés utilisés pour les personnages ou les très nombreux objets disposés un peu partout dans les niveaux. Ce qui fera moins débat en revanche, c'est la supériorité de la version Amiga au niveau sonore avec des musiques qui rendent mieux (mais les mélodies sont les mêmes) et surtout des bruitages bien meilleurs qui par exemple "claquent" lorsqu'on explose les ennemis alors qu'on a hérité d'un discret "plop" sur Snes (idem pour l'apparition de certains bonus). A part ça les versions Amiga et Snes sont à peu près identiques. Quoique, les fans du jeu remarqueront de subtiles différences de contenu comme par exemple un bonus en forme de verre de vin rouge remplacé par un autre objet sur la console de Nintendo, ou encore la disparition de la séquence d'intro avec les penguins sur la banquise (paradoxalement cette dernière est bien présente sur la version japonaise du jeu ...). Pour finir, signalons un tout petit bug graphique (un simple trait de quelques pixels) qui apparait constament en bas de l'écran quand on joue sur Zsnes alors qu'il n'est pas présent sur Snes9x. Enfin j'invite ceux qui connaissent la version Megadrive à laisser leur avis sur ce blog. 2.5/5 (3/5 si émuler l'Amiga fout file des boutons) Tonton Ben vous parle plus en détails du jeu ici : http://www.grospixels.com/site/jpond2.php James Pond 3 : Operation Starfish (Vectordean / Millenium / Us Gold - 1994) Dernier épisode de la série James Pond, Operation Starfish voit notre héros devoir se rendre sur la lune pour arrêter son éternel ennemi le docteur Maybee. Le scénario à l'humour absurde et aux jeux de mots omniprésents sert de prétexte à un jeu de plate-forme classique matiné de petites enigmes. James peut sauter sur ses ennemis ou leur balancer des coups de poing, courir à des vitesses folles, marcher la tête en bas (attention : commandes inversées) et surtout utiliser tout un tas de gadgets trouvés en route pour progresser (ressorts pour sauter plus haut, parapluie pour planer, pistolet ...). A la base, ce jeu est assez sympathique. Ce n'est pas un hit car son level design parfois absurde (plein d'objets qui ne servent à rien, des niveaux trop courts ou trop longs) et sa difficulté mal dosée l'empechent de se hisser au niveau des classiques, mais son coté exploration, sa bonne maniabilité, et son humour en font un soft plaisant qui de plus est sur de plaire à ceux qui ont apprécié l'épisode précédent (Robocod) auquel il est malheureusement inférieur sur tous les plans. Mais le gros problème ici est que cette version Snes est soit très mal émulée, soit techniquement très mauvaise (et je penche pour la 2ème solution). Le scrolling, à la base impeccable et super rapide sur Amiga, est ici saccadé et poussif, et les graphismes semblent un peu ternes, surtout au niveau des couleurs, ce qui fait qu'on se lasse vite des décors déjà dépouillés et répétitifs à la base. De plus, les niveaux sont un peu différents : on ne trouve pas les mêmes objets, certaines plate-formes ont été ajoutées ou enlevées ... D'après les quelques niveaux que j'ai parcouru, il semble que le but ait été de rabaisser un peu la difficulté (pas évident). Bref, cette version est décevante et si le jeu vous interesse, je vous recommande de vous essayer à la version Megadrive qui est à mes yeux la meilleure de toutes (meilleure jouabilité que la version Amiga, pas de disquettes à changer, et graphismes un poil meilleurs). 1.5/5 |
Tonton Ben Pixel monstrueux Joue à HearthStone, Overwatch, Diablo III ROS, Retropie Inscrit : Dec 05, 2003 Messages : 4257 De : Lille (le pays de la bière) Hors ligne | Posté le: 2009-10-29 16:31 Et bien voilà ! Je pense qu'il va falloir instaurer un hommage hebdomadaire à la suprématie naturelle des jeux micros dans ce groblog. Z'est dans fôtre intérêt, Herr ZebinJapan !
Bon, James Pond 2, j'ai toujours surkiffé, ça dénanusse les lévriers afghans, comme disent les jeunes. Et c'est aussi l'un de mes articles les plus mal écrits, j'en ai un peu honte. Concernant James Pond 3, je l'ai longtemps méprisé, et puis j'ai découvert comme tu l'as dit la version Megadrive qui est vraiment pas mal, et surtout le concept du jeu que je n'avais pas saisi au départ... les 100 niveaux. C'est le jeu de plates-formes le plus vaste à ma connaissance. Et en plus, ils sont tous planqués, l'intérêt résidant dans la découverte des sorties cachées (et des niveaux qui les hébergent). Lyle, je suis partant pour une discussion de gentlemen en partie rétro, on peut analyser ensemble quelques (wagons entiers d') exemples en toute bonne foi _________________ |
Wild_Cat Anarchy in the UK Score au grosquiz
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Joue à Kiesel A2, MusicMan Sterling 5 Inscrit : May 01, 2002 Messages : 11278 De : Laval, de l'autre côté du pont Hors ligne | Posté le: 2009-10-29 17:02 Citation :
Le 2009-10-29 16:31, Tonton Ben a écrit :
Concernant James Pond 3, je l'ai longtemps méprisé, et puis j'ai découvert comme tu l'as dit la version Megadrive qui est vraiment pas mal, et surtout le concept du jeu que je n'avais pas saisi au départ... les 100 niveaux. C'est le jeu de plates-formes le plus vaste à ma connaissance. Si tu aimes ce genre de trip et as à ta disposition un émulateur Megadrive (mais avec des save states, parce qu'il n'y a ni sauvegarde ni passwords, et je ne suis même pas sûr qu'il y ait des continues), je ne peux que te conseiller de foncer sur l'excellent Kid Chameleon et ses 100 et quelques niveaux aussi. _________________ https://twitter.com/MaxNoelBass
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Sebinjapan Camarade grospixelien Joue à Disgaea (PSP) Inscrit : May 02, 2007 Messages : 7781 De : Thionville Hors ligne | Posté le: 2009-10-29 21:07 Après Pond, voici Bond. Mais c'est du fiston qu'il s'agit. Et si on parle de lui, c'est surrement plus grâce à son père que pour ses qualités personelles ... (non celui-ci ne brigue pourtant pas la présidence de l'EPAD )
James Bond Jr (Gray Matter / THQ - 1992) Ahhh il est beau celui là Tiré d'un dessin-animé minable dont la seule vocation semble avoir été de salir le nom auquel il est associé, ce jeu d'action qui fera date dans les annales de la médiocrité alterne 2 phases distinctes au fil des niveaux. On trouve tout d'abord des phases de plate-forme ou le jeune héros, fils du célèbre espion, vu de coté doit traverser des niveaux en sautant, donnant des coups de pied et des coups de poing (qui ne touchent jamais !) ou lançant des explosifs, pour se débarasser d'ennemis ridicules et avancer vers la fin du niveau qui, soit dit en passant, arrive parfois brusquement comme lors du tout début du jeu ou on passe brutalement à la phase de shoot-them-up sans comprendre ce qui nous arrive. Parlons en justement de ces phases de shoot puisqu'elles se partagent la vedette avec celles de plate forme : on pilote soit un hélico avec une jouabilité à la Scramble (tir + bombes), soit un jet (tir droit uniquement) dans des niveaux ennuyeux et interminables se concluant par un boss n'offrant aucun challenge. Enfin soyons indulgent : les phases en hélico seraient *presque* sympa si les détections de collision étaient moins buggées et si parfois des tirs ennemis aléatoires et impossible à éviter ne venaient pas gâcher la fête. La réalisation est indigne de la console et s'accorde bien avec le design catastrophique de l'oeuvre originale. Mention spéciale au sprite du héros qu'on croirait sorti d'un Amstrad CPC (avec moins de charme). Et je ne vous parle même pas des musiques ... 0.5/5 |
Lyle Camarade grospixelien Inscrit : Mar 12, 2002 Messages : 3722 Hors ligne | Posté le: 2009-10-31 17:18 Citation :
Le 2009-10-29 17:02, Wild_Cat a écrit :
Si tu aimes ce genre de trip et as à ta disposition un émulateur Megadrive (mais avec des save states, parce qu'il n'y a ni sauvegarde ni passwords, et je ne suis même pas sûr qu'il y ait des continues), je ne peux que te conseiller de foncer sur l'excellent Kid Chameleon et ses 100 et quelques niveaux aussi. Si, il y a bien des continus. On peut en gagner pas mal au cours du jeu. Ce qui ne veut pas dire que ça suffit pour aller au bout. J'ignorais qu'il y avait autant de niveaux dans Operation Starfish. J'ai toujours beaucoup aimé Robocod, l'un des meilleurs plates-formes sur Amiga. Plus que la possibilité de s'étirer l'infini (même si cela fait beaucoup pour le jeu), c'est la physique du perso que j'aime le plus. Il y a une légèreté tellement agréable dans la courbe de saut. Rien que cet aspect est déjà en soi intéressant. Le level design, l'ambiance et l'esthétique font le reste. |
Sebinjapan Camarade grospixelien Joue à Disgaea (PSP) Inscrit : May 02, 2007 Messages : 7781 De : Thionville Hors ligne | Posté le: 2009-11-01 18:41 Bon, les pachi-machins, on va tous se les faire d'un coup, et comme ça on en parle plus ! (jusqu'à la lettre K en tout cas ...)
Jissen PachiSlot Hisshouhou (Sammy - 1993) Jissen PachiSlot Hisshouhou 2 (Sammy - 1994) Jissen PachiSlot Hisshouhou Classic (Sammy - 1995) Jissen PachiSlot Hisshouhou Twin (Sammy - 1996) Jissen PachiSlot Hisshouhou Twin Vol 2 (Sammy - 1997) Jissen PachiSlot Hisshouhou Yamasa Densetsu (Sammy - 1996) Les jeux de pachi-slot vous avaient manqué ? Bon, sechez vos larmes, les voici enfin de retour avec toute ces titres issus de la même série : - Dans Jissen Pachi-Slot Hisshouhou, on a le choix entre 6 bandit-manchots différents auxquels on peut acceder soit par un menu tout bête, soit en "voyageant" dans tout le Japon pour se rendre dans des casinos puis choisir soit-même sa machine dans la salle de jeu. A première vue il ne s'agit pas d'un mode aventure mais juste d'une façon plus sympa d'accéder au jeu. Enfin un dernier mode permet d'avoir plein de renseignement sur les machines. - Dans Jissen Pachi-Slot Hisshouhou 2, eh bien c'est exactement la même chose mais avec de meilleurs graphismes et quelques petites animations en plus qui s'incrustent dans de petites fenêtres pour montrer par exemple un pièces entrant dans le monnayeur de la machine (passionant ...). - Dans Jissen Pachi-Slot Hisshouhou! Classic, on ne s'embarrasse pas de la jolie interface avec les petits personnages qui voyagent et choisissent leur machine dans la salle : on va direct à l'essentiel en prenant une des 6 tables proposées par le menu. Les jeux suivants ont tous également perdu cette petite interface sympathique. - Dans Jissen Pachi-Slot Hisshouhou Twin, on ne dispose que de seulement 2 machines et ces dernières sont sur le thème de la panthère rose - Dans Jissen Pachi-Slot Hisshouhou Twin Vol 2, toujours 2 machines uniquement mais l'une d'elle est aux couleurs de Ultraman, quel bonheur ! - Enfin (ENFIN !) dans Jissen Pachi-Slot Hisshouhou Yamasa Densetsu, on retrouve 6 machines et le jeu bénéficie d'une interface beaucoup plus jolie à base d'icones. Les graphismes sont les meilleurs du lot, mais pas de beaucoup ! Bref, que du bonheur pour ceux qui aiment amasser de l'argent virtuel sans rien faire ! Jissen Pachinko Hisshouhou 2 (Sammy - 1996) Après tous ces Pachislot, vous prendrez bien un petit Pachinko en dessert pour digérer ? Mmmm ? Dans celui ci 5 machines sont disponibles. On peut consulter moultes informations, effectuer divers réglages, et bien entendu jouer en effectuant l'unique action disponible à savoir régler la vitesse de défilement des billes entrant dans la machine. Pas de mode story ni autres fioritures, rien que du pachinko, du vrai, pour nous les hommes !! |
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