Rappel des faits :
Cash Cow DX est le nouveau jeu de l'auteur de
Donut Dodo, et Simbabbad a écrit des articles sur ces deux titres, qui ont été publiés sur le site :
https://www.grospixels.com/site/donutdodo.php
https://www.grospixels.com/site/cashcowdx.php
Cash Cow DX est apparu sur Steam en février 2024 et sur Switch fin septembre, sachant que
Donut Dodo avait assez bien marché sur cette console pour qu'une version physique existe. Le prix de ces deux jeux en démat est de 4 à 6€ sur Switch, sûrement un peu moins sur Steam.
J'avais connu une expérience très sympa avec
Donut Dodo, aussi quand on a publié l'article sur
Cash Cow DX je l'ai acheté sur Switch les yeux fermés. Pendant environ un mois, j'ai eu de grosses difficultés sur ce jeu, à tel point que j'évitais de m'exprimer dessus sur le forum. J'avais peur que ce soit juste pour dire que le développeur s'était loupé sur les réglages de vitesse et de programmation du déplacement des ennemis, qu'il était allé trop loin. Mais comme le gameplay offre en permanence beaucoup de plaisir et que l'esthétique est très réussie, je n'ai jamais complètement cessé d'y jouer.
Et finalement, après deux mois de pratique intermittente et environ 12h de jeu, j'ai atteint mon objectif : terminer le mode easy avec un score de 1.300.000 points et l'EXTRA complété.
Donc je conclus sur la même note ultra positive qu'avec
Donut Dodo :
Cash Cow DX est une petite merveille d'arcade. Ma pratique du jeu vidéo est déclinante et avec de tels jeux j'ai l'impression de me diriger vers la sortie en revenant aux sources, dans des conditions optimales, grâce au recul et à l'intelligence que des développeurs tels que Sebastian Kostka ont su ajouter à une approche qu'on aurait tort de simplement juger conservatrice.
Pour encourager ce garçon, au lieu de continuer à jouer à
Cash Cow DX dans une difficulté plus élevée, j'ai acheté (5€) un autre de ses jeux :
Sigi (https://pixel.games/sigi/index.html). Il s'agit d'un action-platformer néo-rétro à la Ghost'n'Goblins où l'aspect "néo" est moins poussé que dans les deux jeux dont on a parlé précédemment, et la qualité moindre, plus anecdotique. J'ai quand même pris beaucoup de plaisir à le terminer en une petite heure.
Il a aussi sorti
Sir Lovelot, un hardcore-platformer à la Celeste, mais je n'ai pas trop la tête à ça en ce moment, et
Bobby Bombastic, qui ressemble à une version fantasmée d'un jeu des Bitmap Brothers sur Amiga. Il m'attire pas mal mais j'ai l'impression qu'il n'y a pas de version Switch.
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